Le piège de mon assistante 1
Write by mapassionmonbonheur
Je me nomme Morin j’ai trente-cinq (35) ans, je suis directeur des opérations dans une banque en région parisienne marié à une très belle femme et père de deux enfants magnifiques.
Ma femme s’appelle Olivia, elle a trente ans (30) ans et ma première fille âgée de cinq (5) ans se nomme Brenda, son mignon petit frère s’appelle Jordan il vient d’avoir huit (8) mois.
Depuis quelques mois j'ai une nouvelle assistante qui essaie de me détourner de ma famille et de mes autres projets. Elle s'habille hyper bien et vraiment sans mentir elle m'attire vraiment et j'aimerais trouver une solution à ce problème. Je pense franchement que c'est un problème comme je le lis dans les livres ou comme je le vois dans les films des hommes qui abandonnent leur famille pour leur secrétaire ou leur collègue et j’avais très peur de finir comme ça aussi. Je ne voulais pas lui faire la remarque de s’habiller moins sexy car elle n’exagérait pas du tout mais elle était belle c’est tout.
Un vendredi soir au boulot pendant que je partais je la trouvai triste dans son bureau en train de pleurer.
Qu’est ce qui t’arrive Carole ?
Rien Monsieur
Comment ça rien ?tu pleures pour quelle raison ?
Je ne sais comment vous le dire Monsieur
Dis-moi il y a un souci ici au bureau ?
Non pas du tout
A ces mots elle m’enlaça toute en sanglotée, je perdis tous mes moyens c’était la première fois qu’on se touchait de si près et c’est vraiment flippant car je ressentais des frissons dans tout mon corps. Je n’avais pas ressentis cela depuis fort longtemps, je voulais la repousser mais je ne pouvais pas au lieu de ça je mis ma main sur son dos et j’essayai de la calmer ;
Ça va aller carole dis-moi ce qui ne va pas
Mon fiancé vient de m’annoncer notre rupture,
Mais pourquoi ? Tu ne mérites pas ça
Il m’a avoué qu’il ne m’aime plus
Oublie le vraiment Carole il ne te mérite pas du tout, tu es si belle
C’est vrai ? Vous êtes sérieux ?
Oui bien sur
Elle posa ses lèvres sur ma bouche au lieu de la repousser je lui donnai un fougueux baiser en réponse puis on s’embrassa un long moment comme si on attendait tous deux depuis ce moment magique. J’oubliai tout autour de nous.
Soudain mon téléphone sonna, la sonnerie de mon téléphone mit fin à cette idylle, je décrochai mon téléphone pendant qu’elle essayait de ranger ses affaires et d’effacer ses pleurs.
C’était un appel de ma femme pour savoir si je pouvais ramener quelques produits en passant par le centre commercial sur mon chemin de retour. J’acceptai et je raccrochai.
Je repris mon sac aussi et je lui demandai si elle voulait que je la dépose quelque part .Elle répondit oui. Elle me faisait vraiment pitié et je me demandais qui peut bien larguer une telle fille ?
Sur le chemin je fis le premier à parler du baiser :
Excusez-moi pour tout à l’heure
Pourquoi Monsieur vous m’avez consolé et je vous en remercie
Oui mais pour le baiser ….
Vous embrassez très bien et j’ai aimé
Ok ça ne se reproduira plus, je te dépose au niveau de la gare ?
Non au prochain feu je prendrai un taxi
Mais pourquoi pas le train
Je ne vais pas bien, j’ai la tête qui tourne et je ne peux pas prendre le train.
Ok je vous dépose chez vous alors
Merci Monsieur, merci beaucoup pour tout
Je t’en prie Carole
Je pouvais lui rendre ce service et je me rappelai de ma femme je devais passer au centre commercial et Carole habitait l’autre bout de la ville où j’habitais; malgré tout je sentis le besoin de la ramener chez elle. Elle déboutonna sa chemise et me demanda si elle pouvait s’allonger un peu j’acceptai ; elle le fit en repoussant un peu son siège en arrière.
Arrivé devant chez elle je la réveillai pour qu’elle rentre, j’avoue que je me retenais beaucoup pour ne pas l’embrasser encore puis elle dit :
Je vous en prie aider moi à rentrer à l’intérieur je ne me sens pas bien du tout et je ne pourrai prendre seule les escaliers
Et bien c’est ce que je ne voulais pas depuis le début, rentrer dans son appartement, comment sortir de cette situation ?
Ok répondis-je
Je l’aidai à monter les escaliers, heureusement elle était au premier étage, elle ouvrit la porte et se jeta dans son canapé encore en pleurs.
Je l’invitai à venir fermer la porte au lieu de ça elle se jeta à mon cou encore une fois, je compris cette fois qu’elle me voulait, j’avais l’impression que je m’étais mis une corde au cou. C’est vrai elle me plaisait beaucoup mais j’avais peur cette fois. Mais je n’eus pas le courage de la repousser
Ça va aller Carole repose toi
Ne me laissez pas seule je vous en prie
Je ne peux pas je dois rentrer ma famille……m’attends
Elle m’embrassa encore et cette fois avec plus d’assurance et d’engouement puis me traina vers sa chambre à coucher, je pris vraiment mon courage à deux mains puis je retirai ma bouche.
Désolé Carole je ne peux pas profiter de toi. Je rentre,
Désolée Monsieur je suis tellement désespérée au revoir,
Au revoir Carole.