les meilleures amies

Write by Yayira Bénédicte

Ella Ifunanya Adéléké

 

Je suis rentré chez moi tout énervé, me renvoyer moi ? Non mais il est sérieux là ? Il croit quoi en fait ? J’ai appelé mon père pour lui expliquer la situation il dit qu’il va appeler Oluwafemi pour avoir sa version des faits comme si ce que moi je raconte là ça compte pas. Ma mère je n’ai même pas essayé de l’appeler, elle va prendre la défense de son fils chéri sans même m’écouter.

-          Je n’arrive pas à croire que ton frère t’es vraiment renvoyé pour si peu, cette fille à dû lui faire quelque chose parce que moi je ne comprends pas. Dit Mayira en prenant place sur le lit, mon appart ne possédant qu’une seule chambre on la partage

-          Je ne sais vraiment pas comment il a osé faire ça, à moi son propre sang.

-          Tu vois quand je te dis cette fille est une vraie sorcière

-          Mais tu es sûre que tu m’as tout dis Mayira ? mon frère était vraiment remonté et apparemment c’est toi qui aurait tord

-          Moi ? je n’ai rien fait à ton frère, rien du tout. il est venu me trouver à paris et a dit qu’il voulait qu’on rompe, je pensais qu’il blaguait, et au bout de presque trois moi je n’ai pas ses nouvelles et il ne répond pas non plus à mes appels, je décide donc de venir moi-même et voici dans quoi je suis tombé

-          Humm, je ne sais pas quoi penser. Dis-je songeuse

-          Laisse ça, habille toi on sort, on ne va pas se morfondre toute la nuit

-          Ce n’est pas une bonne idée je crois. Dis-je en me couchant sur le lit. Mine de rien j’aime mon boulot et me faire renvoyer comme ça et qui plus es par mon frère, ça me fait trop mal

-          Ça fait combien de moi tu n’es pas sortis ? allé sortons un peu, je suis sûre que ton frère reviendras à des meilleurs sentiments

Je finis par cédé et à me préparer à sortir. On était entrain de se maquiller quand Fred m’a appelé pour me dire qu’il était au bas de mon immeuble, je lui demandais de m’attendre en bas. Je ne voulais pas qu’il monte à cause de Mayira, elle allait commencer à poser beaucoup de question. Je le trouvais adossé à sa voiture

-          Bonsoir. Dis-je en me mettant en face de lui

-          Bonsoir, tu sors ? demanda-t-il surpris

-          Oui, y’a un problème ?

-          Je pensais qu’avec ce qui c’est passé ce matin tu allais prendre du recule et réfléchis à tes agissement mais non, tu es à moitié nu et tu t’apprête à sortir

-          Et en quoi ça te concerne ? lui demandais-je, c’est mon corps je me mets nue si je veux, ok ?

-          Ok, je venais juste prendre de tes nouvelles, mais apparemment je m’inquiétais pour rien. Dit-il en me regardant

-          Effectivement comme tu peux le constater, je vais très bien.

-          Super, bonne soirée. Dit-il en déverrouillant sa voiture, ah j’oubliais, je vais te donner mon avis même si ça ne compte pas, je pense que tu devrais aller voir ton frère pour t’excuser pare que malgré tout c’est ton ainée et il a fait ce que tout bon patron aurait fait, le linge salle se lave en famille comme on le dit chez nous. Bye. Dit-il en montant dans sa voiture et s’en alla

Qu’il s’en aille je m’en fiche, ce matin alors que j’étais dans un sale état il était où ?  Entrain de travailler sur je ne sais qu’elle projet avec cette fille qu’il avait rencontré allé à Kigali et ce soir il va venir faire comme si il se préoccupe de moi ! Je retournais à l’intérieur finir de me préparer. Y’a vraiment longtemps que je suis sortis et ça me ferais du bien en plus demain je ne vais nulle part autant en profiter. Je portais une jupe noir en cuir ultra courte avec un croc-top vert clair, des sandales à talons hyper haut, je lâchais mes afro, pas de perruque ce soir. Mayira quand à elle portait une robe bustier noir à paillette qui flattait son teint clair. On était vraiment  pimpante, je vais profiter de ma soirée sans pression.

On s’est amusées comme des folles toute la nuit même si les mots de fred me travaillaient un peu, ce n’est qu’au petit matin que nous sommes rentrés. Nous avons prit des douches à tour de rôle avant qu’on ne s’étale sur le lit. C’est la sonnerie de mon portable qui m’a réveillé, c’était ma mère, c’est sûre que c’est pour me sermonner

-          Bonjour mummy. Dis-je en décrochant, j’avais la gueule de bois et très mal à la tête

-          Bonjour Nanya, tu vas bien ?

-          Ça va mummy et vous

-          Je vais pas bien, je ne vais pas bien du tout Ifunanya, comment aller bien avec toute les bêtises que tu ne fais qu’enchainer ?

-          Tu ne cherches même pas à savoir ce qui s’est passé et tu prends la défense de ton fils comme d’habitude

-          Je ne prends la défense de personne. Si tu ne travaillais pas pour ton frère tu te serais permis d’aller te battre sur ton lieu de travail ? tu as déjà l’un des employés de ton père ou de tes frères faire un truc pareil ? surtout pour une histoire qui ne concerne pas le travail ?

-          Femi n’a pas raison, il n’avait pas le droit de me renvoyé surtout quand se sont ses intérêts à lui que je défends.

-          Tu défends ses intérêts à lui en te donnant en spectacle sur ton lieu de travail ou en attaquant sa petite amie ?

-          Sa quoi ? cette fille ramassé je ne sais où sa petite amie ? sa petite amie c’est Mayira et personne d’autre

-          Cette Mayira que tu défends à tord et à travers là tu crois la connaitre ? tu sais les vrais raison de sa rupture avec ton frère ?

-          Il a refusé de me le dire, et elle m’a expliqué ce qui s’est passé

-          C’est bien pour toi, je pensais que tu allais finir par grandir, par acquérir un tout petit peu de maturité mais apparemment je me suis trompé. Puisse que tout ce que tu veux c’est te pavaner dans le monde et faire du shoping, ton compte à été dégelé. Tu peux faire ce que tu veux de ton argent mais ne compte sur personne pour te venir en aide quand tu auras finis de dépenser ton argent, même une lettre de recommandation tu ne l’auras pas de notre part

-          Vous me reniez en quelque sorte. Dis-je le cœur serré

-          On ne reniera jamais notre sang, jamais ! mais puisse que tu ne vie que pour le matériel, nous te laissons vivre ta vie comme tu l’entends.

-          Mummy…

-          Bonne journée, Nanya et stp n’appel pas mon mari pour le déranger. Bye dit-elle avant de raccrocher

Je restais là à regarder mon téléphone. Je reçu un message de la banque me disant que j’avais à présent accès à mon compte en banque. Super ! Je peux enfin fais ce que je veux, mais mon cœur n’est pas vraiment en paix.

-          Ça va ? me demande Mayira en me voyant assise sur le lit, pensive

-          Ma mère m’a appelé. Dis-je simplement

-          Pour te sermonner je suppose, je sais que ta mère ne même pas du tout alors apprendre que tu t’es battu pour me défendre à dû la mettre en rogne. Dit-il en riant

-          Pas vraiment. Je lui explique la conversation avec ma mère.

-          Mais c’est super ça ! ton compte à été dégelé, on peut vivre la vie de pacha. Dit-elle en applaudissant. On va d’abord commencé par te trouver un appart plus grand et plus classe pour que tu quitte ce trou à rat

-          Pourquoi ? je me sens bien ici ! dis-je

-          Dans ce petit truc là ? toi la grande Ella ? tu mérite un appart au moins du standing de ton frère et tu peux te le permettre, en plus on pourrait aller louer dans son immeuble rien que pour le faire chier lui et sa pute ! dit-elle excitée

-          Non, ce n’est pas une bonne idée.

-          Penses-y tu verras que j’ai raison. En attendant, on pourrait sortir faire du shoping à profusion, tu sais que c’est une bonne thérapie contre tout type de peine

-          Là tu as raison, en plus y’a longtemps que je n’en avais pas fais. Dis-je excitée à mon tour

On prit une douche chacune et on sortir faire du shoping. Toute la semaine fut ainsi, entre shoping, sortie au resto, en boîte, à Assinie, je me suis même acheté une voiture, une Alfa Roméo Tonale de couleur rouge! Mais je n’arrivais pas à profité entièrement, mon frère me manquais énormément et Fred aussi ne donnait plus signe de vie. Ce soir j’avais particulièrement envie de choukouya( viande de mouton ou de bœuf braisé et coupé et petit morceaux. C’est lui qui m’a initié à cela.

-          Je reviens, dis-je à Mayira en prenant la clé de ma voiture

-          Tu vas tarder ? aujourd’hui est samedi et y’a l’anniversaire de Aude au Fifty-five

-          Je ne vais pas tarder. Dis-je en sortant

On lieu de rentrer tranquillement chez moi après avoir acheté ma viande  je me retrouve devant le portail de Frederick, je suis déjà venu chez lui mais je suis jamais entré, je n’ai pas eu du mal à retrouver le chemin. Je me gare sur le côté et je descends, il est bientôt 21h j’espère qu’il est à la maison. Je tape à la porte et un gardien vent m’ouvrir. Je lui explique que je veux voir Frederick, je lui donne mon nom, il part et revient quelques minutes plus tard me demandant d’entré. Il m’accompagne jusqu’à la rentré du salon avant de se retourner. Je trouve Frederick entrain de jouer au Ludo avec une jeune fille. D’à peu près mon âge, ou moins que ça je dirais. Je ne sais pas pourquoi mais mon cœur se serra, c’est peut-être sa petite amie, et moi qui pensais qu’il n’avait personne

-          Bonsoir. Dis-je en entrant

-          Bonsoir. Répondit-il en cœur, assieds toi. Continua Fred

-          Merci. Dis-je ne m’asseyant

-          Je vous apporte à boire ? me demanda la fille

-          Non merci. Dis-je sèchement en la lorgnant

-          Je suis dans la chambre au besoin. Dit-elle en s’adressant à Fred après m’avoir lorgné aussi

-          Alors nouvelle ? demanda-t-il après qu’elle soit partie

-          Alors comme ça tu couche avec une autre et tu te permets de me coucher sans préservatif ? c’est à moi que tu veux refiler une IST ou une MST ? et moi qui te prenais pour quelqu’un de sérieux. Attaquais-je

-          Je peux  savoir de quoi il est question ? me demanda-t-il la mine confuse

-          De la fille qui vient d’aller dans ta chambre

-          Tu es sérieuse ? tu es là pour me faire une crise de jalousie ?

-          Jalousie ? c’est un sentiment que je ne connais pas, je dis juste ce que je constate

Il se leva alla je ne sais où et revint avec la jeune fille et un garçon

-          Ella je te présente Cecy ma sœur et Cyril son frère jumeau, Cecy, Cyril je vous présente Ella Adéléké, une collègue

-          Enchanté. Fit le garçon qui ressemblait énormément à Fred, alors que la fille se contentait d’hocher la tête

-          Moi de même. Dis-je en prenant la main qu’il me tendait

-          Bon vous pouvez retourner à vos occupations

-          Je ne savais pas. Dis-je quand on se retrouvait une fois de plus seul

-          Tu ne sais jamais rien mais tu ne prends pas la peine de demander. Dit-il en allumant la télé

-          Tu avais dit vivre seul

-          Ou, mais ils sont venu il y’a deux jours à cause des grèves au campus

-          Ok

-          Je reprends donc, qu’est-ce que tu fais chez moi. dit-il en me regardant

-          Je suis sortie acheter du choukouya et j’ai voulu le partager avec toi.

-          Merci mais j’ai déjà mangé donc ce n’est pas nécessaire. Dit-il simplement

-          Ok, je… je voulais aussi m’excuser pour mon attitude de la dernière fois. Dis-je ne me triturant les doigts

-          Tu n’as pas à t’excuser au près de moi, je ne suis personne pour toi, je crois que c’est plutôt au près de ton frère et de Natasha tu devrais t’excuser

-          Je ne vais jamais m’excuser au près de cette fille, elle l’a bien mérité. Quant à mon frère je ne sais pas s’il voudra me parler, il ne répond plus à mes appels

-          Tu connais chez lui à ce que je sache, donc vas le voir.

-          Tu as certainement raison. Je vais y allé

-          Ok.

Il me raccompagna jusqu’au portail. Il voulu me héler un taxi mais je lui expliquais que j’étais venu en voiture. Il paru surpris mais ne fit aucun commentaire. Je trouvais Mayira habillé et prête à sortir

-          Tu as tardé hein, il est déjà plus de 22h, le temps que tu t’apprête et qu’on y aille il sera 23h ou 00h dit-elle sur un ton de reproche

-          Je n’irais pas avec toi. Dis-je en posant le sachet de viande et la clé sur la table

-          Comment ça tu n’iras pas ? on a promis à Aude d’être là

-          C’est ton amie pas la mienne, donc mon absence ne posera pas de problème. Dis-je en me laissant aller dans le fauteuil

-          Tu vas bien ? tu n’as as l’air dans ton assiette

-          Ça va, mais j’ai mal à la tête donc vas-y

-          Ok, je peux emprunter ta voiture ? et un peux de cash si possible, je te rembourse dès que possible.

-          Je n’ai pas de liquidité sur moi, prends ma carte et fais un retrait à un guichet automatique, tu connais déjà mon code

-          Ok. Dit-elle en prenant la clé de la voiture et la carte que je lui tendais

-          Pas plus de 500.000f stp. Lui dis-je

Elle s’en alla en disant combien elle allait s’éclater ce soir. Je mangeais un peu mais l’appétit n’y était pas, j’irai voir mon frère demain m’excuser, quoi qu’on dise c’est mon frère et c’est la seule famille que j’ai sur cette terre étrangère. Je fus réveillé au environ de 6h par les bruit de Mayira qu venait de rentrer, elle était entrain de vomir dans le salon

-          C’est quoi ça Mayira ?

-          Oh Ella, je…suis dés…solé… ft-elle en hoquetant

Je l’aidais jusqu’à la salle de bain avant de venir nettoyer le vomis, chose que je déteste plus que tout dans ma vie. Je l’aidais à se rincer à se mettre au lit. Elle essaya de me toucher les seins et de m’embrasser tant elle était soûlé, j’espère qu’elle n’a pas conduit dans cet état

-          Arrête Mayra ! lui intimais-je pour qu’elle se calme

J’allais ensuite me préparer pour chez mon frère. Je trouvais ma voiture garé en bas, dans un sale état ! Comme si elle avait heurté quelque chose, la devanture était cabossée. Je retirais la clé qu’elle avait laissée dans le contact, verrouillais la voiture avant de héler un taxi.

Le gardien de l’immeuble me laissa passer sans soucis. Je sonnais le cœur battant, malheureusement pour moi c’est cette pouffiasse qui vint m’ouvrir. On se lorgna un bon moment avant qu’elle ne se dégage pour me laisser entrer. Elle portait une longue chemise que je devine être à mon frère

-          Babe c’était qui ? demanda-t-il en apparaissant torse nu, il avait l’air surpris de me voir

-          Bonjour grand frère. Dis-je en mettant mon genoux au sol, c’est comme ça on salut les ainés ou les parents chez nous. On le fait tous avec les parents mais je ne le fais pas vraiment avec mes frères sauf quand papa est dans les parages

-          Bonjour Ella, assied toi

-          Je suis dans la cuisine. Dit l’autre là en s’en allant

-          Que me vaut l’honneur de cette visite matinale ? me demanda-t-il en prenant place à son tour

-          Je… je suis venu te présenter mes excuses. Dis-je en baissant la tête

-          Tes excuses par rapport à quoi ? demanda-t-il comme s’il ne savait pas de quoi il est question

-          Par rapport à mon comportement au boulot, je ne devais pas réagis comme ça et je m’en excuse. Je sais que ma sentence est méritée mais je te demande de me donner une dernière chance au boulot

-          Pour quoi faire ? les parents on débloqué ton compte donc tu n’as plus besoin de travailler

-          Je ne travaille pas pour l’argent Femi, j’aime ce que je fais crois moi et  j’ai envie de continuer

-          Tu es sûr ? tu n’as plus envie de faire le tour du monde pour faire du shoping ? ou ton argent est déjà fini ?

-          Mon argent n’est pas fini, et non je ne veux plus voyager, je veux travailler, je veux grandir, je veux apprendre. Dis-je avec détermination

-          Eh bien ! qui a échangé ma petite sœur contre celle là ? dit-il en souriant

-          Ce n’est pas drôle. Je sais que j’ai eu à vous décevoir et je veux pouvoir me rattraper, je veux rendre Daddy et Mummy fière comme toi et Majid.

-          Je t’avoue que ton attitude m’a beaucoup déçu surtout que tu ne connais pas le font de l’histoire. Mayira et mo on a rompu parce qu’elle me trompait et non le contraire comme tu semble le croire

-          Pardon ? fis-je étonné

-          Elle me trompait avec une de ses collègues, et je l’ai surpris en flagrant délit d’infidélité et c’est comme ça on a rompu

-          Un collègue ou une collègue ? demandais-je intrigué

-          J’ai bien dis une, je ne la juge pas pour cela, c’est sa vie, c’est son choix, mais je ne peux pas me mettre avec une femme qui est susceptible de me trompé que se soit avec un sexe opposé ou pas. Ensuite elle revient me faisant croire à une grossesse imaginaire, espérant ainsi que je la reprenne.

-          Quoi ? fis-je sur le cul

-          Je sais que tu l’aime beaucoup et que vous vous entendez bien mais elle et mo c’est mort, alors que tu sois allé jusqu’à faire la bagarre au boulot pour cela, je n’ai vraiment pas apprécié

-          Je ne savais, elle ne m’a rien dit de tout ça. dis-je confuse

-          Justement, tu ne sais rien et au lieu de venir me voir pour me poser la question tu vas t’attaquer à Natasha, de quel droit en fait ? qui t’a donné ce droit là ?

-          Je…je… personne, je suis désolé

-          Mes histoires  couple me regarde moi et personne d’autre, alors que tu aille faire des histoires avec elle je ne tolère pas encore moins dans un milieu professionnel, qu’elle image tu penses donner ?

-          ….

-          Je comprends que tu puisse ne pas l’aimer, mais c’est mon choix donc tu la respect. On est d’accord ?

-          Oui. Dis-je doucement

-          En ce qui concerne ton renvois je vais y réfléchis.

-          D’accord, encore une fois désolé. Je vais y allé. Dis-je en me levant

-          Ok. Dit-il en se levant à son tour

Il m’accompagna jusqu’au bas de l’immeuble. J’empruntais un taxi pour rentrer. Mayira n’a pas oser mon mentir comme ça ? Elle n’a pas osé ! Et moi qui la prenais pour la victime dans l’histoire alors qu’en fait c’est faux ! C’est moi qu’elle pour une conne en fait.

J’arrive à la maison le cœur bouillant de rage, dans le taxi je vérifiais mes message quand j’ai constaté que j’avais reçu plein de message d’alerte, près de 2millions en une soirée, pourtant je lui avas dis pas plus de 500000. Je dois en plus de cela envoyer ma voiture chez le mécano.

-          Mayira ? l’appelais-je en entrant dans la chambre, Mayira

-          Tu as quoi as crié comme ça ? tu ne vois pas que je dors ? dit-elle d’une voix ensommeillée

-          Ma chérie pardon réveille toi on va parler

-          Quoi ? dit-elle en s’asseyant sur le lit

Je vais commencer  par où même ?

 

 

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