Chapitre 8 :le plan

Write by Boboobg

(désolé mes chéries, c'est la quatrième fois que j'écris ce même chapitre. Faut croire que mon téléphone ou l'application ne voulait pas que vous le lisiez ! Ne Soyez pas fâcher ho) 



... Deux mois plus tard...

... Tracy.... 

Nous sommes pratiquement en dehors de la ville, devant un grand immeuble en construction. Ça fait des semaines que je cherche ce que j'ai devant les yeux. 

Ray : alors on y va ? 

Je ne sais pas. Je ne suis plus autant sûr de moi qu'il y'a quelques minutes. 

Depuis qu'elle m'a frappé, Lovely garde sa place et ne fait plus attention à moi. Avec papa en voyage, je vais et fais tout ce que je veux quand je le veux. Mais j'ai dû raconter à Ray, qui s'est mis en tête de m'aider à me venger d'elle. 

Dans une de nos discussions, j'ai sorti le fait qu'elle ne soit pas aussi parfaite que ça vu qu'elle a eu un enfant hors mariage. Alors avec Ray on a mené des enquêtes. On a fouillé dans son passé, en donnant de l'argent et posant des questions. 

J'y ai découvert, une histoire assez vraisemblable. Comme quoi madame était tombé enceinte et à accuser un homme qui l'avait quitté cinq ans plutôt d'en être le père. La mère de celui ci a fait un scandale et jurer de la détruire si elle revenait une fois encore chez elle. 

J'ai compris pourquoi, Mimi a toujours refusé de me parler de cette histoire. C'est là que j'ai commencé à me poser des questions sur le géniteur de Hope. 

J'ai alors réuni toute les informations que j'avais et ai mis Mireille sur le fait accompli. Elle était obligé de me dire tout ce qu'elle savait sur ce Jonathan. 

C'était l'amoureux de sa sœur, le grand amour ! Elle a dit qu'ils etaient toujours ensemble après son installation en France car le gars revenait toujours de temps en temps. Puis un jour, il n'est plus revenu et Love attendait déjà Hope. 

Je l'ai découvert il y'a un mois de cela. Et j'ai décidé de ranger l'affaire. De toutes les façons, Love ne m'embetait plus comme avant et j'étais de nouveau libre de mes faits et gestes. 

Mais c'était sans compter sur Ray, qui s'est mis en tête de lui faire payé la bastonade qu'elle m'avait donnée. C'est comme ça qu'avec ses potes pas claire, il a fini par retrouver la trace de cet homme. 

Il se trouve que le monsieur, vient tous les vendredi soir devant l'hôpital de talanguai, regarder Lovely quand elle fini sont travaille. Il l'a regarde prendre sa voiture et puis il s'en va. On dirait qu'il est toujours amoureux de la folle qu'il a abondonné. 

-Heee poupée je te parle ! 

-je crois que ce n'est pas une bonne idée. Laissons les choses comme ça, qui te dis qu'il ne sait pas hein ? 

-(souriant) t'a peur c'est ça ? Je pensais que tu étais avec moi sur ce coup. Cette femme t'a frappé et t'a fait chier pendant longtemps. C'est la méchante belle mère et tu as l'occasion de lui rendre la pareille. 

-c'est pas aussi facile tu sais. Elle n'est pas vraiment méchante, c'est juste que... 

-donc elle t'a eu toi aussi ? Ce n'est pas toi qui crillait ici que tu ne l'a laissera pas prendre la place de ta mère ? Elle a déjà son mari, son fils, sa maisons et tu veux aussi lui donner sa place dans ton cœur ? (démarrant) ta mère doit se retourner dans son cercueil.  

-(décidé) arrête, on y va ! 

-(souriant) je savais que ma go est une dure à cuir ! 

Il reprend sa place au parking et nous descendons. C'est un énorme chantier, une succession de plusieurs immeubles. Ce mec doit gagner autant d'argents. Les ouvriers qu'on rencontrent, lèvent de temps en temps les yeux sur nous, sans doute surpris par notre présence en ce lieu. 

-bonjour, puis je vous aidez?

On se retourne sur un homme je dirai d'âge mûr. Ce foit être le contremaître. 

Ray : bonjour, nous cherchons votre entrepreneur ou ingénieur, (mentant) je ne sais plus trop mon oncle fait tellement beaucoup de choses en même temps ! 

Lui : et comment s'appelle t'il ? 

Ray : Jonathan, Jonathan Ngakosso ! 

Lui : haaa l'ingénieur. Vous savez vous pouvez être fière de lui, c'est un homme très travailleur et bon. Il est dans le sixième bâtiment, je vais envoyer le chercher ce n'est pas prudent pour vous d'y aller. Son neveu vous avez dit ? 

Ray : oui oui ! Merci monsieur ! 

Il s'en va en nous laissant au milieu de ses ouvriers qui parlent en kituba, une langue que je n'ai pas eu la chance d'apprendre. Ils doivent être en train de bien nous laver ces vaux rient là ! 

Trente minutes passent et toujours rien. Ce monsieur se fait désirer ou quoi ! Tsuippppp et dire que je n'ai même pas envie d'être là. 

Je ne comprends pas pourquoi Ray tient autant à faire souffrir ma belle mère. Mais il a raison sur un point, elle vis la vie de ma mère et seulement à cause de ça, elle mérite ce que je lui fesais souffrir et ce qui viendra. 

Un monsieur, trop beau s'approche de nous. Il porte une chemise bleu replier sur les manche, un jeans noir et des bottes avec sur la tête un chapeau de cowboy. Je l'ai toujours vu de loin et dans sa voiture, ce qui fait que je n'avais pas encore pu bien le regarder. Bon sang, Lovely n'attire que de bel homme hein ! 

Même avec du ciment sur les vêtements, cet homme respire la fraîcheur et la luxure des âmes bien nées. 

Arrivé devant nous, il enleve le chapeau, me laissant ainsi le détaillé plus clairement. Le teint, les yeux, les lèvres, le nez ! Si j'avais des doutes, ils viennent tous de disparaître. 

Lui : bonjour, mon neveu ? C'est bizarre, aucun de mes frères n'a un fils ou encore ma sœur. Et même s'ils en avaient, je crois que je serais au courant n'es pas ? Alors et si vous me disiez qui vous êtes ? 

Ray : heu désolé mais il fallait qu'on attire votre attention. Ma petite amie, Tracy a quelque chose d'important à vous faire savoir. 


Le monsieur pose ses yeux sur moi et c'est elle que j'ai l'impression de regarder. Il n'y a pas l'ombre d'un doute. 

Lui : mademoiselle j'attends, je ne veux pas vous pressez mais comme vous le constatez, j'ai beaucoup de travail qui m'attend ! 

Merde ! Je ne veux pas être là. Si Lovely n'a jamais rien dit ce doit être pour une raison. Pourquoi je devrais détruire tout ce qu'elle a bati à cause d'un caprice. Non, je n'ai pas à faire ça ! 

- heu excusez monsieur de vous avoir déranger, il...il y'a erreur sur la personne. Ce n'est pas vous que nous recherchons ! Pardon pour le dérangement ! 

Je prend presque mes jambes à mon cou jusqu'à la voiture. Ray est derrière moi et il n'a pas l'air content du tout. 

-mais qu'est ce que tu viens de faire comme ça ? 

- je viens de m'empêcher de faire une grosse bêtise. 

-(criant presque) mais c'est la vengeance parfaite Tracy ! 

-je ne veux plus me venger. C'est puéril ! 

-quoi ? Après deux mois de recherche, c'est arrivé au bout du tunnel que tu abondonne ? As tu pensé à ta mère ? 

-oui mais je penses aussi à mon père. Hope c'est sa fille et si moi je fais çà, il risque de ne plus m'aimer. Hope est aussi ma sœur et je l'aime. Même si cet homme n'est pas son père, cela causera quand même du tort à Hope, papa et José, pas seulement à Lovely. Cette histoire doit rester cacher comme elle l'ai. 

-pffff c'est comme tu veux ! 

-merci ! 

Il démarre. Je suis assez fière de moi. J'ai pu arrêter à temps. Et j'ai comme l'impression que Ray a quand même une mauvaise influence sur moi. Et si Lovely avait raison ? 


....Alphonse... 

Je suis au Nigeria depuis une semaine déjà, j'ai promis à Lovely de passer plus de temps à la maison mais c'était sans compter les imprévus. Je compte tout faire pour vivre avec elle cette grossesse, je suis tellement heureux car je serai bientôt de nouveau papa. 

J'espère que c'est un garçon parceque les filles, j'en ai deja assez donné. Avec Tracy qui ne s'entend pas avec Love, Hope qui ne veut jamais entendre un "non" et par dessus tout Lovely qui pète un câble pour un rien. Que voulez vous j'ai des femmes formidable dans ma vie. José quand a lui est calme comme une charme et toujours au petit soins de sa maman. Il l'adore. 

Quand Lovely a fait sa crise il y'a un mois, j'ai d'abord peur pour lui car il ne connaît qu'elle colle mère. Et quand elle a menacé de le prendre avec elle, je n'ai fait que confirmer une fois de plus que Love est la femme de ma vie. Je ne trpiverai jamais mieux ! Je ne cesserai de remercier le ciel de m'avoir donnée cette indisgestion ce jour là. 

Je me prépare pour ma soirée. J'ai un dîner professionnel avec un de mes partenaires et ami. Nous comptons nous mettre dans ce nouveau secteur qui s'ouvre en Afrique, celui de la création d'automobiles made in Africa ! 


.... Ray Malonga.... 

Je la regarde et une envie de lui serrer son cou moelleux me prend. Çela fait des jours que je n'ai pas tuer une seule petite souris et le manque commence à se faire ressentir. 

Petit, je ne comprenais pas pourquoi j'avais toujours autant envie de faire du mal. Quand je mordais un de mes cousins et surtout les cousines, je ressentais un plaisir inouï ! C'est ainsi que j'ai commencé à m'en prendre aux animaux et petites bêtes. Je les pendais, les noyais ou les etouffais dans un sac. 

Et puis j'ai commencé à faire mieux. J'attendais dans un coin de rue les petites filles dans le noir pour les frapper et puis à mon adolescence les violés ! Jusqu'au jour où j'en ai tuer une et pas de bol je me suis fait attraper. Mon père a dû me faire fuir au Gabon pour ne pas que la population me fasse subie un lynchage. Là bas, j'ai été suivi par un psychologue, c'est lui qui m'a appris que je suis sociopathe. Je l'ai aussi tué pour ne pas que mes parents soient au courant et puis je suis revenu avec un rapport disant que je suis sains d'esprit et que c'était juste un accident. 

Personnellement, je ne me considere pas comme un malade mais comme un chasseur. Le meilleur ! 

J'ai donc appris à mes risques et périls, qu'il ne faut jamais au grand jamais laisser mes pulsions meurtrières prendre le dessus. Il me faut du temps pour amener mon plan à bien. 

La bonne technique du chasseur. Je repère ma proie, la manipule jusqu'à la façonner complètement, l'isole pour mieux m'en accaparer et ensuite, je la tue d'une quelconque façon. Cela dépend de mon imagination du jour. Les deux dernières fois ou j'ai utilisé cette pratique, il m'a fallu une année pour amener ma victime ou je la voulais. Mais cette fois ci, ça a été tellement facile mais là pas possible. 

Tracy est une fille assez facile à manipuler. Et son désir de blesser sa belle sœur n'a fait que m'aider à l'isoler petit à petit de sa famille. 

Mais là, j'ai l'impression qu'elle se pose trop de questions. Il faut que je gère la chose moi même. 

Après l'avoir raccompagné devant son école, j'ai repris la route. 

Le contremaître vient à ma rencontre, probablement surpris de me revoir aussitôt. 

-(souriant) excusez moi encore une fois mais ma sœur a oublier de donner cette enveloppe à notre oncle. Pouvez vous le lui passer s'il vous plaît, cnest vraiment très important. 

-heu d'accord. 

Je reste dans la voiture quelques minutes, le temps de le voir prendre la route d'où était sortie l'autre il y'a quelques heures. 

Je sais que vous ne méritez pas ce qui va vous arriver mais c'est un mal pour un bien. Mon bien ! 


... Deux jours... 

... Jonathan.... 

Je rentre de chez mes parents. Une soirez retrouvaille comme maman les aimes. Je dois rejoindre Manon à Londres pour quelques jours sinon elle risque de débarquer ici avec ces valises. 

Noël est dans pas longtemps donc je vais en profiter pour lui faire comprendre de façon subtile que nous devons divorcés. J'en ai assez de jouer la comédie et que maman insiste sur le fait que je dois la garder. 

Je ne veux plus coucher de gauche à droite, je veux une femme que je vais au moins respecter. Je vais avoir trente deux ans, il est temps que je forme une vraie famille. 

C'est au moment de descendre que je remarque l'enveloppe kaki que m'a donner mon contremaître il y'a quelques jours. 

C'est deux jeunes m'ont parus bizarre. La fille avait l'air désolé mais le garçon, son regard me paraissait vide. Peut être que la raison de leur visite se trouve dans cette enveloppe. Ou ce sont juste des jeunes en quête de sensations fortes,di genre faire peur à un monsieur quelconque juste pour le plaisir. 

Je prend l'enveloppe avec moi. L'ascenseur ne marchant pas, j'irai dû prendre les escaliers. Hum tête dire que je ne voulais faire du sport que demain matin comme chaque samedi, voilà que je viens de perdre au moins la moitié de ce que maman m'a forcé à ingurgiter ce soir. 

Je file direct dans ma chambre. Sami est rentré chez ses parents depuis une semaine, je suis tout seul maintenant. Donc je me déshabille au salon et ramène avec moi les vêtements dans la chambre. Je me vide les intestins avant de prendre une douche et de mettre un slip. 

Je me met sur le lit et entreprend d'ouvrir l'enveloppe. Il y'a deux feuilles la deux dans. Non non, il y'a un papier et une carte photo. Mais qu'est ce que ça veut dire ? Je tourne la photo qui était à l'envers pour mieux la regarder. (surpris) C'est quoi ce délire ? 







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