la bagarre

Write by Yayira Bénédicte

Michael James Aman

 

Je me lève en sursaut, l’horloge de ma chambre affiche 7h28 merde ! Mon réveille aurait dû sonner normalement, je me lève précipitamment du lit, Mel n’est pas dans la chambre mais son sac est toujours sur la table basse de la chambre donc elle est là. Je vais prendre une douche et quand je reviens elle est dans la chambre habillée comme si elle sortait

-         Bonjour. Dis-je en enlevant ma serviette pour m’être mon boxer

-         Bonjour, ne me fais pas péché ce matin hein, c’est quelle façon de te mettre nu devant moi comme ça ?

-         Ferme les yeux alors, dis-je souriant. Tu pars déjà ?

-         Je pars à l’église

-         Pourquoi tu ne m’as pas réveiller ? c’est moi le païen donc ? demandais-je en continuant de m’habiller

-         Je ne sais pas à quelle heure tu es rentré je ne voulais donc pas te réveiller

-         J’avais mis l’alarme mais je ne l’ai même pas entendu sonner

-         Euh… c’est moi qui l’ai éteint, je ne savais pas que tu comptais aller à l’église donc je l’ai fait pour que tu te repose

-         J’vais prévu aller à l’église aujourd’hui

-         Ah ok, désolé

-         Tu vas avec moi ? demandais-je en mettant mes chaussures

-         Pardon ? tu veux qu’on aille dans ton église ensemble ?

-         Oui ! pourquoi pas ? ou bien tu n’aime pas aller dans l’église des gens ?

-         Je n’ai pas dit ça, tu vas dans quelle église ?

-         Pentecôte international de côte d’ivoire

-         Nooon ! mais moi aussi assemblez de la palmeraie

-         Moi je suis de l’assemblée de Marcory remblais

-         Tu es mon frère en Christ quoi ? dit-elle en riant

-         Apparemment hein, bon on va être en retard tu vas avec moi ou pas ?

-         On part ensemble mais arrivés à l’entrée on fait comme si on ne se connait pas hein parce que je connais bien votre pasteur

-         Ok

On sortit de la maison ensemble et on alla emprunter un taxi pour l’église. Durant tout le culte chacun était dans son chacun. Elle me devançait à l’extérieur pendant que je discutais avec les membres du groupe musical qui veulent que je vienne jouer à leur concert qui est dans deux mois, je leur ai dit que j’y réfléchirai avant de m’en aller. Je la vit monter dans un taxi et s’en aller, j’espère qu’elle se rend chez moi et non chez elle parce que faut qu’on parle.

Elle était entrain de se déshabiller lorsque je suis rentré dans la chambre

-         Je pensais que tu allais m’attendre

-         Tu étais trop occupé avec les filles de votre groupe musical là

-         On parlait juste de leur concert à venir, ils veulent que je joue avec eux

-         Tu es instrumentiste ?  demanda-t-elle étonnée

-         Wep, mais à cause de la boite je ne vais plus régulièrement à l’église

-         Tu joue de quel instrument ?

-         Le piano mais aussi à la basse

-         Waouh, j’aimerai bien t’entendre jouer

-         Un jour peut être, tu veux manger quoi ? il est déjà midi

-         Je meurs de faim même, je suis partante pour un garba

-         Ok je reviens.

Je suis sorti acheter le garba et je suis revenus, on a mangé en discutant de tout et de rien, elle débarrassa, fit la vaisselle avant de revenir s’asseoir

-         Faille qu’on parle Mel, sincèrement je ne sais pas sur quel pied danser avec toi, tu es tellement imprévisible, hier je pensais que tu n’allais plus revenir et je viens te trouver à la maison

-         Je sais, je suis un peu difficile à comprendre mais ne cherche pas à me comprendre prends moi comme ça

-         Hummm, j’ai trouvé tes affaires un peu partout et je suis surpris parce que tu es celle qui insistait pour ne jamais rien laisser ici et je ne sais pas ce que je dois comprendre par là

-         Que je veux envoyer cette relation à un autre niveau

-         C'est-à-dire ?

-         Que je suis d’accord pour être ta petite amie

-         Ecoute, je ne sais pas pour toi mais moi j’ai passé l’âge des cache cache, alors réfléchis bien avant de me répondre. Es-ce que tu veux être ma petite amie ? demandais-je en la regardant droit dans les yeux

-         Oui ! fit-elle en me regardant aussi dans les yeux

-         Mais ?

-         J’aimerai qu’on prenne notre temps et qu’on avance petit à petit

-         Tu es sûr que c’est ce que tu veux ? je ne t’oblige à rien tu sais

-         On ne m’oblige jamais à rien si ce n’est que j’ai voulu me laisser faire

-         Ok, je prévois déménager d’ici la fin du mois

-         Euh pourquoi ?

-         Parce que je sais que tu es mal à l’aise ici et que tu trouve la maison trop petite

-         C’est vrai que c’est super petit mais tu n’es pas obligé de le faire à cause de moi

-         Ce n’est pas qu’à cause de toi mis je ressens le besoin depuis un moment et hier mon amie dont je t’avais parlé m’a parlé d’un appart qui se libère dans son immeuble et le prix est raisonnable

-         Quand tu dis son immeuble c’est parce qu’elle vit là-bas ou parce que l’immeuble lui appartient

-         L’immeuble lui appartient, elle  veut aussi que je m’en occupe parce qu’elle veut prendre du recule par rapport à ce qu’elle vit en ce moment

-         Ah !

-         Quoi ? qu’es-ce que tu ne dis pas ?

-         Rien, je trouve que vous êtes bien proche

-         Jalouse ? dis-je en l’attirant à moi

-         Non du tout !

Je la fis asseoir sur mes jambes avant de prendre possession de ses lèvres, plus de trois semaines maintenant que je ne l’ai pas toucher

-         J’ai envie de toi. Lui murmurais-je d’une voix rauque de désire

-         Moi aussi. Dit-elle sur le même ton

Il m’en fallu pas plus pour la renverser sur le sol et prendre position au dessus d’elle. En quelques seconde on était nu entrain de se dévoré

-         Je veux te baiser babe, je veux être celle qui monte aujourd’hui. Dit-elle essayant de me renverser et prendre le dessus.

Je me laissais faire, elle s’empala délicatement su mon sexe avent de commencer à bouger en me regardant droit dans les yeux et ses mains caressant mon torse, mes mains remontaient de ses hanches à ses seins. On était que gémissement

-         Plus vite babe. Dis-je en mettant la main sur son clitoris alors que l’autre taquinait ses tétons

-         Oh… oui…  je te baise… oh

-         Oui babe… c’est toi qui commande… oui baise moi !

-         Oh… Micha…. Ah… oh

-         Viens babe... viens pour moi…

Elle jouit presqu’aussitôt, je lui maintins fortement les hanche pour mieux aller et venir en elle puisqu’elle avait le dessus sur moi, je malmenais ses point sensible jusqu’à ce qu’elle jouisse encore, c’est ensuite que je me déversais en elle. Elle se coucha sur ma poitrine et s’endormir alors que je lui caressais la tête

-         Je crois que je suis entrain de tomber amoureux de toi. Murmurais-je en continuant à lui caresser la tête et le dos. M’en dormir aussi.

   

Myriam Sékongo

 

Me voici entrain de courir comme si j’avais le feu aux fesses tout ça pour un idiot, eeeh Seigneur je te promets que si tu m’aide à m’en sortir je ne vais plus recommencer

-         Voleuse de mari là arrête si tu es femme tu vas voir ce qu’on va te faire

-         Je ne suis pas une voleuse de mari c’est ton mari qui m’a draguée en omettant de préciser qu’il est marié

-         Tu as l’audace de me répondre ? ashao

-         Toi-même ashao, vielle mégère

-         Tu vas voir ce que je vais te faire si je t’attrape

Je recommençais à courir de plus belle, si cette mégère et ses deux amies m’attrape je suis foutu, j’ai déjà vu des vidéos de fille que des femmes marié ont battu et déshabiller avant d’exposer leur nudité sur les réseaux sociaux et je ne veux en aucun cas vivre cela, je regardais derrière moi pour voir si elles étaient encore loin lorsque je trébuchais sur une pierre. Avant que je ne puisse me lever elles étaient déjà autour de moi, il était presque 2h de matin et les rues étaient vides, elles vont me tué aujourd’hui

-         Sale trainée je vais te montré qui à mis le sel dans la mer. Dit la femme de l’homme avec qui j’étais

-         Je sais déjà qui à mis le sel dans la mère et je ne suis pas une t… je reçu une grosse claque sur ma joue

-         Tu as encore le courage de parler ? fis celle qui m’avait giflé

-         Je vais parler pian je ne s…. je reçu une autre claque

-         On va te faire passer l’envie de chercher le mari des autres

-         Je n’ai cherché le mari de personne, vous n’êtes que des sorcières mal b… les coups se mis à pleuvoir sur moi

Elles étaient trois contre moi qu’es-ce que je pouvais faire ? je protégeais juste mon visage en priant intérieurement pour qu’elles ne me mette pas sur les réseaux sociaux

-         Qu’es-ce que vous faite mesdames ? entendis-je

-         Mêlez vous de ce qui vous regarde

-         Eeh arrêté ce vous faites là

-         Lâchez-moi ! entendis-je l’une d’elle crier

En quelque seconde mon bon samaritain les avait dégagés de moi, il les retenait de se jeter à nouveau sur moi alors que j’essayais de me lever

-         Laissez-moi réglé le compte de cette pétasse là

-         Ce n’est qu’une voleuse de mari

-         Je suis pas une voleuse de mari et c’est toi la pétasse. Dis-je en me cachant derrière mon sauveur

-         Tu as encore la bouche n’est-ce pas ? dit-elle en essayant de m’attraper mais je me cachai bien derrière le pauvre monsieur qui avait reçu la chaussure de cette folle en plein visage

-         Ça suffit ! cria-t-il, même si elle cherche votre mari ce n’est pas une manière de réglé les choses, la violence ne résout rien

-         Dîtes le bien à ses sauvages là. Dis-je en étant toujours derrière lui

-         Vous la fermer ! ou je vous laisse ici

Je fermais ma bouche pour une fois, parce que s’il me laisse ici là elles vont sauf que me tuer. Il à discuter avec elles pour qu’elles me laissent m’en aller

-         Ne pense pas que c’est fini, cette ville est trop petite pour ne deux alors surveille tes arrière. Dit la femme dont je me tapais le mari

-         C’est toi qui va dégager de cette ville ma chère parce que moi je suis là pian !

-         Vous ne savez pas la fermez vous ! dit mon sauveur

-         DIEU à fait la bouche pour parler non ?

-         Vous voyez le genre de fille que s’est ? laissez nous lui régler son compte. Dit l’une des amies de l’autre conne là

-         Ne faites pas attention à ce qu’elle dit mesdames, vous êtes trop belle et distinguer pour vous rabaisser pour elle

-         Des sauvages comme ça distingué ? qu’es-ce qui ne faut pas entendre. Il c’est tourner vers moi l’air de dire la ferme avant de se retourner vers ses sorcières

-         Rentrez chez vous mesdames en n’en vaut pas la peine

-         Toi la pétasse dit merci à ce monsieur, ce qu’on allait te montrer ce soir, hummm

-         Tchrrrrr que vous pouvez me faire quoi ?

-         Surveille tes arrière je t’ai prévenu

-         Tu ne m’effraie pas et tes amies encore moins

Elles ramassaient leur affaire avant de s’en aller

-         Vous avez envie de vous faire tuer c’est ça ? demanda le bon samaritain

-         Qu’elles peuvent me tuer ? tchrrrr c’est parce que je n’avais pas envie de me salir les mains avec leurs sang sinon j’aurais fais d’elles une bouchée

Il me regarda la bouche ouverte

-         Vous êtes vraiment folle. Dit-il en s’en allant vers sa voiture

-         Vous me déposer svp ? dis-je en courant pour le rattraper, faut pas qu’il me laisse ici et que ses sorcières revienne me frapper

-         Je ne vous dépose nulle part. dit-il en montant dans sa voiture

-         Arrêtez de faire le malin, je ne veux pas qu’elles reviennent me trouvez là

-         Vous avez donc peur

-         Moi ? jamais, je ne connais pas ce mot

-         Vous avez vraiment une grande gueule vous !

-         Ouais je sais. dis-je en m’installant dans sa voiture

Vrai vrai là j’ai eu chaud deh, si le bon monsieur ne m’avait pas aidez elles allaient me tabasser copieusement, c’est ce qui arrive quand on n’a pas force mais qu’on fait la grande gueule.

 
Amour et critères