Découvertes
Write by Yayira Bénédicte
~~~Haranza Liliane Khalil~~~
Le dimanche je les réveillais tôt pour qu'on aille à l'église. Je les laissaient où les enfants font leur culte avant d'aller d'aller dans le temple principale. J'étais entrain d'écouter la prédication lorsque je sentis un parfum familier, je savais déjà qui c'était. Il pris place à côté de moi sans rien dire, mon coeur battait la chamade à ce instant là je priais pour ne pas que mes enfants viennent me retrouver ici
- je peux savoir ce que tu fais ici ?
- c'est une église à ce que je sache. Dit-il en regardant droit devant lui
- les hommes comme toi non pas le droit d'être ici
- dit la meurtrière
Je reçu cette réponse comme une gifle, et mon coeur se serra. Chaque jour j'essayais d'oublier que j'avais tué un homme mais je n'arrive pas à effacer cela de mon esprit. Plus d'une fois j'ai pensé à me rendre à la police mais qui prendra soin de mes enfants si je suis emprisonnée ? Qu'es ce que mes enfants penseront s'ils apprennent que leur mère est une meurtrière ?
Je chassais cela de mon esprit et je me concentrais sur le culte comme je pouvais, les enfants finiraient dans pas longtemps. Je me levais pendant les offrandes pour aller faire mon offrande et sortir de l'église mais il me suivie quand même à l'extérieur
- je peux savoir ce que tu me veux ?
- parlé
- je n'ai rien à te dire
- tu en es sûre ?
- laisse moi tranquille stp, je n'ai rien à te dire. Bon dimanche
Il me regarda un instant avant de s'en aller
- maman ? Entendis-je appelé derrière moi, je me retournais pour voir mes chenapans.
- qu'es ce que vous faites là ? Vous étiez sensé m'attendre chez les enfants.
- moi je veux faire popo. Dit Maëlys
Pfff les enfants, j'ai encore échappé belle, je doute que je sois aussi chanceuse la prochaine fois.
- viens je t'accompagne
- non je veux faire popo à la maison, les toilettes sont toutes sales et y'a de l'eau par terre
Voilà le problème de ceux là, leur côté blanc là les fatigues trop. On alla à la voiture pour rentrer
- maman c'est qui l'homme avec qui tu parlais ? Demanda Maël
Ils l'ont donc vus ?
- c'est personne
- Maëlys à dit que c'est papa
Mon coeur sauta, comment peut-elle dit ça ?
- pour... Pourquoi tu as dis ça Maëlys ?
- ben parce qu'il ressemble beaucoup à Mael et tu dis toujours que Maël à la tête de son père
C'est vrai que je lui dit qu'il a la vilaine tête de son père souvent quand il fait des bêtises mais c'est pas pour qu'ils tirent des conclusions hâtives comme ça hein ?
- c'est personne, le monsieur était perdu et il demandais son chemin.
- Hummm. Fit Maya
Ses enfants là sont trop precauces, je crois que je vais postuler pour un boulot dans une autre ville, ça sera mieux comme ça, entre Khaled qui apparaît comme un revenant et ses trois là je risque de ne pas tenir longtemps.
J'ai un mauvais pressentiment depuis ce matin sans trop savoir pourquoi. J'allais déjeuner avec Salam comme chaque midi. J'étais entrain de déguster mon plat quand je le vis rentré avec la fille avec qui il était l'autre soir. Je dois avouer qu'elle est très belle, carrément mon opposé. Elle est Carrément mon opposé, claire, non métisse je dirais avec des rondeurs elle m'a fait penser à mes filles sans que je ne sache pourquoi. Ils vont prendre place en discutant de tout et riant, j'essaye de détourner mon regard mais je ne peux m'empêcher de leur jeter des coup d'oeil de temps en temps et de ressentir un pincement au coeur. Un homme vient les rejoindre et temps une enveloppe à Khaled. Celui ci la pends en me regardant et mon mauvais pressentiment s'accroît
- tout vas bien ? Demande Salam qui est assit en face de moi
- euh... Oui ça va
- tu es sûre ? Tu es bizarre depuis matin
- je suis juste pas dans mon assiette
- OK.
J'étais dans mon bureau après le déjeuner entrain de finaliser le rapport d'audit que je devais rendre aujourd'hui même lorsque la porte s'ouvrit en fracas sur Khaled, il était tout rouge et ses yeux avait viré du vert au noir
- je vais te tué Khalil, je te jure que je vais te tué dit-il en me lançant des photos au visage
- qu'es ce que tu as à déambuler dans mon bureau comme ça et de me menacer
- si je te touche maintenant je te promet que tu ne sortiras pas vivante de cette pièce. Vu l'expression de son visage il ne plaisantais pas du tout
- mais tu te prends pour qui à la fin ? Dis-je énervé à mon tour.
Il s'approcha dangereusement de moi et m'attrapa par le cou avant d'aller me coller au mur avant de mettre la photo de mes enfants sous mon nez
- comment as tu osé ? Dit-il calmement mais rageusement
Je sus qu'il savait, Khaled va vraiment me tué aujourd'hui, c'est ma dernière heure qui vient de sonner comme ça JESUS !
- tu as osé me cacher l'existence de mes enfants ! Dit-il en donnant un coup de poing dans le mûr. La peur me fit m'écrouler sur le champ
- ce ne sont pas tes e....
- si tu termines cette phrase je te bute là et maintenant, si tu ose me dire que c'est pas mes enfants je te bute Khalil, de mes propres mains
- je... Tu... Comment ?
- tu as osé me mentir, tu m'as caché l'existence de mes enfants. Ça fait deux mois que je suis là et tu n'as pas jugé nécessaire de m'informer que j'ai des enfants ? Des triplets de 6 ans, 6ans bon sens ! C'est le diable qui dance dans ta cervelle ?
- tu... Tu m'as abandonné... Tu m'as laissé tomber comment t'aurais-je dis que je suis enceinte ? Criais-je
- je t'ai jamais abandonné, c'est toi qui a décidé de rester avec lui, j'étais près à tout pour toi même à abandonner cette vie pour toi et toi tu as préféré ce fils de putes, tu as préféré rester sa pute
- c'est faux, je n'ai jamais voulu être sa pute mais...
- je m'en fiche, je veux plus rien entendre venant de toi, tu n'es qu'une sale menteuse, doublé d'une pute et une pute ne peux pas élevé mes enfants
- pardon ? Dis-je en me redressant
- tu m'as bien entendu, une pute ne peux pas élevé mes enfants
- tu peux pas... Tu... Tu n'as pas le droit de...
- si j'en ai le droit, et surtout les moyens. Crois moi je vais t'arracher mes enfants
- se sont mes enfants, mes enfants Stéphane tu n'as pas le droit
- se sont aussi mes enfants et tu m'as privé d'eux pendant 6 longue année alors j'ai tout les droits
- je ne me laisserais pas faire tu m'entends, tu devras me tuer d'abord
- je n'aurais pas besoin de me salir les mains avec ton sang, j'obtiendrais leurs garde exclusive parole de Hardwick
- alors tus moi, tus moi Hardwick parce je ne laisserai jamais mes enfants
- c'est ce qu'on vera, je vais m'arranger à ce que tu sois sans un sous et pour commencer tu es viré
- quoi ? Tu ne peux pas me faire ça
- sortez de mes locaux mademoiselle Khalil avant que je n'appelle la sécurité
Je le regardais interloqué, cet homme pouvait être cruel, très cruel même et je sais qu'il est capable de ce qu'il dit. Je ramasse mes affaires que je met dans mon sac, faut que je quitte la ville faut que je m'en aille
- ne pense même pas à t'enfuis avec mes enfants, y'a déjà deux gardes posté devant leur école. Dit-il alors que je m'apprêtais à sortir du bureau, je n'ajoutais rien et je sortis, me voici dans de beaux draps.
~~~~Stéphane Khaled Hardwick~~~~
J'avais envie de tout cassé tant j'étais énervé, comment a-t-elle pu, comment ? Ça lui a pas suffit de me trahir il a fallu qu'elle me cache cela, et dire qu'il y'a seulement quelques jours je pensais à comment la reconquérir alors que madame se foutais de ma gueule.
J'avais demandé à René de la filé juste pour savoir qui était son fiancé et comment faire pour l'éloigner d'elle, sans savoir que sans savoir que j'étais à des années lumières de m'imaginer ce qu'elle me cachait vraiment. J'étais entrain de déjeuner avec ma soeur quand René à envoyé les informations qu'il avait récolté, il m'a dit que j'allais être surpris mais je n'avais pas imaginer que ça serait ce genre de surprise. J'ai préféré fini de déjeuner et retourner dans mon bureau avant d'ouvrir l'enveloppe.
Plus je lisais plus j'étais sidéré, je me suis dis que c'était peut être les enfants de l'autre là mais quand je vis les photos, je sus avec certitude que c'était mes enfants, c'était moi de la tête au pied, le garçon n'en parlons même pas. Je fus saisis d'une colère terrible, pourquoi m'a t-elle caché cela ? Pourquoi ? Et elle veut osé me dire que ce n'est pas mes enfants ? Elle le regrettera, je jure qu'elle le regretteras parce que je vais les lui enlever mais avant m'assurer qu'elle n'est pas un sous pour prendre un avocat. J'ai mis mon bureau dans un sale état, j'appelle mon assistante pour qu'elle s'en occupe avant de m'en aller.
Je rentre prendre une douche avant d'aller là-bas, faut que je trouve rapidement une maison asses grande pour accueillir mes enfants, faut que je trouve le personnel adéquat, la maison adéquate et une bonne école. Pensais-je pendant que j'étais sous la douche, je prenais une douche froide pour me calmer, je peux pas aller m'énerver devant mes enfants. La porte de la douche s'ouvrit sur ma soeur
- tu es folle ou quoi ? Criais-je
- c'est quoi ça ? Dit elle en me montrant l'enveloppe qui contenait les information et les photos que son boss m'avait apporter, j'avais dis à ce dernier de ne rien lui dire
- pourquoi tu fouilles dans mes affaires ?
- je ne fouille pas, c'était sur le table basse du salon, j'ai juste lu par curiosité. Déformation professionnelle
- va remettre ça alors où tu l'as trouvé
- je suis donc Tata et tu ne me le dis pas ?
- Aliya, sors d'ici. Criais-je
- à cause de ton petit Kiki là tu shout comme ça ? Tchiiip. Dit elle avant de partir
Cette fille est malade, elle oublie même que je suis son grand frère, après la douche je m'habille décontracté avant de descendre, je trouves Aliya assise entrain de regarder les photos
- ils sont vraiment mignon, le garçon on dirait que tu l'as vomis, pourquoi tu ne m'as rien dis ?
- je viens de l'apprendre
- tu m'as même pas dis que tu faisais des recherches sur elle, qu'es ce que tu comptes faire maintenant ?
- je vais chez elle comme ça, je voulais attendre demain histoire de me calmer mais je pourrais pas fermé l'oeil de la nuit si je ne les voient pas
- je comprends, tu veux que je t'accompagne ?
- non, j'ai pas envie de les effrayer pour une première rencontre, vu comme tu es folle surtout
- c'est le sang de ton père qui coule en moi
- je sais, faut que j'y aille
- tu as le trac ?
- oui. Confessais-je, et s'il ne m'aime pas ? Dis-je le coeur serré
- se sont des enfants, tes enfants, ils t'aimeront forcément
- je l'espère, aller je file.
Je me garais devant le maison le coeur battant la chamade, j'avais vraiment le trac. Que dois-je faire ? Rentrer et dire salut, je suis votre papa ? Ou bien bonsoir les enfants, je crois que vous êtes mes enfants ! Je pris mon courage à deux mains et je sortis du véhicule, il était 19h35.
Haranza fut très surprise de me voir devant sa porte
- Stéphane je..
- laisse moi passé, j'ai pas envie qu'on se donne en spectacle devant les enfants.
Elle soupira et se mit sur le côté pour me laissé passé. Je retrouvais face à 3 paire de yeux qui me regardait comme une bête de foire, je savais pas trop comment me comporter tant mon coeur dansait
- bonsoir. Dis-je timidement
Les deux filles se levaient et vint s'arrêter devant moi en me fixant, le garçon les suivies. Je pouvais sentir le regard de Haranza sur nous
- qui êtes vous ? Demanda le garçon
- je.. Euh...
- mais c'est papa voyons fit l'une des filles. J'étais choqué, comment sait-elle cela ?
- c'est faux. Dit le garçon en me regardant de plus prêt
- c'est vrai renchérit l'autre fille
- maman ? Dit-ils en coeur en regardant leur mère derrière moi
- je... Euh... Les enfants... C'est... Papa
Il eut un silence de quelque seconde avant que les filles ne me saute dans les bras, le garçon quant à lui s'enfuit vers un couloir. Je le baissais pour prendre les filles dans mes bras pendant que Haranza alla vers le couloir
- c'est vrai tu es notre papa ?
- oui ma puce, je suis votre papa
- tu étais où ? Pourquoi tu as mis aussi longtemps à venir ?
- tu ne nous aimaient plus ? Renchérit Maya
- c'est vrai tu ne nous aimes plus ? Fit Maëlys la mine boudeuse
- bien sûr que je vous aimes mes princesses, j'étais juste très très occupé
- maman a dit que tu travailles beaucoup et que si ont travail bien et qu'on est sage tu viendrais le jour de notre dixième anniversaire. Dis Maya
- mais on a pas encore dix ans. Répondit sa soeur
- je ne pouvais plus attendre d'être avec vous, vous me manquiez tellement. Dis-je en m'assayant pour les prendre dans mes bras
- Maël à dit que tu ne reviendrais plus jamais, parce que tu nous a abandonné. Mon coeur se serra, c'est certainement la raison pour laquelle il est parti, mon fils m'en veux certainement.
- je vous ai pas abandonner, jamais je ne ferais une chose pareille, vous me montré la chambre de votre frère ? Elles me prient chacune une main et m'entraînaient dans le couloir, j'entendis la voix d'Haranza émaner de la chambre
- il ne vous a pas abandonner mon coeur, c'est ma faute si papa n'est jamais venu nous voir, il...
- j'avais perdu votre address et maman n'a pas voulu me la donner parce qu'elle était fâché
Il me regarda un moment avant de me demander
- tu avais faire une bêtise ?
- oui, j'avais fais une très grosse bêtise et maman était fâché. Vous nous laissez entre hommes s'il vous plaît les filles ? Demandais-je en regardant Haranza
Elle tendit la main aux filles et elles sorties de la pièce.
- je sais que tu m'en veux mon grand et je suis désolé, je ne savais pas où vous trouvez c'est pour cela que je suis pas venu plus tôt.
Il me regarda comme s'il voulait me sonder
- tu vas encore reparti ? Me demanda t-il en continuant de me fixé
- bon ne je m'en irais plus jamais
- tu promets ?
- je te le promet mon champion plus jamais. Je peux te prendre dans mes bras ?
Il haucha la tête et je le pris dans mes bras, on resta là un moment avant d'aller rejoindre les autres au salon.
- on a ajouté un autre couvercle pour toi papa. Dit Maya
Je connaissais le nom des enfants parce que tout était dans les informations que m'a donné René et les filles se ressemblent certes mais je sais pas comment j'ai pu fais la différence que grâce aux photos. On passa à table et je fut surpris d'entendre mon garçon faire la prière. Ils voulus ensuite que soit ensuite moi qui les bordes, Maëlys fit la prière dans laquelle elle remerciait DIEU d'avoir exaucer sa prière et de leur avoir amener leur papa. Je fus fortement ému, ils s'en dormi pendant que je leur racontais une histoire. Je sortis tout doucement de la chambre. Je trouvais leur mère au salon le regard lointain, je me raclais la gorge et elle sursauta
- tu es fière de toi n'est-ce pas ? À cause de toi mon fils pense que je les ai abandonné
- je... Je suis désolée
- tu n'es pas encore désolée crois moi, tu le sera plus quand je t'aurais retiré leur gardes
- je t'en supplie Khaled ne fais pas ça. Dit-elle au bord des larmes
- je me ferais un plaisir de le faire
- penses aux enfants stp
- tu as pensé à eux toi ? Bonne nuit, tu auras bientôt les nouvelles de mes avocats et je ne veux plus voir tes pâtes dans mes entreprises. Dis-je avant de sortir. Il faut qu'elle sache ce que sa fais, il faut qu'elle le sache.