LES EMMERDES 3

Write by Lari93

Andrew TANOH

Je viens de quitter Daniel et je ne peux m’empêcher de penser à ce qu’il m’a dit sur Annabelle et son patron.

Daniel a toujours été bienveillant vis-à-vis d’Annabelle.

J’ignore si ses propos son motivé par la jalousie ou s’il dit vrai et qu’il veut juste préserver ma sœur.

Je prends mon téléphone et lance un appel.

Moi : Allo Bro

Jason : Allo petit quelles sont les news du pays ?

Moi : J’ai besoin de toi sur un dossier, met moi juste en contact avec ton détective.

Jason : qui a-t-il ?

Moi : j’ai juste besoin de vérifier un sujet. Si l’information est confirmée je vous la communiquerais.

Jason : Petit tu m’inquiète. Mais si tu le dis j’attendrais. Je t’envoie son contact par sms.

Moi : Ok grand frère. Merci d’avance et passe une bonne soirée.

Jason : OK petit bye.

J’arrive chez moi et je lance automatiquement le numéro que Jason m’a envoyé par SMS.

Moi : Bonsoir Monsieur, je vous appelle de la part du juge TANOH Jason, je suis son frère.

Inconnus : Oui il m’a informé par appel il y a peu. Il m’a dit que vous avez une affaire à me confier.

Moi : Oui il s’agit de vérifier une information pour moi.

Je lui fais un débrief rapide de la situation.

Inconnus : En gros il s’agit de s’assurer que la dame est belle et bien enceinte et que l’auteur est celui que vous suspecter. Afin pour plus de véracité il faut un test ADN non (rire) ?

Moi : Je n’en ai pas besoin (dis-je un peu énervé).

Inconnus : les informations vous les aurez, mais comme je l’ai dit pour condamner un auteur présumer de grossesse il faut un test ADN, que sa vous plaise ou non. Et j’aimerais que vous gardiez cela à l’esprit. Vous êtes aussi un homme si vous voyez ce que je veux dire.

Moi : je comprends bien. Mais si cette fille prétend être enceinte de lui, ce qui sous-entend qu’il a joué double jeu avec ma sœur. Et ça je ne le tolère pas.

Inconnus : OK, pour ça je vous reviens en 48h maximum.

Moi : OK merci. Combien ?

Inconnus : l’ardoise est pour le juge.

Moi : OK Merci.

Inconnus : bye (en raccrochant).

Je raccroche le cœur léger.

L’homme de JASON est très efficace, il a plusieurs fois ses preuves aussi bien dans les enquêtes du tribunal que pour les besoins de la famille.

 

Charles-Emmanuel DASLIVIERA

 

J’arrive au Paris lounge Bar, j’entre et m’assois dans l’un des salons prive.

J’avais mon verre de scotch en main lorsque je vois Anderson arrivé.

Anderson : Brooo stp désolé pour le retard, quand on vient ici c’est pour les lourds dossiers. Que se passe t’il.

Moi : T’inquiète frère je suis arrivé il y a peu. LYAAH dit être enceinte de moi. Et le pire et sait que Annabelle est TRISHA.

Anderson : Nooooon impossible (dit il les yeux grands ouverts).

Moi : Et oui Merde. (En buvant mon vers d’un trait)

Anderson : (il se serre, et le vide immédiatement) Bon raconte-moi tout.

Je me mets à lui relater toute l’histoire.

Il m’a écouté la bouche ouverte. Quand je termine il vide d’un trait son second verre.

Anderson : c’est la merde frère, la merde même.

Moi : à qui le dit tu ?

Anderson : Mais cette vipère n’aura pas le dernier mot. Peut-être que tu ne le sais pas mais tu n’es pas le seul à te taper lyaah dans cette ville frère, juste que tu es le plus nantis. De plus tant qu’il n’y a pas de test ADN tu es juste présumé être le père.

Moi : Oui présumé jusqu’à la naissance, pendant ce temps comment je gère Annabelle, avec cette folle qui veut que je l’épouse aussi.

Anderson : Oh non tu ne le feras pas. Depuis quand le grand Charles Emmanuel se laisse prendre dans un chantage ?

Moi : Je ne suis pas seul dans cette histoire, je dois penser à Annabelle. Si jamais son passé se sais par ma faute je ne le me pardonnerais pas. Elle ne pourra pas supporter l’humiliation de sa famille, en plus je n’imagine même pas la réaction du général.

Anderson :  Heee frère on est en guerre là, réveille-toi cette fille nous a pris par surprise mais on ne va pas se laisser faire ok. Déjà tu as fait un bon pas avec Bertrand. Mais il faut surveiller LYAAH et anticipé sur ses actions.

Moi : Comment (dis-je confus) ?

Anderson : Tu la mets sur surveillance H24. On doit savoir a qui elle parle et ce qu’elle fait. Il y aura sûrement une faille qui nous aidera.

Informe ton père afin qu’il ne l’apprenne pas d’autrui. Tu auras son soutien j’en suis sure.

Annabelle, Trisha un jour sa finira pas se savoir c’est juste sur la forme qu’il faut anticiper.

Alors il faudra des couilles, mais c’est toi qui vas le dire au général.

Moi : Hein ???? Tu es fou ?

Anderson :  Ou tu préfères la manière humiliante de lyaah ?

Moi : Non pas du tout.

Anderson :  je m’en doutais, Annabelle non plus. Donc tu le feras. Je ne sais pas comment mais le plus tôt sera la mieux. Soit vrai avec lui sur tous les sujets y compris l’histoire de la grossesse.

Moi : Il va me buter Anderson.

Anderson :   Des coups oui mais pas te tuer NON, il n’est pas fou. Qui ferais ce que tu as fait avec Annabelle avec l’histoire de TRISHA et autre ? c’est parce que tu l’aime et que tu veux la protéger. Il comprendra malgré la colère.

Tant que tu es vrai avec les personnes que tu veux protège tout ira bien. Annabelle, elle va te bouder un temps mais elle est amoureuse de toi tu pourras la reconquérir soit en sure.

Anticipons sur la vérité.

Lyaah n’aura plus de cartouche à jouer, hormis la grossesse si l’enfant est de toi nous serons situées.

Moi : Mais et ses menaces de suicide avec l’enfant ?

Anderson : Bah, RIP à elle et ton présumer enfant. Mais cette fille aime trop la vie elle n’osera pas.

Moi : Ton plan à l’air simple à vue d’œil mais Anderson je ne penses pas que je pourrai. Le général est un tortionnaire. Ses fils des pitbulls. Il pourrait me tuer juste simplement pour l’histoire la grossesse.

Et lui dire que sa fille à danser des années dans des clubs pour adultes.

Et qu’une de mes ex menace de tout révéler sur la place publique.

Anderson :  Alors en expliquant à ton père explique lui le cas du général. Je viendrais aussi avec toi chef le général. Si tu tarde trop sans signe de vit moi et Bertrand on viendra de sauver (rire).

Moi : Anderson dit à ma mère et mes sœurs que je les aime.

(Faut dire que je ne pouvais que le suivre dans son rire. Et cela m’a fait un bien fou.)

Sur ces derniers mots nous nous sommes séparées. Il était tard.
La suite demain soir.

Bisou à vous


L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

Annabelle ou Trisha