L'impolie

Write by Yayira Bénédicte

Hélène Assandy epse Laroche

 

Le procès commence demain et j’avoue que je suis un peu stressée, surtout que ma sœur s’est marié récemment, je croyais que c’était fini entre eux, en tout cas c’est ce que m’avais dit le gars que j’avais engagé pour me ramener les informations la concernant, ais apparemment il s’était trompé. E tout cas mes avocats sont prêts, je sais que la justice tranchera en ma faveur. J’ai toute les chances de gagner ce procès, surtout avec l’aide de Mohamed.

J’attendais impatiemment que cette pute vienne ramper à pied mais elle ne l’a pas fait, elle a plutôt envoyé maman, mais je ne suis pas pressé je sais que tôt ou tard elle viendra ramper à mes pieds, elle viendra me supplier et c’est là que je lui cracherais toute ma haine au visage.

J’appel Mohamed pour savoir s’il a pu contacter les hommes qui sont sensés témoignés avoir été les clients de cette pute jusqu’à récemment. Faut que toute les chances soient de notre côtés, je ne compte pas lui faire cadeau. Mon mari à déjà envoyer nos salutation au juge, il est déjà dans notre poche ce qui me rassure un temps soit peu. Elle va voir ce que ça fait que de se retrouver seul, et je crois que son soit disant mari ne sait pas vraiment qui elle est, je vais l’aidé à ouvrir les yeux, je veux une garde total sans droit de visite et dès que je l’aurais obtenus, je sors mes enfants de ce pays et à nous la belle vie.

On pourra voyager partout dans le monde parce qu’avec des enfants c’est facile de ne pas éveiller les soupçons. Surtout avec la bouille adorable de Mila même si je ne sais par quel mystère elle ressemble autant à cette pute, ce qui est sûr c’est mon enfant et personne ne pourras m’enlevez cela.

-          Vous êtes prêts pour demain ? demandais-je à mes avocats avec qui j’étais en visioconférence

-          Oui madame, nous avons finis de préparer les preuves additionnel que nous avons eu et notre plaidoyer. Réponds l’un d’eux

-          Ok, je veux un boulot impeccable demain, et je souhaiterais aussi que ce procès prenne fin le plus vite possible, je ne veux pas d’un procès qui dure en longueur, je n’ai pas le temps pour cela.

-          D’accord madame, c’est noté

-           On se voit demain au tribunal. Dis-je avant de raccrocher

-          Alors ils sont prêts me demande mon mari en me faisant un baisé dans le cou

-          Oui ils le sont, je veux en finir une bonne fois pour toute avec elle, l’écraser comme un petit vermisseau. Dis-je avec haine

-          Tes désirs sont des ordres ma bien aimée ! dit-il en me retournant pour m’embrasser.

Je me laissais aller dans ses bras, j’ai besoin d’une bonne d’ose de sexe pour déstresser.

 

Ella Ifunanya Adéléké

 

-          Bonjour, Carole c’est ça ? demandais-je en m’asseyant

-          Non Coralie. Dit-elle en souriant

-          Anyway, je vais être clair parce que je n’aime pas me répété sur certaine choses, Frederick est mon homme, il est le mien donc stp arrête de lui tourner autour comme un vautour. Votre collaboration est fini il y’a des semaines de cela alors fou-le-camp.  Dis-je en détachant bien les dernières Syllabes

-          Et tu te prends pour qui pour me donner des ordres ? demanda-t-elle hautaine

-          Se ne sont pas des ordres très chère, mais un avertissement, à bon entendeur salut. Dis-je en me levant

-          Tu crois que quoi ? parce que tu es riche tu te penses tout permis ? laisse-moi te dire qu’il va vite se lasser de la gamine que tu es et se trouver une vraie femme. Dit-elle

-          Une vraie femme comme toi n’est-ce pas ? lol

Je m’en allais en faisant claquer mes talons sur le sol plus que de raison. Cette fille me sors par les pores, toujours entrain d’envoyer des messages à Fred, toujours entrain de l’appeler, toujours entrain de faire son intéressante ! je l’ai supporté longtemps, trop longtemps même sans rien dire, Fred aussi ne faisait rien pour la remettre à sa place, que non c’est juste une collaboratrice, ce soir elle lui a envoyer un message comme quoi elle voulait le voir et que c’était important, comme monsieur se douchait, j’ai confirmé le RDV et j’ai supprimé le message et je suis moi-même venu au rendez-vous pour mettre les choses au claires avec elle.

Vu comment elle était vulgairement habillé, elle s’attendait sûrement à ce que se soit lui qui vienne, elle pense pouvoir le séduit avec son vieux corps là. Je me gare devant chez mon frère, je ne fais pas rentré la voiture parce que je ne compte pas durer, sa femme et moi on ne se blaire pas toujours mais je m’entends très bien avec ses enfants par contre.

-          Tata Ella ! Fait Aurélie en se jetant dans mes bras

-          Yaya Lala ! fait  Mila en la suivant. Tu as l’impression qu’elle va tomber quand tu la vois courir sur ses petites jambes potelées

-          Comment vous allez mes princesses ? dis-je en portant Milan

-          Très bien tata. Répond Aurélie alors que Mila joue avec le pendentif de ma chaine

-          Où se trouve Bryan ? et vos parents ?

-          Bryan et dans sa chambre, il révise avec papa, maman est dans la cuisine

-          Tu peux stp aller dis à papa que tata est là ? lui demandais-je

-          Bien sure, je t’apporte à boire tata ? maman dit qu’il faut toujours servir à boire aux visiteurs

-          T’inquiète ma puce j’irai moi-même me servir

-          D’accord. Dit-elle en courant pour aller vers les escaliers

J’allais dans la cuisine avec Mila toujours dans les bras. Je trouvais madame entrain de cuisiner je ne sais quoi mais ça sentait très bon, ça me rappelait vaguement l’odeur de la cuisine de ma mère. J’allais vers le frigo prendre une de jus de passion, je sais que c’est elle qui le fait. Je me servis et bu sans lui adresser la parole, elle aussi m’ignorait royalement, cette fille se prend tellement.

-          Ce n’est même pas bon en plus. Dis-je en terminant mon verre

-          Quand on ne sait rien faire de ses dix doigts on la ferme. Dit-elle en tournant sa sauce au feu

Vous voyez non ? Elle et moi on ne pourra jamais s’entendre, je suis sortir de la cuisine énervé alors que mon frère descendait les escaliers avec Bryan et Aurélie

-          Bonjour tata, fit Bryan en venant me faire la bise

-          Bonjour mon grand, mais dit dont tu vas bientôt me dépassé hein, regarde comment tu grandi

-          C’est le basket tata, en plus je consomme beaucoup de calcium. Dit-il

-          Je crois que je vais me mettre au calcium aussi hein parce que le basket ce n’est pas mon truc. Dis-je en riant

-          Ella dans mon bureau stp, Bryan tu as vu ta tante, tu peux à présent all terminer ce que je t’ai demandé de faire. Dit-il fermement alors que Mila gigotait pour qu’il la prenne 

-          D’accord chef, à tout à l’heure tata. Dit Bryan

-          A toute mon grand

-          Aurélie tu éteins la télé stp si tu ne la regarde pas. Dit-il doucement en prenant Mila

-          Je la regarde papa, mais je crois que je vais aller aidé maman dans la cuisine. Dit-elle en éteignant la télé

-          Bien princesse, tu feras un bisou à maman pour moi. dit-il en lui faisant deux bisous alors que Mila lui tirait la barbe pour l’en empêcher.

Je ne sais pas pourquoi mais ça me fait toujours quelque chose de voir mon frère dans ce rôle de chez de famille, qui soit dit en passant lui va trop bien, on ne dirait pas que se ne sont pas ses enfants vu la relation qu’il a avec eux et ce sans forcé

-          Pourquoi tu lui demande de faire un bisou à ta femme pour toi ? demandais-je alors que je le suivais dans son bureau

-          Parce que c’est important pour un enfant de savoir qu’il y’a de l’affection ou de l’amour entre ses parents

-          Hummm, vos trucs de papa maman là moi je ne comprends rien. Dis-je en m’asseyant

-          T’inquiète ton tour arrive. Dit-il en s’asseyant à son tour avec Mila sur ses jambes

-          Qui moi ? maman ? mdrrr y’a pas moyen, ce n’est pas mon truc

-          N’est-ce pas ? mais t’envoyer en l’air c’est ton truc non ? dit-il en riant

-          Pardon ça fait glouc de t’entendre dire ça

-          C’st pas ce que tu fais avec Frederick ? demanda-t-il en me fixant

-          Qui moi ? même pas. Dis-je en détournant le regard

-          Ah donc il a mentis en venant me demandé la permission officiel de sortir avec toi ?

-          Pardon ? demandais-je

-          Ah il m’a appelé pour me dire qu’il voulait me voir, je lui ai dit de passé à la maison, il m’a dit que c’est à ton sujet mais je peux lui demander de ne plus passer hein. Dit-il moqueur

-          Il a dit c’est à mon sujet mais il n’a pas dit que c’est pour te demander la permission de sortir avec moi non ? demandais-je

-          Bon il viendra dire quoi d’autre à ton sujet alors ? écoute je t’ai fais appel pour te demander quoi lui répondre, mais s’il n’y a rien entre vous alors je  trompe peut-être

-          Arrête de jouer avec moi Femi, qu’est-ce qu’il t’a dis concrètement ?

-          Qu’il voulait me voir hors cadre professionnel pour me parler de ma sœur. Dit-il

-          Euh…je …. Bon on est ensemble c’est vrai mais il ne m’a pas dit qu’il voulait te voir. Et si c’est pour rompre avec moi ? demandais-je un peu stressé

-          Pourquoi il va m’appelé pour me dire qu’il veut rompre avec toi ? j’étais  là quand vous vous mettiez ensemble ? de toute façon il sera là tout à l’heure et on saura, tu reste déjeuner avec nous au tu pars ?

-          Je reste. Dis-je

-          Alors du respect, je ne veux aucun commentaire désobligeant à l’égard de ma femme sinon je fou ton gars là dehors. Dit-il en me regardant méchamment

-          C’est du chantage maintenant grand frère ? dis-je de façon ironique

-          Non un avertissement, petite sœur. Dit-il sur le même ton

Sa femme vint le chercher que son invité est là, mon cœur commença à battre bizarrement sachant que c’était Frederick! On sortit tout les deux le trouvé assis au salon avec Aurélie qui lui tenait compagnies en lui posant des questions

-          Mademoiselle n’indispose pas notre invité. Dit sa mère

-          Mais je demande juste comment il s’appel et ce qu’il fait chez nous maman. Se défendit-elle

-          A la cuisine inspectrice Aurélie. Dit-elle en voulant prendre Mila mais cette dernière préféra rester avec mon frère

-          Les enfants ont le flaire pour repérer les mauvaises ondes. Dis-je alors que mon frère me regarda méchamment

Elle s’en allait avec Aurélie sans relever ma pique, Frederick me regarda dépassé

-          Tu es sûr de ce que tu viens faire chez moi ? demanda mon frère à Frederick

-          Je doute déjà. Dit-il en riant

Je les regardais méchamment. Mon frère l’emmena dans son bureau. Je ne savais même pas que Fred voulait parler à mon frère, ça veut peut-être dire qu’il envisage vraiment faire du sérieux de cette relation, c’est vrai que je n’ai pas trop réfléchis à la suite mais je tiens à lui et j me sens bien avec lui, il m’aide à grandir et à faire des efforts pour amélioré ma personnalité et j’ai même parlé de lui à maman.

Ils sortirent plus d’une demi-heure plus tard et on passa à table. Fred n’arrêtais pas de la complimenté sur ses plats, c’est vrai que c’est pas mal mais pas de quoi exagérer.

-          C’est bon on a compris que c’est pas mal, ce n’est pas comme si on ne pouvait pas trouver mieux. Dis-je

-          Ça sera toujours mieux que la tienne en tout cas, je te souhaite bon courage Fred. Dit mon frère

Fred aussi au lieu de me défendre se contenta de sourire, après le repas Fred demanda à s’en allé mon frère lui demanda de partir avec moi parce qu’il ne me supportait plus, j’allais dans la cuisine prendre deux bouteilles de jus qu’elle avait fait

-          C’est mon frère qui paye donc je prends ce que je veux. Dis-je en mettant les jus dans un sachet

-          Y’a des amuse gueule aussi dans le compartiment du haut. Dit-elle en sortant de la cuisine

Je finis par me servir un peu de tout avec de partir, même le reste de la sauce qu’elle avait fait. C’est chez mon frère j’ai le droit que faire ce que je veux. Je sortis avec un sac de course plein

-          Tu n’as pas honte Ella. Dit mon frère en riant

-          De quoi ? tu es mon frère, ce qui est à toi est à moi.

-          Beaucoup de courage Frederick. Dit-il

J’embrassais les petits avant de m’en aller avec Frederick. Il était venu sans sa voiture parce que celle-ci était en réparation, on prit donc la mienne.

-          Tu ne m’as pas dis que tu voulais voir mon frère. Commençais-je une fois qu’il e démarrer

-          Tu ne m’as pas dit que tu voulais voir Coralie. Dit-il sans me regarder

-          Se n’est pas pareil, je crois que j’ai le droit de s’avoir quand tu viens voir mon frère surtout quand cela me concerne. Dis-je

-          Je avoir le droit quand tu vas voir Coralie après avoir répondu à son message surtout quand cela me concerne. Dit-il calmement

-          Ok, je suis désolé mais cette fille te tourne autour et toi tu ne dis rien. Dis-je doucement

-          Ok.

-          Ok ? c’est tout ce que tu trouves à dire ? demandais-je dépassée

-          Et voudrais que je dise ? tu as un problème tu ne m’en parle pas et tu vas revendiquer sur moi un droit de possession, je suis ton objet ?

-          Tu n’es pas mon objet mais mon homme et ça elle n’a pas l’air de le comprendre. Dis-je

-          C’est juste une collaboratrice, ta jalousie est déplacée. Dit-il

-          Je ne suis pas jalouse, je n’aime juste pas les foutaises.

Il ne dit rien et se contenta de conduit, l’habitacle fut silencieux quelque minutes

-          Je suis désolé Fred. Dis-je d’une petite voix, désolé d’être aller la voir sans te dire

-          ….

-          Baby  ne te fâche pas stp. Dis-je en prenant s main libre

-          Je suis pas fâché Anya, je trouve juste que ça ne se fat pas c que tu as fais. Dit-il

-          Ok, je ne vais plus recommencer. Dis-je en faisant les yeux de merlan frit

-          Manipulatrice va ! dit-il en riant. Tu as quel problème avec ta belle sœur demanda-t-il

-          Pardon ça là seulement laisse. Dis-je en lâchant sa main

Il éclata de rire, moi-même je ne sais plus ce que j’ai contre elle mais elle ne me plait pas c’est tout et je crois que c’est réciproque et c’est mieux comme ça.

-          T’imagine si ma sœur Cecy te traite comme tu traite ta belle sœur ?

-          Je la bastonne pour lui apprendre le respect. Dis-je

-          Donc tu sais que c’est l’impolitesse que tu fais hein ?

-          Impolitesse que tu aimes mon cher. Dis-je en lui tirant la langue

-          Je crois que ton frère à raison de me demander si je suis sûr de ce que je fais, tu n’es pas possible.

-          Qu’est-ce tu es allé lui dire à propos ?

-          Que je suis fou amoureux de son impolie de sœur. Dit-il en se garant dans la cour de sa maison

Et voilà mon cœur qui bats à tout rompre, j’ai bien entendu n’est-ce pas ? il a dit qu’il et fou amoureux de moi non ?

L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

La Kinda