FIN

Write by Tunde William

        **Wilfred Jean Claude**  

_ Kambelle, tu me promets d’être sage et de te comporter comme une gentille petite fille ? 

-(Kambelle) Oui Maman. Je resterai calme et très sage.

-(Moi)[ Souriant] Et si tu allais te préparer au lieu de me traumatiser la fille ?


-(Yasmine) Je vais te trucider si jamais ta fille me fout la honte là bas. 


-(Moi) D’accord chérie. Toute la responsabilité m'incombe dans ce cas. Mais je crains que nous ne soyions en retard si tu ne pars pas te préparer fis je d’une voix grave.


 

-(Elle) [ Tchippant] D’accord D'accord chéri[…].


J’ai pris Kambelle dans mes bras et nous sommes descendus au salon zapper les chaînes de la télévision, le temps que la reine mère ne soit prête. 

Elle descendit quelques minutes plus tard,plus ravissante que jamais. 

Elle portait une robe rose claire moulante, qui mettait en valeur la beauté de ses courbes, son ventre  Elle était splendide,je vous assure. 

- Waoooh fis je. 


- Quoi me répondit elle. 



- Non je me disais juste que ce n’était pas très tôt.


- (Yasmine)[Tchippant] Allons y maintenant,nous serons en retard sinon.



- (Moi)[Amusé] Bien sûr que nous serons en retard. Si tu n’avais pas mis autant de temps pour te préparerpréparerq, peut être que non.


- (Yasmine) Pff comme si j'avais pris tout un éternité. 


Dans la voiture.


- Et moi qui voulais me rendre belle pour toi. Pour que tu sois fier d’être mon …. Sniff sniff. 


- (Moi) [ Tout doux] Chérie tu es aussi magnifique comme une toile de Pablo Picasso. 



- (Yasmine)[ Reniflant] C'est vrai que tu ne me trouve pas grosse et l’aide. 


- Jamais je ne penserai de telle atrocités. Tu es ravissante.. ... 



- Même si tu es un peu gonflé comme du pain dans l’eau??? 


- Kiakiakiakia fit tout d'un coup Kambelle en riant.


 

- Quoi???? Fit aussitôt Yasmine. 


- Oh chérie ne fait pas cas des propos de cette petite psychopathe. 



- C’est moi qui suis psychopathe fait alors Kambelle. 


Je pris le soin de verrouiller mes pensées comme me l’a apprit Maman avant de répondre. 


- Mais non ,je parlais d’un truc vite fait. D'ailleurs vous êtes toutes les Deux ravissantes et splendides. Je suis fier d’être votre cavalier. 


- Ah non tu es mon cavalier pas celui de maman dis Kambelle. 



- Bats les pattes, voleuse de mari. 


- Je ne suis pas une voleuse de mari. C'est toi qui veut me voler mon cavalier. 

C’est toujours là guéguerre entre eux deux. Et j'ai toujours le cul entre deux chaises. Je ne sais plus où donner la tête parfois. Surtout avec la grossesse de Yasmine qui la rend un peu grincheuse et Kambelle qui réclame toute mon attention quand elle est là. Eh bein oui, Yasmine et moi attendons un enfant. Et pour celà madame me fait des siennes et des misères. Ah les femmes toutes complexées et toutes les mêmes. À cause de son état, Kambelle délaisse les bras affectueux de sa mamie et les tendres câlins de son papi pour squatter chez nous. Cette fille, elle est très bien intelligente et trop rusée pour que je puisse l’éduquer et lui inculquer les bonnes valeurs morales car elle obtient toujours ce qu’elle veut. Celà lui vient certainement de sa mère alors elle passe la plus grande partie de son temps chez sa grand-mère. Au moins elle, elle peut le cadrer et le diriger dans la maîtrise de ses dons. Car oui, elle a des dons incroyables comme celui de s'immiscer dans les pensées des autres. D’hypnotiser les gens par le regard,de les fait faire n’importe quoi juste en les touchant etc… Vous dire que celà ne me fait pas peur est un doux euphémisme mais celà semble ne pas déranger ses grands parents qui la considère comme la huitième merveille du monde. Maman dit souvent qu’elle est la médiatrice entre le monde physique et le monde spirituel et que son âme est aussi pure que ne l'est le vent frais de la mer. N'empêche que j'ai un peu peur pour elle,mais comme tout le monde le prends avec philosophie je suis contraint de faire de même.

___________ 

-(Le prêtre) Mr Melchi AKLE voulez vous prendre pour épouse Mademoiselle Jennifer Carmelliah Sagbohan ci-presente. Promettre de l’aimer,de la chérir,de toujours la protéger qu'importe les moments difficiles que vous auriez à parcourir tout au long de votre vie conjugale ?

-(Melchi) Oui je le veux. 

-(Le prêtre) Mademoiselle Jennifer Carmelliah Sagbohan,voulez vous prendre pour époux Mr Melchi AKLE. Promettre de l'aimer,de la chérir,de toujours le protéger qu'importe les moments difficiles que vous auriez à parcourir tout au long de votre vie conjugale ? 

-(Carmelliah)[ La voix tremblante] Oui je le veux. 

-(Le prêtre) [ Se tournant vers l'assistance] Si quelqu'un est contre ce mariage qu'il se montre où qu'il se taisent à jamais. 

Toute l'assistance se tut, laissant passer dans le temple une vent frais. 

-(Le prêtre) Dans ce cas, je vous déclare Mari et f….. 

- Euh attendez, fit tout d'un coup Kambelle s’échappant de mes bras. 

-Oh purée, fis je aussitôt. 

Mais elle s’était élancée devant l'autel en tenant délicatement le bas de sa robe comme le font les princesses Disney. 

-(Moi) [ D'une voix bourrue derrière elle] Kambelle revient ici tout de suite. 

Elle n'en fit pas cas.

-( Le prêtre) [ Attendri] Eh bien que puis je pour vous petite demoiselle. 

-( Elle)[ De sa voix hypnotisante] Je peux embrasser ma tata avant qu'elle ne se marie??

-(Le prêtre) Bien sûr que oui petite princesse. 

-(Kambelle) Vous n'avez pas le droit de m’appeler princesse. Seul mon papa m'appelle comme ça.

-( Moi) [ Derrière elle] Kambelle !! Viens ici. 

-( Le prêtre) Mais laissez la voyons. 

Cette petite peste vient de l'avoir dans sa poche. Oh merde. 

Elle d’avancer tout doucement vers les futurs mariés en souriant. 

Carmelliah s'abaisse à son niveau et l'a pris dans ses bras. Elle lui chuchota quelques mots à l'oreille et se retourna aussitôt. 

-(Le prêtre) Avez-vous fini ma fille. 

-( Elle) Oui gentil Monsieur et Merci. 

Puis elle courra dans mes bras,ce qui déclencha un applaudissement de tonnerre dans la salle.

-(Moi)[ Pas content] Eh bien qu’est ce qui t'a pris??? 

-(Kambelle) [D’une voix innocente] Tata Carmelliah était trop triste, alors je lui ai dit un truc pour la faire sourire. 

-(Moi) Mais t’aurais pu attendre qu’elle soit un peu seule. 

-(Yasmine) [Me regardant, parlant à voix  basse] Tu me l'avais promis. [ À Kambelle] Et toi, plus de dessin animé pendant une semaine. 

-(Kambelle) Dans ce cas j'irai chez Mamie et tu n'auras pas tes Chuck Norris.

-(Moi) [ Essayant d'arrondir les angles] Elle a dit  un truc à Tata Carmelliah parcequ'elle était trop triste selon elle. 

-( Yasmine) Humm .

Un peu plus tard. 

-(Yasmine) Alors tu me diras ça quand je vais me marier pour que je sois plus triste ?? 

-( Kambelle) Oui si tu me promets d'enlever la punition

-(Yasmine) Alors je t’écoute.

-(Kambelle) Viens pour que je puisse te dire ça plus prêt. Papa ne doit pas écouter ça. 

-( Moi) Faites comme si je n’étais pas là.

Kambelle chuchota je ne sais quoi dans les oreilles de sa mère puis s'en fuir Yasmine à ses trousses. 

-(Moi) Kiki??? C’est avec la vie de mon fils tu blagues comme ça ??? Continue je suis ici et je t'attends quand tu viendras me dire que t'a mal au pieds ou au rein. 

Tchuipps… Puis je sors mon  téléphone en sortant du salon, laissant ses deux folles. Vivement que ses cinq mois passent vite et que mon fils soit là. 

~~~~~~~ 

Quelques part au Venise en Italie.

**Carmelliah Sagbohan épouse AKLE** 

Je repense encore à la conversation que j’avais eu avec Mamanta, deux jours plus tôt. 

Flashback

-(Moi) Je voulais tellement me venger de Wilfred. Je le haissais au plus profond de mon être et je ne voulais qu’une chose lui faire payer. Je voulais me venger.

-(Mamanta) Que tu as en faire ta passion. Sauf que la vengeance n'est pas une passion, c’est une gangrène qui dévore l'esprit et empoisonne l’âme. Et ta passion qu'est la vengeance ta détruire elle-même.

La jalousie est un sentiment mesquin aussi bizarre que complexe qui ne fait que détruire tout ce que nous sommes de plus précieux. 

-(Mamanta) J'espère que tu as pris graine de tout ce que la vie t’appris. 

-( Moi) [ D’une voix enrouée par l’émotion] Oui Madame. 

-( Elle ) Tu peux m'appeler Maman ou Mamanta comme tu le faisais il y a peu. 

-(Moi) Euh je suis désolée pour cette période un peu noire de ma vie et je tiens à vous présenter mes excuses les plus chers.

-(Mamanta) Ne t’en fait pas. La vie m'a fait voir tellement des non vertes et pas assez de mûre que le reste n’a plus d’importance. L’important est que tu aimes mon fils et que tu le rends heureux. Je m'en fiche de tout. 

-(Moi)[Émue] Merci Madame , euh Maman. 

-( Elle) [ Sortant de la pièce] Je t’en prie. Et soit heureuse. C'est tout ce que je te souhaite. 

Fin du flashback

Je soupire malgré moi car en effet je m'attendais à l’éventualité de cette discussion. Mais je ne savais pas qu’elle allait se dérouler un an après que je me sois mis avec Melchi. Mamanta ne m’a pas jugé ni polémiqué. Elle nous regardais seulement.

Le bruit de la porte de la salle de bain me fit me retourner lentement. Devant moi se trouvait Melchi. Il venait de prendre un bain,et avait noué la serviette autour de sa taille. L’eau ruisselait encore sur son ma poitrine et sur ses tablettes de chocolat noir. Mon cœur se mit à battre à un rythme effréné. C’était avec beaucoup de peine que je parvins à en détourner mes yeux. 

-(Melchi)[ Amusé] Alors ça fait du bien de mater son mari??? 

-(Moi)[ Honteuse] Je suis désolée. 

-(Lui)[Me prenant dans ses bras] Ce n'est pas de ta faute. Ne t'en veux pas pour un truc aussi naturel. 

Je voulais me détacher tout doucement de lui. Du contact de sa peau qui me faisait frissonner,de ses abdos que je voulais toucher à tout prix pour mater leur résistance.

-(Melchi) [D'une voix rauque] Aurais-tu envie de dérober à tes devoirs conjugaux ?? 

-(Moi) Je…. Je… 

-(Melchi)[Déposant l'une de mes mains sur son pénis dur] Tu vois l'effet que tu me fais. Mais je respecterai ta décision car je suis un homme de parole. Mais le jour où je te ferai mienne,tu hurleras tellement de plaisir que tu m'en redemanderas encore et encore. 

Je déglutis alors avec peine. 

-(Melchi) Et si tu me disais ce que t'a dit la petite Kambelle. 

-(Moi)[ Souriante] Elle m'a dit que c’était le plus beau jour de ma vie et que les princesses ne sont pas tristes le jour de leur mariage. 

-(Melchi) Çà alors. 

-(Moi) [ Les yeux rêveurs] Puis elle m'a dit que si j’étais trop triste pour me marier, elle allait me voler mon mari.

-(Melchi) Cette fille est terrible pour une enfant de quatres ans. Kkkkkk.

Son rire était communicatif alors je me mis à rire à mon tour.

Melchi me renversa alors sur le lit et se mit à me chatouiller les aisselles. Je riais tellement que j’en pleurais,le suppliant d’arrêter. Il se pencha alors et m’embrassa avec une sensualité que je ne lui connaissait pas. Le concept comique de la scène avait changé pour laisser place à une atmosphère érotique chargée d’électricité. 

On s’embrassait, nos lèvres ne voulaient plus se détacher l'une de l'autre et nos langues ne cessaient de se chercher. 

Quand on consentit enfin, à prendre notre souffle,il mit sa tête entre mes seins les hurmants profondément et enfin pris un téton déjà dur dans ses bouche. 

J’étais prise des émotions grisants et je ne tardais pas à sentir ma cave se mouiller. 

- Hum haletai je. Oui Melchi

- Qu'est-ce qu’il y a fit il de sa voix innocente. 

- Je … je..

- Chut je vais te faire du bien.

Et ce fut le début des hostilités et ce fut dans ses bras que je reconnais qu'une femme même si elle est n'est plus tout à fait une femme peut ressentir du plaisir.


**Marie-Jeanne Hounton épouse d'Oliveira**

Claude Marcel vint m'enlacer de dos et je soupirai d'aise. Nous sommes restés là , prostrés dans la contemplation de ce coucher du soleil resplendissant. Moi,ma tête entre ses épaules et en sécurité dans ses bras posés autour de ma taille, je fixais l’horizon sans vraiment la voir.


- J'ai peur fis je. 

- Je sais répondit il.

- L'horizon s'annonce vraiment sombre. 

- Leïa Kambelle ??? Demanda t’il aussitôt.

- Malheureusement oui. 

- Il n'y a jamais de problème sans solution et si c'est son destin nous ne pouvons que l’accepter.

- Oui fis je tremblante. Son patrimoine spirituel n'est pas encore à son apogée que déjà, ils la cherchent.

- C'est la nature humaine. Nous n'avons d'autres choix que …

- D’espérer completais je. 

- Espérons alors….




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