<< Entre les griffes d’une diablesse >> 2ième partie et Fin

<< INFORMATION : profitez d'une promotion pour l'achat de mes Mes trois livres VICE INTERDIT - TENSION A YAOUNDE - PARADIS EN ENFER au prix de 4000 Frcfa/7euros ( 3 livres pour le prix de 2 ) Vous pouvez me contactez directement ici en message privé ou via Whatssap/Telegram au 00225 0759450105

Elle faisait vraiment peur. Une atmosphère pesante commençait à peser dans la chambre. Elle se releva au-dessus d’Arthur et lui lança un regard froid  

Carmelle : << Je le savais déjà. Ma sœur est bien avec toi… C’est si charmant un homme avec un tel objectif > >

Arthur : < < C’est d’accord ? Libère moi, s’il te plaît. Emmah va se sentir mal si elle est au courant de tout ça > >

Carmelle : << Tu n’arrêtes pas de parler de ma sœur depuis tout à l’heure… reste tranquille juste un peu… >>

Carmelle souleva le body qu’elle portait pour libérer ses seins. Elle marchait sur le lit en avançant vers le visage d’Arthur, bientôt elle fut complètement au-dessus de son visage et il vit qu’elle ne portait absolument rien en dessous

Carmelle : << Te faire physiquement taire est vraiment très simple >>

Arthur : << Eehiii Aattend Eeeh ? ? Carmelle ?? >>

Carmelle posa sa chatte toute trempée sur la bouche d’Arthur, elle s’appuyait tellement fort qu’on aurait dit qu’elle cherchait à l’étouffer. 

Carmelle : << Ta respiration saccadée veut dire que tu souffres beaucoup mmmh Comme c’est bon > >

Arthur : << Mmmh mmmh Mmmmmmmmh > >

Carmelle sentait la respiration chaude d’Arthur contre sa chatte et cela l’excitait de plus en plus. Ça la rendait étrangement chaude. Elle se caressait les seins, les malaxaient tout en frottant sa chatte sur la bouche et le nez d’Arthur. C’était tellement agréable pour elle. En regardant derrière elle, elle vit que la bite d’Arthur n’avait cessé de durcir malgré la situation dans laquelle il était 

Carmelle : < < Regarde comment tu bandes, tu es un pervers n'est-ce pas. Hihihi bon il est temps de passé à autre chose d’encore plus excitant >>

Carmelle se releva enfin du visage d’Arthur qui commençait à suffoquer à force de ne plus avoir de souffle. Il respirait fortement afin de reprendre son souffle 

Arthur : < < Han han an !!! Attend !! Ne me dis pas que tu prévois qu’on baise ensemble > >

Carmelle : << Oh c’est ce que tu prévoyais, Arthur, chéri ? >>

Arthur : << Hein ??? >>

Carmelle lui montra un préservatif qu’elle avait trouvé dans la poche de son pantalon 

Arthur : < < non, c’est dans mon pantalon depuis longtemps, j’ai dû l’oublier > >

Carmelle : < < Hihihi bien sûr, je comprends. Tu es assez sérieux pour utiliser des préservatifs quand tu couches avec ma sœur mais… si tu es vraiment amoureux d’elle, tu n’as pas à avoir peur de l’enceinte n'est-ce pas ? >>

Carmelle saisit dans sa bouche le bord de l’emballage du préservatif et le tira d’un coup pour le déchirer et le jeter. Tout cela sous le regard effrayé d’Arthur. Quelque chose ne clochait pas dans la tête de cette fille. Il en était sûr. Carmelle remonta sur le lit et présenta sa chatte a Arthur. Elle ouvrit les lèvres de sa chatte avec ses mains pour qu'Arthur voie bien au fond d’elle. Elle mouillait tellement que cela coulait sur le visage d’Arthur 

Carmelle : << Pour te prouver mon amour, je vais baiser avec toi sans préservatif >>

Arthur : << QUOI ??? !!! >>

Carmelle saisit la queue encore toute dure d’Arthur et se mit à frotter le gland sur son clitoris. Elle se léchait les lèvres comme si elle se délectait de cette situation. 

Carmelle : << Ta bite souffre, je vais la faire profiter de la douceur et la chaleur de ma chatte. Apprête toi, je vais la mettre à l’intérieur > >

Arthur : << Nooon ATTEND > >

Carmelle : < < Aah aaah Ouiii ça glisse à l’intérieur Aah la bite d’Arthur ouiii qu’est-ce qu’elle est bonne hAaahh c’est si gros > >

Carmel pénétra en elle tout doucement la bite d’Arthur jusqu’à être complètement assise sur sa queue. Elle resta immobile un instant pour savourer dans sa chatte ce membre qu’elle avait tant rêver accueillir en elle

Arthur : << OOH OOH AAAH >>

Carmelle : << Oh j’ai oublié de te dire quelque chose. Je suis dans un jour ou je peux tomber enceinte. Ca serait vraiment mauvais si tu jouissais en moi par accident >>

Arthur : << AHIII ?????? >>

Carmelle agissait comme une sorcière, elle mettait tellement de pression sur Arthur. Ce dernier ne savait plus si c’était une démonstration d’amour ou une vengeance qu’elle était en train d’opérer. Et à peine-t-elle lui dit cela qu’elle commença à se mouvoir sur sa bite. Et elle ne bougeait pas tout doucement, bien au contraire. Ses hanches étaient vraiment souples et elle pompait avait vigueur la bite d’Arthur. Elle avait tellement stoppé sa jouissance que tout était en train de rapidement lui monter dans la tête. Arthur n’avait plus que son esprit pour essayer de ne pas jouir, il ne fallait pas qu’il jouisse dans la chatte de la petite sœur à sa fiancée 

Arthur : << Aaah mmmh ne bouge pas comme ça aanhhh anhhh > >

Carmelle : << Si tu veux jouir mon amour je serais heureuse d’accepter en moi ta semence > >

Arthur : < < s'il te plaît Carmelle pitié, laisse-moi porter un préservatif > >

Carmelle : < < Hihihi si c’est ça alors ça ne serait pas encore mieux si tu l’endures et que tu ne jouis pas Arthur ? ? >>

Arthur : << Ah Oooh >>

C’est une sévère punition qu’elle était en train de lui infliger. Carmelle se coucha sur Arthur pour qu’il puisse sentir sa douce et généreuse poitrine.

 Il avait les mains liées, mais de par le contact avec la peau de son torse, il pouvait sentir à quel point il était doux. Et Carmelle ne cessait d’accélérer le mouvement, son bassin montait et redescendait sans perdre le rythme le long de sa bite. Elle avait un jeux de reins endiablés 

Carmelle : << Pourquoi est-ce que tu te retiens ? ? As-tu peur de me mettre enceinte ? Or alors… Mmh, j’en étais sûr. Tu ne veux pas trahir ma sœur. Ma chatte réclame tellement ton sperme et ton pénis veut tirer sa charge remplie de spermatozoïdes, enceinte-moi mon amour >>

Arthur sentait son pénis cogné au fin fond de la chatte de Carmelle. A chaque fois qu’elle bougeait, sa chatte se contractait encore plus autour de sa queue. Elle ne cessait de mouiller et de devenir de plus en plus étroite en même temps. Il essayait de toutes ses forces de résister à ses assauts, mais le plaisir le cernait de partout. Quand il essayait de fermer les yeux pour penser à autre chose, afin de retarder le plus que possible sa jouissance, Carmelle les lui ouvrait et balançait sa poitrine sur son visage. Pour encore plus l’exciter davantage, elle commença à l’embrasser tout en caressant ses tétons. S’il n'avait pas aussi mal, Arthur aurait aimé se sectionner les mains et fuir le plus loin que possible de cette chambre. Il n’en pouvait plus, il ne pouvait plus tenir, il en était arrivé à laisser couler des larmes tellement qu’il était à sa limite. Et ce spectacle amusait Carmelle. Torturer ainsi Arthur l’excitait davantage, car dans cette torture, elle sentait sa bite se durcir et grandir de plus en plus en elle. Elle savait qu’il était sur le point de jouir, mais ce n’était pas suffisant. Elle saisit fermement ses testicules et en pressa les bords comme pour stopper l’afflux sanguin. Pour empêcher Arthur de jouir, même s’il avait atteint sa limite. Le visage de ce dernier ne cessait de lui crier pitié, son expression était celle d’une personne qui avait perdu la force de lutter, mais Carmelle voulait l’entendre de vive voix, elle voulait l’entendre s’avouer vaincue 

Carmelle : << Alors qu’est-ce qu’on fait mon chou ? >>

Arthur : << Je – je … >>

Carmelle : << Hum ?? Quoi ?? je ne t’entends pas bien. Dis le plus fort et clairement > >

Arthur : < < JE T’EN SUPPLIE, LAISSE-MOI JOUIR JE N’EN PEUX PLUS >>

Le visage de Carmelle s’illumina d’un air salvateur. Comme si elle venait de gagner une bataille des plus difficiles. En se caressant les seins et le clitoris, elle continuait de se mouvoir sur la bite d’Arthur avec tout autant de fougue qu’au début 

Carmelle : < < C’est d’accord, laisse jaillir tout ce sperme que tu retiens dans ma chatte >>

Carmelle posa ses mains sur le torse d’Arthur et tout en caressant ses tétons, elle bougeait son bassin lui pompant ainsi la bite. Arthur sentait la libération, le plaisir recommençait à l’envahir à nouveau. La chatte de Carmelle était si délicieuse, bien meilleure que celle de sa sœur, bien meilleure que toutes les femmes avec qui il avait eu à coucher jusqu’à présent. Vu le calvaire qu’elle lui a fait enduré, cette jouissance était semblable à la libération subite d’un condamné a mort. 

Carmelle : < < Aaanhh aaah ouii ton pénis ne cesse d’être aspiré en moi mmh JOUIIIS JOUIIIS NE TE RETIENS PAS JOUUIIIIS >>

Arthur :  < < OOOH JE JOUIIIISSSSSS OOOOOOOHHHH >>

La quantité de sperme qu’Arthur relâcha se mit à déborder de la chatte de Carmelle. En penchant la tête vers le bas, elle admirait tout ce sperme qui s’écoulait de son vagin 

Carmelle : << Hihihi tu as tellement joui mon amour > > 

Plus tard dans la soirée, Emmah revint de son boulot et servit le dîner. Assis à table, elle demanda à Arthur s’il avait passé une agréable journée 

Carmelle : << Il m’a aidé à faire mes devoirs Emmah , ton fiancé est vraiment très intelligent > >

Emmah : << Oh, c'est vrai ça ? ? J’espère qu’elle ne t’a pas trop fatiguée > >

Arthur : << Haha pas du tout, elle se débrouille très bien, je n'ai pas eu grand-chose à lui montrer >>

Emmah : < < Tu me parais un peu pâle, tu es sûr que ça va ? ? >>

Sous la table, Carmelle se servait de son pied pour caresser l’entrejambe d’Arthur 

Arthur : < < Ouiii ça va parfaitement >>

Carmelle : << Ce n’est pas le moment de tomber malade mon beau, je compte sur toi pour m’aider dans mes devoirs dans les jours à venir >>

Arthur : << Haha … évidemment >>

Cette fille était effrayante et Arthur se retrouvait complètement piégé par elle. Fin