.... Céleste Mbolo.... 

Nous sommes arrivé à Montréal depuis neuf jours,mais papa n'a pas encore vu Clément car il est en mission et ne rentrera que ce soir. C'est quel genre de mission où tu fêtes Noël loin de ta famille ? Yo no sei !

Pendant ce temps, sa femme Sirani me traite comme une étrangère, ça ne change pas d'habitude mais bon j'aurais espérer qu'avec la présence de George, elle aurait peut être essayer d'être moins elle. Bref c'est trop lui demander. 

Chris : ton hommes est trop nulle, je l'ai gagné sur tous les jeux !

Nous sommes allez le chercher à son internat à Paris avant de prendre l'avion parceque papa Alfred ne veut plus qu'il mette les pieds au bled. Sois disant que tata Ndora le gatte trop. Moi je penses que cet enfant est fou naturellement ! 

Moi (le regardant) : tu sembles oublier que c'est lui qui t'a sorti de ta prison parceque moi, je t'aurai laissé volontiers. 

Chris (souriant) : je sais que tu es amoureuse de moi cece, ne t'inquiètes pas je te vole le jour de ton mariage ! 

Moi : tchrrrr

Je montes les escaliers pour rejoindre Georges avant que maman ne vienne nous séparer. C'est comme ça depuis mon arrivée, elle nous a mis dans des chambres séparés et a chaque fois qu'on se retrouve seul, elle apparaît. On dirait qu'elle s'est donné comme objectif de nous empêcher d'être intime et ça commence à m'énerver tout ça. 

Moi (me posant sur lui) : ça va ? 

George (me souriant) : Chris m'a assassiné au moins trente fois ! 

Moi :il n'arrête pas de se venter en bas. Tu devrais arrêter de jouer avec lui et si on partait dîner dehors ce soir ? 

Georges : il fait un froid de canard bébé, tu oublie la grippe que je me suis chopé  ? 

À notre arrivée la veille de Noël, George a pris froid. C'était pénible le pauvre, est resté au lit pendant trois jours. Quand je dis ici que les français sont des flemmards ! 

Moi : on va encore devoir se taper les conversations sec de ma mère ! 

George (souriant) : elle est gentille ta mère ! 

Moi : avec toi, d'ailleurs elle est gentille avec tous le monde sauf moi ! 

Georges : arrête !. 

Tok tok tok 

Maman (passant la porte) : Céleste j'ai besoin de toi en cuisine ! 

Moi (chuchotant) : tu vois ?? 

Je l'ai suivi en silence car si j'essaie de dire un truc ça partira en clash et je risque de recevoir un truc sur la tête. 

On a fini de faire le dîner et chacun est allé se préparer avant de monter à table. 

C'est juste au moment où George et moi descendons les escaliers que j'ai vu papa dans le salon. 

J'ai couru pour aller me jeter dans ses bras. J'ai toujours été la fille à son papounet moi. C'est facile, c'est l'homme de ma vie mon petit papa. 

Papa : seigneur on dirait que tu as pris du poids ! 

Moi (le tapant) : arrête papounet, je fais 63 kilo ! 

Papa : rien que ça ? 

Moi (le regardant) :tu sembles posé, tu es rentré depuis quand ? 

Papa : depuis cet après midi, maman voulait que je me repose ! 

Je me suis mise à dévisager tout le monde dans la pièce. 

Chris : ne me regarde pas comme ça, je ne l'ai vu qu'il y'a deux minutes ! 

Clarissa: moi je pensais que tous le monde l'avait vu ! 

Maman (souriante) : Junior tu viens que je te présentes ? 

Papa (fermant son visage) : hum

Maman : voici GEORGE CLÉMENT, l'homme qui va nous débarrasser de ta sorcière de fille. 

Moi (énervé) : je crois que je vais aller me coucher là ! 

Papa : bébé... 

J'ai monté les escaliers deux par deux avant de rejoindre ma chambre. 

Putain cette femme m'exaspère mais à un point. J'ai bloqué ma chambre avant de me déshabiller, de mettre mes écouteurs et de me fourer sous ma couette. 

Des coups à la porte m'ont fait me lever pour aller ouvrir. C'edt papa. 

Moi : elle savait que j'attendais impatiemment ton arrivé, elle l'a fait exprès de me le cacher juste pour m'embêter ! 

Papa (me tirant contre lui) : c'est le réveillon chéri ! 

Moi (en larmes) : et elle vient de me le gâcher ! Ta femme est une sorcière, demain je rentre chez moi ! 

Papa (rire) : vous vous ressemblez trop c'est frustrant ! 

Moi : qui peut lui ressembler ? 

Maman :en tout cas pas toi ! Junior on t'attends pour manger ! 

Moi (regardant mon père) : tu vois n'es pas ? 

Papa (me tirant) : viens manger ma princesse ! 

Moi : c'est moi que tu aimes n'es pas ? 

Papa : toi et aussi ta sœur et surtout ta mère ! 

Moi : hum

Papa : c'est cet homme assis sur ma table là bas qui doit n'aime que toi, pas moi ! 

Moi :hum 

Papa (me tirant) : tout le monde mange habillé sauf toi ! 

Je me dégage vite fait de ses bras pour aller enlevé mon pyjamas, mettre une petite robe noir rt bosser mes cheveux. Papa m'attendait derrière la porte en souriant. 

Papa : allez vient ma toute belle ! 

.... Gloire Mbolo.... 

Moi (serrant les dents) : tu m'avais dit que c'était fini entre vous ! 

Chrishna : oui c'est fini mais on a bien le droit de discuter non ? Histoire de mettre les points sur les I, juste discuter.

Moi : et donc tu as attendu que je sois loin pour discuter avec ton ex fiancé ? 

Chrishna : dis moi juste que tu ne veux pas que je discute avec lui ! 

Moi : si tu l'as compris pourquoi on a encore cette discussion ?

Chrishna : ok  ! 

Moi : pffff  ! 

J'ai raccroché même si c'est elle qui avait lancé l'appel. 

J'ai décidé d'être clair dans cette relation et je ne crois que j'aimerai l'idée qu'une femme me trompe. Je me surprend à être très jaloux pour une personne qui couchait à gauche et à droite. 

Grâce (me regardant) : Chrishna vraiment? 

Moi (rire) : je n'ai pas pu l'avoir il y'a dix ans mais maintenant si ! 

Grace : et c'est sérieux ? 

Moi : je ne sais pas, en fait je crois. Bref on essaie, on ne s'est rien promis, on vit c'est tout ! 

Grace : donc tu as vraiment abondonné ton mannequin ? 

Moi : elle aime quelqu'un d'autre, je n'avais même pas une seule chance surtout avec mes antécédents dans sa famille. Et j'ai toujours voulu de Chrishna donc c'est un mal pour un bien. 

Grace (buvant sa bière) : si tu le dis. 

Nous sommes autour de la piscine. Les vieux sont en train de finir les derniers rangements et les femmes sont en train de faire la cuisine. Ce soir, c'est la fête chez les Mbolo. 

Moon (regardant Grace) : papa, maman ne veut pas que je prennes une sucette ! 

Grace : dis à maman que papa veut que sa fifille chérie ai tout ce qu'elle veut ! 

Moon(heureuse) : youpi mon papa c'est le meilleure ! 

Moi : pour une fois depuis que je te connais, je t'envie mec ! 

Grace (sourire triste) : tu les aimes mes enfants ? 

Moi : bien sûr ! 

Grace (sérieux) : j'ai fait un truc mec, j'ai.... 

Elliott(avec Akia dans les bras) : ces deux petits monstres n'arrêtent pas de faire crier mamie Alda. Ils vont finir par la rendre folle ! 

Grace (rire) : elle l'est déjà en plus ! 

La discussion est partie sur un autre sujet jusqu'a ce qu'on se retrouve de nouveau seul . 

Moi (le regardant) : Grace qu' est ce qu'il y'a ? 

Grace (rire) : pourquoi tu prends cet air sérieux frérot ! Tout va bien. 

Moi (inquièt) : tu étais sur le point de me dire quelque chose ! 

Grace (me touchant l'épaule) : c'est juste que j'ai fait un choix que je ne regretterai pour rien au monde mais qui commence à me peser. Je ne sais pas si j'arriverai à réaliser.... 

Salomé : les mecs, allez vous préparer ! Qui se charge des feus d'artifices ? 

Grâce : Eugène et Elliott ! 

Salomé : allez vous préparer bon sang ! On a déjà fini avec la grande table ! 

Grace (me regardant) : qu'est ce que tu es grosse ! Allons nous préparé ! 

Salomé (s'en allant) : vu que Mirna est mince ! 

Moi : Grace! 

Grace (me souriant) : tout va bien frangin, allez bouge tes fesses ! 

J'ai senti comme une douleur le transpercé quand Grace m'a tapé sur l'épaule pour me pousser. Puis elle s'est évaporé toute seule, comme si ça avait été une illusion. 

Moi : ce n'est pas normal. 

Deux heures plus tard, j'avais déjà tout oublié des paroles énigmatiques de mon frère et de son attitude bizarre. 

Nous étions autour de cette table à manger et boire pour fêter le nouvel an. Tous le monde était là après avoir discuter en face time avec ceux de Montréal. 

Avant minuit, tous le monde s'est mis à ma faire le compte à rebours puis nous avons allumés les feux d'artifices pour marquer le coup. On s'est fait des câlins et ensuite chacun a pris son téléphone pour souhaiter la bonne année à ses amis. 

Moi : bonne année ! 

Chrishna : bonne année Gloire ! 

..... Hope Divine Ngakosso-Onda.... 

Moi : bonne année Cherley ! 

Cherley : bonne année Hope, tu en dis quoi de la proposition de blow art ? 

Blow art est un magazine super select qui consiste à ne représenter que des tableau de mannequin pour la plus part du temps nu. Cela fait deux ans qu'il me demande de participer mais j'ai toujours eu des apriori. 

Moi : j'accepte c'est pour quand ? 

Cherley : dans un mois ! 

Moi : okay bon je te laisse ! 

Cherley : bisous Hope ! 

Click 

Cela fait déjà trois heures que nous sommes dans la nouvelle année, Cherley est la dernière personne que j'avais à appeler. 

Je compte arrêter ma carrière de mannequin donc vaut mieux le faire en beauté en apparaissant dans cet ulustre magazine. 

Je comptes aussi reprendre mes études, en prenant des cours à domicile. Je veux devenir infirmière pour pouvoir m'occuper des femmes et des enfants de L'ONG. Mireille a déjà trouvé et acheté le terrain pour notre futur hôpital. Je penses qu'avoir quelques connaissances sur la médecine me sera bénéfique en tant que responsable là bas. 

Daddy est en ce moment même en train de fêter avec sa famille, j'espère vraiment qu'il trouvera ce qu'il cherche. Même si pour moi ça m'ait bien égale de savoir avec qui Godé avait trompé grand père. 

Nous avons eu de belle festivité, toute la maison dort déjà. Je me faufile à pas de loup dans la chambre de mamie, comme à son habitude, elle ne dort pas. 

Moi (la rejoignant sous la couette) : pourquoi tu ne dors pas ? 

Mamie : je suis vieille et malade, toi c'est quoi ton excuse ? 

Moi : tu sais l'homme dont je t'ai parlé, je le vois dans mes rêves ces temps ci ! 

Mamie : quel homme ? Le frère de ton avocat ? 

Moi (me serrant contre elle) : non pas lui, bien sûr c'est depuis que j'ai rêvé de lui que tout cela à commencer. Je les vois tous les deux en fait ! 

Mamie : raconte moi ! 

Moi : ce n'est jamais le même rêve, mais ça y ressemble. Je... une femme, son visage est flou mais elle tient comme un enfant dans ses bras. Et je vois Gloire lui parler, il semble perdue, ce n'est pas l'homme toujours sûr de lui qui me poursuivait. Il est comment dire different d'une certaine manière. Ils parlent tous les deux, puis la femme l'embrasse sur la bouche avant de lui donner l'enfant. Après cela, je vois le frère de Glory. Il est dans une voiture en train de filer à toute vitesse. Je le vois se noyer et puis je le revois dans cette forêt avec moi. On assiste tous les deux à ce meurtre et puis je vois Tracy lui parler. Mais ils sont trop loin pour que je comprenne ce qu'ils se disent et puis plus rien. Je me réveille le cœur battant, ne sachant pas tout ce que cela veut dire. 

Mamie : Tracy! 

Moi : elle même je ne l'a vois plus comme avant, je veux dire personnellement ! 

Mamie : qu'en dit ton psychanalyste ? 

Moi : il dit que les rêves ont parfois un pouvoir prémonitoire. Le problème, c'est de trouver si cela vient du futur ou du passé. 

Mamie: je penses que tu devrais y retourner ! Tracy ne t'a telle pas crier pendant toute cette année d'aller parlé à Alphonse ? 

Moi : il m'attend là bas mamie, il m'y attends ! 

Mamie : tu es plus forte que ça Hope, ne veux tu pas découvrir pourquoi cet esprit ou cette illusion t'a toujours poursuivi ? Ne veux tu pas t'en débarrasser? 

Moi (la regardant) : tu te rappelles de ta première crise ? 

Mamie : ça fait une éternité ma chérie ! 

Moi : tu l'avais vu mamie. Il était dans ma chambre et avec son sourire démoniaque me disait comment j'étais une moins que rien. M'expliquait comment il prendrai son temps pour m'éloigner des gens que j'aime, me torturer psychologiquement et ensuite physiquement avant de me saigner comme un porc et de me tuer..je criais désespéré et tu es entré. J'avais sept ans, tu l'as vu, tu as crier et tu as eu ta crise. Depuis tu ne t'en rappelle plus ! Cet esprit est bien réel et j'ai l'impression qu'il ne s'en prend pas seulement à moi ! 

Mamie : tu dois voir une guérisseuse ! 

Moi (lui souriant) : et où la trouverai je ? 

Mamie : au Congo !