Je T'en Supplie Didi!

Write by Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 31 


*Je t’en supplie Didi !


JULIE 


Andy étais bizarre, il était vraiment bizarre, il pouvait être heureux et devenir nerveux ou triste tout d’un coup. Depuis la dernière fois où il avait découché, il m’avait seulement présenté des excuses tout en me demandant de ne plus m’inquiéter pour lui s’il disparaissait. 


Ce qui veut donc dire qu’il le fera encore, je ne sais pas même pas ce qu’il a. il ne fait même pas semblant de me toucher comme avant et le cimetière il n‘y vas plus j’en suis sure. 


Je ne le comprends vraiment plus. J’ai peur, je vis constamment dans la peur qu’une autre vienne me le prendre. 


Lui : je sors (sortant) 


Moi : (me levant aussi)  je t’accompagne 


Lui : non il se fait tard 


Moi : (le suppliant du regard)  mais j’ai envie de sortir 


Lui : prends cet argent (me donnant assez de billets)  et va t’amuser avec tes copines, ne m’attends pas je ne sais pas si ça me prendra plus de temps ou pas. (M’embrassant sur le front) prends bien soi  de toi Julie. 


Tout m’énervait, je devais sortir pour oublier tout ceci, pour tout oublier. Je pris donc ma voiture et je partis dans un lounge privé ou je commençais un truc bien fort pour ne pas avoir à pleurer toute seule encore cette nuit. Je pouvais me le permettre vu tout le fric qu’Andy m’a donner, je ne savais même pas ce qui lui faisait perdre ainsi la tête, j’espère que ce n’est pas cette femme. 


Lui : (air moqueur)  tiens, tiens qui voit là ? 


Moi : bonsoir Maxime (froide) 


Lui : (souriant)  moi qui te croyais heureuse avec un homme doux et présent mais vu ta mine et ta présence ici j’ai dû me tromper non ? Tu as dû nous tromper en te mentant et me mentant 


Moi : passe ta route Maxime 


Lui : (me provoquant)  je peux t’offrir un verre, bien sûr je ne boirai pas avec toi mais je peux te l’offrir 


Moi : j’ai assez de sous pour cela 


Et puis son téléphone s’alluma il reçut un message, je m’en foutais mais ce qui attira mon attention c’est la photo de cette femme sur son écran. 


Moi : (soulagée)  c’est ta nouvelle distraction ?  


Lui : (automatiquement)  non même pas ce sera bientôt ma femme, je vais diner avec elle comme ca 


Moi : (ahurie) ta femme ? 


Lui : (air hautain)  tu me connais bien tu sais que les distractions comme toi ne figure jamais sur mon écran, bon vent à toi 


Moi : (continuant)  la connais-tu assez ? Je sais des choses sur elle qui peuvent t’intéresser 


Lui : (riant) toi, ohh tu es si pathétique, je t’aurais  bien écouté raconter des âneries avant, car j’aurais envie que tu me fasses une bonne fellation ensuite ou j’aurais envie de te prendre comme une salope (souriant)  mais tu vois je n’ai plus ce temps (partant) 


Moi : (le rattrapant)  tu n’es qu’un idiot et tu fais mal de ne pas m’écouter 


Lui : (air hautain)  je ne veux même plus te revoir, ne t’approche plus de moi. Je n’ai pas  envie de supporter l’insolence d’une mal aimé, mal sauté en plus. (Riant) 


Moi : (lui faisant un doigt d’honneur)  va te faire foutre 


Lui : (riant) adieu ma pétasse d’autrefois 


J‘avais la rogne, moi qui avait envie de me venger d’elle et bien je me suis pris un tas d’insultes et en plus c’est mieux que je me taise car si Maxime dit  l’aimer comme il vient de le dire, il fera du mal à Andy si jamais Andy est avec cette femme. Hummm Andy ou es-tu ? 


MAXIME 


Moi : (tirant la chaise pour elle) tu es ravissante 


Elle : merci toi aussi, même si (arrangeant ma veste, c’était devenue son habitude et je l’adorais) je dois arranger cela 


Moi : (m’asseyant également) faut dire que je fais maintenant exprès de ne pas bien me mettre pour que tu le fasses 


Elle : (souriant)  tu restes élégant même malgré cela 


Moi : (lui rendant son sourire)  non c’est toi qui me rends si élégant


Elle : merci 


On passa nos commandes et je ne pus m’empêcher de la regarder, non mais cette femme avait un truc, un truc fort. Même sa manière de manger me plaisait. 


Moi : tu sais que la semaine prochaine il y aura une grande réunion non ? 


Elle : non, non 


Moi : si au fait c’est un déjeuner de travail auquel nous devons assister avec le président et au cours duquel il y’aura plusieurs personnalités et après ce déjeuner nous ferons nos réunions. On s’en sert car tous serons là. 


Elle : (heureuse) wahho, vous m’épatez ça doit être intéressant 


Moi : (souriant)  tu découvriras toi-même….


Elle : (ahurie)  je pourrais venir ? 


Moi : (la rassurant)  bien sûr, tous veulent voir cette belle Ghanéenne 


Elle : oh (souriant) 


Moi : mais ils devront juste te regarder pour éviter que je ne les cognes.  


Elle rait juste 


Moi : (sérieusement)  je t’aime vraiment Jokey 


Elle : (mettant sa main sur la mienne)  je dois plus savoir sur toi si je dois te faire confiance et m’unir avec toi. Car je suis mère maintenant et tout ce que je fais impact mon fils (me regardant) 


Moi : (la rassurant)  bien sûr,  prends tout ton temps moi je m’applique à te mériter toi et ton fils que j’aimerais bien rencontrer 


Moi : tu le feras t’inquiète, seulement le bon moment 


Moi : d’accord 


On continua à manger lorsqu’elle reçut un appel qui la laissa perplexe. 


Moi : (inquiet)  un souci ? 


Elle : (rangeant ces affaires)  oui je dois rentrer, mon fils fait une fièvre 


Moi : (me levant)  je t’accompagne, j’appelle un médecin si tu veux


Elle : (comme une doléance)  non c’est bon, le médecin arrivera et vu qu’il est souffrant je veux le voir seule je t’en prie 


Moi : (comprenant) je comprends, tu as raison 


Je payais l’addition et elle rentra en me donnant une belle bise et arrangeant encore ma veste .ahhh cette femme, pourvue que son fils n’est rien. 


JAMILA 


Lizzie : (surprise)  votre diner est bien vite fini ? 


Moi : oui et Ethan ? 


Elle : (inquiète)  il dort, tu as  l’air stressé là tu vas  bien ? 


Moi : (soufflant)  oui, j’étais avec Maxime lorsque les gardes de la maison m’ont appelé pour me dire que Andy voulais passer


Elle : (me faisant un signe que je ne compris pas) humhum 


Moi : (continuant)  j’ai demandé qu’on le laisse passer mais j’ai peur, il est très impulsif et en plus je l’ai vraiment négligé pour Maxime ces temps-ci 


Elle : (sortant les grand yeux) euhh….


Moi : (la coupant)  je t’ai expliqué non, l’autre fois au bureau et tous ces appels et messages manqués et aussi le fait que j’ai préféré déjeuner avec Maxime plutôt qu’avec lui.


Lui : (derrière moi) bonsoir Mme Nelson 


Moi : (ahurie)  oh Franck


Elle : (air désolé)  je t’avais dit qu’il viendrait me tenir compagnie ce soir 


Moi : (me rappelant) oui j’avais oublié….je vous laisse je pars. (Sortant)  Je t’appelle ou t’écris 


Elle : ok bye 


LIZZIE


Vu comment Franck me regarde je me dis qu’il attend que je parle. 


Moi : (le regardant) alors on ne pourra plus aller chez toi on reste donc ici ? 


Lui : tu veux que je dorme ici ? 


Moi : tu pourrais Ethan te connait, demain est samedi (m’asseyant sur lui) et je suis là (souriant)  


Lui : (me tenant par la taille) oui, je vois dis-moi je peux savoir un truc ? 


Moi : (sourire en coin)  si cela ne nous concerne pas nous deux ce n’est pas  la peine 


Lui : (sérieux)  ok mais sache qu’Andy est plus qu’un ami pour moi et ce qui l’affecte m’affecte aussi.je ne sais pas ce qu’il y’a entre lui et ta belle-sœur et je respecte ton choix de ne vouloir en parler. Mais après la perte de Jamila, (soupirant)  il nous a fallu un véritable sur lui  pour qu’il redevienne lui-même donc je n’aimerais pas le revoir sombrer. Il y’a cette fille-là qui l’aime et qui se tuerait même pour lui, on ne trouve plus ce genre de personne….


Moi : (mettant ma main sur sa bouche) c’est un  avertissement direct à un membre de ma famille ?  


Lui : (souriant)  je t’informe juste 


Moi : (lui rendant son sourire en soutenant bien son regard)  chéri ne parlons pas de ce qui nous dépasse, Andy est ton frère alors s’il y’a un truc il te le dira 


Lui : (acquiesçant)  certainement 


Moi : (me levant et prenant sa main)  viens montons j’ai envie que tu me sers contre toi 


Lui : (me suivant)  moi aussi ma fleur, ma belle fleur. Je t’aime 


Moi : je t’aime aussi 


ANDY


J’entendis la porte s’ouvrir et se fermer et je sus que c’était elle. Je m’assis serein et l’attendait, elle criait mon nom mais je ne répondais pas elle marcha et viens jusqu’à ma direction, elle voulut parler pour s’excuser ou crier mais elle se tut lorsqu’elle vit toutes ces pétales à terre qui lui montrait le chemin à suivre.  Elle marcha en suivant la direction et arriva à mon niveau, j’étais assis dans une cour en forme de bougie. Et il y’avais des draps à terre, c’est sur ces draps que j’étais assis et je l’attendais.


Elle : (mettant la main sur sa bouche)  oh Andy c’est…


Je me levai et alla devant elle,  puis je mis ma main sur sa bouche et elle se tut. Je la regardais et je l’invitais à venir s’asseoir avec moi dans ce cœur fait avec des bougies parfumées. Elle me regardait et cela voulait tout dire, elle appréciait. Je l’embrassais et elle se laissais faire, je la fis coucher et commença à la caresser et enlever sa belle robe qui m’empêchait d’explorer son corps qui m’appartenait à ma guise, elle gémit lorsque cette robe la quitta, et ce fut de même pour le soutien qui selon moi l’encombrait vu comment ces tétons pointait et comment elle a respiré lorsque je l’ai retiré, elle évitait mon regard mais je pouvais sentir ce désir là en elle, elle chauffait, non elle brulait même de désir et son souffle lui aussi était tout brûlant. 


Moi : (entre deux baisers)  dis le moi 


Elle : (gémissant)  je t’aime Didi 


J’empoignais ces seins ce qui la fut presqu’hurler mais je la stoppais avec un baiser car elle ne devait hurler maintenant, le plus fort arrivait. 


Moi : (continuant à la torturer avec ma langue)  dis le moi 


Elle : (excité au point où elle mouillait vraiment) je suis si désolé pour toute ma négligence (gémissant) 


Elle voulut m’embrasser mais je la bloquais et soufflais dans son coup, elle soupira, elle ne tenait plus je le savais 


Elle : (me suppliant) Didi je t’en supplie 


J’enlevai son beau slip en dentelle avec son aide et lui caressait l’intimité 


Moi : (commençant à faire des bises à sur son intimité)  dis le moi 


Elle : (gémissement) Didi, (respirant plus fort) chéri je suis désolé, (soupirant) je t’aime vraiment. 


J’ouvris un peu son intimité et approfondissait mes caresses dessus elle commençait à se torde sous moi car je la retenais par la taille, j’embrassai son sein par le plus sensible celui de droite, s’en était vraiment elle voulait pleurer de désir et d’envie, elle commença à me serrer le poignet, me caresser plus vite et sensuellement. Je me mis à caresser son visage en approchant son beau nez du mien et jouant avec cela. 


Elle : (brulant de désir)  Didi je t’en supplie 


Je continuai en passant ma langue sur ces lèvres, je la sentis avaler sa salive et respirer plus fort, elle voulut m’embrasser et j’allais embrasser son front, elle ferma les yeux et me supplia, normal elle était vraiment excité 

 

Elle : (me suppliant) je t’en supplie chéri…..


Moi : dis le moi (la regardant) 


Elle : (excitée)  te dire quoi ? 


Je souris et voulu quitter sur elle, elle m’attrapa et me fixait avec ces beaux yeux remplit d’envie. 


Elle : (avec audace) j’ai envie de toi, fais-moi l’amour je t’en supplie (me suppliant du regard) 


Moi : (revenant sur elle) ne me supplie pas je voulais juste savoir si tu en avais envie. (Souriant) et voulais que tu me le dises. 


Elle : (gémissant)  j’en meurt, je meurs d’envie que tu le fasses 


Je ne me fus pas prier pour la faire mienne cette nuit. Et c’est là pendant tous ces ébats que je lui permettais d’hurler, de crier et de pleurer mon nom, car je le favorisais dignement. 


Elle : (couchée sur ma poitrine et me caressant) merci 


Moi : merci à toi (caressant ces cheveux) 


Elle : (me regardant)  hum Franck sait que tu es ici ou du moins que nous sommes ici 


Moi : (ahurit)  comment ? 


Elle : (me racontant)  il sort avec ma belle-sœur et j’ai oublié qu’il était à la maison quand je suis rentrée pour expliquer à celle-ci que tu étais ici et que tu es surement blessé car je t’ai négligé à cause de Maxime 


Moi : (inquiet)  ohh ça va te créer des soucis ?  


Elle : (faisant non de la tête)  je ne pense pas qu’elle parlera, mais sait-on jamais j’ai confiance en Franck 


Moi : (la rassurant)  je ne lui dirai rien 


Elle : apparemment lui et ma belle-sœur c’est très sérieux et s’ils doivent s’unir c’est mieux qu’il n’est pas de mensonges par ma faute. (Me fixant avec ces beaux yeux)  Je te l’ai dit j’ai confiance en lui c’est juste que je ne veux pas qu’il en parle à qui que ce soit 


Moi : (lui faisant une bise)  il ne le fera pas, t’en fais pas. Je lui expliquerai bien 


Elle : même à Julie ?  


Moi : (la serrant)  ne t’en fais pas mon amour 


Elle : sinon elle avec toutes tes sorties elle sait que…..


Moi : (la coupant avec un baiser) chut oublie là, oublie Franck et tout le reste ce soir c’est juste toi et moi (l’embrassant encore) 


Elle : ok mais je suis vraiment navré pour toi, pour l’autre fois.


Moi : (prenant sa petite main dans la mienne) j’ai confiance en toi, je t’aime 


Elle : (s’asseyant sur moi) je t’aime aussi Didi (m’embrasant) 


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