Episode 3 : l'être aimé
Write by Ritanine
--Céleste—
Je suis sur le point de sortir de l’hôpital et en ce moment j’attends mon chéri pour qu’il me ramène. Marvin est le meilleur qu’une femme puisse souhaiter avoir. Cela n’à rien avoir avec le physique ou la richesse. Il est quelqu’un de très attentif, d’amusant, il est également un motivateur. C’est mon rempart quand tour va mal. Je l’ai rencontré un soir alors que Maxence venait de me faire vivre un sal moment. Mon cousin ne m’a jamais aimé. A croire que je lui avais fait quelque chose. Sa mère tata Gladys est pareille avec moi. Alors que mon oncle papa Edmond est plus qu’un père pour moi. C’est mon tonton gâteau.
--Marvin—
Je suis Marvin MARSHALL je suis un anglais blanc né en Afrique. Mon père a longtemps travaillé pour les entreprises pétrolières alors j’ai longtemps vécu dans les grandes capitales africaines. Actuellement mes parents vivent à Luanda. J’ai deux autres sœurs qui vivent également en Angleterre. Pour en revenir à mon cœur léla, je sais qu’elle se sent perdu en ce moment. Mais je ne voudrais pas la brusquer. Je l’ai rencontré un soir alors que j’étais chez ses grands-frères Justin et julien qui sont mes amis. Ils m’ont toujours parlé de leur princesse de sœur qui était un vrai rayon de soleil mais je n’avais jamais eu l’opportunité de la voir. C’était un soir de pluie.
J’entends quelqu’un mettre la clé dans la serrure, croyant que c’était l’un des jumeaux je ne bougeai pas devant la télé. En me retournant je découvrais une fille avec un regard triste.
Céleste : qui êtes-vous ? Vous êtes un voleur ? Si c’est le cas sortez gentil avant que je n’appelle la police. Elle réussit à dire tout ceci dans un souffle
Moi : euh !....j’étais scotché à son regard, et ne savais quoi dire. Quand elle commença à appuyer sur les touches de son téléphone je me repris à cet instant.
Moi : je suis Marvin un ami des propriétaires.
Céleste : dites-moi les noms des propriétaires et montrez-moi votre carde d’identité.
Moi : Justin et julien GANKPO, on a fait les études d’ingénieries en informatique ensemble à Harvard et ma carte se trouve dans ma veste qui est accroché dans l’allée. Voici la clé de l’appart qu’ils m’ont remis.
En ce moment ses frères rentrèrent.
Justin : oh Cé ça va ma puce ? Que fais-tu ici ? Ils s’approchèrent tous les deux pour la serrer dans leur bras. Tout d’un coup, elle éclata en sanglots. S’en suivit un discours dans leur langue que je ne comprenais pas.
Plutard je suis que c’était leur cousin Maxence qui était passé l’insulter dans son appartement et ce pour aucune raison. Même s’ils se retirèrent dans une des chambres pour la consoler, je décidai dans mon cœur de tout faire pour mieux la connaître. Je me faisais inviter par ses frères lorsqu’elle passait par leur appartement, je pris l’initiative d’aller la voir à son université. Elle finit par craquer et m’accepta comme ami. Devenir son fiancé ne fut pas aisé, car tous les hommes de sa famille malgré le fait qu’ils me connaissaient, voulurent me lyncher un peu.
--Xavier—
Je suis dans mon bureau à l’avant-dernier étage de notre consortium. Xavier GANKPO je suis le presque ainé de ma famille comme aime le dire mon jumeau Quentin. Après des études en économie je suis rentré au pays pour aider mon père dans sa société. Mon frère est dans le bureau d’en face, il est chargé des ressources humaines. Mon père vient de me convoquer dans son bureau. Sa façon de me parler ne me disait rien qui vaille.
Moi : toc toc
Papa : entre Xavier, Quentin aussi arrive.
Moi : comment vas-tu ? Et maman ?
Papa : je vais bien. Pour ta mère il faudra passer la voir toi-même
Quentin : mon petit tu qu’as-tu fait pour que papa nous appelle encore me dit mon jumeau en entrant dans le bureau.
Moi : rien c’est plutôt à moi de te poser la question.
Papa : vous n’avez rien fait. Il s’agit de votre sœur.
Moi et Quentin : qu’est-ce qu’elle a notre puce.
Papa : elle a rencontré une dame qui lui ressemblerait trait pour trait et elle s’est mise en tête que c’était sa mère biologique. Premièrement, je me demande comment elle a fait pour savoir que nous n’étions pas ces vrais parents, ensuite je voudrais des informations sur la dame.
Moi : elle a commencé à s’en douter depuis un certain nombre d’années. Tout ça c’est la faute à cet idiot de Maxence. Cé avait dit aux JuJu (leurs autres frères) ce qu’il lui disait depuis ces 12 ans, un soir alors qu’elle était venue se réfugier chez eux. Ces derniers n’ont pas pu lui dire que c’étaient faux mais lui avait fait promettre de ne jamais vous le dire à toi et à maman.
Papa : si je comprends bien, votre cousin fait des misères à votre sœur et vous ne me l’avez jamais dit. En attendant que j’aille régler ceci avec votre cousin, mettez des détectives sur la trace de cette femme. Je n’aimerais pas qu’elle vienne déranger ma fille. Elle a perdu ses droits sur elle le soir où elle l’a abandonné devant notre portail.
La rencontre se termina sur ses mots et je retournai avec mon frère dans mon bureau pour chercher des gens qui s’occuperaient de cette histoire.