Épilogue
Write by Linda Bongo
ÉPILOGUE
Sopi sonna au lourd portail effrayée comment réagirai son fils ?
Un agent de la sécurité ouvrit le portillon et lui demanda la raison de sa venue .
Sopi : dites à vos patrons que maman Sopi est la je suis la mère de monsieur Jérôme .
Le gardien la fit entrer et la fit assoir dans le coin réservé aux visiteurs .
Assise et craintive elle regarda l’agent se diriger vers la grande maison . Elle entendit des rires d’enfants avec des bruit de vélos . Elle se leva au mon Dieu si elle pouvait juste les apercevoir les toucher ses petits enfants .
La perte de Jérôme avait ruiné sa santé on lui avait diagnostiqué un cancer de la gorge . Elle qui n’avait jamais fumé ou bu avoir un cancer de la gorge .
Sa fille qui elle était en contact avec son frère lui donnait des nouvelles de jumeaux . Une véritable torture pour elle ne pas pouvoir toucher et faire partie de la vie de ses petits enfants.
Elle avait eu beau écrire appeler Jérôme était resté tel une porte de prison fermé et impénétrable. Elle savait ses jours comptes sa vie avait perdu tout sel . Comme elle regrettait d’avoir traité virginie de la sorte . Dieu lui avait donné la plus belle des victoires . Il fallait vraiment être fou pour ne pas voir la Justice divine dans cette histoire .
Elle avait perdu son fils ses petits enfants et une excellente belle fille qui avait commis comme seule crime d’avoir été choisie par son fils contre son choix à elle .
Comme cette raison lui paraissait futile et stupide maintenant . Ses jours étaient désormais comptés elle devait tenter le tout pour le tout .
Elle devait demander pardon pour tout le mal qu’elle avait causé à la femme de son fils . C’était cette sorcière de Vanessa qui avait du l’envoûter comme elle s’en voulait .
Elle se jetterait aux pieds de virginie si il le fallait elle était brisée anéantie . Jérôme n’avait même pas laissé une fente dans laquelle glisser une pièce ouverte à sa mère .
Elle avait tenté le tout pour le tout à travers des lettres des appels . Il avait renvoyé les lettres sans les ouvrir ça l’avait tue ;même quand elle changeait de numéro des qu’il reconnaissait sa voix il raccrochait .
Mais chaque mois elle recevait son virement chaque fête des mères il envoyait de l’argent à ses sœurs pour qu’elles la sortent et la couvre de cadeaux . A son anniversaire il envoyait un gros virement supplémentaire.
C’était ca le plus douloureux le plus horrible sentir financièrement son fils mais ne pas pouvoir le voir . Elle aurait donné tout ce qu’elle possédait pour une heure avec son fils une petite heure .
La porte de la grande porte s’ouvrît c’est Virginie qui apparue inquiète en courant toujours aussi longiligne et élégante .
Sopi se mit directement à genoux virginie horrifiée se mit à genoux aussi pour la relever .
Virginie : non maman non ne fais pas ça je t’en supplie . Les choses anciennes sont passées rentre voir tes petits enfants .
Sopi encore plus affectée par la gentillesse et le respect que virginie lui témoignait : ehhhh virginie je te demande pardon tu viens encore de me prouver quelle aveugle j’ai été .
Une autre n’aurait chassé insulte et m’aurait laissé traîner à ses pieds mais pas toi .
Sopi pleurait de vrais larmes de repentance elle réalisait à quel point elle avait été méchante odieuse diabolique elle avait été tout sauf une bonne chretienne. Elle méritait tout ce qu’il lui arrivait .
Sopi : virginie je ne mérite pas de rentrer dans ta demeure . Reste un peu avec moi si les enfants viennent par ici laisse moi les voir juste de mes yeux . Ne me présente même pas je ne veux pas qu’ils me réclament un jour . Je ne mérite pas de rentrer dans ta maison .
Virginie : non maman c’est la maison de ton fils aussi . Quelle genre de mère et de femme je serais ? Ma mère ne m’a pas éduquée ainsi viens lève toi s’il te plaît
Jérôme sur le perron : virginie à qui parles tu ? Que fais tu ? Tu veux l’emmener ici qu’elle voit nos enfants ?
Virginie : oui c’est leur mamie elle doit les voir
Sopi tomba à genoux : ohhh mon fils je t’en prie
Jérôme détourna le regard et rentra dans la maison .
Sopi éperdue baissa la tête en signe de résignation.
Virginie: Mamsn lève toi il a laissé la porte ouverte regarde certes il est partit mais il a laissé la porte ouverte . Toi même tu connais Jérôme il aurait fermé la porte à double tour derrière lui si il ne voulait pas que tu rentres .
Tu lui manques énormément faut pas suivre il est très orgueilleux sois patiente avec lui .
Elle aida Sopi à se relever et à rentrer dans la maison . C’est en larmes et en tremblant de tout son corps qu’elle put voir et embrasser ses petits enfants .
Elle les serra contre elle ils étaient beaux vigoureux un garçon et une fille du coup ehhhhhh Virginie pardon ohhhhhh tu as honoré mon fils !!! Tu es une vraie femme une vraie Reine ehhhhhh mom Dieu pardonne moi pardonne moi , trouveras tu la force de me pardonner pour de vrai ????
Virginie essayant de la calmer en vain : mais si maman je t’ai pardonne
Sopi : non je suis impardonnable j’ai protégé celle qui ne portait pas l’enfant de mon fils et jeté à la porte celle qui portait pas un mais deux enfants de mon fils ????
Nonnnn c’est une leçon magistrale qui me montre que j’ai mérité le cancer qui me ronge .
Virginie : oh nonnnn vous ne pouvez pas repartir à Abidjan vous allez rester avec nous .
Jérôme apparut : je ne pense pas .
Virginie; Jerome arrête c’est ta mère
Jérôme : trouve lui une maison ou tu pourras aller la voir et lui emmener les petits . Trouve lui un médecin aussi mais s’il te plaît elle ne reste pas ici dans notre maison . Ca non !!!!
Il partit aussitôt .
Virginie : c’est déjà un bon début il ya la guest house le pavillon indépendant pour nos invités important je vais vous mettre la bas maman .
Sopi en larmes ne disait rien . Elle récoltait ce qu’elle avait semé . Aujourd’hui c’était celle qu’elle avait tant persécuté qui lui donnait l’hospitalité.
Sopi rendit l’âme quelques mois après rongée par une sorte de culpabilité permanente le fait de savoir qu’elle devait tout désormais à virginie.
Jérôme lui avait rendu visite au pire de son agonie en pleurant mère et fils s’étaient réconciliés . Sopi rendit l’âme enfin un peu apaisée .
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Vanessa ne dit rien quand Dramane rentra dans la pièce .
Elle était là depuis trois jours affamée et assoiffée. Trois jours qu’elle pataugeait dans sa pisse . Elle baissa le regard il ne fallait pas qu’il perçoive sa colère ou son ressentiment.
Elle était à sa merci .
Elle ferma les yeux de reconnaissance quand il la souleva de son lit pour la conduire dans la salle de bains . Elle ne pouvait plus marcher elle avait perdu l’usage de ses membres inférieurs.
Elle se remémora les faits tandis que Dramane la plongeait dans l’eau froide . Quand à l’hôpital elle avait vu le bébé elle avait hurlé à la duperie à la trahison à l’échange de bébés . A un coup de virginie !
L’enfant était noire trop noire un noir anormal . C’était comme si l’enfant était recouverte de cire à chaussures noire . Elle avait compris que Dramane était derrière tout ça elle n’avait jamais couché avec lui à sa connaissance.
Abandonnée de tous elle avait débarqué chez Dramane à Nomabakélé . Ce dernier lui rappela qu’il était venu la prévenir que les incantations qu’il avait faite pour l’enfant soit accepté par l’esprit de famille Kouame avaient sautées . Elle avait refuser de l’écouter .
En colère elle avait décider d’uriner sur les Cauris de Dramane. Les djinns la frappèrent alors de paralysie la rendant ainsi esclave de Dramane.
Dramane punissait chaque regard parole ou actes de rébellion en la laissant des jours immobile .
Il couchait avec elle quand ça lui chantait
Non il la violait surtout parfois il la livrait à des clients à lui pour des rituels .
Quand elle le maudissait en disant qu’il n’avait pas de cœur
Dramane lui repondit les génies ont longtemps travaillé pour toi avec les sortilèges que tu utilisais. Tu croyais que l’argent suffirait à payer ses esprits ? Il est temps pour toi de les servir .
Sa fille mourut un matin sans raison apparente elle était repartie dans le monde des esprits . Elle n’était pas écrite dans le livre de Dieu elle n’était que le résultat de sortilèges et d’invocations.
C’était un bébé sans âme juste destinée à forcer Jérôme à épouser sa mère .
Personne ne la pleura .
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Wally se retourna avec plaisir pour voir rentrer son mari dans la chambre.
Wally : chéri il est minuit !
Marcel : pardon mon amour j’étais en conférence avec mes clients chinois qui sont Los Angeles en ce moment .
Wally : viens me réchauffer tu dois aussi tuer tout moustique qui essaiera de me piquer .
Marcel : oui chérie je ne dormirais pas de la nuit j’y veillerai
Ils s’embrassèrent langoureusement depuis leur mariage ils n’arrêtaient pas de le faire partout tout le temps .
Wally se sentait tellement bien dans sa tête elle faisait l’amour avec son mari . C’était le sien et devant Dieu et les hommes ils étaient en règles. Cela avait fortement libéré sa libido et elle voulait vite tomber enceinte .
Marcel ne s’en plaignait pas au contraire cela le rajeunissait . Il ne traînait même plus tard au cabinet il préférait terminer ses dossiers bien au chaud chez lui . Près de sa petite femme chérie .
Marcel s’était convertit et ils avaient changé d’église . Marcel était un fervent Évangéliste tandis que Wally une puissante intercesseuse .
Ils firent encore l’amour ne se lassant pas l’un de l’autre. Marcel réalisa qu’il avait bien fait d’attendre le corps de sa femme lui paraissait plus précieux qu’aucun autre . Il avait tellement souffert avant de l’avoir que vraiment il mettait les bouchées doubles.
Il avait hâte que le ventre de sa bien Aimee s’arrondisse.
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Cynthia ne put cacher son admiration en rentrant dans la villa du Docteur Daniel. La villa était luxueuse et décorée avec goût .
Elle n’arrivait pas à croire en sa chance . Elle avait déniché un mec beau veuf et riche!!!!!!! .
Non elle avait une grande étoile non Dorothée était son porte bonheur.
C’était grâce à elle qu’elle était tombée sur le fameux docteur . Il avait vu à l’œil nu que Dorothée ne pouvait pas avoir 10 ou 11 ans .
Il lui avait demandé d’arrêter d’infantiliser Dorothée et de la laisser rencontrer d’autres jeunes de son âge .
Il était venu leur rendre visite souvent et une fois il était arrivé avec des chocolats et du vin . Cynthia n’avait alors pas pu maîtriser son ardeur et lui avait sauté dessus .
Ça avait été le coup le plus fantastique de toute sa vie . Le Docteur Daniel était monstrueusement membre il la détendait toujours avec un cachet pour que la taille de son outil ne soit pas un frein à leurs ébats .
Elle l’avait désormais dans la peau et elle était convaincue qu’elle était dans la sienne .
Elle avait mis les courbes de son corps en valeur dans une robe moulante et portait des talons hauts afin que ses fesses rebondissent bien à chacun de ses pas .
Elle savait que ça rendait Daniel fou de désir .
Il la prit dans ses bras et plongea sa tête dans son cou et lui fit un suçon . Il descendit à sa gorge et se mit à la picorer de bisous . D’une main il appuya sur la télécommande qui activa la musique dans toute la pièce .
La voix langoureuse de Jo chanteur Rnb des années 90 suffit à rendre l’atmosphère torride . Déjà le luxe autour d’elle l’avait émoustillée mais l’attitude fauve de Daniel et la musique en fond sonore liquéfièrent Cynthia.
Daniel déchira alors sa robe sous ses cris de surprise. Il grogna de plaisir quand il vit qu’elle ne portait rien sous sa robe désormais en lambeaux . Sans plus attendre il la prit sur le Tapis persan qui valait plusieurs millions de francs . Cynthia eut l’impression qu’un autobus était en train d’essayer d’entrer en elle .
Malgré ses cris et ses pleurs Daniel mit tout à l’intérieur. Cynthia partagée entre l’amour et la douleur subit cet assaut bestial en larmes .
C’était donc ça la raison! Voilà pourquoi il demeurait célibataire toutes les autres avaient fui à cause de ça . Mais sa femme ? Comment avait elle endurée cela ? Pouvait elle s’habituer à la longue ? Devrait elle prendre des cachets à chaque fois pour faire l’amour avec lui ?
Elle était là perdue dans ses pensées nue sur le tapis .
Quand elle vit le beau visage souriant de Daniel au dessus d’elle .
Daniel : j’ai une surprise pour toi un collier Chopard sertis de diamants. Il lui mit le somptueux et onéreux bijou au cou .
Elle fut émue par ce splendide cadeau
Daniel : Cynthia veux tu m’épouser ? Tu viendras vivre ici avec moi Dorothée et mon enfant s’entendront bien .
Je t’offrirai le véhicule de ton choix mais il sera équipé d’un gps .
Je ne veux pas que tu travailles et pas de cuisinières . Pour le ménage et les enfants tu peux engager quelqu’un . Mais la cuisine personne . Je ne mange pas la nourriture qui a dormi . Je ne fais pas l’Amour le jeudi .
Pas d’amis masculins ou fréquentation d’églises éveillées. Eglise catholique uniquement . Pas de veillées au Décès je paierai les cotisations et tu iras aux sorties de corps en après-midi.
Cynthia écarquilla les yeux . Mais bientôt Daniel se leva et alla prendre la bague elle se leva aussi il était si parfait . Elle avait peur quelques chose clochait chez ce type .
Mais elle ne pouvait pas aussi laisser une occasion pareille .......................
A sa place qu’Auriez vous fait ? Ainsi s’achève Mon Erreur une œuvre fictive mais inspirée de faits réels et de Vécu personnel .
Faites attention à vos choix ils ont toujours des répercussions.