Elle n'a pas osée

Write by Yayira Bénédicte

Daniel Delalie

Je reviens de voyage et je suis épuisé, à cette heure les petites doivent être entrain de dormir. Il est 23h passé, je suis donc surpris de trouver leur nounou assise au salon, je la saluais, elle me répondit en arrangeant bien son soutien gorge ça me rappelle que faut que je pense à la changer celle là, elle me fait un rentre dedans trop évident ses derniers temps. J’allais dans la chambre des filles leur faire des bisous avant d’aller dans ma me débarbouiller et aller à la cuisine voir si y’avait de quoi à manger.

- Je peux vous aider monsieur ?

- Non ça va, vous faites quoi encore debout ?

- Euh Serge (mon chauffeur( que vous rentrez aujourd’hui  et j’ai voulu vous attendre pour voir en quoi je peux vous aider

- Merci mais je saurais me débrouiller. Dis-je en me dirigeant vers la cuisine

Je mis la nourriture au micro-onde et attendis cinq minutes avant de prendre mon assiette et aller au salon histoire de manger devant la télé mais cette fille est encore là mais cette fois elle faisait comme si elle grattait son pied en mettant bien son popotin dans ma direction, je pouvais facilement voir ses fesse vu que sa robe était très courte

- Vous faites quoi encore là

- Euh… rien bonne nuit monsieur

- Reviens ici Hélène. Je la vit esquiver un sourire discret se disant certainement que son cinéma avait marché

- Oui monsieur

- Assois-toi. Dis-je en faisant de même toujours mon assiette entre les mains

Elle prit place en mettant bien ses atouts en valeurs, ce qui me fis sourire, je pris une bouché de mon plat avant de m’adresser à elle

- Tu te plais ici ? tu aimes ce que tu fais 

- Oui, j’aime beaucoup m’occuper des filles

- Tu es sûre ? tu ne voudrais pas faire autre chose ?

- Ça dépend. Dit-elle en se touchant les cheveux, elle pense vraiment qu’elle a l’air d’une diva hein

- Les filles jusqu’à présent ne se sont pas plaintes de toi et je suppose que c’est parce que tu fais du bon boulot

- Oui monsieur je m’occupe d’elle comme si c’étaient mes propre enfants

- C’est bien, je vais te poser une question

- Je vous écoute 

- Es-ce que je te plais ?

- Euh… oui vous me plaisez énormément dit-elle sans siller 

- Ok, écoute moi bien et je ne vais pas me répéter. Tu es ici pour t’occuper de mes enfant et si tu n’es plus disposer à la faire a porte est grandement ouverte

- Mais j…

- Tu ne m’interromps pas  quand je parle, si tu veux continuer à travailler ici tu vas commencer à m’arrêter ton manège à deux balles, si je veux une pute je sais où en trouver alors ton travail s’arrête à mes filles, la prochaine fois que tu as ce genre d’attitude je te renvoi sans préavis. C’est clair ?

- ….

- J’ai posé une question

- Oui monsieur

- Bien, bonne nuit

Elle c’est levé et c’est dirigé vers le quartier des employés, j’espère pour elle que le message est bien passé je ne supporte pas ce genre d’attitude. J’allais me coucher après avoir mangé. 

Le lendemain les filles étaient super contente de constater que j’étais rentré, elles me racontaient ce qu’elles ont fait ses dernières semaines mais se plaignaient du fait qu’elles n’avaient pas vu tata Mimi aussi souvent qu’elles voulaient et comme aujourd’hui est samedi elles veulent en profité. J’ai été absent pendant deux semaines et Myriam ne sait pas encore que je suis rentré. Elles m’ont tellement rabâché les oreilles qu’à 10h on était en route pour l’atelier de Myriam, elle était en pleine dispute avec un homme d’une cinquantaine d’année

- Tata ! crièrent les filles en la voyant

- Mes bébés ! vous allez bien ?

- Ouii, tu n’es plus venu nous voir

- C’est vrai, j’étais un peu occupé allez-y m’attendre à l’intérieur je viens

- Bonjour monsieur, ça va bb ? dis-je en lui faisant un smack sur les lèvres. Moi-même je ne sais pas ce qui m’a pris, elle me regardant avec des yeux ronds mais je rentrais sans attendre qu’elle dise quelque chose

D’où j’étais assis je pouvais les voir à travers la vitre entrain de se disputer de façon virulente et je vis l’homme lui donné une paire de gifle, mon cœur se compressa  et en deux enjambés j’étais dehors mais le con montait déjà dans son véhicule mais je relevais son numéro d’immatriculation avant de me tourné vers Myriam qui se retenait de pleurer. Je lui pris le bras et la conduit simplement à l’intérieur je voulais pas la brusquer

- Tu à cousu nos robes ? demanda Fiona

- Oui ma puce mais j’ai des petites choses à rajouter

- On peut les voir ? demanda Fanny

- Tata ne se sent pas bien mes puces. On va rentrer avec elle pour qu’elle puisse se reposer

- Euh… ce n’est pas nécessaire 

- Prends ton sac et on y va, et je n’ai pas envie de me répété stp, je vous attends à la voiture j’ai des coups de fils à passé. Dis-je avant de sortir de l’atelier

J’appelais un ami Militaire pour lui donner le numéro d’immatriculation et j’espère que Myriam est prête à porté plainte parce que je ne compte pas laisser ça passé. Je la vis venir avec les filles, elles les installaient à l’arrière avant de prendre place du coté passager. Je pus voir que ses joues portais les traces de ses doigts et sans savoir pourquoi cela m’a mis encore plus en colère. Je conduisis jusqu’à chez moi sans rien dis, alors qu’elle et les filles parlaient de tout et de rien. Arriver à la maison on allait tout les quatre dans ma chambre, je pouvis sentis son malaise mais je m’en fiche, je mis un dessin animés de barbie et j’allais dans le dressing ou elle me suivit

- Je veux rentrer chez moi Dan

- Non, tu reste ici. 

- Tu te prends pour qui pour vouloir m’imposer ta volonté ? je ne suis pas ton enfant tu comprends ? 

- Tu baisse d’un ton, moi non plus je ne suis pas ton gamin, j’ai dis tu reste ici point final

- Et je dis non je veux rentrez chez moi, tu n’as pas le droit de me retenir ici contre mon gré je suis une adulte

- La porte au fond donne sur la salle de bain, va prendre ne douche mets ce t-shirt et viens nous rejoindre. Dis-je en sortant du dressing

- Tu n’es qu’un macho, vous tous de… elle n’eu pas le temps de terminer sa phrase que je la plaquais contre le mur avant de prendre possession de ses lèvres, elle n’émit aucune résistance bien au contraire ses bras entourèrent déjà ma tête. Je la relâchais à contre cœur

- Tu parle trop Mi, va prendre une douche ça te feras du bien

Elle n’ajouta rien et je sortis de là, les filles étaient devant leur dessin animés, je descendis à la cuisine donner des ordres pour le déjeuner à mon cuisinier avant de remonter. Je suis allé dans mon dressing mettre quelque chose de plus confortable quand j’ai entendu des sanglots venant de la salle de bain. J’y entrais sans réfléchis, elle était assise dans la douche en pleure pendant que l’eau coulait sur son corps, j’entrais dans la douche tout habiller et la pris dans mes bras. Je la portais à la baignoire, lui fis prendre son bain en silence, elle ne sanglotait plus mais des larmes coulaient sur son visage. Je la fis sortis du bain, lui tendit une serviette avant d’appeler la nounou pour qu’elle vienne chercher les petites

- On veut rester avec tata Mimi. Dit Fiona en refusant de suivre la nounou

- Tata Mimi se porte pas bien, elle va venir jouer avec vous d’elle qu’elle ira mieux

- Elle va passé la journée ici ? demanda Fanny

- Oui mes amours, vous aurez tout le temps de jouer avec elle

Elles consentirent enfin à suivre leur nounou. Je trouvais Myriam dans le dressing serviette noué à la poitrine. Je lui fis enfiler l’un de mes grand t-shirt avant d’aller la faire coucher dans mon lit, j’allais prendre une douche froide à mon tour avant de venir me coucher près d’elle en lui caressant les cheveux jusqu’à ce qu’elle s’en dorme. J’allais ensuite rejoindre les enfants au salon devant la télé histoire de jouer un peu avec elle, je voulais qu’on fasse quelque brasse ensemble mais il pleuvait des cordes depuis tout à l’heure donc on était contraint à rester dans la maison. Elles finirent par s’en dormir après le déjeuner, j’allais le faire coucher dans leur chambre, je pris ensuite un plateau bien chargé dans la cuisine avant d’aller dans ma chambre la trouver toujours en dormir, Je n’avais pas le cœur à la réveiller donc je me couchais près d’elle. A peine le sommeille commençait à venir que je sentis une quelque chose bouger dans mon jogging, ensuite des caresse sur ma bite, celle-ci ne tarda pas à se tendre

- Fais-moi l’amour stp. Entendis-je chuchoter

J’ouvris légèrement les yeux pour tomber sur son regard, elle me fixait droit dans les yeux tout en continuant ses caresse

- Mi ne fais pas ça

- Fais moi l’amour stp, j’ai envie de me sentis aimer, j’ai envie de sentir ta bite au fonds de moi 

- Ce n’est pas une bonne idée, on se connait à peine et je n’ai pas envie de gâcher cette amitié naissante

Elle retira sa main de mon jogging, je pensais qu’elle avait compris mais au lieu de ce coucher tranquillement, elle enleva le t-shirt qu’elle portait et se mit sur moi avec sa poitrine qui me narguait à présent. Elle se mit à se caresser la poitrine tout en bougeant doucement sur ma bosse, elle introduisit son majeur et son index dans sa fente avant de les porter à sa bouche et ses yeux était toujours accrocher au mien. J’étais gonflé à bloc et elle continuait son manège en gémissant et se tirant les cheveux, c’était tellement excitant

- Fuck ! jurais-je avant de la renverser et de prendre place au dessus d’elle. Je mordillais ses tétons tour à tour pendant que mes doigts fouillais dans son intimité, je ramenais ensuite mes doigts à sa bouche et elle les léchait, je me redressais pour enlever mon jogging avant de revenir prendre place au dessus d’elle et prendre ses lèvres dans un baiser possessif

- Je ne partage pas, jamais ! dis-je en la pénétrant millimètre par millimètre  

- Oh !

- On est d’accord ? dis-je en commençant à bouger en elle

- Oh, hummm !

- On est d’accord Mi ? dis-je en m’arrêtant

- Oui on est d’accord, continue stp. Dit-elle en ondulant le bassin

- Ouvre les yeux et regarde moi si tu veux que je continu. 

Elle obéit instantanément. Je m suis mis à bouger en elle, lentement tout en la caressant et l’embrassant, elle n’était plus que gémissement, elle ferma les yeux quand elle sentit la jouissance se pointer mais je lui ordonnais de les ouvrir, je voulais voir l’éclat de ses yeux quand elle jouit. Elle émit un long râle en me pressant les fesses, ses parois se resserraient autour de ma bite, j’accélérais un peu la cadence avant de me déverser en elle alors que le tonnerre grondait avec toute sa colère. 



Michael Aman


- Tu es sûre que tu veux que je passe chez toi ?

- Oui babe, tu peux venir

- Ok, à toute

- Bisous

Cela fait pratiquement une semaine que Mel est malade et je n’ai pas pu la voir depuis parce que je ne connais pas chez elle et elle m’y avait jamais invité de toute façon mais je n’ai rien dis parce que ce n’est pas le moment vu son état de santé. Je suis donc surpris qu’elle m’envois son adresse en disant qu’elle à envie de me voir et veux que je passe. Est-ce à dire qu’elle est prête à envoyer cette relation à un autre niveau ? J’espère que je ne m’emballe pas trop. Ce matin je suis venu voir ma mère pour lui demander conseil car j’envisage de plus en plus aller au USA comme me l’a proposé Anita, je vais en parler à maman et ensuite à Mel. 

Après ma visite chez maman qui m’encourage à poursuivre mes rêves je passe chez un petit du quartier nommé Jules, je le connais depuis qu’il est gamin et j’ai pensé à lui pour m’aider si je devais monter une boîte à distance parce que c’est quelque de travailleur et conscient, il n’était malheureusement pas chez lui mais j’ai laissé mon numéro pour qu’il m’appel. 

Je vais ensuite à l’appart prendre une douche et me rendre présentable avant de me rendre chez Mel. Le gardien vint m’ouvrir la porte quand je sonnais, je déclinais mon identité et il me laissa entrer. Je trouvais sa mère assise devant la télé

- Bonsoir maman. Dis-je en m’inclinant légèrement 

- Bonsoir, y’a la place

- Merci maman. Dis-je en m’asseyant

- Anaïs ! cria-t-elle, apporte de le ici

- Ce n’est pas nécessaire maman

- Ahii pourquoi ? attends elle va t’envoyer un peu d’eau tu vas boire

- Bonsoir monsieur. Fis une jeune fille qui ressemblait beaucoup à Mel mais plus mince et plus clair qu’elle

- Bonsoir Anaïs, heureux de te rencontrer ta sœur parle beaucoup de toi

- Vraiment ? en bien j’espère. Dit-elle en souriant

- Sers l’eau au monsieur et va appeler ta sœur

Elle me servit et disparu vers les escaliers 

- Alors nouvelle ? demanda la mère après que j’ai bu une gorgé et poser le verre

- Y’a rien de grave maman, je m’appel Michael Aman et je suis un ami de Meliane et comme elle est malade je suis passé la voir

- Ah c’est bien ! un ami seulement ?

- Euuh… c'est-à-dire que… fis-je en me grattant la tête

- Elle demande à e que vous montiez. Dis sa sœur en revenant et me sauvant ainsi de l’embarras 

- Mais tu vas où ? accompagne le non ? lui dit sa mère alors qu’elle retournait dans la cuisine.

Elle revint sur ses pas et m conduisit à la chambre de Mel, je frappais avant d’entré alors que Anaïs retournais sur ses pas

- Mel ? appelais-je en ne la voyant pas dans sa chambre

- Je suis dans la salle de bain babe donne moi quelque minutes

- D’accord. 

Je pris place sur son lit tout en admirant sa chambre, c’était bien rangé spacieux, j’aimais bien la peinture,  les murs étaient blancs mais avec des dessins de différente couleurs et un grand portrait d’elle coller au mur. Son portable c’est mis à sonner

- Babe portable. Dis-je à son endroit

- C’est qui ? répliqua-t-elle

- Mimi cœur

- Décroche stp et dis lui que je suis sous la douche

- Ok. 

Mais l’appel se coupa quand je voulu décrocher, je voulais le lui dire quand sa se remis à sonner et vu que c’était toujours Mimi je décidais de décrochais

- Tu es folle Mel, comment tu as pu avorter sans en parlé avec lui ? t’imagine la réaction de Michael quand il va apprendre que tu à avorter de son enfant sans demander son avis ? cria-t-elle au bout du fil

J’étais comme pétrifié, elle vient de dire quoi ? Mel avorté de mon enfant ?

- Allô ! allô Mel, tu me réponds pas ?

- Bonsoir Myriam. Dis-je d’une voix tremblante, tu peux répéter ce que tu viens d dire ?

- Eeeh Seigneur ! merde. Fit-elle avant de raccrocher

Mel n’a pas osé, non elle n’a pas osé

- Babe ? entendis-je derrière moi

Je me retournais et elle était arrêter là tout souris en se nettoyant les cheveux. Non Mel n’a pas pu faire ça !


Amour et critères