-         Je t’ai fait mal ? questionna Renaud comme s’il n’avait aucune idée de ce retournement subit.

-         Non non, t’inquiète. Au contraire tu me fais un bien fou. Je le sens même dans mes os.

-         Hahahahah, ravi. Allez je continue.

Sur le coup, Renaud qui était en toute sueur n’avait d’autre choix que de gérer son moteur afin qu’un peu d’huile ne s’y échappe. Chose qu’il réussit à faire en pensant à des événements tristes qui lui étaient arrivés auparavant. L’autre jambe terminée, le dos fut entamé. Ayant achevé le massage du dos ; Mariana lui fit savoir qu’elle voulait qu’il lui masse le ventre et la poitrine. Son cœur sursauta avant d’entrer en tachycardie. Il décida de boire de l’eau avant de continuer. Il demanda donc un verre qu’elle lui apporter après un bref tout à la cuisine. A son retour, elle se déshabilla. Tout le haut nu, sans même un soutien-gorge, elle s’allongea sur le dos.

-         Je suis prête lui dit-elle.

Renaud était perdu à sa vue. Elle avait une poitrine assez imposante. Ses poitrines toutes rondes et fermes donnaient l’envie de les saisir entre les doigts. Elles ne pourraient être contenues dans du 85D. Son joli ventre à la couleur à mi-chemin entre la banane mûre et le cacao doré ébauché son pubis, de quoi mettre mal à l’aise la culotte de Renaud qui devait tout faire sauf succomber. Mais que voulait réellement Mariana, se demanda-t-il. Devrait-il tenter sa chance ou se lancer ? quelle qu’eût été sa décision, il n’aurait pas eu de protections, il n’en avait pas et il était loin de prendre le risque. Il se résilia donc : il frotta la pommade de massage dans ses voluptueuses mains et entama le ventre. Il le caressait avec amour et tendresse à telle enseigne que la pauvre Mariana se mit à gémir. Elle gémissait de joie et de plaisir tellement Renaud massait très bien. Le ventre fini, il hésitait à débuter le massage du haut, d’autant plus qu’il ne savait où se situait le mal.

-         Tu as mal où exactement ? demanda Renaud.

-         Ici, répondit Mariana en prenant la main de Renaud pour la poser à équidistance de ses deux seins.

La vue était imprenable et la tentation était trop forte pour y résister. Il attrapa de chacune de ses mains, les mamelons de Mariana et se mit à les caresser.

-         Arrête ! lui dit Mariana mais Renaud continuait de le faire et même les embrassa.

-         Arrête s’il te plaît…