chapitre11: la rencontre
Write by ngakomal
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~~~~~~~ Biboum ~~~~~~
- Mlle Estelle apportez moi le dossier KALOUM et les rapports des deux dernières réunions sur l’achat des parts dans cette société.
- Bien monsieur. Répond-t-elle à travers l’interphone.
- Faites moi le plaisir de vous dépêcher et n’oubliez pas mon café.
Je n’attends pas sa réplique et raccroche. Je fais de la place pour les nouveaux dossiers que j’ai demandé et replonge dans l’analyse des Etats financiers d’une des sociétés que nous venons d’annexer et que je compte bien remettre sur pieds. Ceci ne sera pas facile car l’héritier de la société a bien pris soin de vider les comptes et de vendre ce qu’il pouvait avant de nous la céder. De toute façon ce qui m’intéressait au départ était un partenariat. Mais pourquoi s’arrêter au bras si on peu avoir tout le corps.
La porte s’ouvre sur une Estelle rondelette et bien en forme. Elle est si belle et si pure. Elle s’avance presque en chancelant sur ses hauts talons et manque de renverser mon café sur le tapi perçant qui s’étant juste devant mon bureau. Elle traverse le salon formé d’une table basse et de quatre fauteuils et pose les documents sur ma table de travail ainsi que le café. Elle se confond en excuses et ressort. Je ne manque pas de visionner son postérieur et ses belles courbes.
J’ai toujours dit que les affaires et le plaisir ne font jamais bon ménages et qu’il arrive toujours un moment où tout bascule et par en couille. Malgré le fait que je le sache et le pense, cela n’enlève rien à l’ardeur de mes sens et de mes désirs quand cette fleur frêle est auprès de moi. Je prends une gorgée de mon café et la laisse couler le long de ma gorge et suit son cours dans mon organisme. Humm il est très bon. Je regarde la fumée s’évaporer de ma tasse et me rappelle la première fois où je l’ai vue.
**** un an plus tôt****
Je reviens du canada. Il se fait tard et j’ai envie de me détendre. J’ai tellement bossé dur ces dernières semaines que j’ai envie de m’envoyer quelques verres et plus et affinités si possible. J’aurais bien voulu rentrer chez moi et appeler l’une de mes nombreuses conquêtes pour passé du temps avec elle, mais elle ne fera que me vider de mon énergie. La plus part des femmes avec lesquelles j’avais réussi à avoir une certaine stabilité sexuelle était de vrai gouffre à chances, étoiles, énergies ce que vous voulez. A chaque fois que nous avions des rapports il me fallait faire des cures durant des semaines pour me rendre à nouveau pur afin que mes affaires n’en subissent pas les conséquences. Car lorsque nous fessons des rapports sexuelles qu’ils soient protégés ou non nous échangeons des flux spirituels, physiques et psychique. Nous mélangeons nos phéromones, nos molécules et notre essence. Ainsi, l’univers laisse agir comme un vase communiquant entre les eux. Celui qui est plein remplit celui qui est vide de manière involontaire. Le risque se présente lorsque l’on est conscient de son état. Il peut nous arrivé de puiser même en étant plein.
Après un rapide tour chez moi, je suis descendu à la résidence la falaise. Je me sers de cet hôtel comme garçonnière. Je descendais au rez-de-chaussée par l’ascenseur lorsque je l’ai vue. Habillé en femme de chambre, elle se fessait grondé par le chef du personnel.
- Comment peux-tu entrer dans la chambre d’un client sans avoir frappé ? c’est tout sauf professionnel ?
- Je n’ai rien fait de mal j’ai cogné et il m’a demandé d’entrer. Ce monsieur raconte des histoires.
- Qu’il raconte des histoires où pas, tu ne devais pas te mettre à échanger les mots avec lui. Dans cet établissement le client est Roi. Tu entends ? Roi. Pas quand la petite bourde décide qu’il est.
- Mais…mais.
- Il n’y a pas de mais… ferme là.
Je me suis rapproché de plus près et ai vue l’homme client de la maison avoir un sourire en coin. Il était a l’évidence ravit de qui arrivait à la pauvre dame. Ce n’était pas mes oignons et lorsque je me tournais pour sortir j’ai intercepté un client d’œil que le supposé client fessait à la femme de chambre tandis que le chez de personnel lui présentait les excuses de la maison. Décidément nous les hommes nous ne changerons jamais. Je ne pouvais le juger cette fille était un bon morceau je déplorais juste sa manière de s’y prendre. Une femme qui viens dans ton lit par contrainte n’est pas cool je dirais. Le plaisir est bien quand il est partagé et accepté et non regretté juste après l’acte.
J’ai continué mon chemin jusqu’à une boite de nuit du coin. Je me suis assis dans un angle qui donnait une vue panoramique sur la salle. J’y ai passé la moitié de la nuit et n’ai pas trouvé chaussure à mon pied. En réalité c’était cette femme qui me vrillait de cerveau. Je revoyais la passion avec la qu’elle elle se défendait et j’imaginais ce que cela pouvais donner dans un lit… l’explosion. Je fantasmais sur elle et le plus dramatique c’est que je ne savais même pas comment elle s’appelait. J’avale mon dernier verre d’une traite et règle ma note sur la table. Au moment de partir je vois cette fille traversé la boite dans la marée humaine et se diriger vers une porte vers le fond. C’est ma chance ! Me suis-je dis et mes suis lancé à sa pour suite. Arrivé devant la porte, le portier m’a interpellé.
- Votre passe monsieur.
- Je n’en ai pas.
- Alors vous ne pouvez pas entrer.
- C’est bien pour les clients non ??
- Oui mais il faut payer. C’est à l’entrée on vous remettra un passe.
- Ok. mais qu’y a-t-il derrière cette porte.
- L’entre du plaisir et des vices. L’entrée est gratuite pour les filles et payante pour les hommes.
- Merci.
Je retourne à l’entrée et débourse 100 000 frs. Mon passe en poche j’y vais et entre dans la salle. Tout est dans une lumière tamisé c’est à peine si tu remarque l’a silhouette où le visage de quelqu’un en plus du masque. J’ai été conduit dans une pièce par une femme complètement nue. Elle m’a déshabillé et m’as oins d’une peinture sur tout le corps en évitant mon sexe en érection. Après m’avoir porté mon masque elle demande :
- Puisque que suis responsable de l’état de ce fusil d’assaut(en désignant mon sexe) me permettrais tu de lui faire du bien. Il est si gros, si fort et j’en bave. Tu veux bien ? susurre-t-elle en se frottant les seins sur mon avant bras.
- A une seule condition. Répliquais-je en prenant ses seins à deux mains et en titillant ses tétons
- La quelle mon étalon. Dit-elle sa main effectuant déjà des lents mouvements de vas et viens sur mon sexe.
Nos lèvres sont à un cheveu l’une de l’autre. Je respire son odeur et me focalise sur son aura. Elle est vide. Une vraie coquille vide. Je passe mon tour mais je ne refuse pas une bonne fellation.
- Je voudrais retrouver cette femme qui est entrée juste avant moi. 1m 65 tout au plus un peu ronde et claire de peau. elle portait un pantalon jeans sur un haut ample.
- Aaah la nouvelle ? c’est son premier jour de travail. Elle n’a pas mon expérience mon choux. Elle ne te ferra pas décollé comme moi.
- Je voudrais surtout atterrir ma biche. C’est son inexpérience qui m’anime. Je veux être son premier se soir.
- Vraiment !!! les hommes toujours à vouloir marquer leur territoire.
- Alors, tu m’aide ?
Pour toute réponse elle suce le lobe de mon oreille en murmurant un oui jouissif avant de se laisser glisser le long de mon corps. A genoux devant, elle tient mon membre comme un micro entre ses doigts et commence un vas et viens lent et régulier. Nos regards se croisent et là elle sort sa langue qu’elle pose délicatement sur mon chapeau en donnant des coups sensuels. Puis, elle s’enroule autour de moi avant de m’engloutir dans les profondeurs chaudes de sa bouche. Un pur délice. Je ne rate rien du spectacle. Elle me maintient dans sa bouche dans un vas et viens endiablée tout en me caressants les bourses. Elle suce, pompe, aspire, relâche et relance de plus belle. Ses mains sont partout mes fesses, mes bouses et mes tétons. On dirait qu’elle veut redessiner mon corps sous ses doigts. Ses lèvres vont de mes bourses à mon gland dans une expertise qui manque de me faire défaillir. Je gémis et râle. Le plaisir est à son summum. Je veux tellement lui prendre la tête et la baiser ainsi pour mieux contrôler mon plaisir. Mes gémissement semblent l’excité car elle écarte les cuisses et commence à se caresser.
- Bébé pourquoi tu te retiens baisse cette vilaine petite bouche. Sinon elle ne te diras pas ce que tu veux savoir.
On aurait dit qu’elle lissait en moi. Sans me faire prier, j’ai saisit sa touffe de greffe en une boule derrière sa tête et j’ai commencé à la baissé avec plus d’ardeur. Je fessais l’effort de lui laisser le temps de respirer et je m’enfonçais au fond de sa gorge. Le plaisir était au rendez-vous dans un dernier coup de rein et un râle d’homme des cavernes. Je me suis retiré et ai terminé le travail avec ma main. Ma semence s’est versé sur sa poitrine. Elle la raclé dans le but de l’avaler. Non je ne voulais pas ça, elle ne le méritait pas.
- Non. Ne fais pas ça. Lui dis-je en lui saisissant la main
- Pourquoi tu n’aime pas ?
- Oui. Te voir faire me gâchera mon plaisir. Laisse-moi t’aider.
Je lui tiens la main et elle se lève. J’ouvre le coffre dans lequel étaient gardés mes vêtements en sort un mouchoir et un billet de 10 000 frs. J’essuie mon sperme sur son sein à l’aide du mouchoir, le range dans le coffre et lui tend le billet.
- Je fais comment pour la reconnaitre ?
- Elle porte un masque de chat et est peinte en marron et jaune.
- Là dedans tout est marron ou noir.
- Nous les anciennes de la maison, lui avons demandé de rester dans un l’angle près tu tableau du tigre si elle ne veut pas être dérangé. Sa morphologie te guidera si bien sur tu la connais bien.
- Merci.
J’y suis allé et je l’ai trouvé. Elle était déjà assiégé pas deux hommes et semblait ne pas être à son aise. La seule règle que l’on m’a donnée à l’entrée était ne jamais forcer une fille. Je me demandais comment j’allais mis prendre quand je l’ai vue se levé et courir dans mes bras. Je l’ai attrapé presque qu’au vol et elle s’est mise de suite à embrassé. Ses lèvres charnues collées à la mienne étaient une vraie invitation au péché. Alors sens trop me posé de question, j’ai ouvert la bouche et ai répondu et approfondi le baisé. Je suçais encore et encore ses lèvres charnues. Ma langue violait l’entre de sa bouche. Je gouttais à sa salive. A bout de souffle, je la fis glissé sur moi et elle pu sentir l’effet de notre fougueux baisé. Je la voulais ici et maintenant. Nous nous regardions sans nous voir. Elle pris la parole et je dus me baisser pour comprendre ce qu’elle disait.
- Je ne sais pas ce qu’il m’a pris de vous embrassé. Mais je n’avais aucun autre moyen de faire comprendre à ces messieurs que je ne voulais pas d’eux.
- Embrasez-moi encore et quand vous voudrez je suis là pour ça.
- Je ne suis pas sur de savoir pourquoi je suis là.
- Il y a-t-il un endroit moins bruyant pour parler ? dis-je en me demandant comment on fait pour parlé en étant nu comme un vers avec une érection de 18 cm.
- Oui mais cela dépend de votre passe. Vous avez pris celui de combien ?
- Cent mille. C’est ma première fois. Dis-je un peu gêné qu’elle me juge. Mais elle ne me voit même pas !
- Qu’elle chance. Les appartements privés sont à partir de deux cent milles. Mais comme c’est votre première fois vous en bénéficierez. Venez. Ordonne-t-elle. Elle me prend le bras et me traine avec elle.
Arrivé devant le vigile, elle me demande ma carte et je le lui tends afin qu’elle le présente. Le vigile y passe un coup d’œil regarde mon érection avec un sourire en tendue avant de le lui rendre avec une clé. Nous arrivons dans la chambre et elle court à la douche pour y prendre un peignoir pour se couvrir. C’est une blague ? Je prends place sur le lit seul meuble de la pièce.
- Je suis désolé mais je ne coucherais pas avec vous.
- Pourquoi m’avoir entrainé ici dans ce cas
- Je ne sais pas. Je vous ai vue et j’ai eu l’impression que vous étiez ma solution. Et vous êtes si beau. Dans mes rêves les plus fous j’embrassais un beau prince et il m’épousait et nous vivions heureux avec beaucoup d’enfant.
- Merci. Mais, Je ne comprends toujours pas.
- Vous embrasser me pousse à me rappeler que ma vie n’est pas rose et que si je veux survivre il me faut passer par là … la prostitution. Le plus vieux métier de la terre.
- Si tu ne veux pas alors ne le fais pas.
- C’est plus facile à dire qu’à faire. Il est parfois des choix que nous fessons uniquement dans l’intérêt des autres.
Elle à dis ses derniers mots dans une de ses tristesse….. Et les larmes ont commencé à couler de ses yeux. Je l’ai prise dans mes bras et nous nous sommes étendus sur le lit tel des amants après l’assouvissement de leur sens. C’est là qu’elle m’a raconté sa vie. Elle a perdu son père et sa mère dans un accident brusque et à dut arrêter ses études après sa licence en économie pour subvenir aux besoins de ses 3 petits frères et sœurs. La famille de son père avait vendus leur maison et les avait logés un moment chez leur tante paternelle. Celle-ci n’ayant pas été contente du partage les avait mis à la porte. Elle bossait à l’hôtel et avait loué une chambre de 15 000frs à New-Bell dans lequel ils vivaient tous. Tout son salaire passait dans la popote du mois et il lui fallait plus d’argent pour ne serrait ce que rêver d’envoyer ses frères et sœurs à l’école publique. Elle avait posé le problème au chez du personnel et celui-ci lui à proposé de ce prostituer dans cette boite et avant qu’elle n’accepte arrangeait des rendez-vous avec les clients de l’hôtel. Avec la complicité de ces clients, il la menaçait de la faire renvoyé.
Depuis que nous nous étions rencontrés je ne l’avais pas sondé. Je me suis concentré sur son aura et les ondes qu’elle dégageait. Elle était pure et avait beaucoup d’étoiles attirantes. Je comprenais pourquoi elle était si acculée. Ses étoiles étaient sujettes à convoitise pour ceux qui pouvait la voir et ceux des cercles obscurs. Là, sur ce lit, pris la résolution d’influencer son esprit pour qu’elle ne cède pas à la tentation du vice et de la pousser à déposé des dossiers d’embauches dans mon entreprise. Si elle se fessait recruté je ne voulais pas que ce soit de mon fait direct.
Après qu’elle ait dormis. Je suis sorti de là et ne l’ai revue que 4 mois plus tard assise à l’entrée de mon bureau dans un petit box. Je rentrais d’un voyage d’un mois à Shanghai.
**** fin du flash back ****
Je me secoue et regarde dans ma tasse de café. Elle est à moitié pleine mais froide. Je la pousse de coté et reprend mes documents. Je la veux mais ne sais comment m’y prendre pour l’avoir. Je suis si habituer que les femmes viennent à moi que je ne sais pas comment séduire ma secrétaire.
"commentez hein!!!!! je vous vois"