Chapitre XVI " Elle avait des perles autour des reins "
Write by Fawag
Faby
Je viens de finir ma journée, je vais rejoindre Mal.
Demain c’est le baptême de mon petit neveu et nous avons offert de prendre en charge les boissons.
Nous allons acheter tout ça à Metro, un magasin spécialisé dans la vente de produits alimentaires en gros, qui en principe est réservé aux professionnels. Mais Inna, la deuxième soeur de Malick est traiteur événementiel donc elle nous a prêté sa carte pro.
Le taxi vient à peine de me déposer en bas des locaux de MS CONSULTING.
Entre Mal et moi, autant vous dire que c’est l’amour fou depuis notre « réveil très coquin » !
Nous avons discutés et chacun a reconnu ses torts. Désormais, nous avons convenus de communiquer plus. Enfin, c’est surtout pour Mal ça, moi je dois plutôt apprendre à canaliser mes excès de colère.
Nous sommes aussi revenus sur l’incident de la dernière fois au restau avec Tétis et par contre, Mal ne veut faire aucune concession.
Sa position est claire ; il est hors de question que j’accepte d'aller travailler avec Fabien à la fac, et concernant le dossier qui nous oppose actuellement, il veut que nous le traitions exclusivement par mail.
Vous voyez les choses de votre ami non ?
Je n’ai pas réussi à lui faire changer d’avis la dessus, donc tanpis ! Tétis est sympa, mais mon couple passe avant.
Je prend l’ascenseur et monte directement au 3e étage, ou se trouve le bureau de mon chéri.
Je suis accueillie par Madame Vodonou, son assistante.
Madame Vodonou : Bonjour Madame Sidibé, bienvenue.
Moi ( lui faisant une accolade) : Bonjour Madame Vodonou, comment allez vous ?
Madame Vodonou : Par la grâce de Dieu, tout va bien, merci.
Moi : Super alors ! Malick est dans son bureau ?
Madame Vodonou : Oui il est là.
Moi : Ok merci.
Je trouve Mal assit derrière son ordi.
Moi : Coucou bébé !
Malick : Ah, c'est toi mon coeur ?
Moi : Oui, tu attends quelqu'un d’autre ?
Malick : Non, non, mais Cécile ( une de ses employées) vient de sortir de chez un de nos clients. Elle m'a dit qu'elle devait me remettre certains docs alors je pensais que c'était elle.
Moi : Ah ok ! Tu va bien ?
Malick : Oui, mais viens par là, j'ai envie de gouter tes lèvres !
Moi : Petit coquin va ! Laisse moi me rafraichir un peu et me laver les mains, puis tu aura ton bisous.
Je me dirige alors vers la petite salle d'eau attenante au bureau de Mal.
Quand j'y ressort, il discute avec une jeune dame que je devine être la Cécile en question.
Je reste en retrait pour ne pas les déranger, mais Mal m'appel.
Malick : Viens chérie, je te présente Cécile, la petite junior de Ms Consulting. Cécile, voici Faby, mon épouse.
Moi ( toute souriante ) : Bonjour Cécile, enchantée de vous connaitre.
Elle me regarde de haut en bas, avant de me répondre un simple "bonjour" sec, puis elle reprend sa conversation avec Malick en m'ignorant royalement !
Mais la go là a quel problème ?
Elle me connait mal dis donc !
Juste pour la provoquer, je pars m'assoir sur les genoux de Malick.
Je sais qu'il ne va pas me louper quand elle va quitter les lieux mais je m'en fou, elle m'a cherché !
Ce genre de filles, sérieusement je déteste ! On ne se connait ni d'Adam, ni d'Ève et tu me snob !
Elle a des vues sur Malick, c'est certain !
Je suis sûre qu'elle pensait se le taper, raison pour laquelle ma présence la derange. Tchiip qu'elle me tente, elle me sentira passer ici.
Elle reste encore quelques minutes, puis remets des documents à Malick et s'en va.
À peine ferme t'elle la porte du bureau que je m'exclame "Allez, oust bon vent ! "
Malick ( d'un ton sévère) : C'était quoi tout ça Faby ?!
Moi ( prenant une tête innocente ) : De quoi bb ?
Malick : Tu le sais très bien Faby, je parles de ton attitude devant Cécile !
Moi : Bah quoi ? J'ai le droit de marquer mon territoire hein !
Malick : Non mais chérie, ce n'est pas professionnel du tout ! Cécile reste mon employé quand même ! Je n'ai pas apprécié ton attitude !
Moi : Tchiip ton employée qui a des vues sur toi la ? Si c'est ta maitresse, il faut le dire !
Je veux me lever pour quitter ses jambes, mais il me retient fermement.
Malick : Où va tu comme ça ? Je n'ai pas eu mon bisou !
Je croise les bras et prend une mine boudeuse.
Malick me fait des chatouilles, alors je me tortille dans tout les sens.
Moi : Kiakiakia Mal arrête, AHAHA
Malick : Non, pas avant d'avoir eu mon bisou !
Moi : Ok, AHA, ok c'est bon je vais te le faire.
Je depose un smack sur ses lèvres, mais votre ami encadre mon visage de ses mains afin d'approfondir le baiser.
"Cette fille ne m'intéresse pas" me chuchote Mal dans l'oreille.
"Elle n'a pas ça" me dit-il en palpant mes seins.
"Elle n'a pas ça non plus" ajoute t-il en empoignant mes fesses qu’il malaxe bien comme il faut.
Hummm je commences a sentir que ça chauffe, donc mieux je me lève et on quitte le bureau avant de venir déranger les gens dans leur travail deh !
Moi : Hum bébé allons y.
Malick : Oui allons y avant que je te saute dessus ici même !
Nous éclatons de rire.
Quelques heures plus tard …..
Nous avons terminé nos petites courses. Le coffre de la voiture de Mal est chargé de boissons.
Nous nous dirigeons vers la maison de mes parents. C’est la bas que nous allons célébrer le baptême alors avec mes cousines, soeurs et tantes, nous y dormirons dès ce soir pour finir les derniers préparatifs.
C’est Mami, la petite soeur de ma mère qui nous accueille à notre arrivée.
Moi : Bonjour Mami chérie, c’est comment ?
Malick : Bonjour Mami, tu va bien ?
Mami : Hey Faby, né kélé den ( ma fille à moi seule) ! A bé di ? ( Comment va tu ?) M’bouranké, ow yé do ( Mon beau fils, venez, entrez ).
La maison est pleine à craquer ! La cuisine à été investie par mes cousines qui ont commencé à préparer le tchiép qui sera servit demain midi aux invités.
Nous disons bonjour à tout le monde, puis Malick et moi nous mangeons, avant que je ne le raccompagne à sa voiture.
Il viendra me rejoindre demain pour la fête.
Je m’arrête au pas de la porte, dehors il fait bien froid et je suis à peine couverte.
Moi : À demain bébé, soit prudent sur la route et envoi moi un message quand tu sera rentré.
Malick m’attire vers lui, il m’enlace et cale sa tête dans mon cou ( il adore faire ça, Malick contrairement à moi est très tactile, de plus il est très affectif, sa mère l’a beaucoup choyé, c’est peut être pour ça).
« Tu pourrais rentrer avec moi bébé, tes cousines sont toutes là, ils ne remarqueront même pas ton absence » me chuchote Mal dans l’oreille.
Moi : Gros bébé que tu es va ! Ils ont besoin de mon aide, il reste encore le jus de gingembre, le jus de bissap et les beignets à faire. On se retrouve demain sans faute inshallah.
Je lui donne un beau baiser, quand maman débarque en criant mon nom et nous surprend. La honte !
Maman : Ah vous êtes la ? Malick, je voulais savoir si demain en venant tu pourrais récupérer l’imam qui viendra baptiser l’enfant ? A priori, il comptait venir en transport mais c’est trop loin de chez lui ici.
Malick : Pas de problème tanti, tu peux lui communiquer mon numéro et je verrais avec lui. Je vous abandonne moi, à demain inshallah.
Maman : Ok merci mon fils, Alla ki niouman ségui ( Que Dieu t’accompagne ).
Malick s’en va et avec maman me coince dans le couloir.
Maman : Humm ça s’est arrangé avec ton mari, à ce que je vois ! Les bayas (colliers de perles), c’est une valeur sûr ma fille, je t’avais dit !
Moi : Oh maman, j’ai oublié de les utiliser !
Maman : Hum Faby, toi aussi ! Trempe les dans le oussoulan ( encens) que je t’ai donné, comme ça ils sentiront bon, et utilise les. Tu ne sera pas déçu !
Moi : Ok je vais faire ça.
Nous rejoignons les autres et passons une bonne partie de la nuit en cuisine.
Le lendemain matin, très tôt, nous accueillons les hommes, et l’imam. Ce dernier baptise l’enfant, et ils font la prière.
Raby a choisit de donner le nom de notre père à son fils. Il s’appel donc Ismaêl.
Nous servons ensuite à manger aux hommes, puis certains s’en vont.
Chez nous en général, les baptêmes se déroulent ainsi ; le matin, les hommes assistent à la cérémonie même ou un nom est donné à l’enfant, puis l’après midi il sont absents, ou restent en retrait et laissent place aux femmes qui font la fête et dansent.
Dans l’après midi donc, la maison commence à se remplir considérablement de femmes.
Il y a aussi des griottes ( ce sont des chanteuses et parolières ayant une place très importante dans la culture malienne. Normalement, chaque famille à son griot ou sa griotte attitré. Ils sont présents pour tout les évènements importants et chantent les louanges des familles et invités, et en échange on leur donne de l’argent, ou d’autres cadeaux).
La maman de Malick, et ses soeurs sont présentes. Maman a aussi invité sa nouvelle copine, tanti Safi, et il s’est avéré qu’elle connait bien la maman de Mal, comme quoi, le monde est petit !
La fête se déroule dans une bonne ambiance. Nous avons porté de jolies bazins avec mes soeurs, et nous avons passé la journée à changer de tenues.
La griotte à chanté pour moi et Malick à bien faroté, il a distribué les billets à gogo. Il fallait voir votre copine Fatty serrer son visage. Moi je m’en foutait, c’est son problème ! Les jaloux vont maigrir oh !
La maison s’est vidée petit à petit à partir de 00h, et nous avons tout nettoyé et rangé. Là, je suis épuisée comme jamais, heureusement que demain c’est dimanche !
Le lendemain ………
Hier soir, en rentrant, j’ai appliqué les conseils de maman et j’ai mis les bayas dans le oussoulan.
Ce soir, Malick aura donc droit à une petite surprise !
Actuellement, il est en bas, et regarde un match de foot.
Je rentre dans la douche. Je me rase, et je me lave avec mon gel douche parfumé « Cinema » de Yves Saint Laurent.
Je m’applique ensuite la crème parfumé, puis je me vaporise le parfum « Cinéma » également. Il sent divinement bon les filles, je vous le conseil.
Ensuite, je sors les bayas du oussoulan. Il y en a plusieurs, ils sont en perles multicolores. Je les enfilent tous.
Je me mets en haut des escaliers et appel Malick.
Moi ( criant) : Bébé, tu peux monter s’il te plait, j’ai besoin de toi en haut.
Malick : Qu’est-ce qui se passe ?
Moi : Vient s’il te plait, je n’arrive pas à attraper un truc que tu as rangé trop haut.
Malick : Oh, mais sert toi d’une chaise, je suis concentré sur le match là !
Moi : Mais bb, viens juste deux minutes s’il te plait même avec la chaise je n’y arriverai pas, c’est trop haut.
Malick : Pfff, t’es agaçante quand tu t’y met toi !
Malick ( entrant dans la chambre ) : Bon tu as ….
Malick
Dès que j’aperçoit Faby, je me stop net à l’entrée de la chambre.
Elle est totalement nue et des perles scintillent autour de ses reins. Elle est allongée sur le lit, les jambes écartées.
Damn, je vais devenir fou !
« Viens par là mon amour » me dit elle en tapotant la place vide à coté d’elle sur le lit.
Je ne me fait pas prier et vais la rejoindre.
Je la fait assoir sur moi à califourchon et prend ses seins dans ma bouche.
Je suce et lape chacun de ses tétons.
Ensuite, je pose les mains sur ses hanches et joue avec les baya sur lesquels je tire légèrement.
Faby prend appui sur ses genoux et roule des hanches, telle une danseuse orientale, en se frottant bien sur mon sexe.
Je la fait descendre de sur mes jambes, je la retourne et embrasse ses fesses, puis les mordillent, avant de lui donner des petites fessées. Ses fesses son fermes et bien rebondies, je suis aux anges.
A présent, je la retourne face à moi. Elle est debout, et moi, toujours assis sur le lit. Je soulève sa jambe droite et la fait passer par dessus mon épaule, tandis que j'introduit une main dans ses parties intimes.
Mes doigts roulent sur son clitoris.
Elle bascule la tête en arrière pour mieux savourer mes douces caresses.
« Ouvre tes yeux et regarde moi bébé » Je lui ordonne.
Elle s’exécute.
Je lui enfonce ensuite un, puis deux doigts, alors elle gémit « Oh bébé, que c’est bon ».
Elle attrape ma main gauche et suce chacun de mes doigts, alors que ma main droite est toujours en train d’explorer son jardin secret.
Elle se redresse et retire mon pantalon et mon boxer.
Je suis toujours assit sur le lit, alors elle se baisse et se place entre mes jambes.
Elle remplit sa main de mon membre déjà bien dressé, puis passe sa langue sur toute ma longueur, et cela d’une lenteur bien calculée.
Elle me regarde droit dans les yeux.
Sa langue tourne ensuite autour de mon gland, avant d’aller à la rencontre de mes "bijoux de famille » qu’elle gobe un à un.
Elle enfonce ensuite mon sexe dans sa bouche et le suce sans retenue.
Je pose ma main sur sa tête afin de mieux la guider.
Elle fais une gorge profonde.
C’est tellement bon !
« Oui, comme ça bébé « je l’encourage.
Elle s’applique à la tâche. Elle ressort mon sexe de sa bouche et le lèche avec gourmandise comme s’il s’agissait d’une sucette.
Je malaxe ses seins, et tire légèrement sur ses tétons du bout de mes doigts.
Elle est toujours en train de me sucer, quand je me retire et la fait lever.
Je la dépose sur le lit, et m’allonge près d’elle, sur le côté avant de prendre possession de ses lèvres. Elles sont douces et juteuses.
Je soulève une de ses jambes et frotte mon gland sur son clitoris. Je fais des mouvements lents de haut en bas.
J’ accentue mes caresses vers l’entrée de son vagin, mais sans jamais m’y introduire. À chaque fois qu'elle s’attend à ce que je la pénètre, je me retire.
C’est vraiment délicieux. Elle mouille comme pas possible.
Sans que je ne m’y attend, de sa main, elle saisi mon membre et l’introduit en elle d’un coup sec, puis referme ses jambes pour m'empêcher de me retirer.
C’est trop bon, je n’en peux plus ! Je grogne et commence à faire des va et vient en elle tout en l’embrassant.
Je m’agrippe à ses hanches et tire sur ses bayas qui font un léger bruit.
Nous ne sommes que gémissements.
J'accélère le rythme.
« Je vais venir bb, humm » grogne t’elle.
« moi aussi bb j’arrive, je le sens » dis-je.
Quelques minutes plus tard, c’est repus et satisfaits que nous nous affalons sur le lit, avant de rejoindre le royaume de Morphée.