JE TE LE PROMETS

Write by Pegglinsay

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- Maman, maman réveille-toi.

J’essaie d’ouvrir les yeux encore pleins de sommeil pour voir mon deuxième fils sur mon lit entrain de me secouer l’épaule vigoureusement.

- Quoi ? réussis-je à prononcer. 

- C’est l’anniversaire de Granny aujourd’hui et tu dors encore !!

- Hmmmmm (je me retourne et vérifie l’heure dans la petite horloge qui se trouve sur une des tables de nuit) il n’est que 6 heures trente mon chou !!!

- Mais hier tu m’as dit que tu devrais te lever tôt pour faire des lasagnes !!??? me dit-il en faisant les gros yeux. 

- (je souris et lui tiens les deux joues) tu as tout a fait raison mon gâteau en sucre !!!

- Maman !!!!

- Quoi !!?? dis-je en sachant très bien qu’il déteste ce nom.

- Je ne suis plus un bébé maintenant, dit-il en boudant.

- Bien sur !! Tu es un jeune homme ! (je descends du lit) Va te brosser les dents et prendre un bain. Je ne vous donnerai pas le p’tit déj tant que vous ne soyez propre de partout !! 

- Hmmmmm

- Ne boude pas et va te laver jeune homme!

Il sort de la chambre en faisant la mou. J’eclate de rire et rentre dans salle de bain avant qu’elle soit prise en otage par mes fils. Je m’active puis je me rends dans la cuisine pour préparer de quoi manger et commencer ma lasagne. Ma belle-mère m’avait demandé d’en faire pour elle, alors je m’y mets au travail.

Deux heures plus tard j’étais à fond dans la cuisine. Larissa aurait du venir m’aider mais son mec doit se rendre à l’aéroport vers les onze heures. Monsieur a eu une bourse pour aller suivre un cursus de six mois sur l’entreprenariat et il n’a pas refusé. Ainsi je suis seule à préparer plusieurs plats à emboiter mais elle a promis de nous emmenés à la fête. Don je m’active pour pourvoir tout finir avant seize heures. 

J’ai essayé d’appeler David mais cela ne passe pas mais je me souviens qu’il m’avait dit qu’il allait assister à un séminaire de trois jours, que faisait son travail pour les employés. Que là où il serait je ne pourrai pas le joindre. Je ne savais pas qu’il allait se déplacer aussi tôt. Hmmmmm qu’il me manque Seigneur !  


Larissa

- Chérie ! m’appelle Éric depuis la douche.

- Tu dis ? 

- (il apparait dans l’embrassure de la porte et me répond) Tu devrais penser à une date pour notre mariage dès mon retour.

- … (Je tiens mon tel entre les mains et vérifie ma boite de réception de messages)

- Larissa je te parle !!!

- Et je t’ai entendu, lançai-je en maugréant.

- (voyant ma mauvaise humeur il s’assoit sur le lit près de moi et me prends le téléphone des mains) bébé regarde-moi !

- (je plonge mon regard dans le sien) oui !

- Ce n’est que pour six mois ma chérie ! Six mois qui vont se passer à coup de vent tellement ils vont s’écrouler rapidement, murmura-t-il en embrassant chacune de mes doigts de mains.

- Je n’ai jamais été pour des relations à distance Éric !!

- Dis-moi dear ! Tu  veux que je reste ?

- Bien sur que je le veux mais je ne suis pas égoïste au point de te demander de ne plus y aller et de rater une si belle opportunité. Je ne veux pas que tu me le reproches toute le reste de ta vie.

- Je n’aurai jamais fait cela à ma femme ! 

- Je ne suis pas encore ta femme cher monsieur ! répondis-je.

- Et c’est toi qui l’as décidée ainsi ! on aurait pu se marier bien avant mon voyage…

- Un mois n’aurait pas été suffisant pour tout préparer. En plus de cela tu t’imagines être à peine marié et séparé pour quelque temps !!

- Hmmmmm je vois… mais j’aurais eu la tête tranquille sachant que j’ai laissé ma femme dans mon pays.

- Comme je te le dis, je ne cautionne pas les relations à distance. Je ne cultive pas la patience et tu le sais. Je ne pourrai jamais être comme Léa !

- Là maintenant tu parles de plusieurs années bébé !!!

- Par exemple (je me redresse sur le lit) après tes six mois tu trouves l’opportunité de faire un master ou on te donne un contrat de travail pour une durée indéterminée et qui paie bien même très bien, qu’est-ce-que tu feras ?

- Chérie on est pas là en ce moment !!!!

- Oui mais tous les scenarios sont possibles !

- Alors on en parlera le temps venu, dit-il en mettant debout.

- Tu vois !!

- Quoi ?

- Il y a une forte possibilité que tu acceptes et je te dis franchement Éric que je ne pourrai pas t’attendre tout ce temps…

- C’est pour cela que tu as incliné mon offre de se marier avant mon départ ? me demande-t-il en me faisant face.  

- Pour être franche oui !

- (il me prend dans ses bras) ma Larissa tu te préoccupes pour rien ma belle ! Dans six mois, cela veut dire en octobre, je serai de retour et on se mariera en novembre…

- Promets-moi de ne pas me faire un sale coup du genre tu ne veux plus rentrer puisque le niveau de vie de là-bas est meilleur qu’ici. Je t’aime beaucoup Éric mais je ne pourrais pas t’attendre des années, réussis-je à dire en luttant avec mes larmes.

- Je t’aime énormément Larissa et jamais je te ferai une chose pareille !!!

- Il ne faut jamais dire jamais cher monsieur, dis-je en me levant pour m’habiller afin de l’accompagner à l’aéroport.

- Viens-là toi ! (il me ramène à lui et passe ses deux bras à ma taille et me fixe avec envie) je t’aime !

-

- Je t’aime ! redit-il.

- D’accord !

- Hmmmmm, je n’aime pas beaucoup cette réponse chère future femme !!!

- Sérieux !?

- Ouais je suis sérieux !!! Je t’aime comme un fou et je n’imagine pas finir ma vie sans toi à mes cotés.

- Je t’aime aussi Éric et tu le sais mais je…( il ne me laisse pas terminer ma phrase et m’embrasse avec ardeur. Je me colle à lui pour lui faire sentir que mon corps tremble de désir au contact de ses lèvres)  bébé…tu devrais…

- Cesse de parler femme et sens comment je suis tendu comme un bœuf (je passe une main sur sa bosse) J’ai envie de partir avec ton odeur corporelle sur moi ( il se détache de moi, dégrafe mon soutien-gorge et me pousse sur le lit. Il se met sur moi et commence à parsemer mon corps de baiser. Arrivé au niveau de mes seins, il s’attarde en soufflant sur les pointes doucement. Hmmmmm que c’est bon !!! Puis il commence à les sucer goulument.)

- Bebeeeeeeeeee

  j’essaie de retirer son pantalon mais il m’en empêche. Il se tient droit entre mes jambes et me dit :

- Laisse-toi faire chérie ! Je veux te gâter aujourd’hui !! 

Cette phrase a le don de me rendre plus exciter que jamais.  Il me tient les bras et me demande :

- Mets tes bras sous ta tête !

Je m’exécute rapidement et monsieur continue sa besogne. Il continue à me titiller mes tétons. Il les prend entre les deux mains et me les soupèse et tire légèrement sur mes mamelons. 

- Hmmmmmm

- Tu aimes, me demande-t-il.

- J’adoreeeeeeeee

Ses lèvres quittent mes seins pour faire le tour de mon nombril. Hmmmmm je crois que je n’en peux plus.

- Bébé…tu…vas être… en retard.

- J’ai tout mon temps, répond le monsieur d’une voix concupiscente.

Puis il enlève mon collant et mon string en même temps et mis du temps à me regarder nue comme si il voulait graver ce moment à jamais dans sa mémoire. Il baisse la tête et embrasse ma féminité avec une certaine douceur. Il place mes deux jambes sur ses épaules et commence avec soin son travail de maitre.  Je n’arrive plus à retenir mes mains sous ma tête, je les retire et les dépose sur le sien.

- Eriiiiiiiiiiiiiiiiicccccccc !!!!!!! 

-

- Chéri…chéri… cheriiiiiiiiiiiiiiiii

- J’adore quand tu cries mon nom ainsi !!

Le garçon-ci veut me tuer avant son départ ! Je sens ses lèvres humides sur ma lèvre inferieure. Il la mordille avec douceur avant de la déguster avec appétit. Je ne sentais plus mes jambes et je n’avais qu’une seule envie c’est de le sentir en moi.

Je retire mes pieds de ses épaules pour lui signaler que j’ai besoin de plus. Je m’assoie complètement sur le lit. Je lui ordonne de retirer son jeans, chose qu’il fait rapidement et envoie valser son boxer également. Il remonte sur le lit et je lui intime de se mettre sur le dos. Couché, je me positionne entre ses jambes et me mets en position d’amazone.

Deux minutes plus tard, je le chevauchais comme pas possible et lui, il tient mes hanches pour que nos mouvements soient à l’unisson. Sentant que la jouissance n’était pas loin je lui demande de me regarder. Nos regards se soudent avant d’être emporter par cette vague de bonheur intense.  Essoufflée, je me laisse tomber près de lui et passe une main sous sa poitrine quand je sens monter en moi de larmes. Je pleure silencieusement. Il a voulu m’embrasser mais tombe sur mon visage baigné de larmes.

- Bébé !!!!!!!! (il prend mon visage en couple et dépose ses lèvres sur les miennes)

-

- Ce n’est que six mois !!!

-

- (il se lève pour pouvoir mieux me regarder) Tu vas me faire pleurer si tu continues à ce rythme bébé !

- Désolée, réussis-je à dire. 

- Larissa, regarde-moi ! Dans six mois, je te promets de revenir ! 

Il m’embrasse comme pour sceller sa promesse. 


Ma vie; une scene de...