Le retour de la CP

Write by Yayira Bénédicte

Assandy Hélène épse Laroche

 

Je n’arrive pas à croire qu’elle s’en sort encore une fois comme ça, mon coup était bien préparé cette fois-ci et le comble c’est que c’est moi qui me retrouve dans les problèmes jusqu’au coup et avec mon mari. Cette fille est une sorcière et je la déteste encore plus, je la déteste de toute mes forces, j’espère qu’elle mourra les yeux ouverts dans d’atroce douleurs.

Voici que je me retrouve en détention provisoire en attendant le procès pour trafic, mon mari aussi est en prison, j’espère que ses associés s’épancheront sur le sujet pour nous sortis de là au plus tôt, parce que je ne supporte pas cet endroit sale rempli de puce et de microbes, c’est dégoûtant, super dégoûtant même. Pourquoi faut-il que se soit-elle qui s’en tire à bon compte, pourquoi faut toujours que se soit elle !

Je suis ici pour au moins un mois le temps que la date du procès soit fixée, un mois dans ce trou à rat ! Je n’aurais jamais dû revenir au pays, jamais ! Mais je n’ai pas encore dis mon dernier mot ! Faut qu’on nous sorte de là, faut impérativement qu’on nous sorte de là ! Comment on t-ils su d’ailleurs ? J’aurais dû ne jamais revenir !

 

Assandy Éloïse Natasha

 

Je me suis réveillé avec le bras de Femi sur ma taille, la climatisation de la pièce faisait que j’avais vraiment froid, je me collais à lui en m’enroulant des les draps, quand la porte s’ouvrir sur Aurélie

-          Bonjour maman tu as de la visite. Dit-elle

-          Combien de fois t’ais-je demandé de frapper avant d’entré Mademoiselle. Dis-je en ramenant jusque sur ma poitrine

-          J’ai frappé mais tu n’as pas répondu maman. Dit-elle

-          D’accord, j’arrive, dit à tata Oumou(l’une des servantes( de s’occupez du visiteur, j’arrive, et c’est qui le visiteur ?

-          C’est une tata. Dit-elle avec un sourire espiègle !

-          D’accord j’arrive.

Femi dormait encore malgré le bruit de sa fille, je me levais, me brossais les dents, je mis un caba avant de descendre, je trouvais Ana assise avec Mila sur ses jambes. Je me suis mise à crier comme une gamine

-          mon bébéééééé. Dis-je en riant

-          je suis fâché hein, ne viens même pas rire avec moi. dit-elle en essayant de se retenir pour rire

-          orrrr tu m’as trop manqué. Dis-je en la prenant dans mes bras

-          et moi donc ? dit-elle en riant

Mila qu’elle avait posé au sol riait comme si elle comprenait quelque chose

-          tu as beaucoup de chose à me dire hein, je pars à peine un moi et je te retrouve marié et avec qui ? Alexandre !

-          je te dis ma chère. Viens on prend le petit déjeuner d’abord. Dis-je en l’entrainant dans la cuisine

On s’est attablé avec les enfants, Femi ne tarda pas à descendre, il salua chaleureusement Ana, en lui souhaitant la bienvenue avant de s’en aller sans avoir pris son petit déjeuner, il a dit être déjà en retard. Je mis Aurélie et Mila devant la télé, Bryan lui retourna dans sa chambre.ma copine et moi on alla se poser dans le salon privé pour discuter tranquillement après que j’ai demandé à Oumou de gardé un œil sur les enfants.

-          Alors je suis toute ouïe madame Adéléké. Dit-elle en s’asseyant confortablement

-          Je vais commencer par où même ma co. Dis-je en riant

-          Par le début non ?

Je me suis mise à lui expliqué tout ce qui c’est passé en son absence, de la convocation jusqu’au procès, absolument tout.

-          Wouah ! fit-elle à la fin de mon récit

-          Donc voilà tu sais tout. dis-je

-          Tu vois les merveilles de DIEU ? ton ennemi est venu pensant te détruire mais DIEU à transformé le mal qu’elle planifiait contre toi en bien, t’imagine le temps fou que ça allait prendre pour te faire pardonner de Alexandre ? à plus forte raison t’épouser ?

-          C’est vrai. dis-je pensive

-          Mais avec cette histoire vous voici mari et femme et vu comment tu rayonne les choses entre vous sont sur la bonne voie pour être réglé. Dit-elle en riant

-          J’espère en tout cas qu’il me pardonne, mais j’avoue que cette affaire de vouloir me retirer la garde des enfants à contribuer énormément au retour d’Alexandre dans nos vies

-          Ça n’a pas contribué énormément oh, c’est la raison principal même de son retour dans vos vies, qui sait si allait te pardonner ou pas n’eut-été cette histoire

-          Tu as entièrement raison. Dis-je

-          Les voies du Seigneur sont impénétrables et lui seul sait ce qu’il ne faut, ce qui est bien pour nous

-          Effectivement ! dis-je pensive

-          J’aurais vraiment voulu être là, mais bon je comprends que c’était pour la bonne cause que vous l’avez fais précipitamment, en tout cas je suis contente pour toi

-          Merci ma puce, alors comment était la lune de miel avec pasto. Demandais-je

-          Sensationnel ! dit-elle en riant

-          Raconte ! raconte-moi tout. dis-je en enfoncé mes pieds dans le fauteuil dans lequel j’étais assise.

Elle me raconta leur lune de miel de Singapour en passant par Barcelone, Paris et Pretoria, apparemment ils se sont vraiment amusé et ma copine à l’air heureuse et épanouis et moi je suis ravis pour elle, elle mérite tout ce bonheur si ce n’est plus.

On  alla rejoindre les enfants et on passa la journée ensemble, son mari vint la chercher en début de soirée, je leur ai proposé de rester diner mais ils étaient déjà attendu chez les parents de ce dernier pour diner. Elle promit passé le lendemain avec tout ce qu’elle nous avait ramené d sa lune de miel.

Je dinais avec les enfants parce que Femi m’informa qu’il allait rentrer tard. On regarda ensemble un Arthur et les Minimos avant que je les mettre au lit. C’est seulement après 22h que Alexandre rentra, j’étais entrain de manipuler mon téléphone couché sur le lit quand il rentra, il me salua et alla dans la  le walk-in-closet, j’entendis l’eau coulé dans la douche quelque minutes plus tard. Je me levais pour allé sentir ses vêtements qu’il avait mis dans le panier à linge, je ne sais même pas pourquoi je fais ça. Il y’avait un parfum de femme sur sa chemise, je pouvais le jurer, je remis les vêtements à leur place et je retournais au lit le cœur serré.

-          Tu voudrais que j’aille te réchauffer ta part de nourriture ? lui demandais-je alors qu’il revenait dans la chambre vêtu d’un bas pyjama et d’un débardeur

-          Non j’ai déjà mangé. Dit-il en venant se poser sur le lit téléphone en main

-          Ok, ta journée à été ? lui demandais-je ?

-          Oui, épuisante surtout. Dit-il en manipulant son portable. J’ai trouvé un appart pour maman, pas loin de son magasin, je crois qu’on va lui trouver une aide ménagère et ça sera bon !

Je voulais répondre quand son téléphone se mit à sonner, il décrocha, vu le calme qu’il y avait dans la chambre je pouvais entendre une la personne. C’était une femme et elle le remerciait pour la soirée qu’elle aurait vraiment appréciée, moi mon sang montait déjà, lui il était courtois et riait à ce qu’elle disait. A peine il eu raccroché que son téléphone sonna de nouveau, je me levais du lit pour allé dans le dressing, je n’ai pas envie d’en entendre plus, il vint me rejoindre

-          C’était Michael tout à l’heure, Meliane est en salle d’accouchement. Dit-il en se changeant

On se changea et on alla à l’hôpital. On fut rejoins de Morel et Annissa une dizaine de minutes plus tard, Michael était dans la salle d’accouchement avec elle. Elle mit au Monde une fille au environ de 2h du mat, on attendit de les voir avant de rentrer, la petite était toute rose et belle. J’avais envie de la croquée

-          Arrête de baver sur mon enfant comme ça hein, dit à ton mari de t’en faire un. Dit Méliane

-          Moi qui pensais que tu étais fatiguée pourtant tu as encore la bouche. dis-je alors que Morel et Annissa la soutenait

-          Ne vous inquiétez pas ça ne saurais tarder. Dit Alexandre, les mains dans les poches

-          On ne demande qu’à voir dit Morel

On resta un moment avant de rentrer, la nouvelle maman avait besoin de repos, et Alexandre bosse demain, moi je reprends la semaine prochaine. On prit une douche et on se mit au lit. J’allais me coller à son dos, il se retourna et me prit dans ses bras

-          Je sais que tu m’en veux toujours babe, mais je suis désolé pardonne moi stp. Dis-je la t^te sur son torse

-          J’aimerais dit que je t’en veux toujours mis ce n’est plus le cas, c’est juste mon ego d’homme qui n’arrive pas à se faire à l’idée que je t’ai pardonné. Dit-il en me caressant le dos

-          Alors tu m’as pardonné ? demandais-je

-          Depuis belle lurette Ololufê. Dit-il en souriant légèrement

-          Mais hier tu as dit que tu étais toujours fâché. Dis-je en me redressant

-          Je l’ai dis plus pour moi, pour me convaincre moi que je suis toujours fâché mais en vrai ce n’est pas le cas.

-          Je t’aime babe, je t’aime tellement et je ne veux pas te perdre !

-          Tu ne me perdras, je suis tout à toi, n’est-ce pas que je suis ton mari ? demanda-t-il en m’embrassant

Je me retrouvais rapidement à califourchon sur lui, nos vêtement ne tardais pas à rejoindre le sol, et son engin se retrouvais en moi. Mon sein gauche dans la bouche, ses mains sur mes fesses alors qu’il allait et venait en moi ! Cet homme je l’ai dans la peau, je ne peux imaginer ma vie sans lui. On fit l’amour jusqu’au petit matin.

 On eu à peine le temps de dormir, lui devait aller au travail moi je devais aller avec maman visiter son nouvel maison ensuite allé à l’hôpital avec Anastasie pour voir Meliane sans oublié que je devais aller à l’auto école, Femi à exigé qu’on change mon moniteur donc je ferais la connaissance du nouveau aujourd’hui, je ne me suis même pas plains quand il a fait ça. Mohamed m’a appelé pour me dire qu’il voulait me voir, je me suis contenter de raccrocher, lui et moi on a rien à se dire.

La maison que Femi à prit maman est toute simple et jolie, cette dernière qui adoré, ce n’est pas loin de son magasin en plus ses petits enfants pourront lui rendre visite, on va lui trouver une aide avant qu’elle ne déménage, je ne veux pas qu’elle soit seule. Si ça ne tenait qu’à moi elle serait restée avec nous mais elle dit qu’elle ne se sent pas à l’aise et qu’elle a l’impression d’empiéter sur notre espace. J’ai beau lui expliquer que non mais elle maintient que un jeune couple à besoin d’espace.

Anastasie et moi nous nous rendons à l’hôpital après que nous ayons fait un tour au supermarché parce qu’Ana a insisté pour acheter des trucs pour le bébé. On trouva Mel entrain d’allaiter sa fille, sa mère assise à côté, on salua avant de prendre place

-          Oh maman pasto tu es de retour ! dit Mel à Ana

-          Toi aussi tu t’y mets n’est-ce pas. Dit Ana faussement offusqué

-          Lol, est-ce qu’il n’en ait pas un ? demandai-je

-          Non il n’en ait pas un. Dit Ana

-          Ah ok, autant pour nous alors, tu es pimpante hein, le mariage te réussi bien en tout cas. Dit Mel en tendant la petite

Ana la prit avec émerveillement, elle est trop mignonne cette petite

-          Vous avez décidé pour les prénoms ?  demandais-je

-          Oui, Grace Shayanna Ludmilla. Dit Mel

-          Wouah c’est jolie, fit Ana

-          Et on aimerait qu’Alexandre et toi soyez les parrains. Ajouta Mel

-          Vraiment ? fis-je touché

-          Oui vraiment, donc après toi à venir passez les nuits blanche avec moi

-          Tout ce que tu voudras. Dis-je souriante

On resta un moment encore avant de s’en allé, elles rentraient ce soir de toute façon. je suis rentrée à la maison en sifflotant

-           je suis la marraine de bébé Shay, dis-je aux enfants en souriant

-          C’est qi bébé Shay ? demnda Bryan

-          Le bébé de tata Mel. Dis-je

-          Oh c’est vraie que tata Mel à accouchée, maman on va voir le bébé quand ? me demanda Aurélie

-          On ira tous demain. Dis-je

J’allais en suite en cuisine nous faire à mangé, la cuisine ici je m’en charge, servante ou pas, j’aime fais à manger moi-même pour les miens. Ce soir là Alexandre rentra tôt pour mon plus grand plaisir, après avoir diné, on se mit tous devant  la série Blackish, les commentaires et les rires allaient de bon train. Je les regardais en souriant, je ne veux perdre ça pour rien au monde, pensais-je au plus profond de moi !

 

 

La Kinda