EPISODE 7: chapitre 4
Write by Lady bv2g
-paola tout à l’heure tu étais dans mes bras, tu m’as fait croire que tu éprouvais encore des sentiments pour moi la minute suivante te voilà en train de partir avec anael quel genre de pute es-tu
accablé par ses propos, je ne dit mot car je ne voulais surtout pas que anael se doute de quoi que ce soit, puis il rajoute :
-le pauvre idiot d’anael ne sait même pas avec quel genre de pute il s’est mit en couple, en plus de ça il t’a offert une bague, ça te plaît de t’amuser avec le cœur des gens, ça te plaît de faire souffrir les gens ainsi, ça te plaît de jouer avec moi ainsi , pourquoi tu me fais ça paola qu’est ce que je t’ai fait pour mériter un tel châtiment
-désolé veux-tu qu’on ai cette conversation plus tard ? dis-je d’un ton anodin
-non je ne veux plus te voir, t’es juste une grosse pute qui ne sait pas ce qu’elle veut dans sa vie et d’ailleurs je raconterai à ton très chère anael ce que tu as fait avec moi
direct il raccroche dès qu’il termine sa dernière phrase ; prise de panique, je conservais mon calme tout au long du chemin, ça se voyait que mon humeur avait changé mais anael ne fit aucun commentaire et préféra mettre la musique pour étouffer ce silence qui régnait dans la voiture, il déposa les filles à tour de rôle.
Arrivé devant chez moi, j’étais troublé ça se lisait sur mon visage que quelque chose n’allait pas je ne savais quoi faire ni quoi dire j’avais si peur que anael l’apprenne et se sépare de moi.
Puis anael caresse mon visage tendrement et dit « mon ange ça se voit que quelque chose ne va pas alors je ne te forcerai pas à en parler si tu n’en ressent pas le besoin »
tout ce j’ai trouvé à dire c’est « veux tu qu’on entre chez moi quelques instants ? »
il acquiesça, on entrait chez moi, on s’installa au salon là où même l’acte effroyable avait été commis ; je nous servis du vin ensuite, il entama la conversation en déposant sa tête sur mes cuisses moi qui caressait sa tête en passant mes doigts entre ses cheveux douillets et souples ;
puis on suivit un film, dans un calme, on rigolait juste lorsqu’il le fallait, ces moments m’ont fait rapidement oublier, l’affreuse conversation que j’ai eue avec bryan par ailleurs j’avais déjà éteint mon téléphone au cas où il décidait de me recontacter.
J’avais repris mes esprits, le sourire revenait, du coup dès qu’il s’est régressé pour se servir à boire, j’ai déposé ma main sur sa joue, je me suis mise à la caresser, me mordant les lèvres, il buvait calmement son vin puis avec l’un de mes doigts je tripotais ses lèvres.
Ensuite je dépose l’une de mes jambes entre ses cuisses, rapproche ma tête en direction de son cou et l’embrasse langoureusement sur son cou.
IL se mit à me caresser, en defaisant lentement les cordes à l’arrière de ma robe, je relève mon visage joint mes lèvres aux siennes en continuant de l’embrasser
c’est clair que je le vin prenait possession de mon corps, je me sentais étourdit mais je persistais dans mes mouvements, il me rapproche de lui, me serre contre son torse, me soulève en se levant et chuchote « où se trouve ta chambre ? » je réplique « au fond du couloir à droite »
on avança en direction de ma chambre il me dépose sur le lit, son corps tout excité, bouillonnant de sensualité, il soulève ma robe me la retire, puis il retire son t-shirt et il embrasse mes seins en tirant doucement sur mes tétons,
tout excité, une seule chose me traversait l’esprit « fait l’amour avec lui paola lâche toi !! » direct d’un geste brusque, j’abaissai sa culotte, soudainement il retient ma main et dit « paola c’est ce que tu veux ? » je resta silencieuse mes yeux n’arrivaient pas à fixer son regard puis je retire doucement ma main de sa culotte ; il rajoute « c’était qui au téléphone tout à l’heur ? » « je ne veux pas parler de ça s’il te plaît » on arrêta de parler
et on continua de s’embrasser puis il me dit « j’ai vraiment envie de toi » et je lui répondis « c’est avec toi que je veux le faire et personne d’autre » il se redressa baissa son short, retira son boxeur, et enfila le préservatif, entre temps je mouillais du bas alors j’abaissai mon dessous, et il me rejoint sur le lit dégrafa mou soutien
m’embrassa tout le long du corps, m’excita en pinçant langoureusement mes tétons, suça mon nombril, tandis je gémissais car l’excitation m’accaparait, je perdis tout contrôle ; puis il me fit le cunnilingus, là je jouissais comme une dingue sans m’en rendre compte de mes cris, ses mains à la hauteur de mes seins qui les palpait
puis il se releva et introduisit son pénis entre mon vagin, je poussais des cris car ça me faisait ci mal , lui il tentait de me consoler en répétant « désolé ma puce j’y vais doucement », il s’efforça de le faire entrer, au bout de quelques minutes la douleur persistait mais je supportais car je le désirai tellement et je voulais faire de cette soirée quelque chose d’inoubliable pour nous deux
puis il se rapproche de moi se colla à son torse et on fit l’amour comme des bêtes ce pendant j’ai appris des positons que je ne me savais pas capable de reproduire.
C’était ma première fois de faire d’avoir des rapports sexuels, et j’étais si heureuse d’avoir choisit anel ; mais il y a quelques heures de cela j’ai faillit m’offrir à bryan aussi du coup je me demande est ce que donner mon corps à anael suffisait pour dire que j’étais amoureuse ou c’était juste pour briser ce lien de virginité qui me m’étouffait.
on passait une nuit agréable, corps à corps, le lendemain matin on se réveilla en se faisant des bisous puis il me concocta un merveilleux petit déjeuner.
Lorsqu’on prenait notre petit déjeuner, j’avais rallumé mon téléphone histoire de lire mes messages et sillonner sur le réseaux sociaux.
Lui aussi il faisait de même ensuite on parlait de la nuit mouvementé qu’on a eu lui me disant qu’il avait apprécié c’était au-delà de son imagination ; moi qui lui disait la même chose mais en réalité j’avais très mal car c’était ma première fois de réalisé tous ces mouvements.
Les secondes suivantes, j’avais une envie pressante d’uriner, j’accourus au toilette pour me soulager, tout en laissant mon téléphone sur la table sans me soucier si il allait le manipuler ou pas ; c’est alors qu’en revenant des toilettes je l’aperçois sur mon téléphone entrain de le manipuler, j’hésite d’avancer car je pouvais lire sur son visage, sa mimique faciale qui changeait au fur et mesure en manipulant mon téléphone