****Lorraine****

Aujourd’hui ca fait 2 semaines que je suis en couple, mon petit ami (j’adore le dire) est le meilleur homme du monde, je me sens comblée….

Ah cette sensation de plénitude et de paix ca fait longtemps que je n’ai pas ressenti ca…. (Soupirant d’aise) Vous vous demandez comment ca s’est fini il ya 2 semaines……

 

****flash back 2 semaines plus tot****

Moi : Reste et fais moi tienne cette nuit (souriante) tu veux bien ?

Marc : (me soulevant) Tes désirs sont des ordres ma reine

Il me soulève et me pose sur le lit, se débarrasse de son pantalon mais garde son boxer, j’ai envie de le toucher et de le caresser, je pose une main sur son boxer et je sens son sexe palpiter, il frémit quand mes doigts frôlent son sexe à travers le tissu que je lui retire.

IL se rapproche de moi, son sexe épais raide et lisse palpite doucement, j’ai envie de le gouter, je me relève et me met à quatre pattes tandis que Marc se met debout au bord du lit

 Je lèche son érection de bas en haut jusqu’à son gland que j’embrasse et prends délicatement dans ma bouche, Marc ne bouge pas mais pousse des gémissements, ravie de sa réaction j’attrape ses fesses et je poursuis mon exploration.

Sa peau est d’une telle douceur, son gout est exquis et légèrement poivré, des picotements de désirs m’agasses le sexe, j’écarte mes cuisses et je sens Marc se détacher de moi et me renverse à plat dos sur le lit.

 Sa langue est exigeante, elle plonge dans ma féminité et je lui réponds avec toute l’ardeur dont je suis capable, il se relève et la pointe de mes seins durs se frotte sur son torse en une caresse délicieuse, presque douloureuse tant mes nerfs sont à vifs.

Sa main s’est frayé un chemin entre mes cuisses, ses mains ont trouvé ma fente déjà humide et mes lèvres gonflées de désir, ils s’introduisent en moi tandis que son pouce vient buter sur mon clitoris.

 L’éclat du plaisir est brutal, inattendu, je m’entends crier son nom avant d’avoir un puissant orgasme, je retombe mollement sur le lit et je m’endors.

Je me réveille quelques heures  et m’étire langoureusement , heureuse de trouver Marc couché à mes cotés, il est plaqué contre moi, dans mon dos et m’a emprisonné dans ses bras. Je devine à sa respiration dont le rythme vient de changer qu’il s’est lui aussi réveillé.

Je commence à onduler contre lui, je frotte mes fesses sur son sexe et je sens son érection grandir entre mes fesses nues, je suis enchantée de l’effet que je lui fais

Il était temps que tu quittes les bras de Morphée dit il en m’embrassant dans le coup, maintenant tu vas me donner ce pourquoi je patiente depuis des jours, des semaines et des mois, il passe sa main droite sur ma fente il la caresse, glisse d’une lèvre à une autre, je frissonne de bonheur.

Je recule en ouvrant mes cuisses, je veux que son sexe vienne frotter contre mes lèvres, agacée ma vulve gonflée, titiller mon clitoris. Paletante de désir je me mets à gémir de frustration, Marc se met au dessus de moi et me demande

_ Qu’attends-tu de moi ?

_ Que tu me prennes Marc, j’ai envie de toi si tu savais

_ Oh lorraine je sais, mais je ne me lasse pas de te l’entendre dire et maintenant tu es la, j’ai mon sexe entre tes cuisses trempées ; tu es tellement excitée que tu trembles comme une feuille alors que je t’ai à peine touché. Dis moi ce que tu veux Lorraine, dis le encore

_ Je veux te sentir en moi, fais moi l’amour

Aussitôt ma phrase terminée que son sexe vient se frotter à l’entrée de mon vagin et d’un mouvement ample me pénètre (enfin) d’une longue poussée c’est tellement bon que je laisse échapper un soupir aussi bruyant qu’un râle.

Il me comble toute entière, je recule encore mes fesses pour qu’il m’emplisse de nouveau alors que je le bien au fond ; il entame un délicieux va et vient. Je suis envahi par un plaisir inouï, j’accompagne sa danse lente et sauvage, un plaisir puissant envahissant me prends, un plaisir que je sens également gronder dans le coprs de Marc, un plaisir qui s’explose en moi et soudain nous arrache à tous les deux un cri rauque….

Le lendemain matin il m’expliqua que la fille que j’avais vu chez lui était sa grande sœur qu’il n’avait plus revu durant 2 ans car vivant en Amazonie pour des recherches ne passait que rarement d’où tout ce amour dont je le vis déborder, il me fis promettre d’éclairer ma situation avec Lilian et voilà, je soupire rien qu’en pensant à ce jour…

*****Fin du flash back*****

   

Lui : (me mordant le bout des seins) Pourquoi ce soupir d’aise ? En plus je te parle mais tu ne m’écoutes même pas

Moi : Désolé bb je pensais à combien je suis heureuse à tes cotés et j’ai entendu ta phrase, tu as rencontré Murielle et elle n’était pas très bien quand tu l’as croisé quand, c’était hier quand  tu es parti prendre un café avec tes cousins, tu vois que je te suis ?

Marc : (faisant la moue) Mouais c’est ca n’empêche que je suis avec toi et tu pense encore à moi, ce n’est pas contradictoire ca ? Après c’est pour m’appeler de passer à 22h alors que tu peux profiter de moi actuellement

Moi : (riant) Pardon oh descends-moi ; et je t’aime aussi. Je vais comme si j’ai pas entendu que tu te plaignes de mes appels nocturnes

Marc : (me tournant dos) Je suis fâché

Je n’eus même pas le temps de rire aux enfantillages de votre ami qu’on sonne à ma porte, il va sonner 19h qui ca peut bien être, je mets rapidement le T-shirt de votre copain qui jure vraiment être fâché et je file ouvrir

Moi : (sur le pas de la porte) Oh c’est toi, entre ne reste pas là

Elle : Merci, tu n’es pas seule (regardant mon haut) Je reviens après si je dérange

Moi : (souriant en pensant à mon bb tout faché) Non assieds toi c’est bon, je te sers quoi ?

Elle : (calme) Rien je viens de rompre avec Karl, j’ai appris qu’il avait déjà une famille. Il est marié avec un enfant

Moi : (surprise) Oh (la prenant dans mes bras) désolé mon amie, tu tiens le coup ?

Murielle : (souriante) Oui, je voulais déjà le quitter mais cette information m’a fait décider c’est tout, je voulais juste voir une amie et comme julie est aux USA pour sa dot avec Liam j’ai préféré venir te voir

Moi : c’est normal je suis là pour toi

Murielle : (curieuse) c’est quel spécimen qui te met bien comme ca, tu es toute belle et très heureuse

Moi : c’est….

   

*****Murielle******

 

Elle : c’est….

Elle n’avait même pas encore terminé sa phrase qu’une voix vient me chatouiller les oreilles, non c’est pas possible pas lui, l’objet de mes fantasmes, je bous intérieurement mais garde mon calme je me trompe peut être

Voix : Je t’ai dis je suis fâché au lieu de venir me faire des câlins tu préfère m’abandonner pour être avec quelqu’un humm

Lorraine : (riant) chéri arrête de faire l’enfant et vient

Voix : Et tu me feras des câlins ?

Lorraine : Plein de câlins mon amour

Voix : J’arrive et tu as intérêt à tenir parole quelque soit la personne avec toi.

Je commençai à m’impatienter l’homme qui puisse avoir autant d’amour pour ma copine pour lui parler ainsi et oublier qu’elle n’est pas seule, au moins elle pourra être heureuse, julien également avec Liam et moi avec mon Marc (clin d’œil) mais à l’arrivée de son homme je ne puis m’empêcher de serrer les poings…. Oh damn il était torse nu, je suis en extase devant son corps….

Voix : Me voilà, (me regardant) Bonjour Murielle (à l’autre) Viens calmer ma colère sinon je rentre chez moi

Lorraine : (se levant en riant) d’accord approche mon petit bébé (a moi) excuse moi 2 secondes Murielle

Marc : 2 secondes, 2 secondes de câlins lorra ? Ce n’est pas la peine

Lorraine : (lui ouvrant ses bras) Donc tu veux plus ?

Marc : Non je prends quand même

Elle a commencé à lui faire plein de bisous, au cou sur les tempes, et quand elle déposa un baiser sur ses lèvres il l’a maintien par les hanches pour approfondir le baiser, il lui montrait tout son amour, lui disait à quel point il l’aime et qu’il est fou, elle lui répondit de la même manière…. Comment je peux savoir tout ca ? Je me suis imaginé à sa place et je peux vous dire que je mouille grave et ensemble ou pas ensemble je finirai avec Marc

Moi : (toussant) Hum hum

Lorraine (mettant fin à leur amour) chéri n’oublie pas qu’on sort va prendre ta douche

Marc : (s’en allant) Je t’attends pour qu’on la prenne ensemble, (à moi) A plus Murielle

Moi : (encore en train de mouiller) OK (a lorraine) Je m’en vais chérie

Lorraine : reste un peu

Moi : non t’inquiète

 

C’est toute nerveuse que je suis sorti de chez elle, il faut que je trouve le moyen d’avoir Marc pour moi, je sais vous vous dites que je suis mauvaise

 Mais l’amour c’est comme à la guerre, il n’y ni attache ni amitié et cette chère lorraine ne perd rien pour attendre….