Suite de l’épisode 8

Assise depuis un instant dans une des cabines des toilettes pour dames, Savana reprenait ses esprits après avoir pleuré en silence. Heureusement qu’elle ne s’était pas maquillé sinon son maquillage allait  coulé avec les larmes et taché son visage. Elle tiré de sa quiétude lorsqu’elle entend des coups frappés sur la porte du cabinet qu’elle occupe.

 

- Euh… Patientez une minute ! Et je sors ! dit-elle rapidement.

 

Elle essuie ses larmes et remet son string en se levant. Elle descend sa robe sur ses cuisses et met de l’ordre sur sa tenue. Elle respire un bon coup pour se donner une certaine contenance avant de tourner le verrou de la porte pour déverrouiller celle-ci et sortir de la cabine WC.

 

Mais lorsqu’elle ouvre la porte et sort, elle rencontre sieur Bill By-Nzé. Elle sursaute en le voyant là. De surcroit dans les toilettes des dames. Il la pousse et la force à entrer à nouveau dans la cabine WC. Il ferme la porte derrière et tourne le verrou de la porte avant de se tourner vers elle. Elle le regarde sans comprendre.

 

- Mais qu’est ce vous faites là ? C’est le toilette des dames ici. Dit Savana, stupéfaite. 

- Calme-toi ! Et tait-toi ! Dit Mr Bill By-Nzé à voix base.

- Mais…

- Je t’ai dit de te taire !

- …

 

Savana se tait car il a parlé à haute voix en la poussant à s’asseoir brusquement sur le WC. Il ne dit rien pendant quelques secondes. Elle est choquée par la réaction brusque et l’attitude brutale de Mr Bill By-Nzé. Mais encore elle est étonnée de le voir s’introduire dans les toilettes des dames alors qu’il y a pourtant des toilettes des hommes. Elle ne pense pas qu’il se serait trompé de toilettes en pour se soulager.

 

- Tu es partie brusquement. Je t’ai suivi jusqu’ici pour voir où tu allais. Dit-il, à voix base.

- …

- Cela tombe bien que tu sois venue ici. On va pouvoir continuer notre petit arrangement.

- Vous êtes vraiment cinglée !

- Merci ! Je prends cela comme un compliment.

- Je ne peux…

- Bon, nous avons un accord ! dit-il sur un ton tranchant en la coupant la parole.

- Mais…

- Pas de « mais » avec moi ! Tu m’as dit « oui » pour accepter les conditions de notre deal.

- …

- Un deal est un deal. Respect ça ! Dit en fronçant les sourcils et approchant son visage du sien.

 

Il la regarde dans les yeux. Savana se sent intimidée et oppressée. Elle n’ose pas dire un mot. Elle se tait et baisse les yeux comme lorsque son père la grondait depuis qu’elle est toute petite. Quand on grandit sous le toit familial en subit le courroux des parents strictes, souvent sévère et qui bastonnent (frappent) en plus, on est victime à l’âge adulte d’un traumatisme rare appelé « trouble de l’éducation africaine ». Savana est victime de ce traumatisme, bien qu’elle ait quitté depuis le toit familial peut après avoir atteint à l’age adulte pour vivre seule. Ses parents l’ont apprise que quand une grande personne parle, on écoute et se tait. Aussi on ne la regarde pas en face quand elle nous regarde en face. L’éducation à l’africaine des enfants est expérience marquante que 2 enfants africains sur 3 subissent depuis petit et n’oublient pas plus tard une fois adulte. Connaisseur connait !  

 

Savana, qui considère Mr Bill By-Nzé comme une grande personne vu son statut de « patron de Rom », baisse les yeux devant son regard qui la trouble. Elle aurait souhaitée lui tenir tête, se montrer ferme ou plus ferme avec lui et peut-être mettre fin à cet arrangement qu’elle a consentit avec lui. Mais… hélas… elle n’en a pas le force ni le courage. Elle avait déjà accepté le deal. Cependant elle avait une telle peur d’énerver Mr Bill By-Nzé et de le voir se fâcher. Elle craint que cela retombe sur Rom par la suite, par sa faute.

 

Mr Bill By-Nzé vient la toucher. Ses mains parcourent le corps de Savana sans qu’elle ose opposer plus de résistance aux avances du patron. Il veut l’embrasser mais elle détourne la tête pour éviter tout contact de leurs bouches.

 

- Tu ne veux pas que je t’embrasse ? dit Mr Bill By-Nzé.

- Oui ! dit-elle avec le peu de courage qui la restait.
- …

- …

- Ok ! Pas grave ! Mais tu vas embrasser autre chose.

- Quoi ? dit-elle, surprise.

Il s’approche face elle assit sur le WC. Elle se trouve face au bassin du patron. Celui-ci défait son pantalon complètement, dévoilant un pipi tout flaque à Savana. Ahurie, elle recule la tête et détourne les yeux devant le pipi du patron.

 

- Ne fait pas la fille choquée. Tu en as déjà vu des bites je pense. Dit-il en souriant.

- …

- Bon, suce-moi !

- …

 

Savana regarde son visage et voit qu’il est sérieux et n’attend pas un refus. Elle déglutit et baisse les yeux sur le membre amollit en face d’elle.  Voyant qu’elle hésite depuis quelques secondes, il se fâche :

 

- Ne perdons pas de temps. On n’en a pas pour toute la nuit. Dit-il, sèchement.

- …

- Dépêche-toi de faire ce que je te demande. Tu as accepté le deal. Donc fait ! Et je ferais ma part pour Rom.

- …

 

Elle pense à Rom et se rend compte qu’elle doit le faire pour lui. D’une main hésitante, elle prend la bite molle du patron et commence à le masturber lentement et délicatement. La bite réagit, se gonflant et se dressant tout en se raidissant sans la main creuse de Savana. Le patron apprécie et soupire d’aise mais veut plus que cela.

 

- Suce-moi ! lance-t-il à voix basse.

 

Elle lève les yeux vers les siens tout en le branlent avec lenteur et douceur.  Elle sent le membre turgescent bien dur dans sa main. Elle lâche le sexe du patron et regarde le pipi gonflé de désirs. Elle voit une bite dure et d’une vigueur respectable. Le membre est long, un peu courbé vers le bas en d’être gros. Le tout forme une bite plutôt bien proportionnée.   

 

Elle attrape le bâton de chair dur et le relève, en pointant le gland vers le haut. Elle approche sa bouche de la tige et glisse la langue sur les boules. Elle entend le patron pousser un soupir et voit qu’il écarte un peu les jambes pendant que la bouche chaude et humide de Savana glisse le long de sa bite dure.

 

Savana n’est pas fière de ce qu’elle est en train de faire. Une partie pense qu’elle trahi Rom mais elle se rassure en pensant bien faire. Elle décide de bien le sucer en pensant que cela suffira à le faire jouir rapidement. Elle s’y met et y met du cœur à l’ouvrage pour vite en finir. Le patron soupire et grogne savourant cette gâterie qu’elle lui fait goulument, en alternant les petits coups de langue coquins, voire vicieux, les suçons torrides, les pompages en règle et par gorgée profonde.  Le patron est aux anges et se délecte de cette belle pipe qu’elle lui prodigue, tout en caressant sa paire de couilles.

 

Manifestement le patron, entre deux soupirs évocateurs de plaisirs, balance un commentaire :

- Mmmm… Tu es très douée pour sucer. Une vraie bouche à bite. Dit-il !

Bien qu’elle n’apprécie pas ce commentaire, elle se sent encouragée de la sorte. Elle accentue un peu plus ses caresses buccales, serrant ses lèvres sur la tige et creusant ses joues. C’est tout lui donnant quelques coups de langue subtils autour du gland puis sous ce dernier, que le patron balance la sauce dans un profond râle d’extase. Il éjacule au fond de ma gorge en soupirant bruyamment.

- Avale tout, petite pute. Dit-il en se vidant les couilles la bouche de Savana.

 

Elle s’efforce à tout avaler juste après l’éjaculation. Elle finit le travail en le nettoyant la bite dans sa bouche.  La queue du patron débande doucement, se laissant caresser par une langue habile. Entre deux soupirs de satisfaction, le patron retire son membre de la bouche de Savana. Elle le regarde et voit, par l’expression sur son visage, qu’il est visiblement satisfait de sa prestation.

 

- Rom a vraiment de la chance ! Je suis jaloux !

- Maintenant nous sommes quittes.

- Je t’ai dit que je te veux pour moi pendant tout le weekend. On n’est que vendredi. Tu es à moi jusqu’à dimanche. C’est ça ou oublie que je peux aider ton chéri à sortir de son pétrin.

- …

 

Savana ne trouve rien à dire et baisse les yeux par dépit.

 

- Lève-toi ! Et assoit sur la réservoir du WC.

 

 Elle lève les yeux vers lui pour le regarder, l’air surprise.

 

- Tu as attends quoi ? Fait ce que je te dis !

 

Résignée, elle s’exécute et s’installe dos au mur.

 

- Remonte ta robe que je puisse bien voir tes cuisses.

 

Elle hésite mais cède. Elle retrousse sa robe lentement jusqu’à dessus de ses cuisses, exposant ses jambes déshabillées et ses pieds chaussés de hauts talons.

 

- Ouvre tes jambes !... Ecarte les cuisses !... Humm… Montre-moi bien ton string là !

 

Elle suit les ordres docilement sans enthousiasme. Elle est très gênée d’aborder cette position indécente, robe retroussée et jambes écartées, exposant son entrejambe au regard vicieux du patron franchement pervers qui mate sa chatoune habillé du string qu’elle a mouillé.

 

- Bien ! Maintenant caresse toi ! Dit-il avec un sourire espiègle.

- Comment ? dit-elle, ahurie.

- Masturbe-toi ! Je veux te voir te faire jouir !

- …

- Fait le sans fermes les cuisses ! Et regarde-moi en te touchant.

- …

 

Jamais elle ne sait masturber devant un homme. Même devant Rom. Le faire serait très gênant ! Elle sent la honte l’envahir. Elle se pince les lèvres pour ne pas protester, chose qui serait vain car elle sait qu’elle doit faire tout ce qu’il lui demande conformément aux conditions du deal qu’elle a accepté à contrecœur.

 

Avec peine et une honte sans nom, elle envoie une main sur son entrejambe et commence se toucher les grandes lèvres au travers de la barrière de tissu humide cachant la fente détrempée. Le patron la regarde faire et suit avec un vif intérêt le geste de la main qui s’active sur l’entrejambe.

 

Savana se sent de plus en plus mal, plus humiliée que jamais. C’est en pensant pourquoi elle se rabaisse ainsi qu’elle trouve le courage de continuer de la sorte.

 

Elle relève sa robe qui est descendue sur ses cuisses qu’elle a abaissée en se fatiguant de les maintenir relever à la hauteur où c’était. Elle descend du réservoir du WC et remonte sa robe des cuisses jusqu’aux reins avant de s’assoir normalement sur la cuvette du WC. Elle s’adosse sur le reservoir, en  poussant le bassin en avant et les fesses dans le même mouvement vers le bord de la cuvette du WC pour montrer son entrejambe au spectateur et voyeur en face d’elle.

 

Elle écarte les cuisses impudiquement et insinue sa main dans string pour se caresser la fente et le clito. Ses caresses ne la laisse pas insensible. Sa fente palpite et la cyprine s’écoule. Elle se pince les lèvres et pousse un léger soupir. Timidement, elle  se rentre lentement 2 doigts dans la fente et les bouge en moi. Les doigts émettent un petit bruit étouffé alors qu’ils bougent si agréablement entre les lèvres mouillées.

 

Savana regarde Mr Bill By-Nzé. Le visage couvert par la honte et l’excitation, elle capte le regard lubrique du patron alors qu’elle s’enfonce lentement les doigts dans la foufoune. Sa fente humide et tremblante d’un brin de plaisir accueille les doigts en elle et se contracte pendant qu’ils l’écartent, en allant le plus possible dans l’antre du plaisir.  

 

Elle retient bruyamment son souffle et soupire en mords sa lèvres inférieure pour ne pas gémir. Elle retire ses doigts et agace le clito avec l’un des doigts mouillées.  Jambes toujours écartées, robe retroussée, elle se masturbe tout doucement par petites pressions sur le clito. Avec son pouce et son index, elle s’empare délicatement de son clitoris et le pince doucement. Son plaisir monte ! Elle jouit brusquement et frisonne de tout son corps. Elle aimerait gémir mais se mord nerveusement les lèvres pour se retenir de geindre. Dans le même temps, sa poitrine se gonfle alors qu’elle se tortille de plaisir et creuse son dos en basculant la tête en arrière. Elle est  prise de spasmes due à l’orgasme et sa chatte coule comme une fontaine.

 

Le patron s’approche et se baisse entre les jambes flageolantes d’une Savana frissonnante de plaisir. Il hésite une seconde, et sa main retire celle de Savana. Il pousser le tissu de son string et place sa langue sur la fente chaude et humide. La présence des poils sur la fente juvénile ne semble du tout le déranger. Il ne s’en préoccupe pas et se met l’ouvrage avec sa langue parcourant le sexe de Savana. Celle-ci ferme les cuisses autour de la tête patron et se tortille en sentant une bouche la brouter le minou. Ses mains empoignent ses larges mamelons et les pétrissent avec fougue, au travers du tissu de la robe et du soutien-gorge pendant qu’elle sent cette langue habile lui lécher la fente. Ses petites lèvres frémissent sous les coups de langue savamment appliquée dessus.

 

La langue agace le petit bouton rose et stimule une onde de choc sur le bassin de Savana. Elle ressent une sensation des plus exquises : le goût, un plaisir indescriptible et divin.

 

Un coup de langue circulaire sur son petit bonbon d’amour, Savana reçoit des décharges électriques dans le bas-ventre. Elle cambre brusquement et resserre ses cuisses d´un coup sec. Elle émet un râle très évocateur avant de pousser un cri sorti du plus profond d’elle. Elle pose vite une main sur sa bouche en réalisant qu’elle a crié. C’est en poussant un cri étouffé par sa main plaqué sur la bouche, qu’elle explose en poussant d’une main la tête du patron contre son entrejambe tandis qu’instinctivement elle serre la tête du monsieur entre ses cuisses tremblantes sous l’effet de l’émotion.

 

Reprenant un peu mes esprits, elle soupire profondément, respire vite et transpire.

Sans un mot, le patron se relève. Il essuie sa bouche avec du bout de papier toilette qu’il vient de prendre. Savana se redresse et le regarde s’essuyer la bouche. Il bande à nouveau et sa bite à l’air est tendue vers le visage de Savana. Elle regarde le gland pointé vers elle et le voit se rapprocher d’elle lorsque le patron se rapproche d’elle dans le même temps. Il frotte sa bite sur coin visage de Savana et tapote le gland sur sa bouche qu’elle garde fermée.

- Ouvre ta bouche, salope ! Dit le patron, en la tenant les cheveux par la nuque.

Savana n’apprécie pas ce langage ordurier et de ces manières de macho, En temps normal elle l’aurait insulté. Mais ce coup-ci qu’elle a un peu cherché quand même, elle subit l’affront et l’humiliation en silence. Soumise, elle le regarde dans les yeux et ouvre la bouche doucement, laissant entrer le gland jusque dans sa gorge.

 

Elle recule et avance la tête pour pratiquer une fellation. Le patron la tient la tête a deux main et enfonce toute sa bite dans la bouche dont il s’en sert ensuite pour la baiser par là. Savana manque de s’étouffer pendant que le patron, tel un primate, il entre et sort assez brutalement de sa bouche qu’il baise comme si c’était une foufoune. Savana n’a droit choix que de se laisser faire. Elle creuse ses joues, et suit le mouvement du bassin avançant et reculant devant sa bouche réceptive aspirant à la bite à chaque introduction de force.

 

En à peine une dizaine de coups de reins, un bruit de port qui s’ouvre se fait entendre. Des pas se rapprochent avant qu’un bruit de porte qu’on ferme et verrouille résonne. Mr Bill By-Nzé s’était arrêté et l’anxiété le gagne.

 

- Merde ! Dit-il tout bas.

 

Il se retire de la bouche de Savana et range vite son sexe dans pantalon. La personne qui vient d’arriver sort de la cabine WC et lave ses mains au lavabo puis sort. Mr Bill By-Nzé attend que les pas s’éloignent et disparaissent avant de sortir à son tour, et comme un voleur.

 

Savana n’a pas bougé. Elle est restée enfermée un instant avant de bouger de là. Elle se lave de la cabine WC et se laver les mains au lavabo. Elle se regarde dans la glace pour vérifier l’ordre de sa tenue avant de quitter les lieux.

 

Le cœur lourd et battant à la chamade, elle marche vers la salle des banquets. Elle se rend compte qu’elle a duré plus longtemps que prévu dans les toilettes. En plus, elle n’avait pas prévenu Rom. Elle pense que Rom a certainement remarqué son absence à la table et dans la toute la salle des banquets. Elle imagine qu’il doit déjà être en train de la chercher.

 

Se sentant fautive, elle s’arrête en chemin pour vite réfléchir. Elle se demande vite ce qu’elle pourrait trouver comme bonne excuse pour expliquer sa disparition sans que Rom ne se doute de rien.

Comme elle tournait au coin du couloir désert, elle rentre en collision avec Mr Bill By-Nzé.

 

- Ah, te voilà ! dit-il !

 

Il lui saisit la main et la tire brusquement dans la direction opposée de la salle des banquets. Elle veut protester mais Mr Bill By-Nzé pose rapidement un doigt sur ses lèvres pour la faire taire.

- Chuuuuutttt !

- …

- Rom te cherche pour monter dans votre chambre.

- Alors laissez-moi partir !

- Non, pas maintenant !

- Mais pourquoi ?

- On a un deal, toi et moi. Ne l’oublie !

- ….

Pendant le temps de cet échange, il entraîne Savana qui le suit à contrecœur. Elle traine les pieds malgré elle à cause de son envie de ne pas le suivre. Ils vont vers l’arrière d’un couloir dans le hall de l’hôtel, animé par les passages du personnel et de certains clients. Mr Bill By-Nzé ouvre la première porte qu’il rencontre en chemin dans le couloir. Il franchi la porte ouverte en tirant Savana avec lui et la poussant à l'intérieur de la pièce sombre où ils s’introduisent malgré l’obscurité qui y règne.

 

 

Mr Bill By-Nzé allume la lumière après avoir trouvé rapidement l’interrupteur à côté de la porte qu’il avait fermé dans son dos. Ils se trouvent dans un petit local aménagé avec rien de passionnant. Avant qu'elle a le temps de dire quoi que ce soit, Mr Bill By-Nzé  la pousse contre la porte et se presse contre elle pour plaquer ses lèvres contre les siennes, la volant ainsi un baiser.

 

 

A  SUIVRE !