HISTOIRE 67 : Ma belle-mère. 2ième partie

Write by Le Kpetoulogue

HISTOIRE 67 : << Ma belle-mère >> 2ième partie


Cette nuit-là, couché dans son lit, Fabrice réfléchissait au comportement de Lindsay. Quelque chose n’allait pas avec elle, elle ne lui paraissait pas être une adulte normal. On aurait dit quelqu’un de trop simplet. Pendant qu’il réfléchissait, il vit la porte de sa chambre s’ouvrir lentement. Il pensait que c’était un coup de vent, jusqu’à ce que Lindsay pénètre en robe de nuit toute joyeuse en lui disant de dormir ensemble cette nuit. Sa robe de nuit était complètement transparente et elle ne portait rien en dessous

Fabrice : << Ahiii ???? Mais pourquoi tu ne portes rien sous ta robe ?? >>

Lindsay : << C’est sain de dormir sans sous-vêtements. Allez viens qu’on dorme ensemble comme une mère et son enfant >>

Fabrice : << Je dis tu es malade ? Tu es folle ? Si dans ton pays on fait ça là, ici là ce n’est pas comme ça hein >>

Lindsay ne semblait même pas prêter attention à ce que Fabrice disait. Elle se contentait de monter sur son lit et de s’avancer tout doucement vers son visage en prenant soin de bien balancer ses mamelons sous sa robe. Fabrice détourna le regard pour ne pas se laisser tenter mais il devenait déjà tout dur sous sa culotte et cela Lindsay le remarqua. Elle baissa subitement sa culotte pour laisser jaillir le membre tout excité et déjà prêt à l’emploi de Fabrice

Fabrice : << EEEHHH C’EST QUOI TU FAIS COMME CA ??? >>

Lindsay palpait le membre de Fabrice. Elle le trouvait vraiment très dur. Fabrice essaya de résister un peu mais n’oublions pas la force dont était doté Lindsay. Elle le plaqua dans son lit toute souriant

Lindsay : << Maintenant baisons >>

Fabrice : << Hein ?? Attend, tu es sérieuse ?? >>

Lindsay était déjà assise sur son entrejambe. Fabrice pouvait sentir sa chaude chatte au-dessus de son pénis. Elle était chaude, très chaude, limite bouillante. Au point où elle s’empressa de saisir sa queue et de se l’insérer d’un trait. Vu comment elle était mouillée, la bite de Fabrice glissa en elle comme sur un toboggan.

Lindsay : << Awwwnnnnnn >>

Fabrice : << Ghhhh >>

Fabrice avait du mal à croire qu’il était en train de pénétrer la femme de son père là. Elle avait beau être jeune, un peu trop simplet, c’était quand meme la femme de son père. Mais cette femme l’excitait terriblement.

Lindsay : << Mmmh et voilaaa , ça y est mmmh maintenant nous allons devenir très proche l’un de l’autre >>

Lindsay bougeait tout doucement sur la queue de Fabrice, et des bruits obscènes s’échappaient de chacun de ses mouvements. Elle se rapprocha encore plus de Fabrice et l’enlaça. Fabrice était déboussolé, en plus de sa chaude chatte, sentir son visage se faire étouffer entre ses seins ne faisait qu’augmenter son désir pour cette femme. Pendant qu’elle le baisait, Lindsay lui disait que le sexe était le meilleur moyen pour se lier avec quelqu’un. Que son père et sa mère étaient très proche parce qu’ils baisaient chaque nuit, par conséquent plus elle aura de sexe avec Fabrice, plus ils se lieront tous les deux. Fabrice ne comprenait strictement rien du tout à son raisonnement. Ce n’était pas logique pour lui, mais il ne voulait pas perdre son temps à essayer de la raisonner. D’ailleurs lui-même avait énormément de mal à raisonner en ce moment vu comment Lindsay lui pompait sa queue avec sa chatte. Elle s’était tout à coup mise à augmenter la cadence. Les anneaux de sa chatte pressait la bite de Fabrice a l’intérieur d’elle, comme s’ils voulaient la tordre. C’était intense et incroyable. Malgré son gabarit, cette femme avait un jeu de reins incroyable

Lindsay : << Mmmmh ta bite est booonnne mon Fabchouu , regarde comment la chatte de ta belle-mère l’avale entièrement >>

Elle faisait Fabrice se sentir dans un autre monde. Au point où ils en étaient, pourquoi est-ce qu’il se retiendrait encore se disait-il ? Autant y aller franco et prendre autant de plaisir que possible. Les seins de Lindsay l’obsédaient depuis un bon moment déjà. Il les saisit et se mis à lui sucer les tétons à travers sa robe de nuit

Lindsay : << Aaawwhhhnnnn Mes seiiiins mmmmmh Les seins de ta belle-mère sont délicieux n’est-ce pas ? mmmh suce les bien fort Awwnhhh >>

Lindsay était bien plus experte en matière de sexe que Fabrice ne l’aurait cru. Sa manière de bouger ses hanches en faisant rebondir ses fesses sur la queue de Fabrice était sensationnelle. Elle étripait sa queue à travers son vagin. Fabrice se sentait bien, beaucoup trop bien au point d’être sur le point de jouir et cela Lindsay le sentit

Lindsay : << Tu veux jouir Fabchou ? mmmh ne te retient pas >>

Fabrice : << Facilement comme ça ?? >>

Lindsay : << Remplis moi avec ton sperme >>

Fabrice ne sait pour quelle raison mais il essayait de se retenir. Il aurait bien voulu jouir en dehors d’elle mais Lindsay le tenait fermement. Cette fille avait une force de malade. Et pendant qu’elle le retenait, elle ne cessait d’augmenter la cadence. Fabrice se cramponnait pour retenir sa jouissance, mais c’était plus qu’il ne pouvait le supporter. Il finit par laisser jaillir sa jouissance en elle

Lindsay : << Aaahaaaannnnn mmmmh je sens ton sperme s’écouler en moi >>

Fabrice la regardait savourer le fait qu’il ait jouit en elle et sur le coup il la trouvait tellement belle qu’il voulait l’embrasser mais elle le stoppa en lui posant un doigt sur la bouche

Lindsay : << Non pas de baiser. Tu ne dois embrasser qu’une fille dont tu es amoureuse … pas moi >>

C’est ainsi qu’au fil des jours, Fabrice et Lindsay se sont mis à baiser encore et encore. Cela n’avait strictement rien à avoir avec une relation entre une belle mère et son beau-fils mais plus ils baisaient, moins Fabrice se sentait coupable. Néanmoins Lindsay refusait toujours que Fabrice l’embrasse

Un jour, le père de Fabrice fut convoqué par son professeur principal à l’université. Son père ne pouvant y répondre, il chargea Lindsay d’y aller à sa place. Evidemment Fabrice ne fut informé que le jour J. Quand ses amis le virent en compagnie de Lindsay à l’université, chacun voulait savoir qui elle était. Il dut inventer un mensonge comme quoi c’est une cousine qui venait d’arriver au pays et qu’elle venait se renseigner pour son inscription à l’université. C’était hors de question pour lui de leur dire qu’il s’agissait de sa belle-mère. Heureusement que Lindsay était un peu éloignée quand il leur parlait Subjugué par la grande beauté et les formes attirantes de Lindsay, chacun de ses potes voulaient tenter sa chance avec elle. Fabrice les a tous envoyé balader. Par la suite, il a rejoint Lindsay et ils montaient ensemble à l’étage supérieur afin de se rendre au bureau du professeur principal. Lindsay était toute excitée

Lindsay : << Hum je suis un peu nerveuse. Je dois faire bonne impression devant ton professeur >>

Fabrice : << Il sera choqué de voir à quoi ressemble ma belle-mère >>

Lindsay : << Oh tu me flattes mon Fabchou >>

Fabrice : << Pas du tout, absolument pas du tout >>

Lindsay : << Allez viens, dépêche-toi >>

Fabrice : << Pourquoi tu es pressée comme ça même ? >>

Lindsay : << C’est un devoir important en tant que mère donc évidemment que je suis toute excitée >>

Lindsay toute excitée enjamba les escaliers et voulu rapidement gravir les marches, par mégarde elle fit tomber son mouchoir. En s’abaissant pour le ramasser, elle entendit comme un bruit de déchirure

Lindsay : << Kyaaaaaaa !!! >>

C’était la jupe qu’elle portait qui venait de se déchirer juste au milieu de ses fesses. Fabrice qui était tout juste derrière elle, fut choqué par autre chose

Fabrice : <<AHII ??? MAIS ??? Pourquoi tu portes pas de caleçon ?? >>

Lindsay : << Euuh parce que c’est aussi sain de ne pas en porter … >>

Fabrice : << Hein ?? Meme la journée ?? Donc tu portes jamais de caleçon ?? Eeh Dieu >>

Lindsay : << Hum... on fait quoi maintenant Fabchou ? >>

Fabrice : << Hum personne ne verra quoi que ce soit si tu t’assoies, finissons ca rapidement et rentrons à la maison >>

Après être entré dans le bureau du professeur principal et s’être assis, Fabrice semblait gêné. Ça tombait vraiment mal, parce qu’en voyant une partie des fesses et de la chatte de Lindsay à travers sa jupe déchirée, Il ne put retenir son excitation. Du coup une bosse se dessinait sur son pantalon. Fabrice ne pouvait s’empêcher d’être excité vu comment il passait son temps à baiser Lindsay. Mille et un scenarios de lui la prenant sur les escaliers de l’université, lui étaient déjà passés en tête. Néanmoins il devait se calmer, pour baisser la tension et qu’il débande. Mais c’était mal connaitre Lindsay. Elle a aussitôt remarqué la bosse de Fabrice, vu qu’elle était assise tout juste à côté de lui. Fabrice qui avait fermé les yeux, histoire de se concentrer à penser à autre chose fut surpris de sentir la main de Lindsay au niveau de son entrejambe. Le temps qu’il ouvre les yeux, elle avait déjà baissé sa fermeture éclair et fait sortir son sexe de son pantalon. Elle était en train de le branler juste en face du professeur principal qui était en train de leur parler.

Professeur principal : << Alors, il se comporte généralement bien à l’école, mais je pense que sa situation familiale est un peu compliquée dans le sens ou on a toujours eu du mal à joindre son père … du coup je voulais le convoquer ici pour savoir si tout se passe bien à la maison ? >>

Lindsay : << Oui tout va très bien. Nous avons eu quelques accrochages au début mais maintenant nous sommes vraiment très proche >>

Professeur principale : << C’est bon à entendre >>

Pendant qu’il parlait, Fabrice avait beaucoup de mal à se retenir. La douce main de Lindsay lui procurait tellement de bien sur son pénis. Elle savait s’y faire. Sa poigne n’était si trop serré, ni trop souple. Elle lui tenait la queue exactement comme il le fallait et le branlait avec une telle aisance. Avec son pouce, elle caressait son gland qui était devenu assez sensible. Du pré sperme lui sortait déjà de la queue. Fabrice ne comprenait pas comment il pouvait être autant excité dans cette situation. Son professeur qui le regardait sentit comme s’il avait un malaise

Professeur principale : << Un soucis jeune homme ? >>

Fabrice : << Euh … rien, absolument aucun soucis monsieur >>

Lindsay : << Oh mon chou, ta gomme est tombée de ton sac on dirait. Attend je vais le ramasser >>

Fabrice : << Hein ? … >> … A Suivre …



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