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Chapitre 8

Khalil

Elle me lance un regard de ces regards si j’etais dans une situation ou je veux pas créer de scandale j’aurai ris

Nabila : non mais tu es fou ? c’est qui cette fille ?

Laure : toi c’est qui d’abord ? Khalil c’est mon homme tu sors d’où toi ? on t’as pas dit que lorsque les grandes personnes parlent les gamines doivent se taire

Je reste la a les regrader faire je ne veux voir jusqu’ou la petite peux aller, je mets mes mains dans les poches et je les observes un par un

Nabila haussant : khalil je ne vais pas me repeter tu me sors ta pouff d’ici, si vous voulez vous envoyer en l’air vous pouvez le faire mais loin de chez moi

Laure : c’est de moi tu parles ?

Nabila : il y a une autre petasse ici a part toi ?

Laure : je vais t’apprendre a respecter tes ainés

« SLAP »

L’action était tellement rapide que je n’ai pas eu le temps d’enticipé le mouvement, Laure vient de donner une giffle a ma petite femme, le temps qu’elle ne se retourne, la petite la prend par les cheveux et la mets déjà par terre, elle s’assoit sur elle et commence par lui donner des giffles, je cours les separer mais la petite Nabila l’aggrippe par les cheveux du coup a chacune de mes tentative de la soulever la pousse a tirer encore plus violement les cheuveux de Laure, elle faisaient tellement de bruit que ce que je ne voulais pas finis par se produire

Adja nous rejoins dans le sejour, elle était horifier par le spectacle qui s’offrait a elle, j’implore son aide et elle finis par les separer

Nabila hurlant : c’est la derniere fois tu me touche, personne je dis bien personne n’a ce droit

Laure : khalil comment oses tu laisser cette petite me traiter de la sorte comment ?

Nabila : cette petite comme tu le dis c’est sa femme et la prochaine fois que tu me chercheras attends toi a ce que je te tombe dessus

La petites c’est une vrai tigresse on dirait, elle ne se laisse vraiment pas marché dessus

Adja se tournant vers Laure : mademoiselle rentrez chez vous

Elle se tourne vers moi comme pour avoir un appui pour ne pas bouger mais je ne peux rien, je lui ait bien demander de rentrer chez elle mais elle ne m’a pas ecouter

Moi : rentre chez toi

Laure protestant : mais…

Moi la coupant : rentre chez toi j’ai dis

Laure : tu oses m’humilier comme sa devant cette petite ? je te promet que tu vas le regretter, tu finras par voir son vrai visage et ne viens pas vers moi lorsque tu connaitra la deception

Sur ses parole elle prends ses clé de voiture et sort du sejour, je me retrouve avec ces deux femmes, l’une qui veut me manger tout cru et l’autre qui semble etre vraiment dessus de moi

Nabila rompant le silence : non mais tu m’as prise pour qui ? a quel moment tu as cru que tu pouvais me manque autant de respect ? sa te suffit de t’envoyer en l’air avec chez elles, il faut que tu les amenes ici ?

Moi ne sachant pas quoi dire : je l’ai pas amené 

Nabila : t’es un gros malade toi, tu l’as pas amené ? je n’ai plus rien affaire ici moi je rentre chez moi

Moi me posant dans le fauteille : tu ne vas nulle part, je te signale que je suis ton mari maintenant et s’il doit avoir separation se sera a moi de le decider pas l’inverse

Nabila prenant les escalier en courant : c’est ce qu’on vera

Adja faisant enfin sortir un mot de sa bouche : je vois a quel point tu n’as aucune concideration pour moi

Moi : mais ne dis pas sa, ce n’est vraiment pas ce que tu crois

Adja : apres notre conversation de se matin, je tombe sur ta femme et une de tes nombreuses pretendente se battre dans ton salon, tu veux que je dise quoi ?

Moi : je ne l’ai pas amener ici, je ne l’ai meme pas appelé elle est venue toute seule et tout ce qui a suivie n’est qu’un ensemble de malentendue

Lorsque je leve la tete je nois Nabila qui s’est changé avec une valise en main, cette petite commence déjà par me donner des maux de tete, si je la laisse partir je vais m’attirer les foudre de ma mere et Adja au passage

Moi : tu fais quoi ?

Nabila : qu’es ce que tu vois ? je rentre chez moi

Moi : tu ne bouges pas d’ici 

Nabila : si t’avais voulu que je reste ici jamais t’aurais ramener ta bouffe ici, regarde tu as toujours des succons dans le cou idiot

Moi me recouvrant le cou avec ma chemise : je ne te permet pas de me manquer de respect, tu retournes a l’etage avec ta valise je ne veux pas me repeter

Nabila : c’est l’hopital qui se fou de la charité

Sur ce elle tire sa valise et me depasse, je la prends par les bras sous le regard etonné d’adja

Nabila hurlant : laches moi tu me fais mal

Adja : mon fils laisse son bras tu vas lui faire mal

Moi : laisse moi gerer sa s’il te plait, je pense qu’il est temps qu’elle aprenne le respect cette petite

Je lui prend sa valise des mains, le la souleve comme un sac et je l’amenes dans la chambre, je la depose sur le lit et je sors de la chambre avant de fermer la porte a clé je reviens voir Adja qui était toujours au salon, elle hurlait dans la chambre mais je ne la calcul pas

Moi m’assayant devant Adja : je t’assure que tout ce qui s’est passé ce soir je ne l’ai pas voulu, sa me fais vraiment mal que tu penses que je ne prends pas en compte ce que tu me dis, j’ai pensée a la conversation qu’on a eu ce matin toute la journée, j’ai decidé de donner une chance a ce mariage et eesayer voir si sa va marcher, mais en rentrant ce soir les choses se sont passer autrement

Adja soufflant : voila ta femme qui veut quitter la maison, tu feras comment pour la retenir ? tu ne peux pas l’enfermer ici indefiniment

Moi passant les mains dans les cheveux pour essayer de me calmer : tu as raison, je pense qu’il est temps que nous partons a notre voyage de noces

Adja : tu penses qu’elle va accepter ?

Moi : a aucun moment je n’ai mentionner le fait de lui demander son avis, elle ira de gré ou de force

Adja : c’est encore un bébé, je te demande bien te comporter avec elle et d’etre patient avec elle

Moi : je ne sais pas si je vais pouvoir supporter son impulssivité longtemps, elle a meme oser me traiter d’idiot ce soir, elle est tout le temps agressive avec moi

Adja : a toi de savoir comment l’amener a etre plus douce a avec, je ne veux pas que lui manques de respect, si tu decides de donner une chance a ce mariage je ne veux pas entendre parler d’autre femme dans ta vie, je ne veu pas de tricherie, met toi a fond et toi une reelle chance d’etre heureux si non laisse la partir, je ne veux pas que tu la fasse souffrir

Moi : c’est promis

Adja : oki va calmer ta femme pour qu’elle arretes de crier et de pleurer moi je vais aller me reposer

Moi : je dois te demander un service s’il te plait

Adja : vas y je t’ecoute

Moi : je veux juste te demander que tout ce qui s’est passer ce soir dans cette maison ne sorte pas, je ne veux pas inquitter maman

Adja : d’accord tu peux compter sur moi

Sur ces parole elle part et moi je monte voir ma petite femme, je souffle une derniere fois avant de rentrer dans la chambre

Elle avait déjà arreter de donner des coups a la porte et était assise sur le lit continuant par pleurer, je prends place a coté d’elle pour essayer de la calmer

Moi : je tiens a m’excuser sur la scene que tu a suivis ce soir, sa n’a jamais été mon intention de te manquer de respect

Nabila reniflant : mais tu l’as fait, eloigne toi de moi, tu pus toujours son parfun

Moi : je te promet de ne plus me laisser toucher par une autre et de n’etre qu’a toi

Nabila : sa fait ton probleme…

Je me leve, et je rentre dans la douche avant de perdre de nouveau patience, je sens que ce mariage ne sera pas de tout repose pour moi