<< Insolence et passion >> 1ière partie

Write by Le Kpetoulogue

<< Insolence et passion >> 1ière partie 


Ce beau temps ensoleillé sur la ville d’Abidjan génère une chaleur étouffante. C’est cette chaleur qui pousse Myriam a déserté sa salle de classe où la clim semble en panne afin de chercher un peu d’air frais dans l’enceinte de son couloir. Vêtu de sa chemise déboutonnée vers le haut et d’une jupe dont le moindre geste brusque ferait voir ses dessous, Myriam arpentait le couloir de son école en regardant la vue quand subitement elle entendit subitement la voix grave et en colère d’un homme hurlé son nom 

L’homme : << MADEMOISELLE MYRIAM COMBIEN DE FOIS JE VOUS AI DIT DE NE PLUS VENIR A L’ECOLE AVEC CETTE JUPE TROP COURTE ? >>

Myriam : << Monsieur Jacob … encore en train de sermonner les élèves ? Vous n’avez rien de mieux à faire.  >> 

Jacob : << Parlez- moi avec plus de respect mademoiselle, je ne suis pas un de vos camarades de classe et discipliner les élèves est une de mes fonctions en tant que professeur dans cette école. Si vous n’obéissez pas aux règles, vous ne deviendrez jamais un adulte convenable >>

Myriam : << Oh … ?? Je ne veux pas devenir un adulte comme vous >>

Myriam se retourna aussitôt pour continuer son chemin comme si de rien n’était. Cela révolta Jacob qui n’avait pas encore fini de la sermonner 

Jacob : << MADEMOISELLE MYRIAM REVENEZ ICI TOUT DE SUITE, JE N’AI PAS FINI >>

Jacob pouvait hurler comme il le voulait, ce n’est pas vraiment cela qui effrayerait Myriam. À peine âgée de 23 ans, elle est connue dans tout l’établissement comme une élève rebelle. Elle a toujours fait les choses comme bon lui semblait et même si elle avait de bonnes notes en classe, son regard perdu dans le vide à chaque fois donné l’impression que peu de choses l’intéressaient dans cette école. 

Jacob : << les adolescents de nos jours … Mon Dieu pff … >>

Pendant que Jacob soupirait d’exaspérante face à l’attitude de Myriam, Remi un collègue à lui qui avait suivi la scène l’approcha 

Remi : << Ha Jacob toujours aussi enthousiaste par rapport à la discipline des élèves à ce que je vois >>

Jacob : << Ha Remi … oui. Je ne sais pas comment vous faites pour gérer les élèves dans cette école. Quand j’étais encore à Korhogo, c’était moins compliqué. Ici parfois j’ai l’impression de parler dans le vent comme si je faisais mal les choses … >>

Remi : << Oh non mon ami, le problème ne vient pas de toi rassure toi >>

Alors que Remi lui parlait, Jacob remarquait un groupe de filles qui venaient et qui faisaient un peu trop de bruit 

Jacob : << EEH VOUS Là-bas MARCHEZ EN SILENCE CE N’EST PAS UN MARCHÉ ICI ET BOUTONNEZ MOI CES CHEMISES. OU EST-CE QUE VOUS VOUS CROYEZ ? >>

Effrayées, les filles accélérèrent aussi le pas pour rejoindre leur salle de classe. Faut dire que depuis son arrivée dans cet établissement, Jacob est peu aimé. Il est toujours là en train de hurler et d’exiger une discipline militaire aux élèves. N’eut été ce comportement, la plupart des filles de l’école le trouver bel homme. Il était assez grand de taille avec un physique bien imposant. Physique qui n’était pas dû au hasard vu qu’ayant auparavant servi dans l’armée. Jacob était néanmoins un peu trop pointilleux sur la discipline et cela même ses collègues l’avaient remarqué 

Jacob : << Ha oui Remi désolé, qu’est-ce que tu disais ? >>

Remi : << Je pense qu’il te manque juste un peu de flexibilité. Tu sais ici ce n’est pas une école militaire. Les élèves ne voient pas les choses comme toi. Pouvoir se détendre pour que les élèves puissent ressentir une certaine affinité pour toi est aussi très important dans le rôle d’un enseignant >>

Jacob : << Euh … si tu le dis ... >>

Remi : << Depuis tu es arrivé à Abidjan, je crois que je ne t’ai quasiment jamais vu trainer avec une fille. Je suis un homme comme toi, donc je pense que tu as besoin d’évacuer un peu, histoire d’être de meilleure humeur >>

Jacob : << Hein ? Attends … ce-ce … comment ça ? >>

Remi : << T’inquiète pas, tiens ce numéro. Faut juste dire que tu Appelle de ma part. Tu me remercieras >>

Jacob : << Ha … >>

Remi se disait que Jacob devait refouler une certaine frustration pour sembler être tout le temps d’aussi mauvaise humeur et sur les nerfs. N’étant pas encore habitué à la ville d’Abidjan, peut-être avait-il du mal à avoir des touches. Du coup, Remi lui avait donné le contact de quelqu’un qui faciliterait les choses. Jacob quant à lui, avait très bien compris les propos de Remi, et c’est bien vrai que depuis qu’il était arrivé à Abidjan, il n’avait pas eu de contact avec les femmes. Il était tellement obnubilé par son travail et par le fait de discipliner ses élèves qu’il en avait oublié cet aspect important de la vie d’un homme. Mais néanmoins il se demandait si cela était vraiment important pour un enseignant. Et comment est-ce que sont les abidjanaises. De ce qu’il a pu voir dans les rues, elles sont tellement différentes des femmes qu’il a connu jusqu’à présent.  Jacob finit par se dire qu’il n’avait rien à perdre et contacta la personne dont Remi lui avait donné le numéro. Il n’eut qu’à dire que c’était Remi qui l’envoyait, qu’aussitôt son correspondant lui demanda juste son adresse exacte et si c’était de son numéro personnel qu’il appelait 

Jacob : << Euh oui … j’habite à Yopougon >>

Son interlocuteur : << Hum … est ce que j’ai une fille vers là-bas même ? … je te reviens tout à l’heure >>

Jacob n’eut pas à attendre longtemps que le type lui envoyât un message en lui disant que c’était ok et que la fille viendrait vers lui aux environs de 22h. Un peu plus tard dans la soirée, assis sur son lit, Jacob cogitait encore. Plus l’heure approchait, plus son anxiété augmentait. Il se posait mille et une questions. Savoir si ce qu’il s’apprêtait à faire était bien. Et si la fille ne lui plaisait pas. Et s’il ne plaisait pas à la fille. Et s'il lui offrait une performance pitoyable et qu’elle racontait cela à Remi et que ses collègues du boulot se moquent de lui.  Comment devait-il se comporter avec elle ? De toute sa vie, Jacob n’avait jamais encore fait appel aux services d’une escorte. Alors qu’il était encore dans ses réflexions, on sonna à la porte. À toute vitesse, il descendit de son lit et courut ouvrir la porte 

Jacob : << BONSOIIIR ! BIENVENUE ENTRE S’IL TE PLAIT ! JE NE FERAIS RIEN DE BIZARRE TU PEUX EN ETRE RASSURE ET … >>

Jacob ne se rendait pas compte qu’il disait tout un tas de connerie jusqu’à ce que ses yeux croisent la fille qui se trouvait devant sa porte. Il s’agissait de Myriam 

Jacob : << Ma..ma… MADEMOISELLE MYRIAM ? !!! >>

Myriam : << Euh … qu’est-ce que vous faites ici monsieur Jacob ? … je me suis trompé d’adresse ou quoi ? >>

De grosses gouttes de sueur coulaient sur le front de Jacob et ce n’était pas dû à la chaleur. Il essayait de garder son calme autant que possible 

Jacob : << Euh … oui vous avez dû vous tromper d’adresse >>

Myriam : << Non … vous n’allez pas me tromper comme ça monsieur >>

Selon les instructions qu’on lui avait données, Myriam vit qu’elle se trouvait parfaitement au bon endroit. Elle s’autorisa à entrer dans l’appartement de Jacob 

Myriam : << bien, merci d’avoir fait appel à mes services >>

Jacob : << Hein ? EEHHH ON ENTRE PAS CHEZ LES GENS COMME CA >>

L’appartement de Jacob était vraiment tout simple. Un studio avec le confort minimum mais c’était étonnamment propre et bien rangé. Myriam se dirigea directement vers le lit 

Myriam : << C’est vraiment propre chez vous >>

Jacob : << Évidemment, ça l’est … >>

Myriam s’assit sur le lit. Elle semblait totalement à l’aise, pour elle sait comme si de rien n’était tandis que Jacob lui se sentait tellement gêné. 

Myriam : << De tous les professeurs de l’école, vous êtes le dernier que j’aurais pensé être capable de faire ça. Vous semblez tellement droit dans vos bottes, et je suis sûr que vous avez nettoyez proprement votre chambre parce que vous deviez rencontrer une fille >>

Jacob : << Je-je ne vois pas de quoi vous parlez … j’ai juste composé un mauvais numéro et … suis … d’ailleurs le véritable problème c’est toi. Pourquoi est-ce que tu travailles comme escorte ? En tant que professeur je ne peux pas fermer les yeux sur le ça >>

Myriam : << Oh … vous pensez que vous êtes en position de me sermonner. Hihihi … Voulez-vous être la vedette de tous les réseaux sociaux demain et être connu comme un prof dégoutant qui paie ses élèves pour du sexe ? >>

Jacob : << NOOOON TOUT SAUF CA … s’il te plaît … je- j'écoute je vais te donner de l’argent et tu n’auras rien du tout à faire. Absolument rien du tout, Juste t’en allait et ne parler de ça à personne. Est-ce que ça te va ? >>

Myriam se sentait d’humeur joueuse et voulait provoquer Jacob. Pour l’occasion, elle avait porté une minijupe vraiment très courte. Elle semblait être du genre à beaucoup adorer se vêtir comme ça. À la limite de l’obscène. Vu comment elle était assise on pouvait entrevoir le dessous qu’elle portait. Quant à son haut c’était une sorte de veste courte qui offrait un superbe décolleté. Ses seins eux non plus ne passaient pas inaperçus et d’ailleurs pour encore mieux les montrer, elle ôta sa veste et était juste en soutif. Myriam était un joli bout de femme. Pas très grande, elle avait néanmoins de superbes formes. Des seins d’une taille moyenne mais un postérieur assez imposant. Plusieurs fois sur son passage, des étudiants faisaient exprès de s’abaisser pour voir son dessous sous sa jupe. Myriam afficha son air le plus coquin et séducteur devant Jacob 

Myriam : << Oh vous êtes sur monsieur. C’est votre chance de faire tout ce que vous voulez de mon corps vous savez. Absolument tout ce que vous désirez. Je suis sûr qu’à l’école tous les professeurs rêvent en secret de coucher avec une étudiante hihihi >>

Jacob : << non pas moi, je préfère les femmes mures, les petites filles ça ne m’intéresse pas >>

Myriam : << Hein ? >>

Ces propos irritèrent grandement Myriam. Comment Jacob pouvait oser négligez son charme et la considérer comme une petite fille ? Elle se leva du lit et vint coller sa poitrine contre celle de Jacob en se tenant sur le bout de ses pieds comme pour le défier 

Myriam : << C’est très condescendant n’est-ce pas monsieur. Je ne suis pas une petite fille et quand je fais mes affaires je deviens une autre personne >>

Jacob : << Ha ? Hahaha désolé mais il n’y a aucun moyen que je puisse être excité par une petite morveuse comme … >>

Jacob avait détourné le regard de Myriam avait de lui répondre et avant qu’il ne puisse terminer sa phrase, il sentit un vêtement doux au toucher lui tomber sur la tête 

Jacob : << Ahi ? C’est quoi ce beau morceau de tissu qui sent bon comme ça ? … C’est quitté où ? >>

Myriam : << Eh pouvez-vous le tenir avec plus de douceur et ne pas le tirer comme ça ? Sinon vous allez le couper. C’est mon string >>

Alliant le geste à la parole, Myriam souleva sa minijupe pour que Jacob puisse voir qu’effectivement elle ne portait plus rien en dessous 

Jacob : << MERDE QU’EST-CE QUE TU ES EN TRAIN DE FAIRE LA ? >>

Jacob s’empressa de fermer les yeux pour ne plus en voir davantage qu’il avait déjà vu.

Myriam : << Hum … ne disiez-vous pas qu’une morveuse comme moi ne pourrait pas vous exciter. >>

Jacob : << Tu-tu est mal compris. Je voulais dire qu’en tant que ton prof, pour ton propre bien … >>

Myriam : << Ha mais pourtant votre ami dans votre culotte semble être devenu très enthousiaste >>

En pointant son regard vers le bas, Jacob remarqué que son sexe surélevait fièrement la culotte qu’il portait. Cette excitation subite le surprit lui-même. Un seul regard sur l’entrejambe de Myriam avait suffi à le mettre dans cet état. Il inventa une excuse comme quoi son sexe avait lui-même sa propre personnalité et que ce n’est pas parce que son sexe est excité face à Myriam, que luit l’est aussi. Myriam se rapprocha de Jacob en s’agenouillant au niveau de son sexe qu’elle se mit à caresser à travers sa culotte

Myriam : << cela veut dire que j’ai du charme en tant que femme n’est-ce pas. Hihihi ça me rend heureuse, ou alors ça veut dire que vous êtes un morveux aussi monsieur>>

Jacob : << EEEH SI TU CONTINUES COMME ÇA, JE VAIS VRAIMENT ME FACHE … AAAAhh  aaaaahh aaaaatteend . NE ME TOUCHE PAS COMME ÇA >>

Jacob était en train de perdre ses moyens. Ce n’était pas que le fait qu’il n’avait pas eu de rapport depuis très longtemps, c’était aussi la manière que Myriam avait de caresser son engin. Il était déjà très dur mais il sentait son sexe devenir de plus en plus dur 

Myriam : << Vu comment votre pénis est tout dur, elle ne se calmera pas avant que vous ne jouissiez n’est-ce pas ? Vous allez me payer de toute façon, donc vous ne voulez pas que je vous fasse vous sentir bien. >>

Jacob : << Guh … uh … Nguuuh >>

Jacob ne sachant pas quoi répondre décida simplement de laisser Myriam faire ce qu’elle voulait. Cette dernière ne tarda pas à sortir de sa culotte la bite de Jacob et à l’image de son physique, la taille et la forme de son sexe étaient aussi impressionnantes 

Myriam : << Oh ! Ha ben ça alors vous en avez un vraiment monstrueux monsieur. C’est bien plus énorme que celle de tous les hommes avec qui j’ai eu a couché >>

Jacob : << et je suis censé être heureux d’entendre ça>>

Assis sur son lit, Jacob continuait d’être anxieux. Il était vraiment partagé, peu importe comment il était excité il se sentait mal de devoir faire ça avec son élève

Jacob : << Myriam on ne devrait vraiment pas faire ça. Je vais te donner l’argent, le double même si tu veux mais s’il te plaît, va-t'en seulement >>

Myriam : << Ooorh vous êtes un peu trop coincé monsieur, mais vous savez quoi. Je suis très forte pour décoincer les gens comme vous. Maintenant je vais vous faire jouir tout le sperme que vous avez dans vos bourses >> … A suivre 



PS: << Pour toutes questions , demandes , ou propositions vous pouvez m'écrire sur Whatssap ou Telegram au 00225 07 59 45 01 05. N'oubliez pas de Likez , commentez , partagez et invitez au maximum vos amis pour qu'on soit nombreux sur la page >>



L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

Vices et Perversions...