Chapitre 9
Write by Sandy's Aby's
Elle (ironique) : Oups ! Bonjour ma belle-sœur tu vas bien ?
Moi (hystérique) : Mais tu es folle, comment tu as fait pour avoir le numéro de mon frère ?
Elle : Eh tu baisses d'un ton d'accord petite idiote.
Je ne suis pas ta petite sœur, ni ton égale.
Tu me passes mon chéri ou je pète avec toi.
Bonie : Que t'ai-je fais ?
C'est toi qui a fait souffrir mon frère, tu veux quoi encore ? l
e faire encore plus souffrir ?
Elle : Oh dégage tu sors d’où ?
C'est moi qui t'ai faite !
tu ne savais rien du tout, fille de riche sans intelligence !
Même laver ses sous-vêtements tchiup dès que c'est sale, tu prends tu jettes, comme les parents ont le gain. Et tu oses me parler ?
Steve (derrière moi, me prend le téléphone des mains) : Qui est ce ?
Moi (Baissant la tête et levant les yeux) : c’est Daysie.
Ya Steve(calmement) : Ne refais plus jamais ça !
Moi : Ok yaya.
Je retourne dans ma chambre le cœur gros, avec ce que vient de me raconter cette Daysie car elle n’a pas tord sur certains points.
Steve
Je porte le téléphone à mon oreille.
Moi : Daysie ?
Daysie : Oui mon nounours.
[Soupir]
Moi : Qu'est-ce que tu veux ?
Daysie (prenant un air sérieux) : J'ai besoin de te voir. J'ai peur de faire une gaffe.
Moi (plaintif) : Daysie ! je passe le bac cette année et je dois me concentrer car j'ai des examens la semaine qui arrive.
Elle (pleurnichant) : Steve je n'ai jamais eu autant besoin de toi.
Toi au moins tu vas encore à l'école, moi non.
Moi : Tu veux que j'en parle avec les parents pour qu'il t'aide financièrement.
Elle (catégorique) : Non ! Steve je n'ai pas besoin d'argent, j'ai besoin de toi snif, Steve je n'en peut plus.
Elle termine sa phrase et fond en pleurs.
Je ne supporte pas voir une demoiselle pleurer pour quoi que ce soit.
Moi (essuyant mon visage avec ma main, dépassé) : Calme-toi j'arrive.
Elle (excitée) : Merci mon amour.
Tu peux être là dans combien de temps ?
Moi (grattant sa tête) : Donne-moi trente minutes.
Daysie : Ok boo.
Je raccroche je ne réalise pas encore dans quoi je m'embarque.
Je me sens emprisonné, entre deux feux.
À chaque fois qu'elle m'appelle, elle réveille quelque chose en moi et je n'ai pas envie de faire une bêtise.
Jonathan qui rentre à peine le ballon, de basket en main.
Lui : Bonsoir yaya ! Tu vas bien ?
Moi : Je croix que ça ira.[laissant tomber]
Daysie a refait surface !
Lui (les yeux grands ouverts) : Mais pourquoi faire ?
Moi : Elle a besoin d'aide sa mère est sur le point de mourir.
Lui (posant le ballon sur le sol) : Je suis désolé pour elle mais yaya tu n'as rien à voir avec ça !
Moi ( déterminée) : Je vais régler ça.
Je me dirige vers ma chambre, me change et ressors sous son regard intérrogateur.
Daysie
Je range tout le désordre de la veille car après mon client d'hier, je suis rentré épuisée et j'ai tout laissé par terre.
Je prends un bain rapide et j'enfile une robe noire, courte de préférence, avec zip que je descends un peu pour une vue parfaite.
Avec en dessous, mes bas.
Je réchauffe le reste de pizza que J’ai acheté hier et je la pose directement sur un plat dans le petit salon je prends une tranche sur les deux restantes.
J'allume les bougies, me parfume à l'hypnotique poison avant de m'affaler sur le fauteuil.
Quelques minutes plus tard.
On cogne à la porte, ça ne peut être que Steve. Je me lève et ouvre la porte, je trouve un Steve mécontent qui fonce les sourcils, je croix qu'il se doute un peu de ce que je lui prépare.
Je m'efface Pour le laisser rentrer.
Il hésite mais fini par rentrer.
Moi (sans me retourner) : Salut ! Ferme la porte derrière toi !
Il referme la porte malgré lui. Je prends place sur l'un des fauteuils et je l'invite à en faire autant.
Il prend place en face de moi.
Steve (soudainement) : Pourquoi Daysie ?
Moi : Quoi ?
Lui (joignant ses mains) : Pourquoi tu m'as trompé et en plus avec mon meilleur ami ?
Je le regarde et je remarque qu'il évite mon regard, il a les yeux baissés. Je me rapproche de lui, je pose délicatement mes lèvres sur les siennes, mais pas de réaction de sa part.
Je me résigne et reprends place en face.
Moi (les larmes près à couler) : je t'ai aimé et je t'aime toujours Bébé ... tu as toujours su que ma place n'a jamais été à l’église, je m’y rendais juste pour te faire plaisir.
Tu m'as trouvé dans le monde, comme vous dites et tu as voulu par tous les moyens me convertir sniff sauf…[ là, je ne peux m'empêcher de faire couler les larmes] que tu n'es pas le Saint-Esprit, Bébé.
Tu m'as sérieusement privé de toi, tu n'as jamais voulu me faire l'amour putain !
Je suis une meuf bon sang ! pas une poupée gonflable.
Lui : Ok J’ai compris. Maintenant que tout est clair qu’attends-tu de moi ?
Moi (illustrant avec des gestes) : Je veux que tu me prennes là maintenant et que tu oublies ce putain de passé [me levant en essuyant nerveusement mes larmes].
Lui (prenant sa tête entre ses deux main) : Tu sais très bien que C’est un péché.
Moi : Eh bien, je m'en fiche ! Je suis déjà dans la merde de toute façon.
Lui (soupirant en laissant tomber) : J’ai des sentiments pour quelqu'une d'autre.
Je ressens comme un poignard en plein cœur.
Moi : Quoi !! snif [essayant de reprendre mes esprits] écouté bébé, peu importe, d'accord ?
Il suffit de lui dire que tu as fait une erreur et c’est tout ! Ça arrive !
Lui (un rictus sur les lèvres) : Ah ah ! Tu es extraordinaire !
Moi (calmement) C’est qui cette fille et que fait-elle dans la vie ?
Lui : Elle est au lycée d'Oloumi et elle passe l’examen cette année.
Moi : Dans le même lycée que toi ?
Lui : je suis au lycée Mba par contre.
Moi : Ok. Donc pour cette pétasse tu es prêt à me zapper ?
Lui (calmement) : Elle s'appelle Medelva et ce n'est pas une pétasse !
Moi : Ok, j'ai compris je vais me résigner. Promets-moi que tu vas rester mon ami et que tu seras là quand j'aurai besoin de toi juste pour cette période difficile ?
Lui (Hésitant) : Euh… Ok. [Se tenant debout]
Il faut que j'y ailles.
Moi : s'il te plaît partage au moins le repas avec moi avant de partir je n’ai pas envie de manger seule.
Il reprend sa place ce qui veux dire qu'il accepte rester manger.
C’est très bon signe.
Je me dirige dans la cuisine, je jette un œil pour me rassurer qu'il est toujours assit, j’ouvre l'un des placards et je prends un flacon que je cache soigneusement.
Je l'ouvre délicatement, je renverse un peu dans l'assiette ou il va manger.
Je lui sers le concombre avec du poisson fumé et de la banane mûre.
Je mélange de sorte à faire disparaître la poudre blanche que j’ai versée.
Je prends une autre assiette et je mets du manioc et un peu de concombre.
Je soulève les deux assiettes avec les couverts et je vais le rejoindre au salon.
Je pose le plat où se trouve la banane, devant lui.
Lui : j'aurai bien voulu du manioc.
Moi : euh il n'y en avait plus et je ne mange que ça !
Lui : Tu as changé, ce n’est plus le riz ?
Moi : C’est du passé doudou. Attend...
Je m’accroupi devant lui, prend sa fourchette que je pique sur un morceau de banane que j'ai au préalable découpé, je tourne dans la sauce et le porte à sa bouche.
Il m'arrache délicatement la fourchette des mains et met le tout dans sa bouche et commence à manger.
Je me lève rejoint ma place et on mange dans le silence.
Moi (brisant la glace) : Bébé, croix tu que nous puissions redevenir un couple un jour ?
Lui (après plusieurs bouchées) : impossible !
Après quelques minutes je le vois transpirer à grosses gouttes.
Lui (Troublé) : je ne me sens pas très bien.
Moi (me levant de mon siège en posant mon plat) : Vient t’allonger par ici.
Il résiste un peu lorsqu' il comprend que je l’emmène dans ma chambre.
Il finit par céder par manque de force.
Je le couche sur le lit et le déshabille il veut résister mais dommage il n'a plus ses forces.
Je le découvre là devant moi, nu, waouh j'en bave, un beau spécimen !
Moi : (M'adressant à une personne imaginaire) Ma chéri, toi qui pense le garder là, tu es une blagueuse car ce mâle est à moi et moi seule.
Je descends du lit, je fais descendre complètement la fermeture, j’ai ma tenue sexy en dessous de ma robe.
Je remonte sur le lit à quatre pattes.
Je commence par le caresser des pieds vers son bassin ensuite je remonte sans toucher à l'élément clé.
Je caresse en alternant avec ma bouche, en donnant des suçons sur son cou.
Puis je reviens sur l’élément clé, je prends du lubrifiant dans le tiroir au chevet du lit, j'en met un peu et malaxe avec délicatesse.
Je sens son membre se raidir sous l'effet de caresses osées. Je le vois essayé de pousser ma main mais ses forces le quittent. Et j'en profite pour lécher sa poitrine en jouant avec ma langue et le piercing sur celle-ci.
J’accentue et je change le rythme brusquement.
Je le sens grogner.
Ouais !
Je termine de malaxer avec mes mains et
pouf, il explose !
J'essaie de le réanimer mais il est KO et ça prendra du temps pour le remettre à niveau.
Merde j'aurai dû commencer par moi !
Je refais une nouvelle tentative, mais rien au contraire il ronfle pfff.
Je crois avoir une bonne idée !
Je descends du lit, je récupère mon téléphone, je prends ma canne à selfie, je m'allonge et me couche sur son torse et je nous prends en photo.
Je prends plusieurs photos dans des positions qui laisse à désirer.
Ensuite je le nettoie et je me couche en posant ma tête sur son torse et je m'endors.