<< Insatiable >> 1ière partie

Write by Le Kpetoulogue

<< Insatiable >> 1ière partie


Dans une voiture en circulation, Fatim est assise à l’arrière et semble anxieuse. Elle n’arrête pas de bouger ses jambes comme si elle était soucieuse. A l’avant se trouve Youss et Fabio deux amis de longue date. Ces deux derniers discutent comme si de rien n’était du mercato des transferts

Fatim : << Vous là, vous êtes sur de votre plan-là ? >>

Youss : <<Ayi ?? Oui kai , est ce qu’on t’a déjà mis dans faux plan ? >>

Fatim : << Ha mais d’habitude, je gère avec des hommes. Affaire de femme-là est quitté où ? Moi je ne suis pas lélé hein >>

Fabio : << T’inquiète, en plus la go paie bien. 500 mille cash , tu veux pas ?? >>

Fatim : << Fhoum , mais façon vous dites qu’elle est bizarre là. Ça n’a qu’à être un vrai bail hein >>

Youss : << Oorh ma petite reste calme. Toi-même tu vas apprécier j’en suis sur >>

Fatim ne pouvait pas s’empêcher d’être anxieuse quand même. Etudiante en 2ième année de finances, elle était aussi escorte de luxe à ses heures perdues. Elle pouvait compter sur sa grande beauté, ses formes et ses courbes envoûtantes pour faire tourner la tête à bon nombre d’hommes. Youss et Fabio sont deux amis à elle. Ces derniers ont l’habitude de lui proposer ce genre de plan avec des Dg, des hommes religieux et parfois même des ministres. Mais c’est la première fois qu’ils lui proposent un plan avec une fille. Fatim n’est pas vraiment attiré par les filles, pas du tout en fait. Mais la proposition est tombée à un moment où elle avait besoin de pas mal d’argent. 500 mille ce n’est pas une somme négligeable pour elle. Ce qu’elle craignait par contre était de tomber sur une femme qui n’a aucune hygiène. Quelques minutes plus tard, Youss gara la voiture dans un quartier résidentiel, devant une grande villa.

Youss : << Bon djo , appelle la pour lui dire qu’on est là ou bien ? >>

Fabio : << Ok attend une seconde >>

Après le coup de fil de Fabio, le grand portail de la villa s’ouvrit. Youss entra avec la voiture et se gara à l’intérieur. Fatim descendit de la voiture. Elle était magnifique dans sa robe bleue. Une fente jusqu’en haut de sa cuisse qui donnait envie de savoir quel dessous elle avait porté. Le décolleté qu’offrait sa robe était vraiment plongeant et donnait vue sur une belle poitrine généreuse. Le léger maquillage qu’elle arborait lui donnait l’air d’une femme diabolique. Elle était sensuelle à l’excès. Apres être entrée dans la villa en compagnie de Youss et Fabio, elle trouva à l’intérieur une autre femme. Elle était assise de dos sur le canapé et regardait la télé

Youss : << Émeraude la fille cracra de la palmeraie >>

Emeraude : << Tu m’arrêtes ça tout de suite, et venez ici >>

Youss : << Ok >>

Fabio : << Donc euh, voilà la fille dont on t’avait parlé là … si elle te convient … >>

Émeraude jeta juste un coup d’œil derrière elle, mais ce laps de temps fut suffisant pour Fatim de voir qu’Émeraude était une jeune fille. Elle s’attendant à devoir gérer un plan avec une femme mature mais non, Émeraude semblait même plus jeune qu’elle. Fatim était un peu surprise de ce qui se passait dans ce magnifique et grand salon. Fabio et Youss semblaient se faire tout petits devant cette fille qui était clairement plus jeune qu’eux. Elle parlait avec éloquence et un certain ton dominateur se faisait sentir dans sa manière de parler. Durant leur discussion, Fabio et Youss ne faisaient qu’acquiescer comme s’ils parlaient à leur patronne. Quand elle finit avec eux, elle s’avança enfin vers Fatim. Fatim la trouva vraiment très belle. Émeraude était sublime. Elle semblait un peu négligée, ou plutôt détendue vu qu’elle portait un jogging et un T-shirt mais pourtant son visage rayonnait de beauté et de douceur. Ça ne ressemblait pas vraiment à sa manière de parler. Émeraude n’adressa pas la parole à Fatim. Elle se contenta de la regarder attentivement. Elle posa sa main sur sa joue et effleura ses lèvres. Elle tourna ensuite autour d’elle comme pour regarder si elle lui convenait. Elle posa ses mains délicatement sur les cuisses de Fatim et longea son corps jusqu’à saisir ses seins

Fatim : << HUM >>

Emeraude : << D’accord les gars, elle me va. Prenez l’enveloppe sur la table >>

Fabio : << Euh … tu ne veux pas qu’on reste ? >>

Emeraude : << Pas cette fois non, je la veux rien que pour moi >>

Youss : << D’accord … Bon Fatim tu nous bigo après hein >>

Fatim : << Hum d’accord >>

Après que Youss et Fabio s’en soit allés, Émeraude invita Fatim à la rejoindre au salon et lui servit à boire. Émeraude semblait être une fille à papa. Fatim avait déjà entendu que les filles à papa avaient des penchants bizarres mais elle ne pouvait s’empêcher d’être surprise qu’une fille aussi jeune aie ce genre de penchant. Émeraude lui paraissait vraiment trop jeune

Fatim : << Dis-moi s’il te plait , quel âge as-tu ? >>

Émeraude : << 20 ans pourquoi ? >>

Fatim : << Tu es plus jeune que moi, mais dans ta manière de parler , de t’exprimer on dirait que tu es beaucoup plus mature pourtant. Et donc tu es attirée par les filles si j’ai bien compris >>

Émeraude : << Pas vraiment >>

Fatim : << Ha ? >>

Émeraude : << J’avais juste envie d’expérimenter quelque chose pour voir ce que je ressentirais. Vois-tu, je suis à la recherche de sensations fortes >>

Fatim : << Ha … en fait moi je n’ai aucune expérience avec les femmes donc … >>

Émeraude : << Ne t’inquiète pas, tu n’auras pas grand-chose à faire. Juste exprimer ce que tu ressens. Allez suis moi >>

Émeraude conduisit Fatim jusqu’à dans sa chambre. Elle lui demanda de patienter sur le lit. Émeraude ôta ses vêtements devant Fatim qui fut surprise par les formes qu’elle cachait en dessous. Elle était sacrement bien foutue. Fatim ressentit un peu de jalousie même, Émeraude semblait bien plus canon qu’elle. Elle se dirigea dans la salle de bain et pris une douche. Elle en ressorti le corps tout mouillée. Émeraude se promenait sans gêne toute nue devant Fatim. Elle semblait vraiment complètement à l’aise. Bon même si ce sont deux filles, Fatim s’attendait à ce qu’elle soit peut être un tout petit peu timide mais non, Émeraude se comportait comme si elle était seule dans la pièce. Après s’être essuyée avec une serviette, elle alla se maquiller. Quand elle finit de se maquiller, elle était méconnaissable. Ou plutôt maintenant elle ressemblait au comportement qu’elle affichait depuis tout à l’heure. Elle semblait autoritaire, incroyablement belle, sensuelle. On aurait dit une personne différente avec ce maquillage. Elle sorti ensuite une tenue en cuir de sa penderie. C’était vraiment simple comme tenue. Le soutien-gorge était fait de deux grandes bandes qui longeaient les seins en diagonale pour cacher les tétons et se rejoignaient autour d’un anneau et qui était relier à une autre bande en cuir qui servait de collier autour de son cou. Son string était aussi en cuir. C’était une panoplie complète, avec des bottes et des gants en cuir. Fatim compris tout de suite que ça allait être un truc un peu sado masochiste. Cela ne la dérangeait pas vraiment. Elle avait plusieurs fois joué à des jeux de rôles avec d’anciens partenaires. Elle sait bien que dans ce genre de travail, on est amené à satisfaire des vices parfois bien sombres. Néanmoins elle s’impose une certaine limite à ne pas franchir.

Émeraude : << Déshabille toi et porte ça >>

Émeraude lui lança une tenue qui était faite de lanières. Ce n’était pas comme la tenue qu’elle portait. Sa tenue à elle mettait à nue toute ses parties intimes

Fatim : << Euh … >>

Émeraude : << Un souci ?? >>

Fatim : << Euh … non, tu m’aides ? >>

Émeraude : << D’accord >>

Émeraude l’aida à porter la tenue. Pendant qu’elle l’aidait à s’habiller, Émeraude n’eut pas le moindre geste déplacé. Fatim trouva ça quelque peu charmant. Elle s’attendait à ce qu’Émeraude aie les mains baladeuses sur son corps mais non. Elle l’aida simplement à porter la tenue, elle ne semblait pas pressée du tout. Une fois que Fatim fut complètement habillée

Fatim : << Alors ? Ça te plait ? >>

Émeraude : << Hum … c’est pas mal. Ça te va bien. Tiens >>

Émeraude lui tendit une enveloppe qui contenait de l’argent. Fatim compta les billets et il y avait exactement 500 mille comme prévu

Émeraude : << Le compte est bon ? >>

Fatim : << Oui oui >>

Émeraude : << Parfait donc écoute moi bien, jusqu’à ce qu’on finisse tu m’appelleras maitresse, ok ? >>

Fatim : << D’accord … maitresse >>

Émeraude : << Mets toi à quatre pattes >>

Fatim s’exécuta et se mis à quatre pattes. Émeraude lui posa un collier sur le cou et ensemble elles sortirent de la chambre. Emeraude se comportait comme si elle promenait son chien. A quatre pattes, Fatim avait le cul d’Émeraude en face d’elle et qu’est ce qu’il était beau ce cul. Elle se disait qu’un cul comme ça ne passerait pas inaperçu dans une robe moulante ou une petite culotte. Fatim trouvait Émeraude de plus en plus attirante et excitante, et se disait que vivre sa première expérience lesbienne avec elle allait la satisfaire bien plus qu’elle ne le pensait. Elles entrèrent dans une autre pièce ou un meuble avait était aménagé. C’était un lit pliable avec des liens un peu partout. Émeraude lui demanda de se relever. Quand Fatim fut debout, Émeraude l’enlaça. Fatim était déjà bien plus grande qu’Emeraude et les talons qu’elle portait lui donnait encore plus de taille par rapport à Émeraude. Émeraude passa ses mains sur les cuisses de Fatim, elle les longea et saisit fermement les fesses de Fatim. Sans prévenir elle lui mit une grosse claque

Fatim : << AIEEEE >>

Émeraude : << Chuuuut >>

Émeraude se comportait comme une maitresse et Fatim était sa possession. Elle lui envoya encore d’autres claques sur les fesses avant de s’intéresser aux lèvres de Fatim. Elle la fit s’asseoir sur le lit et se mis à tendrement l’embrasser. Fatim trouva son baiser tellement suave. Émeraude savait comment embrasser, elle n’y mettait pas trop de salive et sa langue se glissait et se frottait autour de la langue de Fatim. C’était passionnant, fusionnel. Elle lui suçait chaque lèvre de sa bouche et pendant qu’elle l’embrassait, Émeraude ne cessait de caresser le corps de Fatim. Ses seins, ses fesses, ses mains se baladaient partout sur son corps. Mais quand Fatim voulait lui rendre ses caresses, elle lui retenait les bras. C’est comme si elle voulait que Fatim se laisse juste faire et c’est ce qu’elle finit par faire. Après tout elle est payée pour jouer un rôle. Émeraude chauffait de plus en plus Fatim qui commençait à ressentir des frissons lui parcourir le corps. Au bout d’un moment, Émeraude interrompit son baiser et ses caresses et se mit à regarder Fatim

Émeraude : << Monte sur le lit >>

Fatim : << Ok maitresse >>

Une fois sur le lit, Émeraude demanda à Fatim de se mettre en levrette. Elle lui banda les yeux et lui attacha les mains dans le dos. Avec les liens du lit, elle lui attacha chaque jambe avec deux liens. Un au niveau de la cheville et l’autre au niveau du pli du genou. Ensuite elle lui attacha des liens au niveau de ses bras. Elle pencha sa tête sur le côté et avec un autre lien, elle lui attacha le cou. Emeraude l’avait parfaitement ligotée au lit.

Émeraude : << Ça va ? Tu n’as pas mal j’espère ? La position est confortable ?? >>

Fatim : << Oui oui c’est confortable maitresse, ça va je n’ai pas mal >>

Émeraude : << Parfait il est temps de passer aux choses sérieuses >>

Muni d’une cravache, Émeraude commença à caresser le corps de Fatim avec. Cette dernière sentait juste quelque chose de froid parcourir son corps et s’attarder entre ses fesses et sur ses parties intimes. Le bout de la cravache longeait le long de sa fente de haut en bas. Fatim ne savait si c’était la clim, ou alors la situation, ou alors cette première expérience avec une fille ou tout simplement la manière dont s’y prenais Émeraude mais elle commençait à se sentir terriblement chaude. Subitement Émeraude lui mis un coup de cravache sur ses fesses

Fatim : << AAGGHHR >>

Ce fut une douleur brève, comme une piqure de moustique. Aussitôt des caresses avec le plat de la cravache suivirent et encore un autre coup

Fatim : << AAIIIEEEHHHH >>

Et encore d’autres caresses. Émeraude semblait s’amuser à lui faire sentir de la douleur et de la douceur. Ce n’était pas désagréable. Bien au contraire, cela ne faisait qu’attiser le désir que Fatim ressentait au point ou sa chatte commençait à mouiller … A suivre …

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