Samedi début de matinée

Très tôt le lendemain, samedi, Christine est réveillée par les premiers rayons du soleil. Les garçons ronflent tous les trois dans la capucine. Elle se lève et, se rendant compte qu'elle sent le sperme, elle décide d'aller rapidement au camping pour prendre une douche. Alors qu'il dort encore, elle prévient Willem en lui murmurant à l'oreille :

- Je file me doucher au camping. Viens me rejoindre dès que tu seras réveillé...

Elle se contente d'enfiler le marcel qui lui avait été prêté le premier jour. Une fois arrivée aux sanitaires du camping, elle ne verrouille pas la porte de la douche pour que Willem puisse y rentrer. Elle s'installe sous la douche et commence à se caresser en l'attendant.

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Christine tourne le dos à la porte quand elle entend le bruit de la porte qui s'ouvre :

- Te voilà enfin... Viens vite me rejoindre.

- Tu es certaine ?

Christine sursaute en entendant la voix qui n'est pas celle de Willem mais celle de Sébastien. Elle se retourne et découvre le maître de stage, nu, avec un début d'érection.

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Christine cache pudiquement ses parties intimes :

- Excuse-moi, j'étais persuadé qu'il s'agissait de Will...

- Bah non, c'est moi. L'invitation tient quand même ?

La jeune fille n'a pas le courage de l'envoyer balader pensant aux notes de stage qu'ils recevront la semaine suivante. La voyant toujours pudique et gênée, Sébastien lui dit :

- C'est pas la peine de faire la sainte-nitouche. Je te rappelle qu'on a presque tous eu l'occasion de voir ton cul, ta chatte et tes nichons, sans parler que, pour ma part, je t'ai enculée dans ma caravane.

- C'est un résumé un peu brutal mais les grandes lignes sont là...

- Ta pudeur me semble superflue.

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La jeune fille doit bien admettre qu'il a raison :

- Oui, la pudeur est un réflexe quand on est surpris.

Christine passe devant lui, effleurant son sexe de la main, pour aller fermer la porte de la douche. Puis, elle le plaque au mur et murmure :

- Faisons l'amour...

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- Tu trompes facilement Willem...

- Non, il le saura. Je lui dirai.

- Il sera jaloux ?

- Non, ça l'excitera.

Tandis qu'elle répond à ces questions, elle le masturbe lentement. Puis, quand il est bien raid, elle lève une jambe et le guide entre ses cuisses.

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Sébastien passe une main sous sa cuisse pour la maintenir levée tandis qu'il pénètre la jeune fille. Tout en la baisant, il lui demande :

- Ils vont te manquer les Bretons ?

- Oui...

- Rassure-toi, deux nouveaux mecs arrivent lundi. Tu auras de quoi t'occuper.

Christine trouve Sébastien bien indélicat et n'apprécie pas vraiment qu'il sous-entende qu'elle est une grosse salope. Elle préfère néanmoins ne pas exprimer son exaspération et, quand il se met à éjaculer en elle, elle simule un orgasme pour ne pas le contrarier :

- oh oui... oui ! C'est bon !

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Après s'être vraiment douchée, Christine se sèche. Sébastien l'observe et lui demande :

- Et à part la baise, le stage te plaît ?

- Oui. Willem et moi, on est vraiment des amoureux du patrimoine.

- Vous reviendrez ?

- Je t'avoue que je n'en sais rien. Mais je vais inciter Willem à essayer d'autres chantier pour rencontrer d'autres gens, histoire d'enrichir nos expériences.

Sébastien sourit à l'idée des expériences auxquelles elle fait référence. Christine surprend son sourire :

- Quoi ?

- Rien, je ne te pensais pas comme ça en te voyant arriver lundi.

- J'avoue que j'ai découvert beaucoup de chose cette semaine. Et pas seulement en ce qui concerne le torchis...

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Sébastien la laisse et Christine retourne au camping-car. Willem se lève tout juste quand elle referme la porte. Les Bretons dorment encore. Willem sourit en la voyant avec le marcel prêté en début de semaine :

- Tu es allé aux douches ?

- Oui...

- Mince, ça m'excite de t'imaginer traverser le camping dans cette tenue.

- Il y avait effectivement quelques campeurs matinaux qui ont apprécié.

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L'exhibition de sa copine éveille l'intérêt de Willem :

- Et alors ?

- Je t'ai dit de me rejoindre... je t'ai attendu.

- Merde... Je me suis rendormi, désolé...

- Du coup, Sébastien m'a surprise en train de me caresser dans la douche...

Willem reste bouche bée. Il se redresse, attentif, et attend la suite du récit, persuadé que ça ne s'arrête pas là. Christine vient lui murmurer à l'oreille :

- Nous avons fait l'amour et je l'ai laissé jouir en moi...

Elle s'écarte pour voir sa réaction. Il sourit. Elle demande :

- Tu bandes ?

Willem hoche la tête. Christine s'amuse de voir la proéminence qui déforme son caleçon.

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Puis, elle retire le marcel et elle sort un débardeur rouge qu'elle enfile sans laisser le temps à Willem de profiter de sa nudité. Alors qu'elle se penche au-dessus de son sac pour chercher une jupe, elle dit à Willem :

- Je serais bien allée faire un peu de shopping en ville...

- Si tu veux mais tu sais qu'Erwan et Yann repartent aujourd'hui. Il faut qu'on mette nos affaires ailleurs et qu'on voit où est-ce qu'on peut dormir ce soir.

- Tu vas demander à Sébastien ? Il est à sa caravane.

A contrecœur, Willem enfile un jeans et sort, non sans jeter un dernier coup d'œil à la jolie croupe nue de Christine que le débardeur ne cache pas.

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Pendant qu'elle fouille dans son sac pour chercher une jupe, Christine entend la voix de Yann :

- On ne part pas tout de suite, il n'y a pas urgence.

- Oui, mais on voudrait aller se promener en ville et vous risquez d'être partis quand on reviendra.

Yann est habillé et est descendu de la capucine. Assis sur la banquette, il admire Christine enfiler sa jupe en jeans :

- Dans ce cas, il faut qu'on se dise au revoir tout de suite...

Christine vient le rejoindre et, posant une main sur sa cuisse, elle lui demande :

- Et comment se disent au revoir des gens qui ne se connaissent que depuis cinq jours mais qui ont déjà joui ensemble ?

- Heu... Comme ça, ça me semble un bon début...

Christine commence à déboutonner son pantalon et extrait son sexe, déjà gonflé. Alors qu'elle commence à le masturber, il se met à lui peloter les seins à travers le débardeur. Il commence à lui soulever pour lui retirer, mais Christine se lève :

- Non. Je préfère le garder si Will revient...

- Tu crois que ça le gênera ?

- Je viens de me taper Sébastien dans la douche alors je vais quand même pas trop abuser...

- Tant pis, je vais me débrouiller.

Yann tire sur les bords du débardeur et dégage au mieux un mamelon pour le sucer.

Christine rigole de le voir aussi motivé. Elle le laisse quand même relever son débardeur sur ses seins et la retourner pour la peloter quelques secondes. Mais quand il lui retire sa jupe, elle s'insurge :

- Non ! Je t'ai dit que je ne voulais pas être à poil...

- D'accord, mais la jupe c'est rapide à remettre et ce sera surtout plus facile pour moi pour te bouffer le cul !

Alors qu'il se met accroupi et lui fourre effectivement le nez entre les fesses, Christine rigole de son audace et le laisse finalement faire.

Comme il commence à lui lécher la moule en faisant glisser sa langue dans la fente déjà humide, Christine prend conscience qu'elle ne va pas pouvoir lui résister :

- Oh putain... c'est bon !

Relevant la tête, Yann dit :

- Tu dégoulines, Christine !

- Baise-moi au lieu de faire des rimes.

Se redressant, Yann n'a aucune difficulté à la pénétrer pour la prendre en levrette. Christine gémit et se cambre pour l'accueillir.

Yann ne peut s'empêcher de fantasmer sur l'anus qui semble s'ouvrir un peu à chaque fois qu'il s'enfonce dans la moule. Il s'amuse à y faire pénétrer un doigt. Christine l'encourage à continuer :

- Ooooh... Ne t'arrête pas !

Yann se retire alors et commence à branler l'anus de la jeune fille avec deux doigts :

- Si tu veux, j'ai mieux que des doigts...

- Non... Pas cette fois...

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Il sent pourtant qu'elle hésite et qu'elle pourrait accepter. Mais la voix de Willem se fait entendre dehors :

- Chris, tu peux sortir nos sacs ? Sébastien propose qu'on essaye de dormir dans sa caravane ce soir. Je récupère déjà ceux qui sont dans la voiture.

Yann fait la grimace :

- Bon... Nos adieux tournent court.

Le voyant un peu dépiter, Christine décide de le finir rapidement. S'agenouillant devant lui, elle entame une fellation.

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Yann rigole :

- Je vois que tu tiens à emporter un souvenir...

Mais il ne fait pas davantage de commentaire car Christine, très concentrée à sa tâche, l'amène rapidement au bord de l'éjaculation. Quand elle sent qu'il est prêt à exploser, elle garde la bouche ouverte juste sous son gland, attendant la semence.

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Le sperme jaillit soudain. Un puissant premier jet vient fouetter le palet de Christine et, de surprise, la fait se reculer. L'éjaculation continue en un lent écoulement de sperme épais que la jeune fille essaye de récupérer avec sa langue. Une partie coule sur son menton. Christine s'apprête à recracher la semence mais se dit qu'il est préférable d'avaler si elle ne veut pas que Willem se doute de son écart.

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- Chris ?

C'est la voix de Willem qui semble revenir vers le camping-car pour voir où elle en est. Christine rajuste son débardeur et enfile sa jupe en quelques secondes. En moins de temps, Yann remballe dans son pantalon son sexe, pourtant encore tendu. Quand la porte s'ouvre, Christine est assise sur la banquette et referme un sac. Willem :

- Tu as fait les sacs ?

- Pas encore fini. On se disait au revoir avec Yann.

Willem se demande quand même de quelle manière ils se sont dit au revoir mais la vue du décolleté généreux du débardeur de sa copine lui fait oublier la question.

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Voyant qu'elle a capté ainsi son attention, elle reste penchée en avant, espérant qu'il ne remarque pas le sperme sur son menton :

- Tu sais comment aller en ville si on veut se balader ?

- Heu non... mais on trouvera.

- Tu ne veux pas demander à Sébastien, s'il te plaît ?

- Ok...

Willem repart à contrecœur. Sitôt la porte refermée, Erwan se redresse dans la capucine :

- Félicitation, Christine. Le stratagème du décolleté est efficace.

- Will est faible...

- Nous le sommes tous.

Par jeu, elle se positionne au pied de la capucine et tire un peu sur le décolleté pour exhiber ses seins nus.

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Tirant la couverture, Erwan exhibe alors son sexe qui est en train de gonfler et de se redresser :

- Vois comme je suis faible...

- Profites-en, ce sera ma manière de te dire au revoir...

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Ayant été réveillé avant la fellation qu'elle a administrée à son copain, Erwan interprète cela comme une invitation. Il s'agenouille alors au bord de la capucine, se mettant la tête contre le plafond. Saisissant son sexe tendu, il se met à se masturber en admirant les seins nus de la jeune fille.

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Christine est fascinée par ce sexe tendu juste au-dessus d'elle. Erwan dit :

- Je ne m'attendais pas à une séparation aussi agréable. Ce qui est sûr, c'est qu'on va te regretter...

- Disons que c'est aussi ma manière de vous remercier de nous avoir aidé dans l'adversité.

Ce disant, elle bombe le torse pour profiter et il se branle en admirant les seins nus dans le décolleté.

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Erwan est sur le point de jouir :

- Tout... tout le plaisir est pour nous... Rhaaaa...

- Chris ? Tu as fini ?

Willem appelle à nouveau de dehors. Christine rajuste précipitamment son décolleté, juste au moment où Erwan éjacule.

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Le sperme gicle vers elle. Elle rejette la tête en arrière pour ne pas en recevoir au visage mais le sperme vient s'écraser dans son décolleté, entre ses seins. Christine reste quelques secondes indécise, ne sachant pas quoi faire. Erwan s'allonge rapidement sous les couvertures :

- Désolé...

Christine, devant faire vite, essuie la semence épaisse avec ses doigts et se les lèche pour en faire disparaître toute trace avant que Willem ne rouvre la porte. Quand il entre dans le camping-car, Christine vient de terminer et se lèche l'index. Il demande :

- Ça va ? Tu t'es coupée ?

- Heu, non, non, juste une éraflure...

- Les sacs sont prêts ?

Christine s'apprête à avouer que non, mais elle entend Yann qui répond à sa place derrière elle :

- Oui, elle vient juste de terminer.

Souriant, il montre les deux sacs, fermés et prêts, posé sur la banquette. Christine, soulagée que Yann s'en soit occupé, lui lance un regard reconnaissant.

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Erwan, encore allongé dans la capucine, demande à Willem :

- On a le temps de prendre le petit déjeuner ensemble avant que vous partiez en ville ?

- Bien sûr !

Quelques minutes après, ils sont autour de la table du petit déjeuner et Erwan a le regard perdu dans le décolleté de Christine. Celle-ci se moque de lui :

- Tu te rinces l'œil parce qu'après tu ne pourras plus en profiter ?

Erwan semble gêné :

- Heu, excuse-moi...

Willem intervient :

- Allons Chris. Erwan a raison. Après on ne se verra plus. Tu pourrais peut-être les remercier de leur accueil d'une manière très simple, non ?

Sans attendre sa réponse, Willem fait glisser les épaules du débardeur et dégage la poitrine de sa copine aux yeux des deux Bretons.

Malgré tout ce qu'elle a pu faire avec Erwan et Yann ces derniers jours, Christine est quand même un peu gêné de manger comme ça. Yann s'en rend compte et dit à Willem :

- Je crois que ça va aller. Ses seins sont magnifiques, mais elle a aussi le droit de manger en paix.

Willem rigole :

- Tu as raison, moi aussi ses nichons m'ouvrent l'appétit !

Et il se penche sur la jeune fille pour gober un mamelon et le sucer.

Puis il se redresse et rajuste le décolleté de sa copine. Le petit déjeuner s'achève sur des jeux de regards plus sincères et moins lubriques. Yann et Erwan propose de débarrasser la table pour laisser Christine et Willem partir en ville. Quand le couple quitte la caravane, Erwan les salue :

- Bonne continuation pour le stage.

- Merci. Bonne route à vous et merci de nous avoir dépanné en fringues et de nous avoir permis de dormir avec vous.

- Pas de quoi, c'était un plaisir.

Willem sait très bien à quel plaisir il fait référence. Une fois les adieux terminés, ils sortent porter les deux sacs à la caravane de Sébastien. De retour à leur voiture, ils voient les Bretons leur faire au revoir à la fenêtre du camping-car. Par jeu, Christine s'amuse à remonter sa jupe pour exhiber sa croupe nue.

Willem rigole en la voyant faire :

- C'est effectivement un au revoir plus sympa qu'une simple bise.

Christine se demande si Willem se doute qu'elle n'a pas fait qu'une simple bise aux Bretons. Peut-être a-t-il senti l'odeur du sperme sur elle ? Quoi qu'il en soit, il ne semble pas fâché :

- Avant de monter, tu peux peut-être leur en montrer un peu plus, non ? On ne les reverra sans doute jamais...

Bien volontiers, Christine se retourne et sort ses seins du décolleté. Puis elle relève un peu sa jupe pour exposer son entrejambe nue.

Une fois en route vers la ville, Willem demande :

- Pas trop triste qu'ils s'en aillent ?

- Non. Sébastien m'a dit que deux autres gars arrivaient la semaine prochaine.

- De nouvelles perspectives d'exhibition pour toi...

Dégageant un sein de son débardeur, Christine répond :

- J'ai cru comprendre que ça ne te gênait pas vraiment, au contraire ?

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- Carrément ! J'adore la nouvelle Christine exhibitionniste et...

- Et salope ?

- Oui, t'es devenue une belle salope cette semaine !

- Grâce à toi. Mais je suis étonnée que tu ne sois pas jaloux alors que Yann et Erwan ont profité des mêmes faveurs que toi...

- Oui, mais ils sont partis et moi je suis là.

- Je t'aime, Will.

Ils se garent dans un quartier conseillé par Sébastien. Quand Christine sort de la voiture, Willem se penche sur son siège et tend le bras pour relever la jupe :

- Cette promenade sera peut-être l'occasion de s'amuser...

- Bas les pattes. On verra...

Christine rajuste sa jupe.

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Alors qu'ils se promènent en ville, Willem, très excité à l'idée de se promener avec une Christine si légèrement habillée, s'amuse à soulever la jupe. Il fait de préférence quand il y a un peu de monde. Christine fait semblant d'être offusquée et se rajuste aussitôt mais cela l'excite elle aussi beaucoup de voir les yeux hallucinés des hommes qui se rendent qu'ils viennent de voir une chatte sans culotte. Quand ils prennent les escalators, Willem laisse Christine passer devant lui et reste en retrait, se gardant bien de lui dire qu'elle a mal rajusté sa jupe et que tout le monde derrière elle peut voir son cul.

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En s'en rendant compte, arrivée en haut, elle l'engueule :

- T'es con. Tu aurais pu me le dire... On va se faire arrêter pour attentat à la pudeur...

- Pas pour un bout de fesse. Et tu sais, ton débardeur est tellement long que tu pourrais te passer de la jupe.

- Si, je te jure. On dirait une minirobe.

Christine se mord les lèvres. Willem se rend compte qu'elle hésite et, avant qu'elle ne change d'avis, lui retire la jupe.

- Hey !

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Willem s'écarte, gardant la jupe en main.

- Voilà. Montre-moi ça ?

En fait, le débardeur ne couvre pas du tout les fesses de la jeune fille mais Willem lui ment et lui dit très sérieusement :

- Parfait, ça cache tout juste tes fesses.

- Et devant ?

- A moins que quelqu'un ne soit allongé par terre, ça ira.

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Même si Christine a des doutes, elle n'en laisse rien voir, amusée de voir à quel point sa tenue excite Willem. Une terrible bosse déforme son entrejambe, ce qui, de son point de vue, est encore plus indécent que sa tenue. Malgré cela, la jeune fille passe son temps à tirer sur le bas du débardeur pour couvrir autant que possible son ventre et ses fesses. Quand elle fait cela, l'étirement vers le bas a tendance à dévoiler son décolleté dans lequel ses seins sont libres, ce qui ne déplait pas non plus à Willem.

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Alors qu'ils font quelques courses dans un supermarché pour acheter quelques bricoles (bonbons et boissons essentiellement), Willem remarque qu'ils sont suivis à distance par deux jeunes qui semblent montrer un intérêt certain à la tenue de Christine. Willem chuchote à sa copine :

- Chris, tu vas te pencher pour prendre un paquet de carambars et tu tourneras la tête pour voir la tronche des deux gars qui te matent en bout de rayon...

Christine trouve l'idée amusante et joue le jeu, exhibant ainsi sa croupe et découvrant les mines incrédules des deux garçons.

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Willem n'en revient pas de voir les deux garçons s'approcher, pas intimidés du tout. L'un d'eux s'adresse à Christine :

- Vous n'avez pas froid mademoiselle ?

- Non pourquoi cette question ?

- Parce que je crois que vous avez oublié de mettre une culotte.

- Ah ?

La jeune fille, provocante, soulève le bas du débardeur, dévoilant sa moule.

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Elle regarde les deux garçons :

- Effectivement, je ne m'en étais pas rendu compte...

Les deux garçons rigolent et l'un d'eux ajoute :

- On voit un peu votre chatte...

Willem s'approche alors et, faisant glisser les bretelles du débardeur des épaules de sa copine, répond :

- Ils ont raison, il faut tirer un peu vers le bas, ma chérie.

Ce faisant, le débardeur glisse et dévoile la jolie poitrine nue de Christine aux deux garçons qui restent bouche bée.

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Christine se rajuste et prend Willem par la main pour le tirer dans le rayon d'à côté :

- Tu ne crois pas qu'on en fait un peu trop là... On va les avoir sur le dos, après...

- Oh, ils n'ont pas l'air bien méchants.

- Rends-moi ma jupe.

- Mince, je crois que je l'ai laissé dans un des gros bacs de plante en haut de l'escalator. Bouge pas, je vais la chercher pendant que tu termines les courses.

- Je t'attends aux caisses du magasin.

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Quand Christine s'engage dans le rayons suivant, elle est d'abord surprise de voir les deux garçons allongés par terre sur le dos en travers de l'allée. Ils rigolent en la voyant arriver :

- On vous attendait.

- Je vois ça. L'idée, c'est que je vous enjambe, c'est ça ?

- Exact ! Mais pas trop vite, hein ! Faut qu'on ait le temps de voir.

Trouvant leur idée astucieuse, Christine se dit que ça ne lui coûte pas grand-chose de jouer le jeu et de les laisser profiter du spectacle de sa moule. Elle les enjambe donc lentement, s'amusant des commentaires :

- Génial !

- Incroyable !

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Les garçons restent allongés par terre. Christine leur dit :

- Je dois terminer mes courses. A plus tard peut-être ?

- Attendez ! Je crois que c'est de l'autre côté que vous devez aller.

Christine sourit. Elle a trouvé excitant d'exhiber sa moule aux deux garçons et se dit qu'elle peut bien le refaire. Elle rebrousse chemin et les enjambe donc à nouveau.

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Mais elle sent soudain une entrave à ses chevilles. Chacun a saisi une de ses chevilles et la maintient pour qu'elle soit coincée dans cette position, cuisses écartées au-dessus d'eux :

- Qu'est-ce que vous faites ?

- Rien que vous n'aimerez pas...

- Laissez-moi !

Les garçons savaient très précisément ce qu'ils voulaient faire. L'un tendit la main et, de deux doigts se mit à lui écarter les lèvres de sa moule humide. L'autre gars tendit aussi la main mais pour lui fourrer l'index dans la fente et commencer à la masturber.

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Christine ne peut réprimer un gémissement de plaisir qui déclenche aussitôt un commentaire :

- Wahou ! Elle aime ça...

- C'est une vraie salope celle-là.

Profitant que les garçons sont concentrés sur leur petit jeu, Christine se met en appui sur une jambe et tente de se dégager de leur étreinte. Voyant qu'elle risque de leur échapper, ils abandonnent sa moule et utilisent leurs deux mains pour lui tenir les chevilles. Ils restent béats de voir la moule ouverte dégoulinante de mouille.

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Christine tente de se dégager mais n'y parvient pas :

- Bon, les garçons, c'était rigolo, mais maintenant, je dois y aller...

Une goutte tombe sur le front d'un des deux gars qui en lâche la cheville qu'il maintenait. Christine en profite pour dégager l'autre cheville, mais elle perd l'équilibre et, bien que libérée, elle se retrouve les fesses par terre.

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Les deux garçons rigolent, sans voir que Willem vient de revenir :

- Et bien ma chérie ? A quoi tu joues avec ces gars ?

L'un des garçons rigolent et invente un bobard :

- Bah on se chamaillait tous les deux et on a glissé. Quand votre copine est venue pour nous aider à nous relever, elle a glissé aussi. Faites attention, vous aussi !

En voyant l'air incrédule et amusé de Christine, Willem comprend qu'il s'agit d'autre chose.

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Quand il l'aide à se relever, Christine murmure à l'oreille de Willem :

- Ils ont réussi à me tripoter la moule à mon insu...

- Ils t'ont fait mal ?

- Heu non... c'était même plutôt agréable.

Christine rajuste le débardeur pour être un peu plus présentable.

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- Tu as ma jupe ?

Willem lui donne puis aide les deux gars, toujours hilares, à se relever :

- Votre copine est très très belle.

- Oui, je sais. Mais ça ne se fait pas de tripoter une femme contre son gré.

- Ce n'était pas méchant, je vous jure.

En enfilant sa jupe, Christine ne fait pas attention qu'une bretelle du débardeur a glissé de ses épaules. Alors qu'il se relève, un des gars remarque qu'un sein est exposé.

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Willem s'en rend compte et ne dit rien. Il est persuadé que les deux gars, en passant à côté d'elle, vont en profiter pour la peloter. Pourtant, au lieu de cela, le premier signale l'incident à la jeune fille :

- Votre débardeur, mademoiselle.

Et le second, avant qu'elle ne réagisse, attrape la bretelle et rajuste le décolleté. Willem est abasourdi. En rigolant, il dit :

- Ma chérie, les gentlemen sont tellement rares de nos jours que je crois que tu peux payer un verre à ceux-ci.

Aussitôt, les gars sautent sur cette opportunité :

- Super, il y a un bar juste à côté. Mais c'est nous qui invitons.

- Ok, dit Willem. Je passe en caisse, je ramène les courses à la voiture et je vous retrouve au bar.