LE COMPLOT 5
Write by Lari93
Charles-Emmanuel
DASLIVIERA
Annabelle :
Mais on ne peut pas s’en aller comme ça !
Anderson :
Anna, il faut y aller. Il dit qu’elle l’a mal pris alors je crois que nous
sommes les dernières personnes qu’elle aimerait voir.
Anderson l’a
convaincu et nous avons quitté automatiquement les lieux.
Dans le véhicule,
je repensais à cette journée et je ne m’arrête pas de me dire que je viens peut-être
de perdre mon premier enfant et j’ai le cœur qui se comprime.
Les menaces, je
ne les considère même pas. J’ai déjà prévu veiller au maximum sur les miens surtout
Annabelle et le bébé.
Ces idiots n’ont
qu’à bien se tenir.
Annabelle Tanoh
Nous sommes arrivés à la
résidence Charles n’avait dit aucun mot sur le trajet.
Anderson ? Il nous a pris
congé de nous a la sortie de la clinique.
Je sens que mon homme se très
mal, et je partage sa douleur.
Mon Homme c’est drôle (Rire) Mais
aujourd’hui c’est le cas.
La perte d’un enfant n’est pas
facile, je m’imaginais à la place de Lyaah c’est atroce.
C’est vrai qu’elle et Daniel ont
voulu me faire pareil mais je ne suis pas celle qui se réjouit du malheur des
autres, qu’ils soient amis ou ennemis.
Nous sommes là depuis
un moment j’en profiter pour faire une petite sieste. Je crois que
l’enfant que je porte adore dormir, car depuis quelque jour la sieste est mon
passe-temps favori.
Charles est resté dans son bureau.
Je descends et ouvre la porte.
Il est assis le petit salon du
bureau les yeux fixer sur le jardin.
Il faut dire que l’architecte qui
a dessiné cette maison a veillé à ce toutes les pièces de vie aient une partie
en baie vitré avec une vue panoramique sur ce magnifique jardin.
Je m’assois près de lui en
silence, il me regarde et souris puis continue à regarder dehors.
Il pose sa tête sur mon épaule et
une main sur mon tout petit ventre qui commençait à pointer son nez.
Je le sentais quand même apaiser.
Nous sommes restés ainsi longtemps.
Il brisa le silence en premier.
Lui : Bébé, je veux que tu t’installe
ici. Je t’en prie, je ne serais tranquille de te savoir ailleurs.
Moi : Ok c’est compris, mais
je dois informer mon père.
Lui : Je le ferais moi-même.
Moi : Charles !
Lui : Oui t’inquiète.
Moi : Ok si tu le dis.
Lui : Je crois que tu
devrais penser à parler à ta famille de TRISHA. Tu seras ainsi libéré et sa
sera aussi une sorte de thérapie. Ton père comprendra aussi l’impacte de ses
actions sur toi et ton mode de rébellion (Dit il sur un ton un peu moqueur).
Moi : Quoi je ne suis pas
prête.
Lui : Madame la tortue tu aimes
bien qu’on te mette le feu aux fesses (Je tire la tronche), que j’adore au
passage (En me caressant le ventre).
Mais plus sérieusement tu tout
leur dire mieux il l’apprenne de toi que d’une tierce personne.
Moi : OK, Je vais manger et
dormir. Tu viens avec moi ?
Lui : (En se levant) Oui mon
cœur.
Quelque part à l’autre bout
d’Abidjan
Daniel AKA
Lorsque je suis sorti de la résidence,
il n’avait plus personne.
Au parking se trouvais encore le
véhicule de lyaah. Le vigile et l’autre imbécile de réceptionniste qui s’est
fait acheter était près du véhicule.
Je m’approche.
Moi : Ou est la propriétaire
du véhicule demandais je ?
L’imbécile me toise avant de
répondre.
Réceptionniste : Votre
amante a fait une chute dans l’escalier, son mari l’a conduit à l’hôpital.
C’est le salaire de l’infidélité qui l’a comme (tchipppp dis t elle avant de
quitter les lieux).
Elle se prend pour qui cette
idiote ? je n’ai pas le temps pour elle.
Je prends mon véhicule, sors du
complexe en direction de ma maison.
Je me fiche de lyaah, franchement
je me fou de ce qui peut lui arriver.
Ce qu’elle m’a dit sur Annabelle,
vient de ma pourri la vie. J’ai fait tout sa pour une pute de luxe.
Comme quoi on ne fins pas de
connaitre les gens.
J’allais être la risée de ses
grands types avec une fille pareil dans ma maison.
Derrière sa gueule d’ange se
cachait une fille au mœurs légère.
Mais, je l’aime c’est fou.
Que ce fou et
idiot de DASLIVIERA la garde, j’en veux plus.
Ce sentiment
me quittera un jour.
J’arrive chez
moi et gare.
A peine ai-je
mis les pieds au sol que les TANOH envahisse mon parking de leur véhicule a
tour de rôle, même Emile est là.
Il ne faut pas
paniquer Daniel me dis-je intérieurement, mais j’ai envie de reprendre le
volant et me tirer d’ici.
Jason est le
premier à venir vers moi son sourire est faux comme jamais.
Jason :
Daniel comme tu nous a manquer ? Nous étions dans les parages et on a
penser te faire un coucou (En regardant les autres arriver près de lui. Andrew
est le seul à ne pas me regarder. Je connais ce regard, c’est mon meilleur ami
putain).
Moi :
Super les Gas mais je ne peux pas vous recevoir. Je reviens d’une veille à
l’hôpital je veux me reposer. (Je les dépasse et par ouvrir le portail pour m’y
engouffrer)
Michael :
Mon petit Daniel (En bloquant le porte) je ne t’ai pas connu ainsi (Dit-il avec
un faux sourire).
Moi : Bro
je n’ai vraiment pas la force (Je ne finis pas ma phrase que Brice la mâchoire
serrée me pousse à l’intérieur et entre suivi des autres.
Michael
referme la porte après leur passage. C’est cuit pour moi).
Je suis toujours
à terre les regardant entrer dans ma maison.
Brice s’assoie
dans l’un de mes fauteuils et les autres sont debout à me regarder.
Emile
s’approche de moi et me tend la main.
Moi :
(J’accepte sa poigner pour m’aider à me relever) Merci frère (je ne fis pas me
phrase que je me trouver par terre. Je n’ai pas vu le coup venir n’on d’un
chien, je n’aurais jamais cru ça de mon ami.) Purée c’est quoi le souci ?
Jason : à
toi de nous le dire. ?
Moi : Je
n’en sais rien pourquoi vous m’agresser ?
Jason :
Annabelle !
Moi :
Annabelle quoi ?
Michael :
En plus il a la gueule ! Hé Mec tu sais qu’on ne touche pas notre
sœur ? Oui tu le sais très bien. Alors pourquoi voulais-tu lui faire du
mal ?
Moi :
Quoi ? je ne ferais jamais de mal à Annabelle je l’aime ! Andrew TU
LE SAIS.
(IL me regarde
et ses yeux son rouge de couleur)
Andrew :
TU SAIS A QUEL POINT MA SŒUR COMPTE POUR MOI ? Alors pourquoi tu as osé
faire cela (En me regardant droit dans yeux) ?
Moi : Bon
dieu vous allez me dire ce que j’ai fait au juste (Dis-je en criant).
Emile :
Annabelle et son bébé tu t’en souviens ? le fruit de ton complot avec
l’autre idiote. Charles nous a tout raconté.
Moi :
C’est donc ça (En me levant) ? Donc vous croyez un idiot que ne peux pas
me sentir plus tôt que moi que vous connaissez depuis notre enfance ? Andrew, moi ton meilleur ami ? Tu me
crois capable d’une telle chose ? (En le fixant)
Jason :
(En tapant les mains, il me chauffe celui-là) Très bon rôle d’acteur Daniel.
Je te découvre
et c’est de mieux en mieux. Je suis juge tu le sais.
Je prends le
soin de vérifier toutes les informations que je reçois. Comment explique-tu tes
empreintes sur le flacon trouvé chez Annabelle (Oooh merde) ? ou bien tu
n’étais pas dans l’appartement de ma sœur ce jour-là ? ou bien encore c’est
le méchant Charles qui a mis tes doigts là-dessus juste pour te faire porter le
chapeau ?
Moi : Humm
mm (Je suis cuit moi)
Jason : Tu
as perdu ta langue ?
Moi : Je
suis confus. Il ment les Gas je n’ai rien fait.
Andrew :
Regarde-moi ? (J’exécute) pourquoi ? Ne me dis pas que c’est par
amour que tu as agi sinon je t’en colle une.
Moi : Andrew C’était une erreur, je ne voulais pas,
mais (je ne finis pas ma phrase que je reçois plusieurs coups de Jason, il va
me démolir le mec. Si je riposte, ils vont tous s’acharner sur moi je les
connais)
Lorsqu’il
s’arrête j’ai du sang qui me sort de la bouche et du nez, j’ai des douleurs
partout. Jason c’est le terrible des 05.
Moi : (En
riant) Donc vous êtes venu ici pour me bastonner ? Continuer donc tuer
moi.
Allez-y !
Et puis merde à la fin (Dis-je criant).
Andrew :
Tu es pitoyable. Si on voulait en finir avec toi, on aurait informé le général.
Je t’ai considéré comme mon frère je t’ai soutenu dans les moments de joie et
tristesse. J’‘ai ouvert les portes de ma maison et ma famille. Je t’ai soutenu
avec Annabelle même quand elle ne voulait pas de toi.
Sache que tu
n’aies plus personne pour moi, ne t’approche plus jamais de ma famille, de ma
sœur surtout.
Tu n’as plus
personne pour moi.
Plus
personnes.
Jason :
Maquiller les meurtres en accident ce n’est qu’un détail. Tu n’es qu’une petite
frappe de merde (En me crachant au visage).
Moi :
Tout ceci pour une pute de pacotille (En riant).
Brice :
De qui parle tu ?
Moi :
Annabelle est une pute de luxe. Demander lui ou elle a rencontré son cher
patron ? Monsieur le juge chercher
qui était la danseuse star et hors de prix du club de Monsieur D ?
Et Si vous
avez finis sortez de chez moi.
Dans le cas contraire,
j’attends mon cercueil.
Andrew enragé
se précipite vers moi pour me cogner, mais Brice se lève et le stop (Ouff j’en
peux plus la).
Brice :
Il ne mérite pas ta rage (En parlant a son frère), c’est juste un tas de merde.
Pute tu as dit
n’es pas ? OK
Pute ou pas,
elle n’a jamais partagé ta couche, alors tu ne peux que piaffer.
Et même dans
sa débauche, elle a su se vendre à mieux que toi.
Ce qui
sous-entend que même dans la merde, il y aussi des niveaux et toi tu es au plus
bas niveau.
Andrew : Tu n’existes
plus pour nous, tu m’entends. La prochaine fois que ton noms resonneras dans
nos affaires sache que tu es un homme mort. Et c’est valable pour cette meuf
qui te sers de vide couille.
On y va les
Gas.
Sur ces mots,
ils ont quitté ma maison.
Il faut que je
déménage dès que possible.
Mais d’abord
je dois voyager disparaitre un moment.
Les Tanoh ne
blaguent jamais avec les menaces et il faudrait pas qu’ils changent d’avis lorsque
leur peur saura toute l’histoire.
Au moins avec
la bombe que j’ai lâché cette pétasse d’Annabelle va en prendre plein la gueule
avec ses frères.