LE COMPLOT 3
Write by Lari93
Daniel AKA
J’ouvre la porte et je le vois assise dans le séjour.
Il fou quoi ici ? et comment il est entré d’abord ? et depuis
quand il est là ?
Lui : Surpris de me voir ? la partie de jambe en l’air était
génial ?
Lyaah : Dan …… Charles (En criant presque) ???
Charles-Emmanuel
DASLIVIERA
Je suis assis à les regarder avec leur tête surpris.
Ils sont si drôles à voir ces deux idiots, dans d’autres circonstances
peut être que j’aurais ris mais là je suis juste dégoutée.
Lui : Comment êtes-vous entrez ici ? (Dis il en essayant de se
donner un peu de contenance)
Moi : Saviez-vous à quel point un simple billet de 10 Mille francs
CFA à du pouvoir ? imaginer ce qu’un lot de 100 peut faire (Dis-je en
regardant mes doigts) ?
Lui : Vous pensez avoir tous les droits avec votre sale argent ?
Détrompez-vous !
Moi : (Rire. Le lâche) Monsieur chaque centime amassé par moi et
mes ancêtres est mérité. C’est le fruit de notre dur labeur.
Mais ce n’est pas l’objet de ma présence ici (En regardant Lyaah qui
s’est retrouvé assise par terre la tête baisser).
Lyaah (Elle relève la tête et je lui fais une photo avec son acolyte de
mon smartphone) !
Lyaah : Que fais-tu Charles ?
Moi : J’envoie une belle image à ton père, pour juste lui monter à
quel point tu t’occupes de l’enfant que tu portes en ce moment et comment tu
m’aime à la folie !
N’es pas beau ? Et hop c’est envoyé (Dis-je avec le sourire).
Lyaah : Ce n’est pas ce que tu crois Charles (dis-t-elle en
bégayant), il ne s’est rien passé. Entre lui et moi. Je te le promets (En
laissant des larmes couler de ses yeux).
Moi : Je suis dans cette pièce depuis assez longtemps mademoiselle.
De tes gémissements, jusqu’à t’entendre te vanter de ta dernière
cartouche sur Annabelle, Alors épargne moi tes larmes de crocodile.
Vous savez, j’ai été longtemps été idiot à penser que des crapules de
votre espèces n’existait que dans les films.
Mon père m’a dit qu’un DASLIVIERA surveillais toujours ses arrières.
Mais moi j’ai marché à roue libre, ce qui vous à laisser le temps de
manœuvrer comme vous l’aviez fait.
Aujourd’hui, Je suis ici, face à vous et je n’ai pas eu à faire autant
d’effort pour vous trouver. Il m’a juste fallu utiliser les atouts que mon
statut social me permet de faire.
Je pourrais vous faire disparaitre sans que je ne sois ébranler par qui
que ce soit dans ce pays, j’ai de l’argent.
Oui j’en ai, sans vouloir bien sûr me vanter, car c’est ma réalité.
Mais j’ai aussi du pouvoir.
Ma famille est la plus riche de ce pays et mon groupe est l’un des plus
gros employeurs de la sous-région. Pas besoin de vous faire un dessin.
Mais heureusement pour vous, j’ai une très bonne conscience, en plus d’une
bonne éducation. Alors j’évite de me salir les mains.
Bref, nous allons faire cours.
Lyaah ,
Nous effectuerons un test ADN prénatal dans 05 jours à paris.
Si jamais l’enfant que tu portes est bien le mien, Mon avocat t’enverra
donc un contrat avec une renonciation de droit parental.
Je refuse qu’une idiote comme toi éduque mon sang.
Lyaah : Jamais, tu entends, jamais (Dis en pleurant et criant).
Moi : Je ne demande pas ton avis (Dis-je froidement). Même la couleur de
ses cheveux tu ne le verra pas.
Lyaah : Tu es horrible, qui peut séparer une mère de son enfant ?
qui fait ça ? Tu es un monstre.
Moi : Moi je suis un monstre (En riant) ! Tu es drôle bien drôle
toi. Qui complotais pour priver une autre femme du bonheur d’être aussi une
mère ? « C’est l’hôpital qui se fout de la charité ».
Mais en plus de cela, tu encarte tes cuisses à qui le veut pendant que
tu prétends porter mon enfant. Avec ça tu prétends m’aimer Moi ?
Lyaah : Bébé c’est la première fois, depuis que je suis enceinte je
n’ai rien ne fait avec personne .je le jure.
Moi : S’il te plait épargne-moi ton cinéma.
Je le répète pour la dernière fois, s’il l’enfant est bien de moi après
le test, tu n’auras aucun droit sur lui. Tu ne le verras plus jamais après sa
naissance et j’y veillerais.
Quant à vous (En regardant l’autre petit docteur de merde), sachiez qu’a
l’instant où j’ai mis les pied ici, les aînés TANOH en ont été informé.
Ils se chargerons de passer la nouvelle à Andrews et aux autres de votre
tentative d’avortement sur leur petite sœur et de vos relations avec ma très
chère (En pointant lyaah du doigt)
Lui : Il me connaisse depuis bien longtemps que vous, je saurais
quoi lui dire pour vous tourner au ridicule. En plus, c’est votre parole contre
la mienne.
Moi : (En riant) j’espère qu’ils comprendront vos empruntes sur le
flacon présent chez Annabelle. (IL pâlit d’un coup, il ne s’y attendait pas)
Lui : Quel …… ? Quel Falcon ?
Moi : Ok je vais vous rafraichir la mémoire, Celui que vous avez laissé
tomber chez Annabelle. Apres avoir bien entendu renversé le contenu dans le jus.
Vous refaire le portrait, ils s’en chargeront à ma place.
Mais sachiez que, je compte vous détruire Daniel.
Je veillerais à vous radier de l’ordre des médecins. A rendre votre
clinique infréquentable.
Personne ne joue avec moi et ma famille.
Personne !
Vous allez payer tout c’est moment de souffrances que vous nous aviez
fait vivre.
Je me lève en direction de la sortie, lorsque lyaah s’agrippe à mon
bras.
Lyaah : je t’aime Charles, c’est par amour je fais tout ceci. Tu es
à moi et à personne d’autres.
Moi : Mais tu es malade ! (En essayant de retirer mon bras du
cercle qu’elle a formé autour avec les siennes)
Lyaah : Oui malade de toi, je t’aime mon amour. Sois-tu me tue,
pour te libérer de moi ou soit tu restes avec moi et l’enfant. Je ne
renoncerais à rien. À rien du tout.
Sinon je serais toujours là à foutre le bordel, surtout dit à ta pétassé
de bien se tenir.
Moi : (Mes yeux on viré au rouge, cette fois j’enlève mon bras et
la saisie violemment) Approche toi ne serais que d’un mètre d’elle, tu verras
de quoi je suis capable (mes yeux droits dans les sienne, je crois qu’elle a
compris que je ne joue pas. Elle tremblait. Je maintiens la pression sur ses bras,
je sentais que je lui fais mal, mais je m’en fou)
Lyaah : Ok Charles, tu me fais mal s’il te plait lâche moi.
Je m’exécute et continue marche vers la sortie sans aucun regard vers
eux.
Je descends plusieurs marches de l’escalier quand j’entends encore la
voix de lyaah.
Elle veut quoi au juste.
Lyaah : Charles je vais tout balancer sur les réseaux, ils sauront
tous qui elle est vraiment. Je (Elle vient de rater une marche de l’escalier.
J’essaye d’aller vers elle, mais trop tard elle déjà en pleine chute. Je ne
peux que regarder car je suis trop loin d’elle pour éviter la chute. Elle
arrive vers moi de toute sa masse).
Moi : (Une fois après avoir atterri à mon niveau) Lyaah !
lyaah ! (Elle est à peine consciente.
Je ma soulève et continue la descente avec elle dans mes bras. Une fois dans le
Hall, Bertrand cour la récupérer dans mes bras).
Moi : Il faut vite l’envoyer voir un médecin.
Nous voici entrain de rouler à vive allure vers un centre de santé.
Sur la banquette arrière du véhicule, je remarque qu’elle saigne. Je me
demande d’où vient tout ce sang. J’espère qu’elle ne sait pas casser quelques
choses.
Moi qui venais régler mes comptes avec elle et son salaud de complice,
me voici entrain de l’accompagner à l’hôpital.
L’autre idiot j’ignore si, il sait ce qui viens de se passer dans l’escalier.
Le comble c’est qu’il médecin. Il aurait aidé dans le cas ou il a vu la
scène.
Nous sommes arrivés dans le centre de santé le plus proche et elle est
directement prise en charge par les médecins.
Je lance un coup de fil.
Moi : Allo Bébé, je t’envoie la géolocalisation (Une des belles
choses du développement de la côte d’ivoire ces dernière années) d’un hôpital
par message. Demande à Anderson te t’y accompagner s’il te plait.
Moi : Je vais bien rassure toi. Je t’explique tout à ton arrivé.