I'am sorry

Write by Yayira Bénédicte

~~~~Addison Steven Yvan ~~~~~  


Cela fait environ une semaine que l'ambiance est plate à la maison, j'évite au maximum Ina parce que je n'aime pas voir la tristesse dans ses yeux, mais je lui en veux d'avoir gardé le contact avec ce type alors que je le lui ai interdit. 

Je suis rentré du boulot tôt aujourd'hui parce que le chauffeur m'a appelé pour me dire qu'elle n'était pas aller à l'école, pourtant elle ne manque jamais les cours. Je me suis encore plus inquieté lorsque j'ai appelé la maison et que la servante m'a dit qu'elle n'était pas sortir de la chambre depuis le matin, il était presque 15h pourtant. Je rentrais donc à la maison voir ce qu'il se passait. J'aurais voulu ne pas m'inquiéter pour elle mais je ne pouvais pas m'en empêcher. 

Mon sang ne fis qu'un tour lorsqu'elle s'évanouit dans mes bras. Je sortis à toute vitesse, je criais le nom du chauffeur depuis le salon pour qu'il mette la voiture en position départ. Je lui demandais de rouler vite. 

Un quart d'heure plus tard nous étions à l'hôpital et les infirmières la prenait en charge. Je me suis vu refusé l'accès de la salle où elle se trouvait. Je restais là à faire les cent pas me posant mille et une question. Qu'es ce qu'elle avait ? Pourquoi c'est t-elle évanouie ? Je ne sais même plus quoi penser. 

- Addison ? Dans mon bureau. Dit le médecin qui s'occupait d'elle. C'était t une connaissance à moi. Je le suivie tranquillement dans son bureau, il prit place et me demanda d'en faire autant. 

- alors de quoi souffre t-elle Oliver  ? 

- elle est déshydratée et très faible. Qu'es ce qui se passe chère ami ? 

- comment ça ? C'est toi le médecin à toi de me dire ce qu'il en est 

- ta femme est déshydraté comme je le disais tantôt, faible et aussi anémiée. Ça fait des jours qu'elle ne mange pas et elle boit à peine 

- quoi ? 

- comment tu as pu raté ça ? Tu étais en voyage ? 

- non pas du tout, on a juste eu quelques soucis de couple. 

- vos soucis impact vraiment sa santé, parce qu'elle est vraiment très affaibli. J'ai essayé de lui posé quelques questions et la dernière fois qu'elle a pris un vrai repas remonte à plus d'une semaine, c'est terrible ça. 

- je t'assure que je n'en étais pas informé. 

- il va donc falloir mettre vos soucis de côtés et prendre soin d'elle. 

- je le ferais, merci Oliver 

- je t'en prie mon pote. Voici l'ordonnance, je lui est prescrit quelque vitamines et deux boîtes d'un médicament de sang. Pour le moment elle est sous perfusion et elle dort. 

- merci vieux frère. Dis-je en me levant 

- prend soin d'elle stp, peut importe vos divergence 

- je le ferais t'inquiète. 


Je sortir de son bureau pour aller à la pharmacie prendre les médicaments qu'il avait prescrit et j'allais dans la chambre dans laquelle elle était hospitalisée. Elle dormait toujours, elle ressemblait à un ange quand elle dormait, si belle et si fragile. Je m'en voulais de n'avoir pas fais attention à elle sous prétexte que j'étais en colère. 

À bien la regarder aujourd'hui, je me rendais compte qu'elle avait perdu du poids. Je pris place non loin d'elle. Je pris mon portable pour appeler le bureau pour leur signifié que je ne viendrais pas dans le courant de la semaine, il fallait que je prenne soin de ma femme. J'appelais aussi son école pour les informé qu'elle était absente pour raison de maladie. J'appelais enfin la maison pour qu'on lui prépare une bonne soupe de poisson que le chauffeur ira chercher parce que je déteste la nourriture des hôpitaux. 


Elle se réveilla vers 21h et avait l'air perdu. Je me reprochais d'elle pour la rassurer. 

- nous sommes à l'hôpital, tu t'étais évanouie 

- je m'en souviens dit-elle timidement. 

- je voudrais de l'eau stp 

Je lui servir un verre d'eau qu'elle vida d'un trait. 

- merci 

- comment te sens tu ? 

- bien je suis juste fatiguée. Je suis désolée de t'avoir inquiété 

- ne t'en fais pas pour cela. Je t'apporte de la soupe de poisson, que le chauffeur a ramené de la maison. 

- non j'ai pas faim. 

- il faut que tu mange. Le docteur m'a sermonné parce que tu ne mangeait ni ne buvais correctement. Donc à partir d'aujourd'hui je veillerai personnellement à ce que tu te nourrisse. 

Elle ne dit rien et se contenta de hocher la tête. J'allais prendre ma petite glacière dans laquelle se trouvais la soupe, je la renversai dans un bol et je me mis à la nourrir. Elle mangea sans problème et vida le bol à mon grand plaisir. 

- merci dit-elle après que j'ai tout rangé.

Je mis la bouteille d'eau près d'elle. Le médecin dit que tu dois beaucoup boire parce que tu es déshydraté. 

- d'accord. 

Je voulais retourner à ma place lorsqu'elle me pris la mains 

- Yvan......je..... Je voudrais m'excuser pour tou.....

- c'est pas le moment, on en reparlera quand tu te porteras mieux, repose toi maintenant. Dis-je en lui fesant un bisous sur le front. 

J'attendis qu'elle dorme pour, sortir de la chambre me rendre à la maison prendre une douche et quelques affaires dont elle pourrai avoir besoin. Surtout des produits de toilette. 


Nous avons passés deux jours à l'hôpital avant de rentrer. Elle allait beaucoup mieux et avait repris des couleurs. Ses amis sont passés la voir quand nous sommes rentrés et je crois que ça lui a fait plaisir. Moi Je n'ai pas encore repris le boulot, mais je travaille à la maison tout en veillant sur elle.  



~~~~~~N'dey Ange Tina ~~~~~ 



Je suis rentrée il y'a quelque jours, Yvan est au petit soin avec moi, il veille à ce que je mange correctement, que je prenne mes médicaments et tout, il ne me repousse pas non plus quand je vais me coller à lui la nuit quand on est couché, il le prend simplement dans ses bras. L'abcès n'est pas creusé et notre relation est très platonique et cela ne me plais pas.  J'ai décidé d'en parler ce soir. 

On a fini de dîné, il est au balcon en train de travailler sur son ordinateur, je vais dans le dressing mettre un ensemble soutient et string en dentelle noir, je passe mon peignoir en soi blanc qui m'arrive à peine sur les fesses, je serre bien les corde de mon soutif pour bien bomber ma poitrine. Je vais ensuite me rejoindre au balcon, avec mon peignoir négligemment attaché. 

- je peux te parler stp ? 

Il leva les yeux vers moi et je vis du désir dans ses yeux, il me détailla de la tête au pied et je pouvais deviner qu'il aimait ce qu'il voyait. Mais il se repris rapidement. 

- je t'écoute. 

- je voudrais te demander pardon 

- pardon pour quoi ? 

- pour tour ce qui c'est passé, pardon de t'avoir mentir ,de t'avoir de... 

- écoute je n....  

- laisse parler stp. Je sais que j'ai gaffé en te mentant j'aurais jamais dû, mais comme je te l'ai dit j'avais peur de ta réaction, peur que tu ne le prenne mal. J'aurais dû te demander la permission avant d'y aller mais je sais que tu aurais refusé. Pourtant tu n'étais pas là et je m'ennuiyais, même quand tu es là on ne sort jamais en boite ni à la plage, c'est soit des dîné d'affaires, des dîné gala ou on est à la maison tout le temps comme si nous étions un vieux couple. J'ai envie de sortir, faire des trucs de mon âge et ça me plairait plus que tout de le faire avec toi. 

- c'est la raison pour laquelle tu fréquentes ce Patrick ?  Parce que lui ne se comporte pas comme un vieux c'est ça ? Dit-il en colère 

- je ne fréquente pas Patrick combien de fois dois-je te le dire ? Dis-je en haussant le ton et en fesant des grands signes pour que mon peignoir se retrouve au sol. Ce qui ne tarda pas à se produire, je me baissais ensuite pour le ramassé en m'arrageant pour que mes fesses soit bien devant lui. 

Il se leva d'un bond, et je vis que son engin prenais déjà du volume. J'eus un sourire. 

- c'est sur moi que tu cris comme ça ? 

- escuse moi d'avoir hausser le ton dis-je en rattachant mon peignoir. Désolée de t'avoir importuné je vais aller me coucher. 

Je me retournais pour aller dans la chambre. À peine J'entrais dans la chambre qu'il entra derrière moi. 

- tu ne quitte pas devant moi quand je parle, tu m'entends ? 

Là situation était tellement drôle que je ne pu m'empêcher de rire. Lui la mine sévère pendant que son sexe était près à déchiré son pantalon. Je souris de nous nouveau. 

- et en plus tu te fou de ma gueule, je suis devenu ton clown pour te faire sourire ?  Dit-il en criant. 

- escuse moi Van, c'est juste que tu n'es pas crédible en ce moment vu comme mini Van est au garde-à-vous ce qui contraste avec ta mine sévère. 

Il baissa la tête pour regarder son engin bien dressé. Je profitais pour me rapprocher de lui. Baissons les armes ce soir stp, j'ai envie de toi et je sais que toi aussi. Fais moi l'amour et après on reprendra nos querelles dis-je en enlevant sensuellement mon peignoir. 

- je suis fâché, et te faire l'amour n'y changera rien 

- je le  sais, mais en attendant éteins le feu qui brûle mon corps entier en ce moment. 

Je profitais de son hésitation pour l'embrasser. Il ne répondit pas au début, mais il fini par entrouvrir sa bouche et j'y introduisie ma langue. 

En un temps record nous étions tout les deux nus, il était couché sur le dos et moi couché sur lui,  l'embrassant et le caressant. Il prit mes tétons tour à tour dans sa bouche, et il les suçait goulûment, il remonta ensuite à mon cou. Il me renversa ensuite pour se coucher sur moi, il se baissa pour harper mon clitoris pendant qu'il titillait mes tétons d'une main et l'autre fesait des va et viens en moi. 

C'était tellement bon, que je ne tardai pas à jouir. Il se me retourna pour me mettre en levrette, me donna deux claques sur les fesses avant de me pénétrer. 

- je vais te baisé aujourd'hui, comme ça tu sauras que c'est moi ton homme. Dit-il pendant qu'il le pénétrais lentement 

- Ouii baise...moi 

- je ne vais pas être tendre.... J'ai envie que tu me sente jusque dans tes entrailles. 

Il se retira entièrement avant de me pénétré de nouveau 

- je vais t'apprendre le respect. Dit-il en se mettant à bonjour 

- oh Ouii Van, Ohhh..... Enseigne.... Huuummm..... Le respect 

Il me donna une autre claque. 

- qui t'a permis de m'appeler par mon nom ?  Petite effrontée dit-il en bougeant plus fort 

- par..... Par...... Pardon..... Papa..... Oh...... Fuck..... 

- répète encore 

Dit-il se retirant entièrement de moi une nouvelle fois 

- pardon papa.... Je t'en prie bais moi.... 

À peine je terminais ma phrase qu'il était de nouveau en train de me chevaucher. Je ressentais une telle plénitude, le sentir en moi m'avait tellement manqué. 

- tu es si bonne.... Si étroite..... Si chaude.... Merde je vais pas tardé à jouir. Dit-il en allant de plus en plus vite 

- oh fuck.... Yesss..... Fuck me...... Je viens Babe, je viens 

- viens pour moi, viens ma reine....  

Un orgasme fulgurant me traversa pendant que je criais son nom. Il se déversait en moi quelque seconde plus tard. 

- tu m'appartient dit-il en me serrant dans ses bras 

- je t'appartient. dis-je dans un murmure. 



Bisooouus mes chéries 


Un contrat spécial