Chapitre 7

Write by Jojo D

Suzy

 

        Ca fait déjà 10 bonnes minutes que je tourne en rond, je pari 10 milles qu’on me prend surement pour une folle ; ils ne peuvent pas comprendre. Pourquoi ??? Je me pose cette question que je suis arrivé ici et les 10 minutes passé a tourné en rond ne m’ont fournis aucune réponse. Ne vous moqué pas oohh, malgré le boucan que j’ai tapé a la maison je suis quand même venu, on ne sait jamais... Je n’ai pas aimé la façon dont il m’a parlé c’est vrai mais je ne vais pas cracher sur cette opportunité d’avoir une belle vie comme celle d’Isa, ah ça non !!! Je me demande toujours si j’ai pris la bonne décision, quelqu’un te laisse sans signe pendant 1 mois et le jour qu’il revient il est exigeant ? La bonne blague !!  J’aurais bien aimé me faire désirer et ne pas venir aujourd’hui mais qu’es ce qui me fait croire qu’il me fera encore signe dans les jours ou les semaines qui suivront ??? Je suis certes énervé mais faut toujours réfléchir avec sa tête, c’est primordiale si tu veux réussir dans ta vie de « Tchiza ». Tourné comme ça depuis a fini par me donné le tournis, je fini par m’arrêté, souffle un bon coup histoire de me donner assez de courage et je lance l’appel sur le numéro avec lequel il m’a appelé en journée, j’appelle mais ça sonne dans le vide, je réé taire l’opération pour la 2eme fois et là, l’appel est renvoyez ; je commence déjà à perdre patience la, si au 3eme appel il ne réagît pas moi je rentre chez moi. Je suis en train de lancer le 3eme appel quand je sens quelqu’un me tapoté l’épaule gauche, je me retourne et je tombe sur un jeune homme vêtu d’une chemise blanche avec un nœud papillon au cou et un pantalon noir…

Moi : (agacé) oui ????

Lui : désolé madame mais on m’a demandé de venir vous cherché pour vous conduire à votre table…  Suivez-moi svp…

        Je mets du temps à comprendre qu’il s’agit de Paul, je garde mon téléphone dans ma pochette et je le suis. Ça c’est de l’Hôtel avec un grand « H », pas les petites auberges du quartier ou les gars fauché aurons l’audace de t’emmener. Mama, ça respire le « n’kape » (l’argent), chaque pas que je fais me conforte un peu plus dans cette idée et en plus les gens présent ne font pas dans la dentelle coté vestimentaire, tout le monde est sur son 31, je remercie Dieu de m’avoir poussé à me saper comme ça, je suis carrément a la hauteur de cet hôtel…

        Le jeune homme me dirige vers une table en retrait du restaurant et j’aperçois Paul, l’autre jour dans la voiture je n’avais pris le temps de le détaillé mais aujourd’hui je ne vais pas me gêner ; vêtu d’un costume trois pièce noire très élégant, malgré le fait qu’il soit bien conservé les signes de l’âge ne l’on pas épargné, sa barbe bien taillé en coupe carré est rempli de poil blanc en bas et en haut quelques reflet de blanc également, même sur ces cheveux bien rasé sont remplie de cheveux blanc, avec ces lunettes qui lui donne un air d’intello. Malgré le fait qu’il parait jeune en apparence tu sens que c’est un « mur dedans ». Arrivé à notre table le jeune homme m’installe et s’en va, il a devant lui un verre de whisky et me lance un regard perçant

Paul : tu es en retard (dit il le reproche dans la voix)

Moi : bonsoir, oui je vais bien et toi ?? (Dis-je avec ironie)

Paul : (prenant une gorgé de son verre) bonsoir Suzy (dit-il en souriant me révélant sa parfaite dentition blanche)

Moi : bonsoir Paul…

Paul : (me coupant) redis le…

Moi : (perdu) quoi ?

Paul : mon prénom…

       Je souris gêné et accède à sa demande

Moi : Paul…

Paul : (souriant) j’aime la façon dont tu prononces mon prénom, dans ta bouche elle a une intonation sensuelle…

       Gêner encore une fois je baisse le regard en souriant

Paul : je n’ai pas aimé la façon dont tu m’as répondu ce matin

       Je suis perdu par ce revirement, au moins une remarque que je fais ; il souffle le chaud et le froid en un rien de temps…

Moi : (me reprenant) moi-même je n’ai pas aimé la façon dont tu m’as parlé au téléphone alors je pense que nous sommes quitte… (Dis-je en soutenant son regard perçant)

       Il me sourit en secouant la tête de gauche à droite et fait appel au serveur pour qu’il vienne prendre nos commandes et je ne compte pas me gêner ; je prends une entrée, plat de résistance et un dessert, pendant que je passe commande il me regarde amusée, que moi je gère ça ? Non oohh, je compte bien manger ma nourriture sans me gêner…

Paul : (le regard profond) j’ai oublié de te dire… tu es magnifique ainsi vêtu de pagne, j’aime bien…

        Je souris face au compliment car je sais qu’il a raison ; une robe droite en wax bleu et  rose a manche longue ouvert sur le bustier avec une petite chaine très discrète autour du cou, j’ai laissé tomber ma coiffure ; et oui moi-même je me trouve magnifique…

Moi : (souriant) merci…

        Le serveur rapplique avec nos entrées et une bouteille de champagne, il nous sert et s’en va, je fais honneur à mon entrée sans me faire prier, une fois fini j’attaque le plat de résistance, pendant que je mange mon dessert je l’entends rire, intrigué je lève la tête

Moi : qu’es ce qu’il y’a ?

Paul : (riant) c’est bien la première fois que je sors avec une jeune femme qui ne fait pas attention à sa ligne et mange comme il faut… je dois avouer que c’est vraiment rafraichissant…

Moi : ah bon ? Alors elles ne savent pas ce qu’elles ratent en se privant de nourriture (dis-je en prenant une grosse bouchée de mon dessert) (fermant les yeux en savourant) humm c’est trop bon...

         Il secoue sa tête tout en riant surement dépassé. Nous continuons de mangé tranquillement dans le silence, une fois fini il me conduit vers sa voiture. Le trajet jusqu’à chez moi se fait toujours en silence, moi discutant avec Isa lui expliquant pourquoi je lui ai fit faux bond et lui concentré sur sa conduite, une fois devant mon immeuble il se gare et coupe le moteur

Paul : je n’ai pas aimé ton retard ce soir (dit-il le regard réprobateur)

Moi : (ne démordant pas) moi je n’ai pas aimé la façon dont tu as repris contact avec moi après 1 mois sous silence…

        Strict, direct et exigeant je le trouve mais ce n’est pas sur Obah il fera sa loi…

Paul : je ne me vois pas t’expliqué tous mes déplacement…

Moi : et bien ne t’attend pas à ce que je fasse comme si de rien n’était… (Dis-je sur le même ton)

Paul : du caractère, j’aime ça…passons… toi et moi savons le genre de relation que nous sommes sur le point de commencer, ne m’appelle jamais, c’est moi qui te feras signe sur quand et où je voudrais te voir

Moi: …….

Paul : et ce que j’exige avant tout c’est la discrétion, j’aime ton tempérament de feux mais n’en abuse pas ma belle…

       Il s’approche de moi et m’embrasse, son baiser est vide de toute émotion mais exigeant, comme lui, je ne ressens rien, même pas une once de désir mais ça ne m’empêche pas de répondre a son baiser les yeux clos, je sors avec lui pour un but alors…. Il se détache moi, fouille dans la poche de sa veste et en sors une enveloppe kaki

Paul : (me tendant l’enveloppe) c’est pour toi…

       J’ai à peine  le temps de lui dire merci qu’il me souhaite une bonne soirée me signifiant clairement que la discussion est finie. Je sors de la sans faire d’histoire sans un regard en arrière. Une fois chez moi je compte le contenue de l’enveloppe avec un grand étonnement ; strict mais généreux, c’est déjà ça…

 

Quelques semaines plus tard…

 

         Couché je discute avec Isa via whatsapp, selon elle c’est bizarre qu’un homme te donne une enveloppe aussi bien garnis et depuis des semaines ne te donne pas signe de vie, elle m’envie même parce que son « pigeon » paye certes bien mais façon il l’a déjà prise la lui fait comprendre qu’il consomme bien son argent (rire). Moi je ne suis pas de son avis, ça me fait penser au calme avant la tempête parce que du peu que j’ai vu de Paul l’autre soir au restau il ne peut pas me donner une enveloppe aussi garnis cadeau, je sens que quand le moment de rembourser vas arriver je vais saigner bien même….

          Concernant Fabrice il est toujours à fond dans son histoire de me conquérir, je profite certes des sorties qu’il m’offre mais je ne manque pas de lui répéter qu’il perd son temps. C’est maintenant que je confirme que mes frères Yaoundè sont coriace, le gars ne veux lui rien lâcher. Je trouve ça grisant parce que ça fait vraiment longtemps qu’un homme ne sait pas donné autant de mal pour moi pas juste pour le sexe mais pour un truc de sérieux…

            Je suis  coupé de mes réflexions par la sonnerie de mon téléphone, c’est Paul…

Moi : (d’une voix douce) « Allo ??? »

Paul : « tu es à la maison ? »

Moi : (perdu) « oui pourquoi ?? »

Paul : « je serais chez toi dans quelques minutes, j’espère qu’il y’a assez d’espace dans le parking de ton immeuble pour garer ma voiture… »

         Je mets du temps à comprendre, l’homme si est fou ? Si je n’étais pas à la maison il allait faire comment ?? Hum

Moi : « oui, il y’a suffisamment d’espace pour toi… »

Paul : « ok, a toute »

Click

        Je regarde l’heure et je vois qu’il est déjà 20h, il va surement passer la nuit ici, je n’avais pas pensé à ça mais ce n’est pas grave, je vais gérer. Heureusement que je me suis épilé le maillot et les aisselles hier matin, si non imaginé la honte…

        Je sors informer le gardien de sa venue, à peine il accepte que je l’entends klaxonner, le gardien lu ouvre aussi vite qu’il le peut, il se gare et me suis à l’intérieur

Paul : (regardant autour de lui) c’est vraiment petit ici…

Moi : (le débarrassant de sa veste et ces autres affaires) je fais avec les moyens de bord…

        Je suis en train de me diriger vers les toilettes quand il m’attire à lui et me plaque contre son torse

Paul : (la voix chargé de désir) il va falloir y remédier, je veux tout ce qu’il y’a de confortable pour toi…

       Sans que je m’y attende il plaque ces lèvres sur les miennes, son baiser est aussi exigeant que l’autre fois, je me soustrait à son baiser et sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit je me mets à genoux devant lui, défait sa braguette aussi vite que je le peux, sort son sexe de sa prison et le plonge dans ma bouche sans autre formes de cérémonie

Paul : oohh….. Suzy…..

         Je sais ce que ce genre d’homme recherche chez une maitresse alors je ne vais pas jouer les midinettes ou les filles prudes.  Je le pompe, le lèche, le suce sans toutefois délaissé ces boules, au fur à mesure qu’il grossit dans ma bouche je suis dépassé quant à sa longueur et sa grosseur ; ce n’est pas croyable qu’un homme de cet âge est un engin aussi monstrueux, on dirait qu’il a pris du viagras pour ça. J’arrête de réfléchir et je continue à lui faire du bien, ces râle de plaisir s’intensifie au fur et à mesure que je le pompe signe qu’il arrive bientôt

Paul : oohhh… oui…. Oohh…. Suzy….. Continue comme ça….. ca… ca… ça vient…

        Et paff, il explose dans ma bouche, il se retire de ma bouche et moi j’avale sa semence avec sensualité tout en le regardant droit dans les yeux. Il me soulève et m’embrasse avec cette même brutalité, sans comprendre comment je le sens qui se mets encore au garde vous, hum plus aucun doute, l’homme si a pris viagra… Il déchire mon démembré d’un geste sec et me jette sur le lit, à l’aide de mon démembré déchiré il m’attache les mains sur les rebords du lit, retire mon short et mon string me laissant complément offerte à lui. Il se lève et se déshabille avec une rapidité sans nom, jette un paquet de préservatif Durex sur le lit et s’attaque directement à mes seins tout en plongeant 2 doigts dans ma cave, il ne m’attire peut être pas mais ça ne m’empêche pas de coulé sur ces doigts a chacun de ces mouvements ; c’est trop bon je vous le dit. Il se détache de moi, enfile un préservatif et sans prévenir s’enfonce en moi avec brutalité

Moi : ahh….. (Sous l’effet de la surprise)

        Je creuse les reins ce qui l’encourage a augmenté la vigueur de ces coups de reins, il se retire de moi, toujours en érection, libère mes et me retourne, je me cambre bien derrière pour faciliter la pénétration mais à mon plus grand étonnement je sens qu’il se dirige plutôt vers mon petit trou, je l’arrêt tout de suite

Moi : tu peux entrer n’ importe où sauf la- bas Paul….

       Il dit quelques choses dans en grommelant mais fini par abdiqué en me pénétrant dans le trou indiqué, ces coups de reins sont rude, intense comme s’il voulait me punir de l’avoir refusé l’accès a mon petit trou ce qui n’es pas pour me déplaire. Nous finissons par atteindre le point de non-retour épuisé, nous nous écroulons sur le lit épuisé, il me plaque contre lui et c’est ainsi qu’on s’endort, une première pour moi….

                    

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