Le plan d'Habiba

Write by J.C

Chapitre 16: Le plan d'Habiba


Habiba: Si je comprends bien, tu es décidé à rester camper sur ta décision. Tu ne veux pas de moi


Séna : effectivement, et je t'avais dit que ce sujet était déjà clos de mon côté


Habiba: ehh Bien, c'est ce qu'on verra. Sache que je gagne toujours. Soit tu es à moi, soit je fais de ta vie ici un enfer, et tes jours dans cette maison' seront comptés. À toi de voir


Séna : Eh bennn!! Mme montre son véritable visage maintenant d'enfant pourri gâté. Dieu merci.


Habiba: ne m'énerve pas OK? 


Séna : prend le comme tu veux. D'ailleurs, j'ai à faire. Passe une bonne journée.


Habiba: sale villageois, tu vas me le payer, crois moi, tu ne vas pas le voir venir.

....

Lauretta: mon chéri, qu'est ce qui ne va pas?


Amant: Juste que, quand je me rends compte que tu vas encore retourner dans les bras de ton idiot de mari, ça me met en colère


Lauretta: mon coeur calme toi, stp. Je t'ai demandé d'être encore un peu patient,et nous allons rester ensemble pour toujours. 


Amant:Oui, mais quand je l'imagine te toucher, mon sang bouillonne de l'intérieur


Lauretta: Si c'est pour ça, sois tranquille. Ça fait longtemps, il ne me touche plus. Je ne le laisse plus me toucher


Amant: C'est vrai ça ?


Lauretta: oui mon coeur, crois moi


Amant:,super ma chérie. Tu es la meilleure. Mais, c'est pas tout. 


Lauretta: quoi encore ? 


Amant: les papiers du terrain que tu m'avais promis de m'apporter que nous allons vendre. Ça fait une éternité que tu m'as promis ces papiers, toujours rien. Sincèrement tu me déçois. Les petites choses et simples que je te demande pour notre bien, tu en es incapable. Il m'arrive de me poser la question, si tu m'aimes réellement ou je suis juste un bouche-trou pour toi.


Lauretta: tu me fais mal par tes propos, tu sais ? Le terrain c'est sa seule richesse, et ces papiers, ils les gardent précieusement. Je n'arrive pas à mettre la main dessus. Fait moi confiance. Tout ceci n'est qu'une question de temps. Je ne comprends pas ton empressement. Ou bien tu as l'intention de faire avec l'argent du terrain?


Amant: Tu as osé me parler ainsi? Tu viens de me traiter de voleur ? Merci


Lauretta: te fâche pas mon amour. C'était juste pour te taquiner, tu le sais bien. Tu n'es pas un voleur. Tu es mon amour


Amant: Tant mieux alors.

.......


Aîssatou: Qu'est ce que tu as au juste ? 


Habiba: je suis entrain de mettre sur pied mon plan


Aîssatou: Plan? Mais quel plan?


Habiba: celui pour pourrir la vie de ce villageois qui a osé me repousser


Aîssatou: mais toi aussi, tu exagère. Laisse ce pauvre garçon tranquille. Il n'est pas intéressé par toi, alors laisse le en paix. Pourquoi tu vas vouloir le détruire. C'est vraiment méchant de ta part. 


Habiba: tu l'as ferme toi. Ça ne prend pas avec moi. Tu n'es pas mieux que moi. Tu as oublié le professeur que tu as fait renvoyé par tes mensonges?


Aîssatou: non ne mélange pas les choses, c'était différent. 


Habiba: Ah oui? En quoi c'était différent ?


Aîssatou: lui, il m'a trompé


Habiba: la blague. Tu as séduit le pauvre homme juste pour avoir de bonnes notes et lui comme il voulait pas tricher en te favorisant, tu as tout fait pour faire croire au directeur qu'il te draguait et il a même voulu t'embrasser de force et on a renvoyé le pauvre homme. Et aujourd'hui, c'est toi qui te tiens devant moi pour me faire la morale. Tout le monde, mais sauf toi.


Aîssatou:Eh c'est bon. Faut me déposer. C'est quoi ton plan?


Habiba: mes parents vont au village demain et ils feront trois jours avant de revenir. Vais demander à cet idiot d'Albert à la veille de leur retour qu'on couche ensemble qu'il me violente, me sodomise, la totale quoi, il aime bien ça et après je ferai croire aux parents à leur retour que Séna a essayé de me violer.


Aîssatou: Mais si tu vas chez Albert revenir, avec les coups, le gardien va le remarquer et ton plan tombera à l'eau.


Habiba: tu me crois si idiote? Tu crois que j'ai pas pensé à tout ça ? Je ferai venir Albert en douce la nuit par la porte de derrière, j'ai le double des clés. Les parents le savent pas.


Aîssatou: et si tes parents demandent si tu n'as pas crié quand il te violait pour que Bouba entende?


Habiba: primo, il a mis la musique à fond, deuxio, je vais faire un jus d'orange que vais demander à Séna d'apporter  à Bouba cette nuit dans lequel, il aura un somnifère. Donc je dirai que après m'avoir violé, il m'a menacé de n'en parler à personne, que de toutes les façons, il a drogué Bouba, il dort profondément, il ne pourra rien dire. 


Aîssatou: ah ça, mes respects ma copine. Tu me fais peur. Moi même je ne voudrais jamais t'avoir comme ennemie.


Habiba:Ah ça tu l'as dit. Vaut mieux m'avoir comme ami que ennemie.



À suivre

Les chemins et les s...