La maison hantée Saison III Chapitre 1

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La force de l'écriture


LA MAISON HANTÉE (Série littéraire)


SAISON III


**** Chapitre 1 : L’évasion****


                               *Ville de Tsévié*


                                 ****Martin****


Je suis Martin WOLOF. De  nationalité française, j'habite à Paris. Âgé de 67 ans je dirige un centre de santé de renommée internationale depuis plus de quinze ans. C'est précisément là ou j’ai rencontré Francine. Etudiante à l’époque, elle jumelait théories et pratiques  d’autant plus qu’elle n’avait pas encore terminé ses années en faculté de médecine. Togolaise, elle s’est jurée de repartir au bercail après l'obtention de son diplôme pour  faire profiter ses services aux plus démunis car elle n’est pas de ceux qui pensent s’installer définitivement chez nous après leurs études. Bref elle tient à ses origines. 


Politesse, assiduité et rigueur étaient quelques uns de ses comportements qui avaient attiré le plus mon attention. Si brillante, j’ai demandé à ce qu’elle devienne mon assistante personnelle. Nous avions commencé à nous connaitre et mis à part le boulot, je lui invitais certains week-ends afin de la connaitre un peu plus. Peu de temps après, nous nous sommes plus rapprochés et de là commencèrent à naître les sentiments amoureux. Pour lui montrer que je suis sincère, je lui ai promis de me rendre dans son pays et faire la connaissance de ses parents ; ce qui fut fait et peu de temps après nous sommes mariés. J’avais promis  me désengager vis-à-vis de mon poste de directeur de l’hôpital et partir vivre avec elle dans son pays car c’était ce qu’on avait convenu. Mais les choses changèrent après qu’on me détecta un cancer du type II ; ce qui m’était inconcevable au début. Elle me consolait et ne cessait de me remonter le moral, que tout irait bien avec l’évolution de la médecine. D’être optimiste comme nous le conseillons souvent à nos patients. La chimio pourrait me guérir complètement. Il suffit d’y croire. 


Je devrais garder mon moral au plus haut point pour vaincre cette maudite maladie mais sans que je ne m’en rende compte, je perdis inconsciemment espoir et commençai à déprimer. Je me voyais incapable à satisfaire  mes propres besoins pour ne pas en parler des siens et pire vinrent les moments où je faisais des préjugés sur sa personne genre si elle ne me quitterait pas par hasard. Je surveillais ses faits et gestes sans oublier ses sorties histoire de bien m’assurer qu’elle ne faisait rien au dehors. Vous allez sans doute me juger mais imaginez-vous une seule seconde  à ma place. Je lui ai promis une vie pleine de bonheur et voilà qu’à peine on ait fait deux mois ensemble que cette maladie me prive de toutes mes facultés physiques. Une  jeune et belle femme comme elle ne verra pas tout son avenir et rêves brisés parce qu’elle sera obligée de rester auprès d’un malade  tout le reste de  sa vie. D’un jour à l’autre elle s’en lassera et ira peut-être chercher ailleurs. 


Un mois avant que je ne commence la chimio, nous nous sommes violemment disputés après qu’elle ait reçu un appel. Je me souviens que nous étions allés jusqu’aux mains et je l’ai copieusement tabassé malgré mon état de santé en lui défigurant le visage. Elle avait tout subi sans même m’empêcher une seconde. Peu de temps Après je me suis rendu compte de l’énorme bêtise que je venais de faire et me suis  agenouillé devant elle tout en implorant son pardon. Bizarrement, elle me pardonna sans hésiter mais comme on le dit « la femme est une force tranquille dont il faut avoir peur ». Nous nous sommes endormis comme d’habitude et à mon réveil  vers midi je me rendis compte qu’il n’y avait plus ses affaires et aussi plus rien dans notre coffre fort et lorsque j’ai contacté ma banque, plus grand-chose ne restait dans notre compte commun et depuis tout ce temps plus de ses nouvelles. Je n’avais plus rien pour mon traitement mais  étant donné mon statut de directeur et aussi l’assurance maladie à laquelle j’ai souscrite, l’hôpital s’est occupé des mes soins et voilà cinq ans  après, je suis guéri. Plus vieux et faible qu’avant. Je me suis interdit de ne pas me lancer à sa recherche mais il est temps que je soulage ma conscience raison pour laquelle prendrai ce soir l’avion direction Lomé.


                               ****Rachel****


Thuram s’approcha près de moi. Il s’assit à mes cotés sans rien dire. J’en fis de même mais je ne tardai pas à briser le silence.


Moi : Que nous-est –il arrivé Thuram ? Comment a-t-on pu laisser les choses s’envenimer autour de nous ?


Lui : je n’en sais rien mon amour.


Moi : Mon amour ? (Rires) suis-je effectivement ton amour où l’ai-je été du moins ?


Lui : Tu connais bien  la réponse Rachel. Il ne  faut pas nier l’évidence. Tu sais très bien que je t’ai vraiment aimé et je suis toujours amoureux de toi.


Moi : Hum Thuram. Tu ne peux pas prétendre m’aimer et sauter d’un jour à l’autre sur ma meilleure amie et la mettre enceinte. Tu aurais pu la mettre à sa place mon cher mais tu as préféré t’amouracher avec elle. Voilà où ton manque de contrôle nous a amené. Si tu ne l’as pas mis enceinte, elle ne serait pas cloitrée dans ce lit en train de se débattre entre la vie et la mort. On aurait pu éviter toute cette mascarade.


Lui : J’ai commis une erreur que je regrette profondément et si seulement l’on pouvait retourner en arrière, j’empêcherai tout ce qui est en train d’arriver en ce moment. Voilà que le temps est irréversible et les actes que nous posons sont indélébiles néanmoins ce dont je ne doute jamais, ce sont mes sentiments pour toi. Je suis bêtement tombé dans le piège de Francine. Sincèrement je ne savais pas qu’elle avait des sentiments pour moi. Mais à présent qu’elle ait perdu son bébé, on pourrait re-parler de nous deux. Je ne me réjouis pas de ce qui lui arrive. Je prie tout au fond de moi qu’elle retrouve sa santé mais au fond je ne l’aime pas. C’est le bébé qui me maintenait auprès d’elle.


Moi : Mais t’es pas sérieux là Thuram ! On dirait que la perte de son bébé te réjouit beaucoup ! Mais n’oublie pas que c’est aussi le sien. Même si tout ce que tu dis est d’une part est vrai, moi je ne consomme pas le fait que tu ais couché avec elle lorsque je me débattais entre la vie et la mort. Je t’aime toujours, je ne le nierai pas mais je n’ai plus confiance en toi et je ne crois pas que j’en aurai encore un jour. En plus elle aura besoin ton soutien à son réveil du coma. Je ne te laisserai pas devenir un irresponsable sous prétexte que tu m’aimes. T’as commis une erreur alors tu la répares ! Elle a perdu son bébé et tu dois rester auprès d’elle pour la soutenir. Quant à notre relation je pense avoir été  très clair là-dessus. C’est définitivement mort entre nous deux. 


Lui : Mais Rachel (…)

Moi : S’il te plaît Thuram nous sommes ici dans un hôpital.


(Le docteur s’approcha de nous) 


Docteur : Re-bonsoir mes amis. 


Moi : Oui docteur, quelles sont les nouvelles ? 


Docteur : Eh bien votre amie a eu ce qu’on appelle la chance. Elle vient de se réveiller du coma mais elle doit se reposer pour vite récupérer. Je vous donne cinq minutes  à tous les deux pour la voir.


Moi : Dieu merci qu’elle s’en est sortie. Merci docteur pour tout.


Lui : Vraiment merci docteur de l’avoir sauvé 

Docteur : Non, je n’ai fait que mon travail. Elle a plus eu la bénédiction du plus haut car son cas m’a moi-même un peu effrayé. Où est passé la commissaire ?


Lui : Elle a eu une urgence au boulot donc elle est repartie.


Docteur : D’accord. Je devrais la voir pour certaines formalités mais ce sera mieux que je lui téléphone. Bon je vous laisse voir votre amie mais s’il vous plaît n’essayer pas de trop la déranger. Elle a besoin de repos


Moi : Merci docteur.


Après le départ du docteur mon téléphone sonna. Je laissai Thuram seul rentrer voir Francine et moi, me concentrai sur l’appel. C’était ma mère.


Moi : Allo mère comment vas-tu?


Elle : Je vais bien ma fille et toi ? J’espère que tu as déjà déménagé de ton ancien appartement !  Parce qu’en aucun cas je n’aimerais plus que ce garçonnet te fasse encore plus de mal.


Moi : Mère ne recommence pas. Nous en avons déjà parlé toi et moi. De toutes les façons je ne suis plus avec lui ni ne vit plus avec lui mais il ne cesse de me courir après.


Elle : Hum, les hommes c’est quand ils ont perdu quelque chose qu’ils reconnaissent sa vraie valeur. En tout cas, moi je ne peux pas décider à ta place. Si toi-même tu veux  retourner avec lui malgré tout ce qu’il t’a fait subir je n’en disconviendrai pas. Tout ce que je veux, c’est ton bonheur et je ne veux plus te voir souffrir après tout ce que tu as traversé ces derniers mois.


Moi : Ecoute mère je sais que tu es ma protectrice et je suis fière d’avoir une mère comme toi. A vrai dire je ne crois rien reprendre avec lui. La confiance a été déjà brisée. Merci de me soutenir. Je passerai vous saluer dans la semaine peut-être. Ça fait un bail qu’on a plus passé de temps ensemble.


Elle : Justement c’est ce que j’allais te demander. Ton père et moi avions à te parler de quelque chose de très important qui nécessite ta présence. Si tu pouvais faire l’effort de venir ce week-end, ce serait bien.


Moi : Ah, tu m’effraies là maman. Qu’est-ce qui se passe ?


Elle : (D’un ton rassurant) Ne panique pas. Lorsque tu viendras nous allons discuter calmement. Il n’y a à s’inquiéter de rien.


Moi : Mais c’est bizarre mère. Tu ne m’as jamais demandé à ce que je rentre.


Elle : Oui je sais ma fille ; mais je t’ai déjà dit qu’il n’ya rien de grave d’accord ?


Moi : Okay.  Si tu le dis. Je vais faire l’effort de passer le week-end. N’oublie pas de faire un coucou à père de ma part. Vous me manquez énormément.


Elle : Tu nous manques aussi ma fille. Prend soins de toi. Je me déplacerai personnellement un de ces jours pour remettre ce Thuram à sa place.


Moi : Eh maman comment peux-tu dire une chose et son contraire à la fois laisse moi gérer Thuram okay ?


Elle : Okay.


                           ****Charlotte****


Avec tous les événements traumatisants que ma fille Rachel a traversés ces derniers temps, est-ce le bon moment de lui dire que nous ne sommes pas ses parents biologiques?  Elle a beaucoup souffert ces derniers temps avec l’histoire du viol et celui du kidnapping passant par la prison. Ma pauvre fille. Qu’a-t-elle fait au bon Dieu pour mériter un destin pareil !


                                  ****Rose****


Depuis la prison je reçus la visite du détective privé.


Lui : Bonjour madame.


Moi : Bonjour détective.


Lui : Paraît-il que vous avez besoin de mes services pour retrouver quelqu’un.


Moi : Oui c’est exact. J’aimerais que vous me retrouviez ma fille. Vous avez toutes les informations dont vous auriez besoin ici, de même que la somme convenue.


Lui : D’accord madame. Vous pouvez compter sur moi. Je vous tiendrai informer de l’évolution de l’enquête.


Moi : D’accord détective. Faites tout votre possible pour me la retrouver. Elle est le seul espoir qu’il me reste.


                              ****Arsène****


Je crois que j’éprouve des sentiments pour Rachel car y’a pas une seconde que je pense à elle. Son sourire, son abnégation à tout surmonter. Rachel est une femme qui  n’a jamais reculé devant un obstacle. Je ne pensais pas retomber aussi vite amoureux après le décès de ma femme mais elle a vite fait changer mes émotions. Dès qu’on m’enlèvera ce bracelet électronique je l’inviterai un de ces quatre pour un dîner.


                             ****Thuram****


Elle me demande de rester auprès de Francine pour la consoler. Est-ce normal ça ? Je ne l’aime pas. Pourquoi Rachel ne peut pas ouvrir les yeux ? Peut être que c’est le seigneur qui nous redonne  une deuxième chance de recoller les morceaux. Je ferai quand même de mon mieux pour lui prouver qu’elle peut de nouveau me faire confiance.


                                 *Ville de Lomé*


                                ****Channel****


Cette vielle m’a proposé un marché que je suis contraint d’accepter. Ce n’est pas aujourd’hui que je sortirai alors pourquoi ne pas opter pour d’autres alternatives? L’une des gardes vient de me faire signe. Paraît-il que j’ai une visite, je tombai sur ma petite sœur Cella assise sur une chaise autour d’une table. Je pris aussi place. A  vrai dire, je ne me suis pas encore préparée pour la voir.


                            *****Florent*****


L’évasion était prévue à vingt trois heures. Tout le monde serait probablement à moitié mort genre endormi. Dans ma petite montre sonnait vingt deux heures cinquante cinq. Il ne nous restait que cinq minutes pour entamer la plus difficile partie du plan. Le prêtre Joseph adossé au mur de l’autre coté me fit un hochement de tête ; une manière pour lui de me souhaiter  bonne chance. Dans les secondes qui suivront, un des gardes que nous avions payé coupera le courant dans toute la prison et  un autre  nous fera sortir. Selon le contrat, ils se chargeraient de nous faire évader mais une fois dehors nous serons livrés à nous même et de plus, nous ne nous connaissons pas et ce contrat n’a jamais existé. Contre une somme de dix millions ils n'ont pas daigné refuser ne serait-ce une seconde histoire de faire bonne impression avant d'accepter notre offre. 


Et enfin nous allons nous en tirer de cet enfer.


Vingt trois heures, toutes les lumières se sont éteintes. L'un des gardes corrompus vint ouvrir notre grille et nous fit sortir de la cellule sans que quelqu’un s'en aperçoive. Nous disposons  de deux minutes et trente seconde pour nous tirer avant que le courant ne revienne. C'est ainsi que nous  rampâmes  jusqu'à l’infirmerie où nous arrivâmes à la sortie qui mena directement au sous sol puis direction la grande cour jusqu'au grillage. Deux de nos amis sont ceux qui surveillaient le grillage, donc plus besoin de se faire du souci à ce niveau. Ils nous nous firent porter leurs uniformes de flics en nous  demandant  de les ligoter à  un bras de fer avant de partir.  Cela leur donnera un alibi lorsque leurs supérieurs se rendront compte de  l'évasion. Alibi qui ne sera  rien d'autre que nous les avons séquestrés et  forcés  à ouvrir le grillage. Un pick up nous attendait dehors devant la prison. Nous nous tirâmes comme dans les films américains direction la  forêt où nous nous débarrassâmes des vêtements de flics avant de rejoindre la petite maison que j’avais construite pour ces genres d’occasions. Avec un air gai, le prêtre Joseph tapota mon épaule en me disant ceci : 


Lui : Nous avons réussi associé.


Moi : Bien sûr associé je te l’avais promis. Le dur est passé. Maintenant fit place au plan de vengeance. Bien avant cela tu dois me  libérer des démons qui obscurcirent mon existence.


Lui : Ne t’en  fait pas. J'ai ce qu’il faut pour toi. Ne perdons pas de temps allons y.


Moi : okay.


                                ****Madji****


Le docteur s’approcha de moi avec une mine très serrée.


Lui : Monsieur Madji ; venez une minute.


Moi : Ok docteur.

Une fois dans son bureau.


Lui : Prenez place.


(Après que je pris place dans le divan en face de lui.)


Lui : Monsieur Madji, cela fait plus de deux semaines que votre femme est ici et vous n’avez pas  encore payé un rond pour ses soins. Elle a retrouvé  sa santé et nous ne pouvons plus la garder ici. Il y’a d’autres personnes malades qui ont besoin de place. Vous devez nous payer pour qu’on la libère. A son arrivée, si  c’est que nous avons refusé de s’occuper d’elle vous allez fanfaronner sur tous les toits que les médecins sont patati patata.


Moi : (Honteux, je baissai la tête) Vous avez raison docteur. Je vous remercie d’avoir sauvé ma femme mais sans vous mentir je suis complètement fauché. Elle ne fait que me créer des problèmes celle là ! Si et seulement si elle n’est pas partie se bagarrer avec ces femmes ! Vraiment je ne sais plus quoi faire d’elle. Donnez-moi  vingt quatre heures de plus docteur. Je vous promets de vous payer.


Lui : Okay vingt quatre heures. Mais après ce délai, je vous confierai à la police. Est-ce clair?


Moi : Je ne crois pas qu’on arriverait jusque là docteur.


                                 **** Moi****


Main sur la tête, je sortis du bureau du docteur et me rendis dans la chambre où se trouvait ma sorcière de femme. Avec sa grosse tête on dirait ballon de Montgolfier, elle me souhaita la bienvenue à laquelle je pris soin de ne même pas répondre.


Moi : Tu vois le pétrin dans lequel tu me mets Naomi ? Je t’ai toujours dit de bien te comporter et d’arrêter ta jalousie maladive ! Voilà que je suis incapable de payer tes soins médicaux et le docteur veut te confier aux flics.


Elle : Aux flics ? S’il te plait Madji, je n’ai aucune envie d’aller en prison. Fait quelque chose s’il te plait !


Moi : Gnin gnin gnin ! T’ai-je envoyé à un combat de boxe ou de catch ? Qu’as-tu même dans tes oreilles larges là pour ne pas écouter les conseils  que je te prodigue ?


Elle : Conseils ? N’est-ce pas toi qui es à la base de tout ça ? T’as couché avec cette femme sur notre lit conjugal ! Fait en sorte que je sorte d’ici hein !


Moi : ça t’apprendra.  Dorénavant il faut réfléchir mille fois avant d’aller  faire tes congossas. Tu iras en prison et là tu sauras qu’il faut s’abaisser à son mari.


                                  ****Agnès****


S’adressant à Thérèse :


Moi : Dagan, j’ai fait le constat qu’un jeune homme nous espionne. Cela fait  la troisième fois que je l’ai vu à notre devanture.


Elle : Ah bon ! Nous espionner ? (Rires) peut être qu’il est à la recherche de quelqu’un.


Moi : Je n’en suis pas sûre. Depuis tout ce temps il n’a pas trouvé celui qu’il cherchait ? C’est louche.


Elle : Bon fait moi signe dès que tu le verras encore dans les parages.


Moi : Okay si tu veux. Comme ça tu sauras que je ne mens pas.


Elle : ça marche. Bon je dois aller voir Fabrice. Ça fait longtemps qu’il veut me parler. Tu peux me couvrir auprès des parents ?


MOI : Ah ce n’est plus à demander grande sœur ! Je te couvrirai comme d’habitude.


Elle : Je te revaudrai ça.


                             ****Blandine****


Il s’est bien comporté depuis son retour. Franchement il y’a une grande différence entre le Karl d’avant  et celui de maintenant. Je commence à vraiment  croire qu’il a changé.


                             ****Thérèse****


Je sortis clandestinement de chez moi et c’est au portail que je  tombai nez à nez sur Nick.


Petit Recap du chapitre :


1- Martin, réussira-t-il à retrouver Francine? 


2- Rachel, tombera-t-elle une fois encore dans les bras de Thuram? 


3- Comment se comporterait Francine à la vue de son mari? 


4- Charlotte aura-t elle enfin le courage de dire la vérité à sa fille?


5- Florent et Joseph iront-ils au bout de leurs vengeances ?


6-Madji arrivera-t-il à payer les soins de sa femme?


7- Channel aura-t-elle le courage de regarder sa sœur en face?


Que pensez-vous de ce chapitre?


Ne ratez pas le deuxième chapitre de la maison hantée. Rdv le samedi prochain  pour la suite


Koffi Olivier HONSOU


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