Chapitre 7 : La goûte de trop

Write by Dele

Ma famille, ma perte.

Chapitre 7 : La goûte de trop

On est à deux semaines de l’examen aujourd’hui et depuis trois jours je ne me sens pas bien. Tous les soirs j’ai froid, j’ai les maux de tête et une forte fièvre. J’en ai parlé à ma grand-mère mais comme toujours elle fait la sourde oreille. Je prie Dieu pour que je guérisse avant le jour-j par ce que je tiens à passer cet examen. Je suis en classe pourtant je tremble.

Ivana : Mira tu vas rentrer non ? Tu as la fièvre et tu trembles.

Moi : On est à quelques minutes de la fin. Je vais attendre la fin avant de rentrer.

Elle ne dit plus rien et sort de la classe avec la permission du professeur. Quelques minutes plus tard elle revient avec notre surveillant général qui demande au professeur de me laisser rentré à cause de mon état. Ivana vient m’aider avec mes affaires et le surveillant me porte carrément car je ne tenais plus sur mes jambes. Une fois au dehors, il m’installe dans la voiture de maman Ivana.

Ivana : arrête de pleurer. Depuis quand tu es devenu une madeleine ? Je te rejoins tout à l’heure d'accord ?

Je fait un oui de la tête et elle me sert contre elle avant de fermer la portière. Cette fille est vraiment une bénédiction dans ma vie. Le chauffeur démarre et m’amène à l’hôpital où je suis prise en charge. Je prend trois piqûres et l’infirmière me prescrit une ordonnance qu’elle remet à maman Ivana qui nous a rejoins à l’hôpital entre temps.
Sur le chemin du retour on passe par la pharmacie pour prendre les produits. Arrivé devant notre maison je descends et Ivana m’accompagne. On salut ma grand-mère qui nous répond du bout des lèvres. Je rentre dans mon dortoir et m’allonge.

Ivana : je vais aller me changer à la maison et t’amener à mangé pour que tu prennes les produits d’accord ? Je fais oui de la tête et elle m’aide à me couvrir avant de s’en aller.

Quelques minutes après le départ de Ivana ma grand-mère mère vient ouvrir la porte sur moi en me parlant depuis le seuil du magasin.

Mémé : madame. (je fais semblant de dormi par ce que je n’ai vraiment pas la force de supporter ses injures ce soir) tu fais semblant de dormir ou bien ? Si c’est que tu es enceinte sache que tu ne vas pas rester ici hein. Part rejoindre ta mère en même temps.

Je n’ai pas réagis. Elle reste là un instant et me lance un long tchrummmm avant de partir.
Je dormais déjà quand Ivana est venue me réveiller. Elle m’aide à prendre l’eau sous la douche pour que je prenne mon bain. Après la douche je me sens un peu revigoré. Je mange ce qu’elle m’a apportée avant de prendre les médicaments. Elle me tient compagnie pendant un moment avant de prendre congé de moi.
Je tournais sur la natte en cherchant le sommeil quand on ouvre la porte avec fracas. je sursaute et relève la tête vivement, ce qui à fait déclenché mes maux de tête sur le champ.

Maman Isabella : Miracle tu veux nous montrer quoi dans cette maison ? Par ce que tout le monde te félicite dans la ville pour ta soit disante intelligence tu as commencé à pousser des ailes ? Hé ! ma petite redescend sur terre. Tu veux berner qui en jouant à la maladive ? Relève toi vite et rejoins moi au dehors. Les glacières ne vont pas se transporter toute seule au bord de la voie. les clients m’attendent déjà là-bas

Moi : maman, sincèrement je ne pourrais pas vous accompagner ce soir. Je ne me sens pas du tout bien. J'ai les maux de tête, je me sens faible et j’ai le vertige. Il me faut du repos, demain je vais vous accompagner.

Elle écarquille les yeux et éclate de rire en tapant dans ses mains

Maman Isabella : donc si on doit cité ceux qui ont besoin de repos là on va aussi appelé ton nom ? Tu fais quoi à qui dans cette maison et puis tu as besoin de repos ? Hé ! attend depuis quand tu as l'audace de me répondre quand je te parle ?

Je ne lui répond pas et me recouche tranquillement. Elle fonce sur moi et me relève d’un coup puis lève la main pour me donner une gifle. J’attrape sa main. Elle envoie un coup avec sa seconde main mais je la cale à temps, je ne sais même pas d’où m’est venu cette rage et ce courage dont je fais preuve actuellement. C’est la première fois que je me défend. Je refuse qu’on me batte encore une fois dans mon état pour trois fois rien. Comme elle n’arrive pas à m’atteindre, elle se jette par terre et commence par crier

Maman Isabella : venez me sauver oh Carlos, Isabella. Mira veut me tuer oh !

                     **** Prisca BOLADJI ****

Je suis assise sur mon lit entrain d’arranger mes affaires quand j’entends ma mère appelé au secours. Je vois mes deux aînés sortir et se diriger vers le magasin où Mira loge. je présent le pire et sort en trombe pour les devancés dans le magasin. je vois ma mère assise à même le sol entrain de gémir de douleur. Carlos et Isabella se dirige vers Mira sûrement pour la battre sans rien demandé.

Moi : (je me mets entre eux et Mira) aujourd’hui vous n’allez pas la touché trop c’est trop. Vous avez demandé ce qui s’est passé avant de vouloir en découdre avec elle ?

Carlos : si toi tu ne veux pas te retrouver à l’hôpital ce soir quitte devant moi. Tu vois ta mère assise par terre là entrain de gémir de douleur à cause de cette chose et tu oses te mettre entre nous ? Je ne vais pas me répéter, quitte.

Moi : il va falloir me passer sur le corps aujourd’hui avant de la toucher.
Isabella : si tu ne quittes pas tout de suite je vais oublier que tu es ma sœur et vous mélanger toutes les deux.

Mémé : (au seuil de la porte) qu’est-ce qui se passe ici ? c’est quoi tout ce bruit ?

Ma mère : (recommençant à  gémir de plus belle) c’est ta petite fille qui veut me tuer oh !  Je suis venu lui dire gentiment de m’accompagner au bord de la voie et elle s’est jetée sur moi comme si elle m’attendait. Si ce n’est pas mes enfants qui sont…

Moi : (l'interrompant) maman pourquoi tu ments comme ça ?

La gifle que mon frère ma donnée ma fait tomber sur Mira et tous deux nous nous sommes retrouvés au sol. le temps qu’on se lève, elle bondit au dehors en bousculant notre grand-mère au passage. À peine elle fait quelques pas que Isabella la rattrape et lui empoigne les cheveux en tirant dessus. Elle hurle de douleur en se débattant. Je veux aller à son secours mais ma mère attrape mes bras et les tournes dans mon dos. Carlos rejoins Isabella et commence par lui donner des coups de point, je pleure et appel à l’aide. À l’allure où vont les choses, si quelqu’un ne vient pas au secours de Mira elle ne va pas survivre à tous ces coups de points. Je me débat pour me libérer de l’emprise de ma mère quand j’entends Isabella pousser un cris strident en tenant son bras d’où le sang gicle. Je vois Mira craché du sang parterre je conclu qu’elle la sauvagement mordu. C'est bien fait. Le crie d’Isabella a stoppé Carlos dans sa salle besogne. Il la laisse et vas au secours de sa sœur. Mira est comme possédée et déchaînée. Elle a commencée par leur balancé tout ce qui lui tombait sous la main. La première brique qu'elle leur à lancé à atterrir sur la tête de Carlos ce qui la fait tomber sur les fesses. Elle ramasse une autre brique qu’elle balance sur eux deux, ils l’esquivent et elle atterrit sur le pied de notre mère qui commence par hurler de douleur. Je profite du moment pour quitter sous son emprise et commence par crier à gorge déployée pour appelé à l’aide par ce que je vois la deuxième femme de notre père venir vers nous avec ses deux filles et ce n’est certainement pas pour sauver Mira alors mieux vaux appelé à l’aide car je ne pourrai les affronter toute seule. Carlos et Isabella se lèvent et se dirigent dangereusement vers Mira. Cette dernière commence par marcher à reculons en cherche des yeux de quoi se défendre, elle voit un pilon au loin, cours le prendre et prête à en découdre avec eux. Au même moment je vois Ivana et sa famille venir de loin. Mira balance le pilon de gauche à droite en les empêchant de s’approcher d’avantage d’elle.

Isabella : fait tes dernières prières, c’est ta fin aujourd’hui Mira.

Carlos : un avorton comme toi a osé poser ses sales pattes sur ma famille. C’est aujourd’hui on va creuset ta tombe. 

Mira : nous allons tous mourir aujourd’hui alors.

Je vois maman Valentine passer par derrière elle avec un gourdin le temps que je la prévienne le coup est partie. J’hurle et cela fait précipité Ivana et les siens dans la concession. Mira s’écroule par terre en tombant face contre terre. je cours vers elle de même que Ivana. Nous commençons par la secouer en appelant son nom.

Maman Ivana : ne la secouer plus ça peut aggraver son état. (s’adressant à son chauffeur) Abou appelle les sapeurs pompiers et vite. 

Au même moment on voit du sang coulé de sa nuque et se répandre sur le sol.

Maman Ivana : (dans un soupir) mon Dieu !

Je tombe sur mes fesses et pleure à m’en cassé la corde vocale. Ivana fonce sur Isabella et se jette sur elle comme une furie.

Ivana : (donnant des coups à Isabella) tu la tué espèce de sorcière, monstre, salope, vipère, chien vert...

Carlos attrape Ivana et la jette par terre en libérant sa sœur. Le gifle résonante que la mère de Ivana a donnée à  Carlos la fait tangué.

Carlos : mais qu’est ce qui vous prend ? Qui vous a appelé même ? C’est une histoire de famille et vous n’en faites pas partie donc libérez les lieux.

Maman Ivana : tant que ce qui se passe ici concerne Mira et bien sachez que vous me verrez toujours dans les parages. Vous n’êtes même pas humain. Faire ça (en pointant du doigt Mira toujours inconsciente au sol) à votre propre sœur, votre sang. Même les animaux sauvages ont le sens de l’humanisme que vous tous ici réunis. Ose toucher ou même effleurer mon enfant encore une fois et je vous montre à tous sans exception ce qu'on appelle la sauvagerie.

Maman Valentine : toi (en pointant maman Ivana du doigt) dégage immédiatement d’ici si non c’est toi et Ivana que l’ambulance va amener à l’hôpital.

Au même moment on entend la sirène de l’ambulance s’approcher. Les voisins ont rempli la maison et nous traite de tous les noms.

Teddy : osez effleuré ma mère et j’oublie que vous êtes une femme mieux encore une mère.

Maman Ivana : (s'adressant à la deuxième femme de mon père) tu crois que je suis Mira sur qui tu te défoules à volonter? approche que je t'éduque femme sans cœur.

L’ambulance rentre dans la maison et deux hommes descend de la voiture et se précipitent vers Mira. Le troisième nous demande ce qui lui est arrivé. Maman Ivana fait un résumé bref des faits. Il prend note et se retourne vers ceux qui sont parti vers Miracle. Ceux-ci l'avaient déjà mis sur le brancard et l’installe à l’arrière du véhicule. Maman Ivana monte et je la suis

Ma mère : tu vas où Prisca ? Descend vite de là si non je te renie

Moi : renie moi si cela te chante.
Elle continue de vociférer. je l’ignore et l'ambulance démarre.

Les deux ambulanciers s’activent sur elle sans qu’elle ne donne aucun signe de vie. Je prie de toutes mes forces pour qu’elle s’en sorte.
Cela fait deux bonnes heures qu'on est dans la salle d'attente sans aucune nouvelle. Maman Ivana tourne sur elle-même comme un animal en cage. Son mari qui nous à rejoint essaie de la calmer.

Maman Ivana : (s'adressant à son mari) je te jure que ci quelque chose arrive à Mira je vais les enfermés tous. Même s’il faut que je me salisse les mains.

Papa Ivana : rien ne va lui arrivé calme toi et vient t’asseoir.

Il n'a pas fini sa phrase avant que la porte de la salle d’urgence où est admise Mira s'ouvre avec fracas et deux infirmières sortent en courant et rentrent dans une salle et ressort avec certains de leurs collègues. Ils ont commencé des vas et viens ce qui nous fait paniqué.

Maman Ivana : (s’approchant d’une des infirmières) madame tout se passe bien ? Ma fille va bien ? Y à t-il de complication ? Que se passe t-il ? Pourquoi il y à tout ce vas et viens ?

L'infirmière : calmez-vous madame. Nous ne pouvons rien vous dire pour le moment mais sachez que nous faisons tout notre possible pour la sauver. Allez vous asseoir. Le docteur qui s'occupe d'elle viendra vous voir quand il va finir de lui administrer les soins.

Elle retourne s'asseoir prêt de son mari l'air plus abbatu et plus inquiet. Les vas et vient que font les agents de santé ne présagent rien de bon. Je n'ai jamais prié de toute ma vie mais depuis que je suis rentré dans cette ambulance avec ma sœur tout à l’heure, je ne fait qu'imploré Dieu pour qu’il lui vienne en aide. Dire que c’est ma mère qui est à l'origine de son état me fait encore plus mal. On patiente encore pendant une quarantaine de minutes avant que le docteur ne vienne vers nous.

Docteur : (s'adressant à maman Ivana) vous êtes les parents de Miracle ?

Maman Ivana : oui docteur. Comment est-ce qu'elle va ?

Docteur : (avec un air plus sérieux et abbatu) madame, nous sommes désolé. Nous n'avons pas puis…

Moi : quoi ? J'ai commencé à sentir le vertige en même temps. Non non pas ça pas ça

Maman Ivana : vous n'avez pas puis faire quoi ? (Pleurant à chaude larme) Ne finissez surtout pas cette phrase si non je vous tue sur le champ. Vous m'entendez ? Je vais vous tuer

Papa Ivana : (la serrant dans ses bras pour qu'elle ne tombe pas où ne fasse une bêtise) docteur que voulez vous dire concrètement ? Vous n'aviez pas puis la sauver ? C'est bien ça ?

Le docteur reste silencieux face à la question de Papa Ivana et nous fixe.

Moi : oh non non non non ! Je me sens partir quand j'entendis quelqu’un appelé mon nom au loin puis trou noir.

#nickê #chro

Aimer, commenter et surtout partager.

Agréable et fructueuse semaine à tous.????

L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

Ma famille, ma perte...