L'harceleuse de nonne suite

Write by Verdo

*L 'HARCELEUSE DE NONNE* (nouvelle)



avec son pénis à la taille d’un tronc d’arbre. Bizarrement, je n’avais aucune peur en moi en ce moment. On dit souvent que ça saigne la première fois mais moi, je voulais juste savoir l’effet que cela faisait d’autant plus qu’il m’a mis en confiance. Sentant que je suis bien mouillée et excitée, il saisit le catalyseur de mes plaisirs ; mon clitoris. Le seul fait d’y toucher m’amena directement au septième ciel.  Avec ma main gauche, j’attrapai son pénis et le branlai à  plusieurs reprises avant de le mettre dans ma bouche. Je saisis le bout et comme je le voyais faire dans les films de sextape, je lui fis la meilleure pipe au monde qu’il se demandait d’où savais-je tout ça.  Il me pénétra petit à petit et arrivée à un moment, je le sentis tout au fond de mes entrailles. Je sentis de légères douleurs mais le plaisir en moi surpassait tout. Hum, après avoir été bien défoncée de cette manière, croirez-vous que j’accepterai la proposition de mon père en devenant Nonne ? Assrafouillai !!!. 


Après avoir passé une superbe soirée avec Brice ce soir là dans la discothèque, je regardai le monde différemment. Il m’a fait découvrir un nouveau monde où plaisir de la vie est différent du plaisir de la  chair. Je ne faisais que penser chaque fois à lui ; de comment il m’a engouffré contre lui. Ses caresses et baisers n’ont fait qu’ensorceler mon âme. Mes sœurs ont remarqué ce brusque changement dans mes comportements et elles étaient curieuses à savoir la cause mais je n’étais pas encore prête à leur dévoiler mon petit secret de peur qu’elles aillent tout raconter à mon caïd de papa. A l’école aux heures libres, je rejoignis Brice dans son banc et on papota de n’importe quoi. Mes camarades de classe commencèrent à me regarder bizarrement parce qu’au début, j’étais la plus sérieuse et timide. C’était très difficile de voir mes dents en salle mais voilà qu’en un rien de temps, je commençai à rire aux éclats en plus avec un mignon garçon. Mais je m’en foutais complètement de ce qu’ils pensaient. L’essentiel, c’est que je sois avec lui pour qu’il me fasse rire comme jamais. J’aimerais rattraper tout ces temps cloitrés à la maison comme des esclaves du film Kounta Kinte. Où papa n’aimait même pas que nos pieds sortent du portail ne serait-ce que pour prendre de l’air dehors. Pour lui, nous avions tout à notre disposition à la maison alors pourquoi sortirons –nous dehors ? Ce qui a fait que lorsque j’ai rencontré Brice,  mon subconscient voulait tout rattraper sans que je ne le sache.  Les nuits, je m’enfuyais comme d’habitude sans que personne ne me voie et je le rejoignis à son domicile qu’il avait pris le soin de m’indiquer. On faisait toutes les bêtises du monde y compris l’amour. Je ne me souviens plus du nombre de fois qu’on l’a fait. Je vous avoue que j’ai passé les meilleurs moments de ma vie en sa compagnie jusqu’au jour où nous terminâmes l’année scolaire. 

 J’obtins mon baccalauréat deuxième partie avec mention très bien. Les parents étaient tellement fiers de moi car j’étais la première de tout le pays. J’ai pris le soin de choisir une université de renom dans laquelle Brice aussi était inscrit. Mais soudain, papa ressortit ses histoires de nonnes et de couvent qui me firent pleurer tout un mois. Cette fois ci, maman et toute la famille sont venues à ma rescousse mais ce vieux fou furieux refusa catégoriquement de changer d’avis. Je pleurai sans cesse parce que je suis sur le point de me séparer de l’homme que j’aime. Papa ne voulait rien comprendre. C’est comme si c’est lui qui tenait les clés de mon avenir en main. Je dois aller au couvent, devenir nonne et servir la cause du seigneur. Ce que moi-même je ne voulais en aucun cas. Et je ne pourrais même pas lui faire face. C’est un homme puissant et le seul fait de penser lui prendre la tête me fait peur à moi-même. Vu qu’il a refusé, maman essaya de me convaincre d’accepter. Selon elle, je ne manquerai de rien. C’est comme recommencer carrément une autre vie. 


Le temps a passé et puisqu’ils me forçaient tous, j’acceptai finalement leur proposition et pris le chemin du couvent les larmes aux yeux et toutes pensées dirigées vers Brice. Je le voyais et revoyais à chaque fois et pire, je n’avais aucun moyen de le joindre et lui expliquer tout se qui se passe. Il croira que je lui ai menti. 


Une année s’est passée et je me suis difficilement consacrée à la vrai cause du seigneur comme le voulait père. Tout ce temps passé, je n’ai pas pu arriver à l’enlever de ma tête. Quand bien même que je faisais croire aux autres camarades que tout allait bien, moi seule savait ce que je ressentais à l’intérieur de moi. Mais je me suis quand même bien comportée ces derniers douze mois. Respectueuse et assimilatrice, je l’étais ce qui impressionna la sœur principale et elle fit de moi son amie. Avec elle, je me retrouverai bientôt dans le bain et je pourrais peut être oublier Brice. Les enfants de l’internat sont si gentilles et aimables et j’ai commencé à m’attacher à eux. Si cela continue comme ça, je crois pouvoir l’oublier. Mais comme on le dit souvent, les sentiments ne se dissipent pas comme une fumée. Je ne croyais pas aux histoires de sosies mais  la réalité qui vient de tomber en face de moi me fit changer d’avis. Un jeune homme du nom d’Estéban devait assurer l’intérim du professeur de Géologie qui a eu un grave accident et est hospitalisé. Je peux vous assurer que la première fois que j’ai posé mes yeux sur lui, mon cœur a failli sortir de ma poitrine. C’était pour moi Brice tout craché avant que je me rende compte que ce dernier est plus élancé que lui. Ils avaient à peu près le même visage et les mêmes traits caractéristiques. C’est justement au niveau de la taille qu’il y a une petite différence. Le voir, m’a fait ressentir du coup ce que j’éprouvais pour mon Brice. Cette flamme incessible qui ne faisait que déchirer mon cœur. Je le revoyais dans mes pensées, ses sourires, ses blagues et comment il me prenait dans ses bras. Du coup j’ai transposé tout ça sur son sosie c’est-à-dire Estéban. J’ai commencé à le voir différemment et à l’apprécier sans qu’il ne le sache. Sa venue ici dans ce couvent n’a fait que me détourner de plus de mon objectif de bonne sœur. J’ai commencé à passer des nuits blanches, à rêvasser d’aller le rejoindre pour qu’il me serre dans ses bras et en me faisant l’amour comme mon Brice me le faisait. Incontrôlable, ce désir est devenu pour moi une maladie ou pire une libido incontournable. Je me fichais de ce que peut penser les autres sœurs de moi. Tant que je ne satisfasse pas mon désir inlassable, je ne serai pas tranquille. Alors j’ai jugé bon de m’approcher de lui et tisser un lien d’amitié. Ce qui fut fait. 


Pour lui, je suis une bonne sœur et moi je le voyais comme l’homme pour qui je portais d’admirations et dont j’étais amoureuse. On parlait un peu de tout, de la vie et ses périphéries. Mais il semble être indifférent lorsque j’abordais des thèmes d’amour, sexe et autres. Pour lui, j’étais une nonne. Pour cela, je ne devais pas aborder ces genres de sujets. Ce que je trouvais un peu bizarre. Donc être nonne veut dire qu’on doit  pas parler de certaines choses ?

J’ai pris du temps de l’analyser avant de décider de lui déclarer ma flamme et pour qu’il me saute comme jamais.


Je préparai tout ce soir là. Tout le monde était endormi et je me dirigeai clandestinement vers sa chambre histoire de l’amadouer. Arrivée au seuil de sa porte, j’enlevai mes tenues de bonne sœur et je mis une robe transparente noire laissant dessiner les courbes de mon corps et voir ses différentes parties. Il ouvrit et fut surprit de me voir et en cette tenue en plus. Je pris soin de fermer soigneusement la porte derrière moi et pris place sur son lit.



Qu’est-ce que vous faites sœur Eveline ? Pourquoi êtes-vous dans cette tenue ? Imaginez si quelqu’un vous voyait habillée comme ça prendre la direction de ma chambre ?



Ne t’inquiète pas. Se dis-je. J’ai fait en sorte que personne ne me voit. Tu m’attires Estéban. Et j’aimerais qu’on couche ensemble. Je sais que tu vas me trouver bizarre ; que je suis une nonne. Mais bien avant ça je suis un être humain qui peut avoir des sentiments amoureux. Baise-moi Estéban. J’essayais de te le faire comprendre tous ces moments mais tu ne voulais pas le voir. S’il te plaît ne dis pas non.



Quoi ? vous êtes une bonne sœur ! Quand même. Je mentirai si je vous disais que vous n’êtes pas très jolie et attirante mais je ne peux pas faire ça. Ma conscience ne me le permettra pas.



Allez, (un peu perspicace) Tu ne vas pas me dire que tu n’as pas envie de voir ce qu’il ya sous ma robe ? Allez, sois un homme et viens me sauter. Je t’assure que je te ferai planer plus que ces jeunes filles de dehors. (J’enlevai sur le champ ma petite robe. Il arriva à peine à avaler sa salive. Croit-il qu’il peut me résister ? Allez, perdons pas de temps et viens me……



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