Engrenage - Episode 5

Write by chrochro241

Suite de l’épisode 4

 

*** Dans la tête de Savana ***

 

Je me réveille et m’étire avant de le lever après un instant. Je m’assois sur le bord du lit, quelques secondes, le temps que la fatigue du sommeil se dissipe dans mon corps. Les derniers évènements me reviennent de la journée me reviennent en tête. Rom était rentrée plus tôt du boulot… Il m’a fait l’amour dans la cuisine… C’est mieux que les fois précédentes car depuis on ne faisait que des flirts, câlins, bisons puis il me faisait jouir avec ses doigts en moi. Ce n’est qu’aujourd’hui, après 4 jours de sexe sans sexe, qu’il m’a enfin fait eut un vrai rapport sexuel. Pas un, mais deux rapports… Deux bons coups et deux bonnes doses surtout pour moi.

 

On avait fini en apothéose notre second round de corps à corps très chaud en levrette debout, dans la salle de douche de ma chambre  Mes petites rondes fesses étaient douloureux tellement il avait fait fort en cognant son bassin sur mon derrière pour me culbuter en levrette. C’était brutal et bestial mais intense. J’ai aimé ce coup ! Tout était bien, j’étais heureuse après avoir prise mon pieds. On prenait notre douche ensemble. Mais les choses se sont compliquées à ce moment-là.

 

*** Flashback ***

 

Peu après avoir couchés et jouit, je suis sous la douche avec Rom.

 

- Ça t’arrive de baiser comme tu viens de faire ? Demandai-je à Rom, souriant.

- Ça dépend !

- De quoi ? Demandai-je, très curieuse.

- Euh… mon état d’esprit ! Je crois !

- Tu étais brutal ! On dirait que tu voulais en finir avec moi. Dis-je, la mine amusée.

- Pardon de t’avoir brutalisé ! Je n’étais juste lâcher pour qu’on en profite bien.

- C’est toi qui en as bien profité vu comment tu me cognais fort.

- Ah bon ? Désolé chéri ! C’était pour ton bien.

- Non ! Ton bien !

- Tu n’as l’air d’avoir aimé ça.

- Si !

- Ok ! On retient ça !

- En tout cas j’ai eu ma dose. Je ne crois pas que j’aurais encore envie demain avant de rentrer chez moi à Lambaréné.

- Tu veux déjà rentré ?

- Demain ça fait une semaine que je suis chez toi. Et on avait convenu que je reste avec toi une semaine ici puis je rentre chez moi.

- …

 

Rom ne dit mais je le vois son regard fuyant le mien. Il fait soudain une tête de chien abattu. Je suis surprise et confuse.

 

- Rom…

- Ok ! C’est bon ! Tu rentreras demain chez toi. dit-il en parlant fort.

- Oh ! m’exclamai-je, abasourdie.

- Oh quoi ? C’est ce que tu veux non ? dit-il en haussant le ton.

- …

 

Sur ce, il sort de la douche. Je reste plantée là en essayant de comprendre l’attitude de Rom. A vrai dire je ne comprends pas surtout en voyant comment il s’emporte. Je suis perdue !

 

Après cela, je suis sorti à mon tour de la douche. Je me suis essuyé le corps avant d’enfiler le marcel de Rom que je portais avant qu’il rentre du boulot. Je suis rapidement allé à la cuisine pour regarder la marmite que j’avais laissée au feu doux sur le four. Je suis allé dire à Manou, la nourrice, de faire la table pour Rom et lui servir à manger. Puis je suis à retourner dans ma chambre pour me reposer. Les deux parties de jambes en l’air m’avait affaiblie.

 

*** Fin du flashback ***

 

Je me lève du lit et vais dans la douche me laver le visage. Je reviens dans la chambre regarder l’heure sur le téléphone posé sur le chevet du lit. Il est environ 17h. Je souris en voyant ce téléphone que je tiens dans ma main. Ce n’est pas le mien mais celui de Rom. Je lui pris de force vu qu’il en avait deux. Moi j’ai un téléphone Alcatel Pixi, téléphone Android bas de gamme mais assez simple d’usage. Il est aussi beaucoup moins performant que le téléphone de Rom qui est un iPhone 6, un téléphone luxueux et haut de gamme.  Il faut que réfléchisse avant que je rentre à Lambaréné sur comment faire pour que Rom me donne son iPhone là cadeau. Je veux le téléphone là. C’est trop beau et cool. Ça me fera un bon souvenir de mon premier passage et séjour à Libreville.

 

J’active l’appareil photo pour faire un selfie. Au lieu d’un selfie, j’en fais plusieurs en variant ma pose et l’ajustement du marcel de Rom qui est ample et grand sur mon petit corps fin. Je fais un selfie simple avant d’avoir l’idée de faire un selfie sexy. Je commence par faire un selfie sexy avec un gros plan sur les larges mamelons formant ma poitrine en balcon lourdement chargés. Je suis satisfaite de la photo qui en sort car je peux voir sur la photo les bouts de mes seins qui se dessinent sur le léger tissu de bretelle du marcel qui les couvrent sans pouvoir cacher davantage mes larges mamelons qui se dévoilent visiblement.

 

Puis un autre selfie où je suis de profil et dos tourné. Je place le phone sur ma main un peu derrière moi et ajuste l’angle de vue pour cadrer la prise du selfie. J’ai au préalable retroussé le bas du marcel par derrière jusqu’au bas de mon dos. Puis, j’ai aussi glisser le bas du marcel par devant pour le tirer vers mon entrejambe en l’enserrant entre mes cuisses serrées pour faire du marcel un body, sous-vêtement couvrant tout le tronc du corps de haut en bas comme le fait un maillot de bain une seule pièce sans manche et laissant les fesses plus ou moins couvertes. Je fais deux prise de vus avant d’entre satisfaite. Je voulais me prendre en photo en me montrant de dos et de profil, tout en exposant mes petites fesses rondes déshabillées.

 

Un bruit m’interpelle. Cela vient de la fenêtre ouverte de la douche dont le volet qui vient d’être fermé de dehors, plongeant toute la salle de douche la pénombre à ce que je vois depuis le milieu e la chambre. Je devine que c’est Manou, vu qu’elle fait ça chaque jour en fin d’après-midi pour fermer les fenêtres de la maison avant la tombée de la nuit et l’arrivée des moustiques.

 

Je me dirige vers la fenêtre ouverte de la chambre. Je tombe sur Manou qui s’apprêtait a fermé les volets ouverts. Elle est surprise de me voir apparaitre dans l’encadrement de la fenêtre en face d’elle.

 

- Oh ! Pardon si je vous ai dérangé et réveillé. Je ferme juste les fenêtres. Dit-elle, surprise.

- Non ! Ça va ! Tu as fait la table à monsieur ?

- Oui !

- Il a mangé !

- Oui !

- Ok ! Ferme !

 

Elle ferme les deux volets de la fenêtre que je verrouille par un verrou de l’intérieur avant de faire de même pour la fenêtre de la douche. Je reviens dans la chambre pour enfiler un grand pagne sous la taille et le noue autour des reins pour couvrir le bas de mon corps jusqu’au-dessus des pieds. Je sors de là avec l’iPhone en main et vais me servir à manger dans la cuisine où je mange assise sur la petite table de 4 places. Je finis mon assiette et le lave aussitôt.

 

Je quitte la cuisine pour le salon. Je trouve Rom assis devant la télévision.

 

*** Dans la tête de Rom ***

 

Je regarde la télévision pour me changer les idées et oublier votre copine-là qui veut déjà rentrer chez elle à Lambaréné alors qu’on est bien ici chez moi au calme. Bon, je reconnais qu’on avait convenu qu’elle vienne ici pour une semaine. J’espérais qu’entretemps qu’elle se plait ici et envisage de prolonger son séjour chez moi. Mais non elle veut déjà rentré à son village qu’on appelle Lambaréné. Bon, elle ne vit pas dans un village mais ville victime du sous-développement urbain rural. Du coup la ville ressemble un peu à un village vu l’état des maisons pour la plus part en bois et datant de l’époque de l’indépendance dans les années 1960. Mais sinon Lambaréné est un bel pour s’évader.

 

Pour l’instant je l‘observais depuis des jours pour voir quelle genre de fille elle est moralement et si elle veut la peine ou pas. J’avais fait preuve de patience avec Savana pour lui faire l’amour comme une reine. Je tenais à la faire languir avant de passer aux choses sérieuses sinon j’allais vite me lasser d’elle. Or je veux me « caser » avec elle et faire d’elle ma femme. En plus elle sait préparer des plats de nourriture locale que j’aime manger. Donc c’est la femme qui me faut pour la vie. En plus elle vachement bonne à baiser. Son vagin est serré et doux, déh ! Quand j’étais entré là-bas je ne voulais plus en sortir tellement j’avais le gout jusqu’àààààààààà. Tout ça pour dire, que l’avoir sauter était vrai plaisir. Je ne veux pas qu’elle parte. Ça, barré (jamais) ! Elle est à moi. Je sens que je l’ai dans la peau. S’il faut je vais l’enceinter pour qu’elle reste avec moi. j’ai les moyens de m’occuper d’elle et d’un enfant. Mais je réfléchirais d’abord sur son cas avant de décider si je dois lancer ce plan B pour lui faire un bébé.

 

A peine on commence les sérieuses, elle parle de rentrer chez elle. Tchuips ! Je n’aime pas ça ! Vraiment pas du tout. Cela m’avait tellement énervé que je l’avais prise en levrette debout comme fou furieux pour un second coup, dans la salle de douche, après le premier coup dans la cuisine. Je regrette de l’avoir fait l’amour toute à l’heure dans la cuisine. Apparemment comme elle a eu du plaisir elle veut déjà se caser chez elle, genre on baisé et puis basta. Pfff ! Tout ça pour ça ! Ça m’énerve ! Je la voulais qu’elle reste un peu plus. En parlant d’elle, la voilà votre copine-là qui fait son entrée dans mon salon. Tchuisp ! Je la vois du coin de l’œil. Elle est vêtue de mon marcel et d’un grand pagne qu’elle porte en bas jusqu’au-dessus des pieds. Je me demande si elle porté un dessous sous le pagne. Peut-être oui ou bien non ! Mon haut est et ample sur elle. Il suffirait d’écarte les bretelles sur les côtés pour dévoiler ses gros seins. En tout cas, cela lui va bien ! Vêtue comme ça elle est « bonne ». Elle exhibe sa forte poitrine et ses gros lolos qui ont le chic d’être moins couvert pour le plaisir des yeux.  J’ai de bondir sur elle pour bien pétrir (appuyer) fermement et vigoureusement ses seins là. Non ! Mieux je ne la regarde même pas malgré mon envie de la dévoré des yeux. Elle m’énerve avec sa décision de rentrer si tôt chez elle. Elle suit quoi même là-bas ? Aurait-elle un gars qui la baisait là-bas et qu’elle rejoindre ? Humm ! Je ne sais pas ! Je préfère ne pas chercher à le savoir. Pour l’instant, je refoule ma colère pour qu’elle ne remarque pas qu’elle m’énerve.

 

*** Dans la tête de Savana ***

 

Je suis entrée dans le salon. Rom ne regarde pas arriver et venir vers lui, chose qu’il fait souvent. Je m’assois a côté de lui. Il a toujours les yeux fixé sur la télévision. Je regarde l’écran et vois qu’il regarde la chaine Gabon24.

 

Je regarde la télé avec lui, sans vraiment d’enthousiasme. Je pense plus comment je vais lui demander de me donner son iPhone cadeau. J’attends le moment pour me lancer et remets à la minute suivante l’instant où je vais me lancer. Il faut dire que Rom n’est visiblement pas d’humeur à parler avec moi. Mais je vais essayer.

 

- Rom ! Dis-je faiblement en me tournant pour le regarder en face.

- …

 

Il regarde toujours la télé sans faire  attention à moi. C’est comme si je l’avais pas appelé ou parler. Je me pince les lèvres en voyant son indifférence qui me fait un peu mal. Je pose une  main sur sa poitrine. Il tourne la tête et me regarde, l’air de me demander ce que je veux.

 

- Pourquoi tu es comment ça avec moi ? Dis-je en le suppliant du regard pour qu’il me parle.

- Hum ! dit-il simplement.

- …

- …

- …

- …

- …

- Tu ne veux pas me parler ? Dis-je sans cesser de le regarder en face depuis quelques secondes.

 

Pour toute réponse de a part, il reporte son attention sur la télé. Je reste à le regarder pendant que lui il regarde la télé. Je me demande ce qu’il ne va pas, pourquoi il est devenu renfermé et froid avec moi. Je suis perdue. Je pousse un léger soupir en baissant les yeux avant de le regarder quelques secondes. Il fixe la télé et semble si sérieux que je sens qu’il est inutile que j’insiste pour avoir son attention.

 

Je me lève de ma place et lorsque je suis sur le point de commencer à marcher pour partir de là je l’entends parler brusquement :

 

- Je ne veux que tu rentres demain chez toi.

- …

 

Surprise d’entendre sa voix, je me fige sans le regarder.

- Pardon ? Tu dis quoi ? dis-je en me tournant vers lui.

- Je ne veux pas que tu rentres demain chez toi.

- …

- A vrai dire, je ne veux pas que tu partes.

- …

 

Je le regarde avec étonnement pendant qu’il fixe la télévision. « Pourquoi il ne veut pas que je rentre chez moi ? », pensai-je, confuse en le regardant. Je reste quelques secondes debout face à lui en train de le regarder sans comprendre ce qu’il veut.

 

*** Dans la tête de Rom ***

 

Elle est là en train de me regarder. Je fixe l’écran de la télé pour ne pas la regarder. Je n’ai pas la force de la regarder et lui demander de rester. Je vois bien du coin de l’œil comment elle me regarde. Je prends en aspiration et me lance :

 

- Je me suis habitué à toi ! Et je ressens des sentiments à tes égards. Dis-je !

- …

- Je tiens beaucoup à toi c’est pourquoi je ne veux que tu ne rentres demain chez toi.

- …

- J’aimerais que tu restes avec moi.

- Mais on avait convenu que je viens ici pour une semaine.

- Je sais ! Mais je n’ai pas envie que tu rentes.

- J’ai ma vie là-bas que j’ai mise en pause pour te suivre ici. Je dois rentrer pour la reprendre.

- Tu as quelqu’un là-bas ?

- Oui ! Ma mère !

- Je le sais ! Je voulais savoir en fait, si tu as un copain là-bas et avec qui tu t’es engagé.

- …

 

Je ne l’entends plus parler. C’est à cet instant que je tourne la tête vers elle pour la regarder.

 

- Non ! Finit-elle par dire.

 

Je pousse un léger soupir de soulagement.

- Pourquoi ? Ajoute-t-elle.

- Parce que je veux m’engager avec toi.

- T’engager ? Comment ?

- Je veux être ton petit ami, ton copain, ton homme.

- …

- Et pourquoi pas ton futur mari.

 

Sur ce, elle se met à rire. Apparemment c’est ma dernière phrase qui la fait rire. Pfff ! Je ne trouve pas cela drôle. Je parlais depuis là avec air sérieux. Elle finit de rire et me regarde, la mine amusée.

 

- T’es drôle, toi !' dit-elle !

- Je suis sérieux ! Très sérieux, même !

- …

 

Elle me regarde plus sérieusement et se pince les lèvres. Sous l’intensité de mon regard, elle baisse les yeux et les détrône des miens. Ce qui prouve qu’elle est troublée. Je l’ai dans la peau et sent que je peux l’avoir. Avec les femmes il suffit d’un geste, d’un regard ou d’un mot au bon moment, on finit par les avoir facilement car à ce moment-là elles se donnent et deviennent dociles.

 

Je pose une main sur ses fesses gauches que je presse vigoureusement. Elle se laisse faire une seconde avant de reculer pour mettre fin à cela.

 

*** Dans la tête de Savana ***

 

Je crois rêver après avoir écouté tout ce qu’il vient de me dire. Je n’avais même pas le cœur à lui répondre franchement. Si j’écoute mon cœur, je vais seulement dire « oui » sans réfléchir. Je me pince les lèvres car franchement je sais plus quoi pensé. 

 

- Alors ?

- Je ne sais pas quoi te dire. Dis-je !

- …

- J’ai besoin de réfléchir. Dis-je en fuyant son regard.

 

Sur ce, je tourne les talons et quitte le salon. Je regagne ma chambre. Je m’assois sur le lit et pousse un soupir en prenant ma tête en très mes mains. Tout était si simple. Là rom me complique les choses. Je vois bien où il veut en venir mais je ne suis pas prête pour une relation. J’ai besoin de temps pour y réfléchir. En venant chez Rom, je n’avais pas prévu ça. Et voilà que ça me tombe dessus. Bon, il est vrai que je suis célibataire et sans copain. Je ne me vois pas déjà être en couple avec Rom. C’est trop tôt ! On commence à peine à connaitre intimement. Cela me plait mais je ne suis pas certaine qu’il soit sérieux dans son désir de sortir avec moi. Peut-être qu’il veut juste me m’embrouiller et me retenir ici pour me baiser pendant un temps. Les hommes, on les connait. Quand ils eu ce qu’ils voulaient d’une femme, il la te jette après. Tous les hommes ne sont pas pareils mais ils sont tous les mêmes.

 

Il est trop pour que je me décide pour ce que Rom attend de moi. J’ai l’impression que tout allait trop vite… Il fallait que je me calme un peu et que je réalise ce qui était en train de se passer, Je vais y réfléchir cette nuit. Comme on dit, la nuit porte conseils. On parlant de la nuit, elle est tombée. Il est 19h sur la montre accroché au mur de la chambre.

 

Je me lève et me déshabille, abandonnant mon vêtement dans la chambre pour me rendre toue nue dans la salle de douche. J’entre et ne referme pas la porte derrière moi. J’ouvris l’eau chaude et pousse un soupir d’aise. Je me détends aussitôt et commence à ma doucher… je me fait un Shampooing en un temps record et me savonne longuement sans me soucier du temps qui passe. J’étais en train de me rincer le corps et avais les yeux clos lorsque je sens subitement deux mains venues dans mon dos et dont les doigts glissent sur ma peau mouillée, le long de ma taille. Tout mon corps frissonne. Une peur bleu m’assaillit et me fait froid dans le dos. Suite à la surprise et la peur due à à ce contact inattendu sur moi, j’ouvre les yeux brusquement en sursautant. Je me tourne et tombe nez à nez avec un Rom, souriant.

 

-  Rom… ! Dis-je, apeurée !

 

Je n’ai le temps de finir ma phrase, je sens quelque se poser sur mes lèvres et me faire taire.

 

- Chuuuuut ! dit-il en posant son index sur mes lèvres.

- …

- Je vais enlever mon doigt de ta bouche. Je t’interdis de dire un seul mot. Tais-toi et laisse-toi faire…

- …

 

Je le regarde en face. Je baisse les yeux et découvre qu’il est tout nu, lui aussi. Ses paroles ont l’air assez autoritaire mais en réalité il m’a parlé dit de façon si douce. J’hoche la tête simplement pour dire « oui » puisqu’apparemment il ne me laisse pas le choix. Il enlève son doigt de ma bouche. Je ne dis rien. Je le regarde en attendant de voir ce qu’il compte faire et je devrais le laisse faire et laisser complètement faire.

 

Je vois Rom s’approcher et se coller contre moi avant de m’embrasser doucement en me caressant un peu partout. Je frémis sous les caresses de ses mains qui effleurent ma peau avec lenteur et douceur. Mes poils se dressent dans le même temps. Il s’en suit une danse des plus sensuelles, rythmée par bruits de succions de nos bouches, mes soupirs de plus en plus fréquents et ponctués de mes geignements qui indiquent à quel point l’un de nous prendre plaisir à cet instant.

 

Puis vient le moment où l’excitation est au summum alors que l’eau chaude continue de couler sur nos deux corps. Je mouillais ! Et lui il bandait !! Nous étions donc toujours sous la douche à nous embrasser avec la langue lorsque je sens une main de Rom se glisser derrière moi sous mes mes fesses… C’est d’abord un doigt qui vient caresser mes grandes lèvres avant de s’enfoncer tout doucement dans l’entrée de ma fente. Il me doigte par derrière avec un puis deux doigts qui semblent être le majeur et l’annulaire, si j’en crois bien la taille des phalanges que je sens bouger en moi. D’ailleurs il y a bien autre chose que j’aimerais sentir en moi. Ce bâton de chair dur et chaud que je le sens contre mon ventre alors que le bout rosé pointe vers mon bas ventre. J’empoigne le membre et l’astique doucement en le regardant avec envie. Je m’accroupie devant lui et le prend en bouche afin de pouvoir le sucer. Je connais le bon rythme de fellation qui fait grimper un homme au rideau. A peine avais-je commence il grogne et soupire déjà. Il m’interrompt et me relever.

 

- Sortons d’ici ! dit-il en fermant le robinet d’eau.

 

Il m’entraine hors de la douche et attrape ma serviette en sortant pour me sécher. Je suis surprise agréablement de le voir m’essuyer le corps. A vrai dur c’est la première fois qu’il le fait. Il se met alors à frotter la serviette doucement et lentement sur mon corps pour me débarrasser des gouttes d’eau qui s’y trouvent. D’abord sur le visage. Ensuite le cou, la poitrine après mes épaules. Puis se sont mes seins qui sont essuyé. Je sens les bouts réagir sensiblement aux frottements que la serviette fait dessus. Je me pince les lèvres doucement en regarde le geste qui se fait et qui descend sur mon ventre, mes reins, mon dos, le bas du dos, les fesses et les jambes. Puis au fur et à mesure qu’il descendait, il finit par mettre un genou à terre et se retrouve nez à nez avec mon triangle d’amour. Il tapote mon pubis un bout de la serviette avant de s’y prendre de manière un peu plus franche pour sécher les poils recouvrant cette surface.  Ce contact anodin provoque en moi de picotements de plaisir sur mon bas ventre. C’est le signe que je commence vraiment excitée par toute cette attention particulière.  

 

*** Dans la tête de Rom ***

 

Je suis en train de sécher son pubis. Je trouve ça joli avec ces petits poils qui le couvre un peu partout sur la surface de son joli triangle du plaisir. On dit que la femme c’est le beau sexe. Ce n’est pas faux ! J’en ai la preuve sous mes yeux. Sur une impulsion à force regarde ce minou, j’approche mon visage de cette fente que je sentais palpiter sous les frottements légers de la serviette que j’appliquais dessus. Son bassin bougeait aussi sensiblement par saccades. Je pose un baiser sur son sexe détrempé, entraînant chez Savana un long soupir. Elle pose ses deux mains sur ma tête lorsque je suis décidé à plaquer ma bouche encore plus contre son intimité envoutante et à l’odeur enivrante.

 

Je prends ses grandes lèvres entre mes lèvres pour les faire rouler avec délice dans l’entrée de ma bouche. Savana halète au fur à mesure. Puis ce n’est plus des soupirs mais de petits cris qui s’échappent de sa bouche. Je sais à présent qu’il est temps que je lui donne le plaisir qu’elle mérite même ce sera probablement la dernière fois que je lui procure cela. Avec mon pouce et index, j’écarte les douces lèvres de sa fente et découvre de son capuchon un clitoris d’un rose magnifique. Je pose la pointe de ma langue sur celui-ci avant de l’agacer en le titillant du bout de ma langue. J’enroule ma langue sur ce doux bourgeon, puis je descendis ma langue dans l’entrée rosée de sa cave suintante. J’aspire tout son liquide, appréciant toute la saveur de celui-ci. Ma bouche est à présent collée entièrement à sa fente offerte que je broute avec avidité. J’entends Savana geindre puis crier en se tortillant de plaisir.

 

Je reviens sur son petit bonbon d’amour que je tété entre mes lèvres. Je vois alors que le bassin sous les yeux se crisper avant d’être secoué de spasmes violents. Savana émet des cris stridents et des paroles incompréhensibles. Je comprends parfaitement qu’elle est là dans un état second proche de la crise des nerfs. Elle semble avoir un orgasme foudroyant qui la secoue le corps vu comment je la sens trembler debout. Elle halète beaucoup. Je lève les yeux vers sa tête que je vois se balancer de droite à gauche. Sa lourde poitrine en balcon se gonfle et se dégonfle au rythme de sa respiration.

 

- Han… Encore… Je t’en prie encore… Je veux… encore ! dit-elle en prenant ma tête entre ses deux mains.

- …

- S’il te plait ! Fais-moi encore jouir…J’ai jamais joui comme cela… c’est grave !

- …

 

Je ne me fais pas prier. Comme fou, j’aspirais autant que je le pouvais ce calice merveilleux qu’elle m’offrait, don sublime de son corps que je sens tout frêle.

 

- Hummm… Mmmmm… comme c’est bon… Oui ! J’aime… C’est bon… Encore ! Dit-elle en geignant.

 

Puis j’écarte à nouveau ses lèvres détrempées, libérant ainsi son clitoris que je ne manque pas de reprendre en l’aspirant avec vigueur dans ma bouche.

 

-  Encore… encore… Je t’en priiiie ! Ouiiii ! Aaaah ! dit-elle en geignant de plus belle.

 

Avec frénésie ma langue va de son clitoris à l’entrée de sa fente jusqu’à l’intérieur. Puis n’en pouvant plus, elle me dit :

 

- Oh ! Mon dieu, tu m’as donné un pied terrible…jamais je n’ai joui comme cela… Hummmm… je suis morte… Je veux dormir un peu… Pardon Romuald… Arrête maintenant sinon vas me tuer… Allons sur le lit… s’il te plait !

 

*** Dans la tête Savana ***

 

Cet homme va me rendre folle. Je crois le le suis déjà. Il va plutôt me tuer avec le tout le gout insupportable qu’il me donne là. Je suis plus que plaisir. Je jouis, je jouis, je jouis fatigué. Le gout peut tuer, ç a c’est une certitude !  Mon corps tremble de fatigue. Je suis comme en transe. Mes jambes sont affaiblies mon émotion arrivé à son comble et peinent à me maintenir debout. Il faut que je m’allonge sinon je vais m’effondrer.

 

*** Dans la tête de Rom ***

 

Je me suis lever pour l’aider à marcher et atteindre le lit où elle s’affale et s’allonge sur le ventre, laissant à nu sa belle croupe juvénile d’où je remarquais un grain de beauté fort bien placé sur la fesse droite. Je me mis à caresser le bas de ses reins, puis ses fesses.  Je regarde ce corps nu si sexy et si parfait. Mais n’y tenant plus je caresse avec le bout de mon index son petit trou si délicat qui se crispe et se resserre.

 

-  Mmmm… Je suis morte de fatigue… Laisse-moi à présent dormir un peu. Dit-elle faiblement et visiblement fatiguée.

 

Je la retrouve pour la coucher sur le dos. Je n’ai eu aucun mal à le faire car elle n’a opposé aucune résistance. Certainement à cause de la fatigue. Je monte sur elle afin de capturer ses lèvres.

 

*** Dans la tête de Savana ***

 

Rom retourne sur le lit et fait allonger sur le dos. Il vient tout près de moi et me regarda avec un air angélique avant de m’embrasser tendrement. Ce baiser annonce l’ouverture des festivités. Je sens qu’il va e faire ma fête. Serait-ce parce qu’il sait que je rentre chez moi demain ? Ou bien parce qu’il a grave envie de moi. Il est bien trop tard pour le savoir vraiment mais je sens que la nuit ne fait que commencer.

 

Presque à moitié sur moi, il vient se loger entre mes cuisses qu’il a relevées et écartées. Il n’y a aucune barrière entre son corps et le mien. Lorsqu’il vient m’embrasser de nouveau, je sens son pipi dur et tendu se frotter sur ma fente. Le membre dur effleure mon clitoris devenu si sensible, ce qui eut pour effet presque immédiat de me crisper et m’arracher un petit cri. Il remarque cela. Alors il se met à frottant de plus en plus son membre dur contre ma fente avant de se centrer sur l’entrée de foufoune. Il y enfonce juste son gland que je sens forcer l’entrée de ma fente avant qui ressort aussitôt.  Après il recommence ça plusieurs fois… Ce qui me déstabilise et m’agace !

 

- S’il te plaît, ne me fais pas ça. Dis-je en déglutissant.

- Faire quoi ? Mais je ne vois de quoi tu veux parler.

- Tu me torture ! Ce n’est pas sérieux !

- Lol ! Si tu le dis ! Dit-il en continuant quand même.

-  Prends-moi. Dis-je, la voix faible, et le souffle court.

 

A peine je dis ça, il pénètre d’un coup sec. Ce qui me coupe le souffle et me fait gémir sur le coup en crispant. Il commence à faire de légers va-et-vient bien trop lent à mon gout. Je veux me prenne bien fort  me baiser. Je craque et lui balance une réplique :

 

- C’est tout ce que tu as dans les reins ? dis-je, avec un petit sourire.

- Non ! j’ai plus d’un tour dans mon sac… Je veux mes sacs.

- Lol ! Tu n’es pas à la hauteur. Ça se voit ! Donc quitte sur moi ! Tu n’as la force pour me secouer comme il faut.

- Tu parles trop !

- Lol !

 

Sur ce, il se redresse et quitte entre mes jambes au lieu de démontrer sa vigueur. Je suis un peu déçue mais aussi soulagée car je vais pouvoir me reposer. Contre toute attente, il me retourne brusquement pour me coucher à plat ventre. Il empoigne mes seins qu’il tripote, tire, et malaxe en pinçant les bouts pointus et durcis d’excitation. Je soupire et geins en levant une jambe que plie pendant que je me laisse faire. Je savoure avant de le sentir me pénétrer avec sa bite. Il me l’a met d’un coup sec, m’arrachant un geignement bruyant.

 

Je ferme les yeux et m’agrippe sur les draps alors qu’il commence à cogner son bassin dur sur mes petites fesses rondes que je sens rebondir à chaque coup de butoir qu’il m’assène et que j’encaisse avec joie. Il me pilonne bien par derrière. Je geins en fermant plus les yeux, concentrant mon attention sur les va et vient de sa bite qui me lime. Je soupire de plaisir et de joie. Je me cambre sous lui, lui tendant mon postérieur alors qu’il me culbute, me donnant des coups de rein puissants qui m’écrasent sur le lit. Il me baise encore avant de se retire de moi et déverser sa semence tiède sur mes fesses. Après quoi, il s’essuie sur mes fesses avec une partie du drap pendant que je reste immobile et morte après des sensations aussi fortes qu’imprévues.

 

*** 2 mois plus tard ***

*** Dans la tête de Rom ***

 

Je me gare dans le parking de l’hôtel Radisson Blue, ex hôtel Intercontinental Okoumé Palace de Libreville. Je coupe le contact et regarde Savana assise à ma droite sur le siège passager avant. Ça fait deux que nous sommes officiellement en couple. Tout va bien sauf du coté de mon travail.

 

Aujourd’hui c’est le vendredi 5 mai 2017, date de la tenue du « BGFI CEO meeting » organisée par la BGFI Bank. Ce sera l’occasion pour moi de connaitre si je suis impliqué ou non dans l’affaire de la fraude financier qui nous fait perdre 2 milliards de Francs CFA. Savana est au courant et me soutien. Je lui en avais parlé pour le prévenir si jamais je suis arrêté et conduit en prison.

 

A SUIVRE ! 

L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

ENGRENAGE