HISTOIRE 60: La veuve. 1ière partie

Write by Le Kpetoulogue

HISTOIRE 60 << La veuve >> 1ière partie


Anicet avait un rêve. Celui de construire un logement pour tous les étudiants de l’intérieur du pays qui se verraient obligés de venir à Abidjan afin de poursuivre leurs études. Etant lui-même originaire de Bouaké, il a bien connu la difficulté d’avoir un logement à l’université. Apres ses études universitaires, il a obtenu un boulot d’ingénieur, et avec sa petite amie Myriam, il entreprit de réaliser son rêve. Ils finirent par faire construire une grande maison, un pensionnat disposant de plusieurs chambres. Malheureusement, l’homme propose et Dieu dispose. Anicet ne put profiter longtemps de la réalisation de son rêve. Dieu le rappela à lui durant son sommeil. Sur son lit de mort, Myriam lui a promis de faire tout ce qu’elle pourra pour faire perdurer son rêve. Un an après son décès, Myriam continue de porter son rêve comme chaque jour depuis ce jour-là, avec le sourire. Parce que le rêve de son défunt homme, a fini par devenir son rêve à elle.

Alors qu’elle venait de se réveiller, Myriam priait comme chaque matin pour le repos de l'âme de son défunt mari et aussi pour le rassurer qu’elle continue de tenir sa promesse de faire perdurer aussi longtemps que possible son rêve. Qu’elle prendra soin du pensionnat peu importe ce que cela lui coute. Myriam est une femme travailleuse, toujours le sourire aux lèvres. Quasiment tous les étudiants qui sont passés dans son logement ont apprécié le temps qu’ils y ont passés. Le loyer n’est pas cher, et Myriam a toujours été très aimable avec eux. Elle s’occupe de quasiment tout dans le logement. Le ménage, la cuisine, la lessive. Par moment, elle se faisait aider par une de ces cousines mais la plupart du temps, elle fait tout toute seule. Même quand ses locataires veulent l’aider, elle leur demande de ne pas s’en faire pour elle. Elle semble adorer travailler pour leur bien être.

Et aaujourd’hui est une nouvelle journée pour Myriam. Comme chaque matin, elle balaie toutes les chambres les unes après les autres, les couloirs, l’allée, et meme une partie de la rue devant son pensionnat. Elle tient à ce que tout soit toujours propre. Pendant qu’elle balaie la devanture de son logement, elle est interrompue par un monsieur du nom de Sidick

Sidick : << Tu travailles dur comme chaque jour jolie Myriam >>

Myriam : << Monsieur Sidick … >>

Sidick : << Héhéhé je suis là pour le payement ma chérie >>

Apres que Myriam l’ait invité à entrer, Sidick la suit jusqu’à son comptoir dans une des pièces de la maison. Une fois là, pendant qu’elle est en train de fouiller son tiroir à la recherche de quelque chose, arrêté derrière elle, Sidik ne cache même pas les regards obscènes qu’il pose sur son corps

Sidick : << Une veuve qui fait de son mieux pour tenir la promesse qu’elle a faite à son mari … ça doit être chiant pour toi n’est-ce pas ? >>

Après avoir trouvé ce qu’elle cherchait, Myriam revient vers Sidik et lui tend une enveloppe

Myriam : << Voila monsieur Sidick, c’est l’argent de ce mois >>

Sidick ouvre l’enveloppe et se met à compter les billets, avant de lui lancer un regard empli de désirs

Sidik : << C’est beaucoup moins que ce qui était prévu… qu’est-ce que tu comptes faire pour compléter ça Myriam ? >>

Myriam semblait gênée tout à coup

Myriam : << Hum … d’accord … j’ai compris >>

Myriam commença subitement à se déshabiller devant Sidik. Elle ôta son haut, et ensuite sa jupe. Sidik admirait le corps qu’elle possédait. Du haut de ses 33 ans, qu’est ce qu’elle était bonne. Myriam n’était pas une femme extrêmement belle comme le genre de femme qui nous coupe le souffle, mais elle était vraiment mignonne. Mais par contre ses formes étaient du genre à réveiller un mort, tant elle était bonne. Une poitrine généreuse, vraiment très généreuse sans pour autant être excessive. Un bassin large d’où ses grosses fesses bombées qui attirent l’attention de tous ceux qui marchent derrière elle. À chaque fois qu’elle passe dans la rue, elle fait tourner les regards. Sidick ricanait en la regardant se déshabiller

Sidick : << Haha c’est bien, utilises ton corps pour compenser le reste de l’argent que tu dois. C’est cela notre accord. Hum … tu as un corps si charnu, je pourrais te déguster toute la journée >>

Myriam était horriblement gênée par les propos de Sidick. Elle agissait comme si elle n’avait pas d’autre choix que cela. Ça semblait à contre cœur mais elle était comme résignée

Sidick : << Allez vient la, ne me fais pas attendre >>

Myriam : << D’accord >>

Myriam se rapprocha de Sidick et s’agenouilla à ses pieds. Elle commença à défaire sa ceinture, et à ouvrir sa braguette avant de faire sortir son pénis de son pantalon. Le sexe de Sidick était au repos, comme s’il attendait patiemment de se faire choyer. Le saisissant délicatement, Myriam rapprocha le gland de sa bouche. Elle le posa sur sa langue humide et commença à le sucer comme une tétine. Petit à petit, le sexe de Sidick commençait à se gorger de sang, mais n’était pas encore tout à fait bandé. Myriam tournoyait sa langue autour de son gland. Elle le faisait habilement. Sentant qu’il était quasiment bandé, elle se mit à engloutir sa queue plus en profondeur dans sa bouche

Sidick : << Mmmmmh ouii comme ça mmmmmh … tu es très douée pour sucer ma chérie >>

Myriam suçait passionnément la bite de Sidick. Même si elle semblait éprouver du dégout pour ce qu’elle était en train de faire, elle s’appliquait à lui faire la meilleure pipe de sa vie. Elle sentait son pénis se durcir de plus en plus dans sa bouche et en occuper de plus en plus l’espace. Pressant sa bite entre sa langue et son palais, elle salivait abondamment dessus, tout en nettoyant les contours avec sa langue. A un moment, Sidick lui demanda de sortir sa queue de sa bouche

Sidick : << Regarde dans quel état tu m’as mis. Regarde comment ma bite est devenue toute dure >>

Myriam : << C…c’est gros … >>

Myriam semblait quand meme impressionnée par la queue de Sidick. Ce n’était pas la première fois qu’elle la voyait, mais à chaque fois sa queue paraissait de plus en plus grosse et longue. Pendant qu’elle admirait la queue de Sidick, ce dernier semblait désirer sa grosse poitrine. Il s’approcha d’elle et baissa d’un geste les bretelles de son soutien-gorge. Dévoilant ainsi sa grosse poitrine

Myriam : << Aaaaah ….. >>

Sidick : << Waouh, tes seins sont tellement gros … j’ai envie de sentir ma bite entre eux. Fais-moi une branlette espagnole >>

Sidick ne laissait pas vraiment le choix à Myriam. Il avait déjà sa queue entre ses seins et étaient en train de bouger des hanches. Myriam inspira un grand coup, et pressa ses deux seins l’un contre l’autre. Etouffant ainsi la bite de Sidick. Elle relâcha une abondance de salive entre ses nibards pour que ceux-ci glissent bien autour de ce pénis qui faisait intrusion entre eux.

Sidick : << Voila mmmmh comme ça … verse beaucoup de salive comme je te l’ai enseigné et assure toi que ça fasse beaucoup de bruits obscènes >>

Myriam bougeait ses seins d’une telle manière que le frottement relâchait des bruits très obscènes. Et ces bruits obscènes excitaient de plus en plus Sidick. Myriam savait y faire. Sidick avait l’impression que sa bite se trouvait entre les anneaux d’un serpent qui voulait étouffer sa proie. Sentir sa bite entre des seins aussi gros et si doux, c’était une sensation intense et incroyable. Quasiment similaire à celle d’une chatte. Myriam avait une telle maitrise

Sidick : << Mmmmh je parie que tu es devenue bien meilleure pour faire plaisir aux hommes depuis la mort de ton mari. Tes seins si moux étouffent ma bite, j’adore quand tu fais ça mmmmh >>

Le plaisir commençait à monter à la tête de Sidick. C’était bon, c’était vraiment trop bon. Mais Myriam ne bougeait pas ses seins autour de sa queue assez vite. Sidick l’attrapa par les épaules et se mis à bouger lui-même. Il était en train de baiser les seins de Myriam, faisant grimper son plaisir de plus en plus vite

Sidick : << Ouiii mmmh comme ça mmmmh c’est bon mmh SUCE MON GLAND SUUUCE LE MMMMMH JE VEUX SENTIR TA LANGUE ME SUCER LE GLAND >>

Myriam pencha la tête en avant et commença à sucer le gland de Sidick. Ce dernier bougeait vraiment très vite des hanches. Ses vas et vient commencèrent à se faire saccadés, signe qu’il était sur le point de jouir. Myriam avait à peine le temps de sentir son gland dans sa bouche qu’aussitôt celui-ci se retirait, pour y revenir avec tout autant de vitesse. Il ne fallut que quelques secondes à Sidick pour relâcher sa jouissance dans un râle de plaisir

Sidick : << NWWOOOOOHHHH JE JOUIIIIISSSSSSSS >>

Myriam : << Hyaaaaa >>

Le visage et les seins de Myriam furent recouverts d’une quantité impressionnante de sperme

Sidick : << Putain c’était trop bon, tu suces trop bien >>

Myriam : << … C…comment pouvez-vous …. >>

Sidick : << Hé tu as oublié ce que tu dois faire après que j’ai fini de jouir ? >>

Myriam : << … >>

Du sperme coulait encore de la queue de Sidick. Myriam se rapprocha à nouveau de sa queue, et commença à la sucer de nouveau. Cette fois ci, elle était comme en train de la nettoyer de tous les fluides qui en étaient sortis. Elle lécha chaque trace de sperme et aspira dans sa bouche tout le sperme restant sur la bite de Sidick

Sidick : << C’est bien mmmh comme ça … fais-moi voir >>

Myriam ouvrit sa bouche qui contenait une certaine quantité de sperme

Sidick : << Parfait, maintenant savoure ce sperme et avale le lentement >>

Myriam trouvait le sperme de Sidick très épais, mais quand meme délicieux. Ca excitait Sidick d’avoir une telle emprise sur une aussi bonne femme

Sidick : << Parfait, c’était juste excellent ma chérie >>

Myriam : << uhm … S’il vous plait monsieur … Est-ce qu’on pourrait s’arrêter là pour aujourd’hui ? >>

Sidick : << Pardon ? >>

Myriam : << En fait … plusieurs étudiants vont rentrer tôt aujourd’hui donc … >>

Ses propos irritèrent Sidick. Lui, il n’en avait pas encore fini avec elle. Il était toujours excité et n’avait pas encore eu toute sa dose. Il voulait encore profiter d’elle

Sidick : << Tu me dis ça comme si … J’EN AI QUELQUE CHOSE A FOUTRE, RETOURNE TOI LÀ-BAS >>

Sidick d’un geste violent retourna Myriam et baissa le string qu’elle portait. Mettant ainsi à nue sa chatte correctement épilée. Il s’empressa d’y engouffrer sa langue pour lécher cette magnifique chatte qui était à sa portée. Pendant que sa langue montait et redescendait continuellement le long de la fente de Myriam, il malaxait ses grosses fesses et lui mettait des claques

Myriam : << AIIIEEEHHH s’il vous plait …. Je vous en supplie …. AAAAHHHH >>

Sidick ne l’écoutait meme pas. Il était comme possédé par le désir qu’il éprouve pour elle. Un désir impossible à réprimer. Il n’essayait meme pas d’y résister. Il s’abandonnait complètement au désir qu’il avait pour Myriam. Il était semblable à une bête sauvage. Après lui avoir léché la chatte à peine suffisamment pour qu’elle mouille, il la retourna sur le dos. Saisissant sa bite qui était excitée de nouveau, il commença à frotter la fente de la chatte de Myriam avec son gland

Sidick : << Uhmm parfait, je suis sûr que tu meurs d’envie de ressentir ma queue en toi >>

Myriam : << Noooon s’il vous plait... ne faites pas ça … AAAAHHHH ! FWAAAH ! >>

Sidick s’en foutait complètement de ses plaintes. Tout ce qui comptait pour lui, c’était son plaisir. Il pénétra Myriam sans crier gare et s’enfonça en elle aussi loin qu’il pouvait aller. La chatte de Myriam était incroyablement serrée à son gout, tellement, qu’il avait énormément de mal à bouger en elle. Quant à Myriam, elle trouvait que sa bite était vraiment grosse, trop grosse

Sidick : << Putaiiin tu es tellement étroite mmmh tu attends de baiser depuis pas mal de temps n’est-ce pas ?? >>

Myriam : << aAaah aaah AAHHH mmmh aaanh AANHH AANH aawNNN >>

Sidick trouvait Myriam trop bonne à baiser. À chaque pénétration, il essayait d’aller encore plus loin en elle. Son vagin lui faisait vivre tellement d’agréables sensations. S’il le pouvait, il aurait voulu pénétrer tout son être en elle. Alors qu’il la baisait en missionnaire, il se courba au-dessus d’elle pour saisir ses gros seins et jouer avec. Il se mit à sucer ses seins un à un. Il les pressait maladroitement, on aurait dit qu’il ne savait pas sur quel sein concentrer son attention.

Sidick : << Mmmh ta chatte a du se sentir seule depuis le décès de ton mari. Tu as un corps d’enfer tu sais ? >>

Myriam : << Mmmmh s’il vous plait …aaanw aaah aaanh … nooon mmmh >>

Sidick : << Mais ne t’en fais pas, nous allons baiser toute la journée >>

Myriam ne pouvait se dégager de l’emprise de Sidick. Derrière son comptoir, elle se faisait baiser à meme le sol. Les mouvements de Sidick étaient maladroits mais ça lui procurait des sensations intenses. Elle ne savait pas si cela était dû au fait qu’elle manquait de sexe, ou à la taille de l’engin de Sidick. Le fait est que meme si son esprit essayait de résister, son corps lui semblait profiter pleinement des intrusions répétées de Sidick en elle. En plus d’être incroyablement excitée, elle mouillait abondamment. Le désir que ressentait Sidick ressemblait à celui d’un fauve affamé pour sa proie. Au point où celui-ci lui léchait même le visage. Myriam commençait à s’abandonner au plaisir quand la voix d’un de ces locataires du nom d’Habib lui parvint

Habib : << Bonsoir je suis rentré … Madame Myriam ?? >> … A Suivre …



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