J’ECHOUE ET JE SUIS DÉPITÉ
Write by Guilhem
VOUS ETES TROP RESTES DANS VOTRE ZONE DE CONFORT :
En effet si vous êtes si dégoûté au point où il est difficile
de réessayer et de relativiser c’est parce que vous êtes peut-être trop
resté dans votre zone de confort. Autrement dit, soit vous êtes quelqu’un qui
ne prend pas de risque, soit vous prenez des risques que lorsque vous avez la
garantie de réussir. L’échec n’est donc pas quelque chose que vous connaissez
ce qui fait que lorsqu’il se présente vous ne savez le gérer. La vie, le monde,
l’univers, admet le principe d’oppositions : Le blanc et le noir, le bien
et le mal, l’eau et le feu, l’échec et le succès etc. Celui qui n’a pas connu
ou n’a connu que très peu l’un, a du mal à gérer l’autre quand il survient.
Dans cette optique ceux qui pensent avancer surement ou s’éviter des échecs
cuisants en restant dans leur zone de confort devraient commencer à se poser
les bonnes questions.
VOUS NE VOUS FAITES PAS ASSEZ CONFIANCE :
Nous y revoilà, ce fameux problème de confiance en soi !
J’ai déjà traité de l’importance de se faire confiance dans un article qui s’appelait
« LE GUIDE DE CONFIANCE EN SOI ». Mais c’est un sujet dont je ne me
lasse de parler tant beaucoup de gens sont victimes du manque de confiance en
soi. D’ailleurs laissez-moi vous faire une confidence : La fin d’année
2019 j’ai vécu la chose. Moi qui suis l’exemple de confiance en soi dans mon
entourage je n’imaginais pas pouvoir vivre l’inverse à un tel niveau.
Heureusement j’ai su reconstruire les fondations et je dois dire que j’en ai
tellement de base moi que, bref (rire). Quoiqu’il en soit j’ai connu cette
espèce de paralysie intérieure au moment d’agir, le fait de faire passer l’opinion
des autres avant la tienne, le regard d’autrui avant le tien au point où la
personne en face pourrait vous couler en un geste. Mais bon, maintenant que j’y
pense je vous ferai un article là-dessus je pense que ça intéresserait beaucoup
les femmes car elles vivent ce genre d’épisode plus souvent que les hommes.
Pour revenir au sujet, votre faible estime de vous fait que
vous accordez plus d’importance aux autres qu’à vous-mêmes. Vous les laissez
inconsciemment redéfinir votre univers : Leurs standards deviennent les vôtres.
Par conséquent quoique vous fassiez si c’est considéré comme un échec pour eux
(ce qui est souvent le cas), ou qu’ils n’ont pas fait montre de satisfaction,
vous le vivez comme un échec à votre niveau. Vos actions étant impulsées par l’envie
de plaire, de satisfaire autrui, vous n’êtes satisfait que quand autrui l’est. Ce
n’est pas mauvais en soi de penser aux autres avant soi-même mais il ne faut
pas le faire constamment, pour tout le monde et pour n’importe quoi. Sachez dissocier
ce qui est intimement lié à l’autre et ce qui vous concerne uniquement.
VOUS VOUS METTEZ TROP LA PRESSION :
Il n’y a pas le feu détendez vous. Rien d’aller sans profiter du chemin. Voyez-vous ce qui compte n’est pas toujours la finalité mais c’est vivre le parcours. Celui qui se concentre sur le parcours n’est pas forcément déçu si la finalité n’est pas ce qu’il attendait car il arrive que le chemin procure des émotions parfois bien plus grandes que le résultat final. Sachez vous nourrir de ces émotions quand elles sont positives. D’où la phrase « j’ai perdu mais je me suis bien amusé » ou encore « au moins j’aurai appris quelque chose ». Personne n’ignore cette célèbre citation de Nelson Mandela qui je cite : « je ne perds jamais, soit je gagne soit j'apprends. » Je suis tenté de dire "je n'échoue" jamais, soit je réussis soit j'apprend.