Le retour

Write by Yayira Bénédicte

Assandy Éloïse Natasha

 

-          Donc tu dis qu’ils t’ont menacé ? me demande lady

-          Oui littéralement.

-          Ils te menacent que quoi ? ton contrat fini à la fin du moi non ? et là encore tu leur a faire une faveur, tu devais finir le mois passé même

-          Ils ne l’entendent pas de cette oreille. Que si je dois travailler encore 6 mois sinon ils vont tout balancer à Alexandre. Dis-je en m’assaillant dans son canapé

-          Ils savent pour vous deux ?

-          Non non pas encore, mais ils savent que c’est mon patron, donc c’est mon emploi qu’il menace

-          Je t’ai dis de tout lui dire Nana, raconte lui tout, ce n’est pas comme si tu avais choisis de faire ça de plein gré, tu à décidé de faire ça pour la vie de ton fils

-          je sais pas comment aborder le sujet avec lui Ana, je ne sais vraiment pas, et on commence à peine à prendre nos repères, je risque de le perde. Dis-je soucieuse

-          tu ne le perdras pas, cet homme tient vraiment à toi, c’est plutôt le contraire qui risque de ce produit si tu lui raconte tout.

-          hummmm, tu ne sais pas comment il est possessif, si ça ne tenais qu’à lui c’est lui qui choisirais les vêtements que je mets pour sortir pour ne pas que les gens me regarde, donc imagine s’il apprend que je danse presque nue pour d’autres hommes, et que ses derniers me touche.

-          Tu ne peux pas non plus lui mentir indéfiniment ma chère

-          Je sais, je vais lui dire la vérité.  Dis-je en essayant d’imaginer sa réaction.

-          Don qu’est-ce que tu comptes fais par rapport à John et son acolyte ?

-          Je leur ai dis que j’accepte mais que je vais travailler que les vendredis et les samedis, et pour les soirées privée aussi mais pour trois mois pas six, donc j’attends qu’il me fasse un retour

-           Et s’ils refusent ? demanda-t-elle

-          Je vais devoir en parler à Alexandre plus tôt que prévu alors

-          Si ça ne tient qu’à moi tu lui en aurait parlé depuis même. Dit-elle sur un ton de reproche

-          Je sais. On dit quoi et le pasto ?

-          Arrête d’appeler mon chéri comme ça hein, ce n’est pas un pasto je t’ai dis.

-          Ah pardon quitte là, c’est un pasto pian

-          Tu es folle oh, il va bien, il est retournée sur son site. Dit-elle en essayant de réprimer son sourire

-          Donc tu dis qu’il est plein aux as hein ?

-          Je te dis ma co, moi qui le prenais pour un fauché, je pensais qu’il venait à cause de l’argent même parfois

-          Hahahaha, pourtant toi-même tu n’es rien comparé à lui. Dis-je en riant

-          Je te dis, j’imagine combien je devais être ridicule devant lui chaque fois que je voulais payer  son transport

-          Je te dis hein lol, je suis vraiment contente pour toi, j’aime te voir avec se sourire niaise et la mine épanouis. Lui dis-je

-          Tu n’es pas en reste non plus ma puce, et tu l’as amplement mérité, Alex à un effet positif sur toi en tout cas, tu resplendis. Me dit-elle

-          Je ne sais pas mais j’ai souvent l’impression que c’est trop beau pour être vrai et qu’un truc va mal se passer à un moment. Il est trop bien je t’assure Ana, je n’ai pas grande chose à lui reprocher en plus les enfants l’adore, j’ai peur Ana, peur de tomber folle amoureuse et qu’il nous abandonne un matin sans crier gare !

-          Je te comprends, mais tu as droit à ta part de bonheur Nana, et si jamais il part sans crier gare ! tu t’en remettras parce que tu es une femme forte, mais pour le moment laisse toi aimer, laisse toi aller et tu verras que tu as peur pour rien.

-          Hummmm

-          Moi aussi j’ai peur, Ray dit ne pas être déranger par mon passé mais je crains toujours le jour on va rencontrer un ex client qui va lui jeter à la figure comment il m’a pris dans toute les positions, je redoute tellement ce jour t’imagine pas. Dit-elle d’une voix triste

-          On n’est pas encore sortie de l’auberge on dirait. Dis-je en souriant

-          Ça c’est sur mais moi contrairement à toi, j’ai décidé de vivre ma relation a fond, le jour un truc que je redoute se produit je saurais gérer

-          Tu as raison, ça ne set à rien dans une relation et d’être sur ses garde. Dis-je en ma relation avec Alex.

 Ses dernière semaines on été superbe, on c’est quelque fois disputé mais des petites disputes concernant mon travail de la nuit qu’il n’aime pas, il a aussi voulu me présenter à des amis à lui et leur épouse, ce que j’ai refuser et il n’a pas aimé. Il m’a aussi donné la clé de chez lui que j’ai refusée, il l’a vraiment mal pris par contre, il a dit si je ne veux pas être avec lui que je lui dise directement, donc depuis deux jours maintenant c’est bizarre entre  nous, et il me manque.

-          J’ai dis à Marco que j’arrête à la fin du moi aussi

-          Nooon !

-          Siiiiii ! dit-elle en riant

-          Et il a dit quoi ? demandais-je excité

-          Il peut dire quoi ? il a dit Ok, qu’il va en parler à ses patrons

-          Et s’il essaye de te retenir aussi ? lui demandais-je

-          A cause de quoi ? je suis allé travailler là-bas de mon plein gré alors ils ne peuvent même pas essayer leur chose là sur moi.

-          Je suis vraiment contente que tu prennes cette décision, le pasto à vraiment une bonne influence sur toi, je me rappel qu’il y’a encore quelque mois tu ne voyais pas ta vie sans se boulot. Lui dis-je

-          C’est vrai, très vrai même mais aujourd’hui je vois les choses autrement. Dit-elle

-          Je suis fière de toi.

On resta à discuter encore de Mila qui disait ses premier mots, Aurélie qui vole mes produit de maquillage pour se maquiller et de Bryan qui me fais une crise comme quoi il veut allé vivre avec son père, comme quoi il n’y a que des fille à la maison et que lui se sent seul, je lui ai dit que c’est un non catégorique alors monsieur me fais la tête. Je l’ai laisser avoir de bonne relation avec son père parce que j’ai compris grâce à Alex que cela est important pour son équilibre, parce que après avoir découvert le vrai visage de ce con de Mohamed j’avais coupé les ponts avec lui, je ne le laissais plus venir voir Bryan mais Alex m’a fait comprendre que je punissais aussi mon fils en faisant cela, donc depuis je les laisse se voir et se parler, il a acheté un téléphone à Bryan sur lequel il l’appel. Je ne sais pas si c’est lui qui met cette idée dans la tête de mon fils mais je vais vite tirer ça au clair.

En attendant que John et son type là ne me donne une réponse je ne travail pas, donc je rentre chez moi m’occuper un peu de mes enfants avant d’aller à la radio pour mon émission. J’irai chez Femi après pour m’excuser, je compte m’impliquer plus dans la relation. J’ai des appréhensions certes mais comme l’a dit Ana je dois me laisser aller

 

Mayira Montenegro

Je viens d’arriver à Abidjan, il est 21 passé, j’emprunte un taxi direction chez Alexandre. Je lui ai laissé beaucoup de temps, maintenant je suis de retour, il croit pouvoir se débarrasser de moi après m’avoir utilisé ? Moi Mayira ? il se fout le doigt dans l’œil, j’ai déjà un test de grossesse, un échographie et même les résultats d’une prise de sang. J’ai tout pour lui faire croise en ma grossesse, et j’ai intérêts à tomber enceinte avant qu’il ne découvre le pot de rose sinon je suis foutu, mais je suis optimiste, toute les chances sont de mon côtés. En plus Ella l’a affirmé qu’il ne semble pas fréquenter quelqu’un en ce moment, donc j’ai toute les chances de mon côté, il n’aura pas d’autre choix que de m’épouser et sa famille finira bien par m’accepter.

Le gardien ne veut pas me laisser rentrer quand j’arrive au bas de l’immeuble, sous prétexte qu’on e lui a pas laissé d’instruction me concernant, est-ce qu’il sait qui je suis même ? je prends mon portable pour appeler Alex, il est très surpris que je sois au bas de son immeuble mais il ne tarde pas à descendre

-          Tu fais quoi là ? attaqua-t-il dès qu’il me vit

-          Bonsoir aussi Alex, je vais bien

-          Je n’ai pas le temps pour des bêtises Mayira. Dit-il en mettant ses mains dans ses poches

-          Faut qu’on parle Alex, c’est très important, sinon je ne serais pas ici à cette heure

-          Parler de quoi ? dit-il en ne bougeant pas

-          Tu ne veux tout de même pas qu’on parle ici non ? on monte on parle si c que j’ai a te dis ne t’intéresse pas je pars. Dis-je en le regardant

Il prit ma valise et je le suivie à l’intérieur. Il posa ma valise au salon au lieu d’aller la mettre dans la chambre, je m’assis dans le canapé comme si j’avais mal à la hanche

-          Ce vol m’a épuisée, je peux avoir à boire stp ?

Il alla à la cuisine  m’apporter un verre d’eau, il prit place en face de moi les jambes croisé, la main sous son menton me fixant alors que je terminais mon verre d’eau.

-          Je t’écoute dit-il au bout d’un moment voyant que je ne disais rien.

-          Je voudrais d’abord te présenter mes excuses Alex, je te demande pardon pour ce qui c’est passé à Paris il y’a quelque mois de cela, je ne suis pas lesbienne je te promets, je ne sais pas ce qui m’a pris et crois moi je n’ai plus recommencé, plus jamais ! c’est toi que je veux

-          C’est pour ça que tu es là ? si c’est le cas, laisse moi te dire que je n’ai aucun problème avec toi, je n’ai rien a te pardonner si ce n’est ton infidélité mais ça encore ce n’est rien, j’i juste été dessus, tu aurais pu me dire la vérité que j’aurais compris. Ta sexualité ne regarde que toi, que tu aimes les femmes ou les hommes n’engagent que toi, donc si tu as fais tout ce trajet pour t’excuser crois moi ce n’était pas nécessaire. Il a dit tout cela sur n ton calme en gardant la même posture.

-          Je ne suis pas venue que pour m’excuser. Dis-je en fouillant dans mon sac à main. Je suis enceinte

-          Pardon ? fit-il en décroisant les jambes

-          Tu as bien entendu Alex, je suis enceinte et la grossesse est de toi

-          Si c’est une blague elle est de très mauvais goût. Dit-il en se levant

-          Ce n’est pas une blague, voici les preuves, je suis enceinte de 11 semaines, ce qui nous ramène à décembre, tiens prends les regarde. Dis-je en lui tendant toute les preuves que j’avas préparé

Je le regarde lire tour a tour ce qui l’a dans la main, et je vois son visage se décomposé, j’ai envie de rire, il se croyait intelligent non, le voici prit dans mes filet. Les preuves son irréfutables, avec mon nom, mon groupe sanguin et tout.

 

Alexandre Oluwafemi Adéléké

 

Je lis les documents dans ma main et j’en perds mo latin, comment c’est possible ? Comment ça se fait qu’elle soit enceinte Oserait-elle me mentir à se sujet ? Non elle n’oserait pas, on ne ment pas sur une grossesse parce que de toute façon le ventre va devoir prendre forme dans les prochain.

-          Qu’est-ce ce que tu attends de moi ? lui demandais-je

-          Là maintenant j’ai faim, j’ai envie d’un bon repas, prendre une douche et dormir, le vole m’a épuisé et avec la grossesse ce n’est pas évident.

-          Viens je t’installe dans la chambre d’amis, tu prendras une douche pendant que je commande à manger. Dis-je en prenant sa valise

-          Pourquoi tu m’installe dans la chambre d’amis ? ta chambre à quel problème ?

-          Ma chambre n’a aucun problème mais tu n’y passeras pas la nuit, et c’est non négociable !

Je portais sa valise à la chambre d’amis, je lui demandais ensuite c qu’elle volait manger, pour que je commande. Elle m’a dit vouloir  du caviar

-          Comment ça du caviar ? fis-je dépassé

-          C’est ce dont le bébé à envie moi je n’y peux rien. Dit-elle en commençant à se déshabiller

J’appelais le  resto ‘’le toit d’Abidjan’’ pour n commander.  Je pris une fois de plus l’écographie pour la regarder, je n’arrive pas à y crois, Mayira enceinte, pourtant toute ses années elle faisait très attention à ne pas l’être à cause de sa carrière alors j’ai du mal à assimiler. Le plat est livré plus d’une demi-heure plus tard, je vais donc l’appeler pour qu’elle vienne manger. Elle sort avec une nuisette qui ne cache rien de son intimité, et elle est nue en dessous en plus. Je préfère ne rien dis, je lui présente le plat et je vais dans la douche pour me laver, c’est ce que je comptais fais quand elle est arrivé.  Je prends ma douche en imaginant comment gérer ça, et comment Nana le prendra, c’est vra que nous somme en froid tout les deux mais je ne peux pas lui caché ça même si j’ai peur que cela l’éloigne de moi, déjà que j’ai l’impression qu’elle ‘est pas vraiment impliqué dans la relation. Je sors de la douche avec ma serviette autour de la hanche et je trouve Mayira couché  dans mon lit, toute nue.

-          Qu’est-ce que tu fais là ? lui demandais-je

-          Je n’ai pas envie de dormir seul bb, stp

-          Ecoute je n’ai vraiment pas le temps pour tes histoires là, lève toi et va dans l’autre chambre.

-          Stp Alex, à cause du bb, je n….

On sonna à la porte donc elle s’interrompit, qui ça peut bien être à cette heure ? il est déjà 23h, pensais-je. Je voulais ignorer mais on sonna de nouveau.

-          Je vais voir qui s’est, je ne veux pas te trouver ici à mon retour. Dis-je en sortant de la chambre

J’allais ouvrir pour tomber nez à nez avec  Elo, elle avait  complètement déboutonné sa veste, pour me faire voire la guêpière qu’elle portait en dessous, j’étais sans voix, tant elle était sexy, ce truc était plein de corde partout, je me demande comment on enlève ça ? Les cordes passaient sur ses seins mais ses tétons étaient nus

-          Tu ne me laisse pas entrer ? demanda-t-elle en en laissant tomber sa veste devant la porte

-          Tu es folle dis-je en la tirant à l’intérieur, et si quelqu’un te vois ainsi ?

-          Tu es au dernier étage Femi, et qui viendras s’aventurer ici à cette heure ? dit-elle en riant

Je la tirais à moi pour l’embrasser, mes dents titillaient déjà ses tétons lorsque j’entendis la voix de Mayira derrière moi, je l’avais même oublié celle là

-          Il se passe quoi ici ? fit-elle scandalié.

Éloïse sursauta dans mes bras, et se détacha, son regard passa de Mayira à moi avec stupeur, cette dernière aussi portait sa nuisette sous laquelle elle était nue

-          Ce n’est pas ce que tu penses bb, laisse moi t’expliquer. Dis-je à l’endroit d’ELo.

-          Tu… vous… tu n’as pas osé Alexandre. Dit-elle d’une voix tremblante.

-          Mais je te connais toi. Dit Mayira, tu travail pour Alex, vous couchez aussi ensemble ? tu couche avec mon homme ?

-          Tu l’a ferme Mayira, je ne suis pas ton homme. Elo écoute moi, y’a une explication crois moi. dis-je alors qu’elle ramassait sa veste  pour la mettre

-          Tu n’es pas mon homme et je suis enceinte de toi ? tu n’es pas mon homme et je suis sous ton toit et on était sur le point de faire l’amour avant qu’elle arrive ? criait Mayira

-          Tu va te terre ? tu étais sur le point de faire quoi avec qui ? ne m’énerve pas Mayira, ne m’énerve pas !

Éloïse nous dépassa et entra pour aller vers ma chambre, j’espère qu’elle ne va pas ramasser ses affaires avant de s’en allé. C’est dans quel pétrin je suis comme ça ? Merde !

-          Tu vas où Alex ? tu crois que tu vas où comme ça ? dit-elle alors que je me dirigeais vers ma chambre.

-          Tu me fiche la paix Mayira, sinon je te mets dehors sans tenir compte de l’heure.

-          Tu me mets dehors moi la mère de ton enfant ? tu vs me mettre dehors pour cette chienne ?

Je ne l’écoutais pas, j’entrais dans ma chambre et je fermais à double tour. Au lieu d’être entrain d’enlever ses affaires de mon placard comme je le pensais elle était entrain de changer les draps du lit. Mayira était entrain de continuer à crier à l’extérieur, en tambourinant.

-          C’est vrai qu’elle est enceinte ? demanda-t-elle en continuant de faire le lit

-          C’est ce qu’elle dit

-          De combien de semaines ?

-          11

Elle fini de faire le lire et alla ouvrir la porte à Mayira

-          Tu tapes si fort pour quoi ? tu veux nous rejoindre pour un plan à trois ? demanda-t-elle en les mains sur la hanche, elle portait un de mes t-shirt sur sa guêpière

-          Petite insolente, tu crois que je suis ta catégorie parce que tu bais e Alex ? il va juste te baiser et te jeter comme la chose sans importance que tu es. Dit Mayira

-          Pas de soucis, en attendant tu nous laisse baiser tranquille ou tu viens nous rejoindre c’est toi qui vois. Dit Éloïse  à son tour.

Mayira voulais la gifler mais elle bloqua sa main et et lui donna une claque

-          Si tu n’étais pas enceint comme tu le prétends, je t’aurais montré la vraie sauvagerie. Dit-elle en retournant à l’intérieur alors que Mayira menaçait de la tuer de ses propres mains.

Je demandais à Mayira d’aller dans sa chambre mais elle ne voulait rein comprendre. Je retournais  l’intérieur, elle n’était pas dans la chambre, j’entendis l’eau couler dans la salle de bain. J’allais la rejoindre dans la douche et je la pris dans mes bras, je serais mon torse contre son dos

-          Lâche-moi Alexandre, laisse-moi. dit-elle en pleurant

-          Babe, je t’assure que je ne savais pas pour la grossesse et j’émets encore des réserves à ce sujet

-          …..

-          Je n’ai pas couché avec elle avant ton arrivé, et je n’avais nullement l’intention de le faire. Regarde-moi, dis-je en la retournant. Regarde moi babe  je ne te mens pas

Elle me regarda sans rien dit, elle se rinçait et sortir de la douche, je la suivie. Elle se coucha dans le lit toute nue après s’être essuyé. Je me couchais aussi tout nu

-          Tu me crois n’est-ce pas ?

-          Je te crois, mais les relations compliqué où un enfant est impliquer là je ne veux Femi, ma vie est déjà assez compliqué comme ça. dit-elle en posant sa tête sur mon torse

-          Je te promets de gérer ça babe, on ira à l’hôpital demain, pour  confirmé sa grossesse et si vrai  qu’elle est enceinte je demanderais un test de paternité et s’il est positif je prendrais mes responsabilités, mais elle et moi c’est mort je te donne ma parole d’Adéléké. Dis-je en lui baisant le front

-          J’ai envie de toi. Dit-elle en grimpant sur moi

-          Moi aussi. Murmurais-je alors qu’elle se baissait pour m’embrasser.

Elle ne tarda pas à s’empaler sur mon engin qui était déjà dressé. Elle portait des perles à la hanche, je ne savais pas que j’aimais autant cela jusqu’à ce que j’en vois sur elle.  C’est elle qui mena la danse toute la nuit comme une amazone, je ne faisais que soupirer en m’accrochant à ses hanches, a-t-on idée de remuer ses hanches comme ça ! Bon sang ! Elle avait les deux mains posées sur mon torse et faisait des trucs avec ses fesses qui me rendent  juste fou, je comprends pourquoi certains hommes  promettent mont et merveille à certaine femme. Je me sentais déjà venir alors qu’elle n’avait pas encore jouir, je voulais mais retenir mais je ne pouvais plus. Je me redressais un peu pour prendre son sein droit dans ma bouche en tillant son clitoris, ce qui lui fit augmenter un peu la cadence quand elle allait bientôt venir aussi. J’éjaculais en elle dans un long râle alors qu’elle me mordait l’épaule en convulsant.

-          C’est toi que je veux, personne d’autre. Lui murmurais-je alors qu’elle se laissait aller contre mon torse

-          Moi aussi. Dit-elle doucement

Cette fille je ne peux pas la perdre, je la veux, du plus profond de mes entrailles je la veux !

 

 

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