Chapitre 8 : sa victoire
Write by Les stories d'une K-mer
Nota : Scènes
explicites
**Anaïs**
Moi (le
téléphone à l’oreille) : Non bébé,
c’est la semaine prochaine
Gary :
Tu viendras ce week-end alors ?
Moi : je
te demande souvent avant de passer ?
Gary :
mouff hein, (petite voix) c’est que j’ai envie du Mbongo
Moi : eh
ahh ! fallait commencer par là.
Gary :
clic
J’ai regardé
mon écran et le bon monsieur avait raccroché
[Téléphone
qui vibre]
Moi
(rigolant) : l’enfant ci n’est pas seul dans sa tête (décrochant) Oui Mr
N-Komo
Gary :
J’ai une folle envie du Mbongo
Moi (éclatant
de rire)
Gary (l’air
de rien) : tu voulais que je commence par là non ?
Moi (plié de
rire) : Il y a au moins trois personnes dans ton cerveau là
Gary :
rire, euhh, bébé je dois y aller, on se parler plus tard ok ?
Moi :
ok ! bisous
Gary :
Bisous bé ; Clic.
Je suis
restée à rire encore quelques seconde avant de me décider à manger (rire). Avec
le beau temps qu’il fait, j’aime bien être dehors. Et aujourd’hui je me fais un
pique-nique solitaire dans un parc pas loin de la cité. C’est aussi l’occasion
pour moi de penser, de m’évader un peu.
Depuis la
dernière fois, ça a évolué entre Gary et moi, on s’est davantage rapproché
(rire), on ne l’a toujours pas fait, mais (rire) à l’allure où vont les choses
ça ne va pas durer. (Rire).
Sur le coup
de mon annonce il a été surpris, et choquée en même temps. Ça lui a même valu
son érection (rire). Le gar s’est rendormi d’un coup. Il m’a bombardé de
questions : Pourquoi tu ne m’as pas dit plus tôt ? Qu’est ce qui t’a
piqué ces soir ? pourquoi ci ? pour quoi ça ? (Soufflant) j’ai
pleuré un bon coup avant de lui faire part de mes doutes, mes attentes, et mes peurs,
en matière de sexe (rire), il a Wanda grave ! (il était très surpris).
Contre toute attente il a éclaté de rire (rire). Et i m’a balancé un truc du
genre « vous les filles vous vous faites trop de films autour du sexe,
pourtant ce n’est rien d’extraordinaire, oui il y a le goût, mais après, ça
reste normal ». Je l’ai regardé comme un sorcier. Ça reste normal ?
Normal ?
La manière
avec laquelle mes copines du lycée racontaient leurs exploits, c’est ça qui est
normal ? Une fille m’a parlé de la jouissance, je vous assure, que je rêvais
debout, elle me décrivait son ressenti interne, externe (pause), c’est ça-là
qui est normal ? (Rire) lui il se fou de moi. (Rire). Ce sur quoi il n’a
pas tort c’est que chacune a son expérience avec tout ça. Bref pour faire
court, Gary et moi, ne parlons plus que de ça, à chaque fois. Il m’instruit, et
je m’instruis aussi (rire)
Ce qu’il
ignore c’est que j’ai pris de temps de lire (rire), je suis « jeanne
école », donc tout pour moi se résume à ça (rire). La petite démonstration
que je lui ai faite la dernière fois était inspirée d’un livre, « récits
coquins des plaisirs défendus », c’est ça le titre (rire). J’en ai toute
une collection (rire). C’est de là que
je tire mes inspirations, shut ! c’est mon petit secret (rire). J’ai
appris pas mal de choses au travers de mes lectures : comment faire des
fellations, comment pousser des gémissements, comment toucher son partenaire,
comment parler avec son corps, tout, tout, juste que là je n’ai pas encore eu
de travaux pratiques, mais ça ne saurait tarder.
Mes moments
avec Gary sont devenus trop intenses (rire), il m’apprend à me découvrir, à le
découvrir et vis vers ça. Bien qu’il se connaisse mieux que je me connaisse. Là
(timide), j’ai réussi à le laisser introduire son doigt, nous ne sommes qu’à un
doigt (rire). Il m’a dit que le cap des deux doigts signifiera que je suis
prête (rire). Le souci c’est que j’ai peur, oh MY GOSH ! Je n’arrive pas à
me faire à l’idée que son (raclant ma gorge) que ce que j’ai vu là va entrer
dans moi. Je mouille comme je peux, mais il trouve cela insuffisant, et moi, je
ne veux pas utiliser vos choses de lubrification là, bref ! Ce week-end
encore on va essayer (rire), comme tous les week-ends du mois précédent (rire),
espérons que ce sera le bon.
J’ai fini de
manger et j’ai texté Astrid, elle s’est faite rare ces derniers jours.
Astrid (par message) :
Dure semaine la go, je suis en entreprise
Moi : Ah
ok ! donc la semaine prochaine alors ?
Astrid :
oui oui ! Il y a même les news !
Moi :
affaire moi miss
Astrid :
soit patiente (rire), C’est du lourd !
Moi :
rhooo Siaka, ne me fait pas languir s’il te plait
Astrid :
tu sais que j’aime ça (emoji de la langue tiré)
Moi :
beaucoup d’émoji des pleurs
Astrid :
Rhoo bébé ne pleure pas
Moi :
Tsuip ! Bye
Astrid :
ça va alors, je te dis un seulement
Moi :
emoji de l’oreille
Astrid :
je suis en couple avec Adrien
Moi :
emoji des yeux ouverts. Quand ? comment ?
Astrid :
je te raconte quand on se voit. Ou bien si bae ne t’occupe pas trop ce week-end
appelle moi !
Moi :
Conte sur moi
J’ai rangé
mes effets, en direction de chez moi. Sur la route je riais seule (rire),
Adrien Bassong ? Aiie les gars sont rapides ici , aie. J’ai direct texté
Gary, mon partenaire en affaitage
Gary (par
message) : il m’a dit ça lui aussi (rire)
Moi : ah
ça, donc je suis la dernière sur la liste heum
Gary (l’air
occupé) : on en reparle taleur. Bisous
**Gary**
En rentrant
aujourd’hui je suis passé faire les courses châteaux rouge. Quand Anaïs est là,
je ne manque que Camerounais. Tout ce qui est pizza et autre là, hum ça attend.
Ce week-end j’inviterai probablement Adrien à la maison, (rire), le gars a joué
en bon 9 sur la petite Astrid (rire). Même pas trois mois, et il m’annonce
qu’il a validé le dossier (rire). Les gars rapides (rire).
J’ai rangé
les courses, pris ma douche, mangé les fruits avant d’appeler ma femme (rire),
la ligne était occupée. J’ai attendu qu’elle finisse, et me rappelle. J’étais
posé au calme devant le foot quand le téléphone a sonné
Moi (portant
e téléphone à l’oreille) : C’était qui ?
Anais :
ékiéé. Bonsoir d’abord
Moi :
bonsoir, c’était qui ?
Anaïs :
Maman (soufflant)
Moi
(m’ajustant) : c’est quoi cette fois ?
Anaïs :
je n’ai pas trop voulu savoir, quand elle a pris sa voix que tu connais là j’ai
dit que vais rappeler le week-end. (Énervée) ça c’est surement pour me dire
qu’il y a tel ou tel truc, qu’il faut que je contribue, machin truc. Les
foutaises. Comme ci je ramassais l’argent là, pffff. Tout ça sous prétexte que
je n’ai pas de charge, n’importe quoi, vivement que je finisse avec l’école ci !
Moi :
Assia. Tu sais que ma proposition tient toujours non ? (Pause) ça tient
toujours Anaïs
Moi : je
ne veux pas être une charge Gary, j’arrive déjà à me gérer, et les quelques
problèmes que j’ai avec mon salaire d’alternant, ça me va. Du moins pour
l’instant, je ne veux pas déranger les gens
Moi
(frustré) : gens-là c’est qui ? C’est moi ?
Anaïs
(soufflant) :
Moi (sérieux) :
Je t’ai dit dès le départ ce que je voulais, et ci vouloir du sérieux pour toi
n’implique pas t’aider à porter tes charges, à ton avis ce serait quoi ?
Anaïs :
tu l’as dit m’aider à porter mes charges, et non pas que je t’abandonne tout. Si
j’ai de quoi participer oui, pas que je te laisse tout gérer.
Moi : Et
si je t’épouse
Anais :
Moi : ne
joue pas l’offusquée
Anais :
Dans ce cas ce serait différent !
Moi : Et
pourquoi ?
Anais :
bah parce qu’on serait marié, et là j’aurais le temps de compenser le sacrifice
que tu feras. Mais là (pause), mais si ce n’est pas le cas, si ça ne marche pas
comme on veut, tu pense vraiment que je peux accepter cette charge
mentale ?
Moi :
arrête un peu Anais ! Arrête un peu ! Si je te propose de plein gré,
c’est qu’il n’y a aucune charge mentale comme tu le dis
Anais :
Nous sommes
restés un long moment à s’entendre respirer. Oui je sais qu’elle est du genre
indépendant, mais (pause), mais en tant qu’homme j’attends qu’elle lâche un peu
prise et me laisse exercé mon autorité financière sur elle. Non, madame est
bien trop orgueilleuse pour ça, soi-disant que nous ne sommes pas mariés. Tout
ça ce sont les formalités, elle le sait. Bref !
Moi
(soufflant) : écoute je vais aller au lit là, tu arrive demain à quelle
heure ?
Anais :
dans l’aprèm, vers 17heures
Moi :
ok, à demain, bisous.
Anais :
uhm. Clic.
**Anais**
J’ai posé mon
téléphone avec un grand soupire, je déteste quand nos conversations finissent
comme ça, (sortant du lit). Je suis aller me prendre un verre d’eau, puis faire
mon sac, du moins prendre quelques affaires, vu que j’en ai d’autres chez lui.
Et je me suis mise sous les draps.
Avec Gary on
se prend la tête c’est vrai, mais pas tout le temps. Rare sont les fois où ça
vole en cris entre nous. Et quand on se
fait la guelle ce n’est pas pour bien longtemps (sourire), surtout pas cette
fois. Parce que j’ai vraiment prévu de franchir le cap, je vais serrer mon
cœur, les deux doigts là vont entrer (rire). Il ignore totalement ce que je lui
réserve ce week-end. Il n’a qu’à bien bouder (rire), on m’a dit que le sexe des
réconciliations est très chic (rire), je vais aussi voir.
Vendredi je
suis allée en cours avec mon sac, et j’ai filé à la gare tout de suite près.
Ila déjà fait les courses (sourire). J’ai posé mes affaires, en faisant le tour
de l’appart, je ne sais pas trop ce que je cherchais (rire). Je me suis reposé
quelques minutes et à 18heures j’étais dans les marmites pour faire le Mbongo
de mon bébé (sourire), bien pimenté comme il aime.
J’ai fini
vers 19h30, en posant les couverts, il est entré quelques minutes après, me
trouver sur le fauteuil, en petite culote, et un haut grillage.
Gary (passant
la porte) : Wow (fermant) Et si j’étais avec quelqu’un ?
Moi (l’air de
rire) : Tu m’aurais prévenu pour que je pose les couverts pour trois
(rire)
Gary
(rire) : petite folle, je n’ai pas droit à un bisou ?
Moi (entrant
à al cuisine) ; Je n’embrasse pas les gens qui se fâche
Je suis allée
remplir les soupières pour finir mon service. (Rire) il doit être bien remonté.
Il déteste ça et je sais (rire). Il est surement allé se changer.
Gary (entrant
à la cuisine) : Si je dis maintenant que je ne mange plus ?
Moi (posant
ce que j’avais en main) : Ah je débarrasse nor (le fixant) tu ne manges
plus ?
Gary
(s’approchant) : Tu es devenue impolie hein Kouma, tu es devenue très
impolie
Moi (jouant
avec mes lèvre) : Après moi le respect
Gary (me
fixant) : et ça t’amuse en plus ? hum
Je me suis
approché de lui en posant ma poitrine sur son torse, de mon index, je faisais
des allés et retour le long de son bras. J’ai fini par introduire mon doigt
dans sa bouche. Il est resté figé un bon moment. Avant de faire sortir ma main
d’un geste un peu brutal, avant d’essayer de sortir de la cuisine
Moi :
oww !! j’aime ça !
Gary (se
retournant) : Anaïs, je te jure tu es folle
Moi
(caressant ma poitrine) : de toi oui
Il est parti,
et moi, bah j’ai continué mon service. J’ai posé les soupières sur la table, où
il m’attendait déjà. Au menu ; Mbongo tchobi, poisson bar, accompagné de
banane plantain. En dessert kiwi, fraises et chocolat (sourire) vous
comprendrez pourquoi. J’ai pris la peine
de le servir, en exhibant mes atouts devant ses yeux, je le voyais jouer à
l’indifférent, mais lui et moi on sait que ce n’est pas le cas.
J’ai pris une
bouchée de mon plat, avant de m’excuser. Je suis sortie de table, pour me
rentre dans la chambre où j’ai rapidement enfilé une lingérie sexy, dentelle rouge
, puis je l’ai rejoint au salon.
Gary (posant
sa fouchette) : Anais ?
Moi (debout
devant lui) : Oui bébé
Gary (fixant
ma poitrine) :
Il est sorti
tout doucement de table, m’a laissé poireauter là, et s’est dirigé vers la
cuisine, visiblement pour laver ses mains, vu le bruit de la pompe. Il m’a
rejoint et les festivités ont commencé
Gary (me
regardant) : tu sais que j’avais faim ?
Moi
(m’approchant de lui) : Moi aussi, mais je ne supporte plus de te voir
sans t’avoir (rire)
C’est une
réplique volée à l’un de mes livres. Comme la mise en scène d’ailleurs. Plus
ils sont furieux, mieux ils se lâchent, (rire).Il m’a regardé un instant, puis
a commencé à m’embrasser très tendrement
Moi
(murmurant à l’oreille) : Je veux le faire bébé, ce soir
Gary (tenant
mon visage entre ses mains) : On va essayer
Moi (soutenant
son regard) : je veux plus qu’essayer, dit moi quoi faire
Gary (me
soulevant comme une feuille) : Laisse-toi guider (m’embrassant) J’adore ce
que tu mets
**Gary**
C’est sur le
fauteuil que je l’ai posé, en prenant la peine d’arrêter la télé. Couché sur le
dos, elle a légèrement plié les genoux, me donnant accès à son entre jambes. Je
n’étais pressé d’y aller, donc je me suis collé à elle, en gardant une de mes
mains sur le fauteuil, question de l’alléger un peu de mes 90kg. Nous nous
sommes embrassés, encore et encore, faisant des acrobaties avec nos lèvres et
langues, ses mains se baladaient sur moi, et ma main libre explorait chacune de
ses courbes.
Je me suis
légèrement mis sur le côté, l’obligeant ainsi à faire pareil. J’ai ramené une
de ses jambes sur moi, l’autre est restée tendue. D’un mouvement lent et doux,
je lui ai hôter ses bretelles, puis ses dessous. En revenant avec ma main, j’ai
fait un tour vite fait sur son minou, toujours en l’embrassant
Anais
(s’arrêtant) :
Moi : ça
va aller bébé
Toujours en
douceur, on a continué à s’embrasser. Dans l’exploration de mon corps, elle a
passé un coup de langue sur mon oreille, de quoi me voler un grognement. C’est
l’un de mes points critiques et elle le sait. Elle a continué en faisant de
petits tours avec sa langue, autour de mon oreille, de quoi réveiller davantage
ma vivacité. J’ai senti mon excitation
monter, encore et encore, plus elle le faisait, plus mes gestes devenaient
vifs, pleins de force. Je l’ai embrassé
un bon coup, avec fourgue, comme pour lui dire qu’on allait commencer.
J’ai fait
descendre ma main jusqu’à son ouverture. Avec mon pouce, je caressais
« son clito », ou « clito refait » je ne sais plus. De sa
main, elle me masturbait, en essayant de rapprocher au mieux mon engin de son
entrée. D’un mouvement de recul, je me suis libéré d’elle, en allant me poser
face à son entrée.
Elle s’est cambrée,
me donnait ainsi accès facile, j’ai saisi ses jambes d’une main forte, en
plongeant mon visage dans son intimité. Ma langue seule faisait le travail.
Elle appuyait avec insistance sur ma tête, et poussait des petits gémissements
qui me galvanisaient, encore et encore.
D’un
mouvement lent, j’ai lâché l’une de ses jambes, en allant chercher ses seins,
les presser correctement, avant de faire descendre ma main. Et quand elle s’y
attendait le moins, j’ai introduit non pas un mais deux doigts d’un coup
Anaïs (se
cambrant) : ahn !
J’ai marqué
une pause, en la fixant sur le fauteuil de mon autre main. Puis j’ai commencé
des vas et vient avec mes doigts, en continuant de lubrifier de ma salive
Anaïs (haletant) :
Anh ! oui ! oui !
Je jouais
avec son clito, comme un enfant avec le sein de sa mère, je tirais dessus, au
point de faire des petits rebonds, Mpah ! Mpah ! c’est le bruit qui
resonnait dans la pièce. Je suis remonté
jusqu’à son visage, l’embrasser tendrement, et d’un mouvement de la main, je me
suis mis à nu. Nos deux corps étaient totalement en contact, aucun
intermédiaire, juste sa peau et a mienne.
J’ai
positionné mon engin sur son minou, en faisant des frottis, tout en l’embrassant.
Elle a croisé ses pieds sur mon dos, en appuyant de toute ses forces, je
gardais mes mains sur le fauteuil, pour éviter de l’écraser. Elle mouillait,
plus que d’habitude, et moi, j’étais au bout de mon excitation. Je me suis
redressé, et d’un mouvement rapide, j’ai humidifié mon gland avec la salive. Je
me suis assis sur mes jambes, bien rapproché de son entrée.
Moi
(haletant) : Tu m’arrêtes si tu as mal ok ?
Anaïs :
oui ! (Haletant)
J’ai pris mon
engin que j’ai placé sur ses lèvres vaginales. Sans pénétrer, j’ai fait des
tours, doux et vifs sur son sexe. Elle s’agitait, et l’expression de son visage
laissait paraître son impatience.
Anaïs
(attrapant ma main) : Vas y bébé, je n’en peux plus ahn !
Moi
(dégageant sa main) : Calme toi bébé
J’ai continué
ma manœuvre, ce qui l’excitait visiblement. (Rire), on dirait que ma go est
clitoridienne (sourire). Je suis remonté
pour l’embrasser, et quand elle s’y attendait le moins, je l’ai pénétré, d’un
coup
Anaïs (se
cambrant) : ahn !
Moi (la
saisissant avec mon poids) : eh ! (D’un ton dur) reste tranquille.
Avec des
petits mouvements de reins, je me suis bien installé, en poussant un peu plus
vers l’intérieur. Aïe !!! le goût ! c’était bien chaud là-dedans,
bien serré, et je sentais que je n’allais pas tarder à vernir. Alors, je me
suis arrêté, la fixant
Moi (entre
deux bisous) : Je t’aime bébé
Anaïs
(fermant les yeux) :
Moi (ton
dur) : Regarde-moi (ce qu’elle fait) Il n’y rien, ça va aller
d’accord ?
Anaïs (oui de
la tête) :
Moi (faisant
un premier vas et vient) : ça ira ok ? ce n’est rien
Anaïs (se
cambrant) : Anh ! d’accord bébé
De manière très
lente, vraiment très lente, j’ai fait des vas et vient, en poussant à chaque
fois mon engin un peu plus en profondeur. Jusqu’à ce que je sente ce truc, je
ne saurai comment l’expliquer. Une sensation pas du tout gênante, mais qui est
bien présente. En passant mes mains en dessous d’elle, j’ai attrapé ses fesses
de mes deux mains en les serrant bien contre moi. J’ai donné des coups un peu
plus vifs en poussant des grognements de plus en plus forts.
Moi
(respiration forte) : oh ! hmmm !
Anaïs
(respiration forte) : ahn ! ahn !
Un, deux,
trois, c’est l’arrivée de mon quaker qui m’a stoppé ; Je suis sorti d’elle
en douceur, et quelques secondes après j’ai éjaculé. Elle s’est redressée, et
on s’est embrassé, passionnément. Elle
s’est ensuite levée pour chercher de quoi nettoyer
Moi
(l’attrapant par le bras) : regardes
Anaïs (mettant
la main sur la bouche jouant la timide) :
Moi
(rigolant) : Tu vois que ce n’était pas ci mystérieux que ça
Anaïs (S’asseyant
sur mes jambes) : je veux encore
Moi
(surpris) : déjà ?
Elle a pris
un des vêtements qui trainait, en nettoyant mon sperme, et ses quelques gouttes
de sang que je venais de lui montrer. On s’est enlacé pendant un bon moment,
puis on s’est dirigé vers la douche, se faire couler un bain (rire). Je lui ai
donné son bain, et elle le mien. Si la salive était en stock limité je crois
qu’elle et moi serons en carence. On s’est endormi l’un dans les bras de
l’autre (soupirant d’aise) demain c’est un autre jour. Je viens de remporter
une victoire (rire).