ÉPILOGUE 1:

Write by L'UNIVERS DE JOLA

ÉPILOGUE1

**LAURIA MBAZOGHO ÉPOUSE NZE**

Princy : Lauri les enfants sont déjà prêts ?

Moi : Oui. Ils ne sont pas au salon ?

Princy : Il n’y a que Prince au salon. Princesse et Prime (lire priame) ne sont pas là-bas.

Moi : Elle a encore emmené l’enfant là où ? Prince dit quoi ?

Princy : Qu’ils étaient avec toi. 

Moi : Si ta fille est encore partie salir mon enfant je vais la taper. 

Princy : Laisse moi l’enfant . 


Je pose la brosse à tissage que j’avais et je sors avec lui qui me suit derrière. 


Moi : (Appelant) Princesse ? Princesse ?

Princy : La Princesse Princia ?

Princesse : Papa ?

Princy : Tu es où chérie ?

Princesse : Je suis là à la douche.

Princy : Et tu fais quoi à


Il ne finit pas sa phrase que l’on pousse la porte en question pour voir la bonne dame qui est en train de laver son petit frère avec les vêtements aux corps. Ils sont tous les deux trempés. Je regarde son père comme pour dire que tu vois ?


Princesse : Prime a dit qu’il avait chaud et il voulait se laver.

Moi : Je te bastonne ?

Princesse : (Petite voix) Non maman, c’est prime qui a dit que

Moi : Prime a dit quoi ? Je ne viens pas de vous laver et vous habiller tout à l’heure ?

Princesse : (Petite voix) Si.

Moi : Et alors ?

Princesse : (Silence)

Moi : (À leur père) Je ne gère pas les choses de tes enfants, je retourne terminer mes choses. C’est toi qui encourage ta fille, il faut assumer.


La bonne dame se met à pleurer et son père va la consoler. Je tourne mes talons en roulant les yeux et je retourne dans notre chambre. Nous sommes invités chez le père de Princy, il y a un repas familial là-bas, j’avais déjà fini de les apprêter tous les deux mais la mini version de ya Leslie que j’ai dans ma maison là se prend pour la mère de ses frères et repasse toujours derrière moi pour faire x ou y choses. Elle a 4 ans et demi mais même Prince qui a 9 ans, elle le prend comme son enfant, je ne parle même pas de notre dernier Prime qui a 1 an.  C’est à se demander si entre nous deux c’est elle qui l’a accouché et quand je parle, son père dit que j’exagère, que ce n’est pas mauvais, qu’elle a déjà un esprit protecteur et un cœur de mère. Mais moi je ne sais pas s’il faut prendre ça du bon côté ou c’est quelque chose pour laquelle il faudra prier. Est-ce que c’est normal de vouloir être la mère de ses frères à cet âge ?

 Je soupire et je reprends la brosse que j’avais posée tout à l’heure pour finir de peigner mon tissage et le structurer comme je veux. Ceci terminé, je fais une légère mise en beauté, me parfume, enfile mes chaussures, récupère mon sac et je m’en vais. Je les rejoins tous au salon vu qu’apparemment leur père avait déjà fini de les changer. 


Princesse : (La tête baissée) Maman pardon, je ne voulais pas te fâcher, je voulais seulement laver mon petit frère.

Moi : Tu ne peux pas le laver dès qu’il est déjà propre. Si tu veux m’aider avec tes frères c’est bien mais tu viens d’abord me demander pour éviter de faire les bêtises, tu comprends ?

Princesse : Oui maman, je m’excuse.

Moi : D’accord, viens là. 


Elle se lève et vient vers moi. Je lui fais un câlin et lui arrange ses tresses avant de m’adresser à son père.


Moi : Je suis prête, on peut partir. 

Princy : Ok.


Je ramasse le sac à langer de son fils qu’il tient dans les bras et nous sortons tous pour nous embarquer dans ma voiture parce que c’est plus facile vu que le siège auto du petit est à l’intérieur. Tout le monde monte et Princy met le cap pour chez ses parents. Ces dernières années, les choses se sont considérablement améliorée entre sa famille et moi, les excuses et autres ont été demandées et nous avons fait table rase du passé. Sa sœur et moi n’avons plus aucun problème et nous sortons ensemble de temps en temps en dehors des programmes de famille. Le grand frère de Princy est également là, il songe de plus en plus à rentrer au Gabon étant donné que ses deux enfants sont déjà des adultes et universitaire qui ne vivent plus avec eux, il descend chaque vacance ici et a même récemment acheté une maison. Bref, nous arrivons au domicile familial et dès que nous descendons les enfants courent se jeter dans les bras de leur grand père qui est devenu au fil du temps, un personnage important dans leur vie….


**REINE DIVOKOU ÉPOUSE ABESSOLO**

Je finis de rendre toutes mes tripes dans le toilette avant de me redresser et de tirer la chasse. 


Moi : (Dans ma tête) Seigneur, est-ce que je vais m’en sortir ? Tchuip.


Je prends ma brosse à dents et je me brosse les dents histoire d’enlever le goût des vomis de ma bouche. Une fois terminée, je sors et retourne m’allonger sur le canapé du salon. Ça fait une semaine que je suis à la maison et que je n’arrive pas à faire quoique ce soit parce que l’enfant d’Abessolo a décidé de m’emmerder. Autant la grossesse de Reinal était tranquille et presque sans malaise autant la diva qui grandit dans mon ventre là me fait voir de toutes les couleurs. 6 mois déjà mais la demoiselle ne laisse pas les nausées, les vomis, le vertige et tout le reste. Pire encore lorsque je décide de travailler, que ce soit depuis la maison ou au travail, elle va te multiplier les malaises on dirait le problème. Mais quand je décide de m’allonger sur le canapé pour ne rien faire madame est tranquille. Si ça ce n’est pas le vampire, c’est donc quoi ? J’ai dit à son père que c’est la dernière car si c’est pour me taper ce genre de grossesse encore, mieux je passe mon tour. Mais le concerné n’est pas du même avis et me raconte les conneries comme quoi, Dieu lui aurait dit qu’il devait avoir 4 enfants, lui-même sait qui va porter les deux autres parce que moi Divokou après celle là j’en ai terminé. 

Mon téléphone sonne sur la tablette, j’ai tellement la flemme de me déplacer que je mets du temps avant de le récupérer, je regarde et c’est Iré qui m’appelle.


« Moi : Allô ? »

« Irène : Bonbons colas ou gingembre ? »

 «Moi : Gingembre pardon, il paraît que ça stoppe les nausées. »

 «Irène : C’est vrai. C’est tout ou tu veux encore autre chose ?»

 «Moi : Je veux les glaces au chocolat et un gâteau d’anniversaire »

 « Irène : (Riant) Attend Divokou c’est moi qui t’ai enceinté ? »

« Moi : Ce n’est pas moi qui veut ça c’est ta fille pardon, il faut emmener seulement »

« Irène : Dis à la diva là qu’elle viendra rembourser au centime près, tout l’argent qu’elle fait dépenser aux gens. N’est-ce pas c’est elle l’héritière ? On l’attend ici.»


Je ris et elle finit par raccrocher. Oui, l’enfant d’Abessolo ne s’amuse pas avec les caprices comme son père passe le temps à lui dire que c’est une héritière, c’est comme ça que ses caprices aussi sont dignes de son rang. Jusqu’à la dernière fois elle m’avait donné l’envie d’être assise dans un avion. Une semaine et demie, je n’arrivais pas à avaler quoique ce soit parce que madame voulait l’avion. Son père a payé un billet aller-retour pour Pog. Le comble c’est que je n’ai même pas franchis les portes de l’aéroport pour voir la ville. J’ai embarqué ici pour descendre et aussitôt je suis remontée pour revenir. Le gros sourire que j’avais après ça il n’y a que Dieu seul qui sait. C’est de là qu’est partie le terme '’Diva’’ avec lequel on l’appelle, tout le monde était dépassé. J’ai dit à Abessolo que voilà sa part d’enfant comme ça et le bon monsieur veut jusqu’à 4, qui est fou ?

Quelques minutes plus tard Iré est arrivée les mains chargées et un peu plus tard Rain en a fait de même avec d’autres doléances de la Diva. Après avoir menacé ma fille en riant, on est passé dans notre affairage. Elles sont toutes les deux en couple depuis 6 mois pour Rainha qui a fini par se mettre avec Kaleb et avec qui les choses se passent plutôt bien et 5 mois pour Irène avec un Congolais qu’elle avait rencontré lors de notre voyage en France pendant les préparatifs de mon mariage et que plus tard elle a revu ici. C’est encore récent mais nous avons pu constater que ça n’a rien à voir avec son ancienne relation. Et en parlant même de cet Hugo là, quand il a su qu’elle était en couple, il a fait tout un scandale comme quoi elle n’a pas le droit de présenter à son fils des hommes et que si elle ne mettait pas fin à ça, il allait récupérer Dylan. Irène lui a dit de venir prendre l’enfant s’il avait les moyens de s’en occuper. Il est venu gaillardement le prendre et même pas deux jours qu’il a ramené Dylan parce qu’il ne pouvait justement pas assumer ses charges. D’après ce que Dylan nous a dit, une femme serait venu dans la petite chambre qu’il loue dire qu’il est l’auteur de sa grossesse. Le gars a nié et a fui la maison pour ne pas assumer. Le comportement d’un homme de 37 ans, si ça ce n’est pas la malchance je ne sais pas ce que c’est. Heureusement ma copine est sortie des conneries et est heureuse. Elle l’était déjà toute seule et elle l’est avec son nouveau gars. Pour Ulrich, nous n’avons plus de ses nouvelles et c’est tant mieux. 

Les filles sont restées jusqu’à l’arrivée de monsieur Abessolo et de son porte monnaie qu’il trimballe partout. Vraiment si tu n’as pas les enfants ne reste pas à côté de l’homme là parce que l’aigreur et la frustration vont te tuer. Le gars agit comme quelqu’un qui voulait être père depuis des années et que maintenant que c’est fait personne ne peut plus respirer. Le gars emmène son fils jusqu’à son lieu de travail en l’habillant exactement comme lui. Je ne sais pas ce qu’il a dit là-bas pour que cela soit accepté. J’ai essayé de parler il m’a dit que c’est son fils, j’ai enlevé ma bouche dans ses choses. 


Eux : Bonsoir à vous.

Nous : Bonsoir à vous messieurs. 


Ils reviennent d’une balade entre mecs et ont des bras chargés. Ils tracent tous les deux à la cuisine avant de revenir nous faire des bises. Reinal copie tout ce que son père fait au point où quand son père m’embrasse sur la bouche, il veut aussi le faire.


Alvine : (Le retenant) Eh petit doucement hein.


Nous éclatons de rire. 


Rainha : (Riant) N’est-ce pas tu as dit que c’est la copie conforme à l’original ? Il ne faut plus le retenir.

Alvine : Il y a des limites. (Me caressant le ventre, ce que son fils aussi fait mais en y ajoutant des bisous) Et mon héritière ? Elle ne t’a pas trop embêté j’espère.

Moi : Regarde tout ce qui est posé sur la tablette, ce sont ses doléances.

Alvine : Ses mères ont l’argent.

Les filles : C’est ça. Il faut nous rembourser notre argent. 

Alvine : (Riant) Son père n’est pas pauvre. Envoyez la facture, il va rendre. 


Il finit de dire ça et il embarque son fils avec lui à l’étage pour le bain. Les filles aussi profitent à s’en aller. Je monte dans notre chambre où je trouve le père et le fils en caleçon avec des serviettes qu’ils essuient leurs têtes.


Moi : Abessolo ?

Les deux : (En chœur) Oui.


Malgré moi j’éclate de rire tellement je suis dépassée par cette situation. On peut faire les choses comme ça ??


**ARSÈNE MFOULA**

Paul : C’est moi ou le petit là brille de plus en plus ?

Alvine/Moi : Quel petit ?

Paul : Ton beau frère, il arrive.


Nous tournons tous nos têtes vers l’entrée du restaurant où il venait d’apparaître tout souriant avec son téléphone à l’oreille, il est apparemment en pleine conversation téléphonique. Et Paul n’a pas tort, depuis quelques semaines l’enfant là brille d’une façon particulière. On ne sait pas avec quels produits il se lave maintenant. Tout le monde le lui dit au boulot et il attire encore plus les femmes même qu’avant. Non seulement ça, il a toujours l’air joyeux et le sourire ne quitte plus ses lèvres. Ça contraste tellement avec le Loyd qu’on a toujours vu. 


Alvine : Le petit là doit être amoureux.

Moi : Normal, Bientôt le mariage, il va quitter la jachère dans pas longtemps.

Alvine : C’est l’anticipation qui le rend joyeux comme ça ?

Moi : Comme toi à l’approche du tien. 

Paul : Ah. En tout cas.


Il arrive devant nous et il raccroche avant de s’asseoir un large sourire sur les lèvres.


Loyd : Désolé pour le retard, j’avais une course rapide à faire. 

Moi : Hum. Dernièrement tu as trop de courses rapides. 


Il rit. 


Paul : C’est l’approche du mariage qui te rend joyeux comme ça ?

Loyd : Même pas. Juste que je me suis rendu compte que la vie est belle. (On le regarde) Et il faut en profiter. 

Alvine : Et c’est depuis quand ?

Loyd : Depuis quelques temps. 


Le serveur s’est rapproché et il a pris nos commandes. Nous sommes restés à parler de tout et de rien. Ebouma nous a dit qu’Alda faisait ses fiançailles le weekend et qu’elle l’avait chargé de nous passer la nouvelle. Depuis son histoire avec ce fou de keutch qui est toujours en prison, elle avait eu du mal à se remettre en couple avant de laisser une chance au gars avec qui elle est aujourd’hui . Nous avons acquiescé, on a déjeuné avant de nous séparer. Loyd et moi sommes retournés au boulot pour finir notre journée. Nous y avons appris qu’il y a un remaniement et que nous aurons le fin mot de l’histoire le lendemain matin car il y aura une réunion. La rumeur court que le DG actuel sera remplacé et qu’il y a deux ou trois autres postes qui seront libérés d’après les dire de la dernière réunion des actionnaires de la boîte. Dans tous les cas, nous saurons ce qu’il en est demain. On a fini notre journée et nous sommes rentrés. À la maison, j’ai trouvé Clotaire avec Leslie et les enfants. Lucrèce était sur le point de départ pour une sortie. Elle s’en va dans trois jours et donc on l’a laisse dire au revoir à ses amis et ses parents.


Moi : Bonsoir.


Clotaire se lève pour qu’on se fasse quelques embrassades propre aux hommes avant que je n’embrasse Leslie et les enfants. Je prends de ses nouvelles et il me dit qu’il est venu nous dire au revoir parce qu’il part en France rejoindre Marwane et Olivia qui y sont depuis un an déjà. Ils suivent tous les deux une thérapie en plus du travail qu’ils continuent de faire avec un des pères spirituel du pasteur Lilian à qui ils ont été recommandés. Le cas de Marwane est un peu délicat parce que nous avons appris qu’à force d’avoir été pris comme une femme, il avait perdu sa virilité, son sexe ne fonctionne plus bien et c’est en partie pour ça qu’il suit des thérapies et autres. Les nouvelles sont encourageantes et nous avons bon espoir que tout rentrera dans l’ordre pour lui.

 Pour ce qui est du reste des MEZUI et co liés à l’histoire de malédiction. MEZUI père a fini par être enterré car il était mort, sa femme n'a pas tardé à le suivre. Célestin est toujours fou et continue à coucher avec les animaux dans la rue tandis que les deux autres sont en prison. J’ai oui dire qu’ils sont devenus des femmes de certains prisonniers qui couchent avec eux dans le désordre. Aussi que quelques fois ils disent voir des esprits qui les fouettent, leur demandent de pisser et faire des selles avant de les consommer à la vue de tout le monde. On leur a fait passer des tests psychologiques pour voir s’ils étaient fous afin de les envoyer dans un asile mais cela n’a rien révélé donc ils sont restés en prison. Gérard a tenté de mettre fin à ses jours à trois reprises sans succès, l’Okouk ne le laisse pas. Leurs femmes se baladent dans les rues comme des prostituées de jours comme de nuit comme si on leur avait lancé des sorts. Tout ce qu’ils avaient comme fortune est inexistante aujourd’hui et plusieurs de leurs enfants sont aujourd’hui misérables parce qu’ils n’ont jamais appris à travailler. En ce qui concerne cette psychopathe de Syntiche et son mari. Ils sont également en prison avec plusieurs chefs d’accusation sur leurs têtes. Elle a essayé de faire du chantage à ses gens de qui elle avait les preuves qu’ils étaient ses clients pour sortir mais devant la médiatisation de l’affaire, elle n’a pas pu en rechaper et ses gens lui ont fait couper la langue et ont crevé un œil à son mari en prison pour leur dire que si jamais ils tentaient quoi que ce soit ce serait la mort assurée. Son personnel aussi a écopé et les orphelinats ont été fermés. Les pensionnaires ont tous été placé dans d’autres structures d’accueil .

Nous avons parlé avec Clotaire un moment avant de lui souhaiter un bon voyage. Nous sommes restés en famille.


Leslie : Mfoula, ton téléphone sonne.

Moi : Donne le moi stp.  C’est qui ?

Leslie : (Après avoir regardé) C’est ta fille.


Je prends et je décroche. On parle et elle me demande la permission de passer la nuit chez son père et de rentrer demain soir. Comme je n’y vois aucun inconvénient, j’accepte. Elle partira loin de lui pour longtemps et je comprends qu’elle veuille rester avec lui. Elle a toujours été proche de son père depuis des années et maintenant qu’il essaie de reprendre sa vie, elle fait tout pour l’aider et c’est quelque chose de noble. 


Leslie : Elle dit quoi ?

Moi : Elle va rester dormir chez Benoît.

Leslie : Hum. Je n’aime pas la savoir dans ce quartier alors qu’elle y passe la nuit ne me plaît pas.

Moi : (Soupirant) Je sais mais son père y est, on n’a pas trop de choix.

Leslie : Hum. On va toujours en ntoum ce weekend non ?

Moi : On va devoir reporter, Paul nous a dit aujourd’hui qu’Alda fait les fiançailles et nous sommes tous invités. 

Leslie : Ah, je voulais aller parler avec les femmes là pour voir l’avancement des choses. 

Moi : Je sais, on ira le weekend prochain. (Souriant)Je sais que la terre t’appelle et que ton cœur chauffe mais prend ton mal en patience. 

Leslie : (Allant dans la douche) Tchuip. 


Je ris et je retire mes vêtements pour aller la trouver là-bas. Elle ment de bouder mais finit par se laisser faire et prendre même les choses en main comme la panthère qu’elle a toujours été. C’est dans la baignoire que l’on s’en dort parce qu’on ne peut pas rejoindre le lit. Cette femme est dangereuse ( interdit aux moins de 30 ans, clin d’œil )


SECONDE CHANCE