Mensonge

Write by SerenaBlake

-Hope j'ai tout dit aux soeurs. Dit Jocelyn. Je leur ai avouer ce qui s'est passer entre nous hier quand elles sont allées à l'hôpital veiller sur la soeur Antoinette. 


QUOIIIIIIIIIIIII???? Je me tourne vers lui abasourdie mes yeux ronds comme les pièces de Monnaie. Mon Dieu non. Dites moi que ce n'est pas ce à quoi je pense. Jocelyn n'a pas fait ça.


-Pardon??? Tu parles de quoi Jocelyn? C'est quoi que tu me chantes là? Il ne s'est jamais rien passer entre nous. Dis-je totalement outrée. Je me tourne de suite vers les soeurs mon visage toujours inondée de larmes.


-Mes soeurs, hier soir le diacre


-Hier soir je vous ai surpris Jocelyn et toi faisant l'amour dans le lit de la soeur Antoinette me coupa le diacre. Je sais que je vous ai dit que je n'allais pas en parler mais après mûre réflexions je pense qu'il est nécessaire que les soeurs sachent ce qui passe en leur absence dans cet enceinte. Il y va de votre éducation et celle des autres enfants dans cet orphelinat  continu-t-il avec autorité. Je ne pouvais garder pour moi ce comportement que je juge inacceptable et  plus encore un soir comme hier quand la soeur Antoinette a fait son malaise. Jocelyn lui semble s'en repentir mais qu'en est-il de toi? A peine tu me vois tu m'agresse. Je ne suis pas responsable de tes actes. Tu devais te douter que  de toute les façons  j'allais tout reporter.


Je suis en état de choc. L'écouter débiter toutes ces inepties me cloue le bec.


-Jocelyn je t'en supplie ne fait pas ça. Je t'en prie dis la vérité. Dis leur que cet homme m'a violée hier dans la chambre de Ma'a Antho Fais-je en le regardant pendant qu'il garde sa tête obstinément baissée. Je t'en prie Jocelyn. 


Les soeurs semblent choquées en m'entendant parler de viol.  Et le diacre aussi. Cet animal semble vraiment innocent. Moi même ci je l'aurais cru vu la tête qu'il fait.


-Que raconte-tu cher enfant? Dit la soeur Marguerite  choquée. Comment oses-Tu inventé de telles choses sur un homme de Dieu simplement dans le but de te couvrir?? 


-Non non ma soeur je vous jure que je n'invente rien. Je vous le jure sur ma vie. 


La Soeur Thérèse met les mains sur la tête semblant dépassée parce-que je viens de dire, tandis que le diacre secoue la tête. 


-Mamaaaaaaa, Marguerite qui a élevé cette enfant? Ce n'est pas nous dit la soeur Isabelle avec stupeur. Le diable sommeille en elle. 


La soeur Thérèse  m'attrape les deux épaules et me secoue 


-Comment oses-tu ma fille comment oses-tu? N'as tu donc pas peur que la foudre du Seigneur s'abatte sur toi à cause des inepties que tu racontes? Que gagnes-tu ma pauvre enfant en voulant discréditer pour rien un homme d'église? A quel moment l'esprit mauvais a pris possession de toi?? Crie-t-elle complètement dépassée


Je suis scandalisée. Aucune d'entre elles ne prêtent foi à mes paroles. Seigneur. 


-Tu es déjà découverte dit le diacre. Est-ce parce-que c'est moi qui vous ai mis à jour? C'est pour cette raison que tu m'en veux? Que tu veux détruire la carrière de toute une vie? J'aspire à être prêtre, sais-tu seulement ce que tes inventions peuvent apporter comme conséquences néfastes à ma vie?


Il devient fou N'est-ce pas? Le connard semble croire à ses propres dires.


-Ce ne sont pas des inventions crie-je de toutes mes forces, je suis même sûre que ma voix a traversé toute l'orphelinat. Vous m'avez violer. Vous avez abuser de moi hier quand vous êtes venus chercher les documents de Ma'a Antho. Vous m'avez frapper et attacher sur le lit et puis vous m'avez violerrrrrrr crie-je de plus belle. Et c'est Jocelyn qui m'a sauver. Jocelyn je t'en prie dis leur la vérité je t'en prie. Je me retourne vers le diacre encore une fois


- Vous êtes un homme méchant et sans coeur. Espèce de violeur, menteur...


Splasssssshhhhh. Je viens de recevoir une gifle de la part de la soeur Marguerite. 


-En voilà assez!!! Dit-elle sèchement. Tu ne trompe personne ici. Jocelyn a refusé de marcher dans ta combine. Quand le diacre est venu nous voir c'était pour qu'on te parle et que tu revois tes priorités dans la vie. Contrairement à Jocelyn, toi tu es une femme et tu te dois de préserver ta dignité et de cultiver  ton respect de soi pour ne pas finir dans une situation comme celle ci où tu te retrouves obligé de mentir pour sauver la face. Et d'ailleurs un mensonge aussi grave ne peut en aucun cas être tolérer dans cet orphelinat. Ce n'est pas ici que tu te perfectionneras  en sabotage. Je ne supporte pas les conneries et je ne vois d'ailleurs pas où tu aurais appris tout ça. La soeur Antoinette avec qui tu sembles t'entendre est une femme tout à fait respectable. Elle a eue plusieurs jeunes filles sous son aile avant toi et qui s'en sont très bien sorti. Aller te faire coucher sur son lit pendant qu'elle ait en plein agonie à l'hôpital démontre déjà le peu de coeur que tu as. Non seulement vous lui avez manquer de respect en allant dans sa chambre mais en plus vous n'avez même pas eue de considération envers sa maladie. Ça me sidère. Nous devrions être entrain de prier pour qu'elle se remette sur pied. Au lieu de cela nous  gérons des affaires de coucheries. Vous vous êtes cru où? Je peux le savoir? Comme ci ça ne suffisait pas tu veux entraîner le père dans un sabotage. Ça ne va pas dans ta tête Hope? Tu es toute seule à l'intérieur? 


Elle se tourne vers Jocelyn. 


-Toi, pour que les choses soient claires vu qu'elle est décidé à mentir, racontes nous tout depuis le début. 


Je regarde moi aussi Jocelyn qui s'apprête à me crucifier en live pour je ne sais quelle raison


Il se racle la gorge et commence à parler sans me regarder.


-Hier quand vous avez accompagné la soeur Marguerite à l'hôpital, Hope est allé rester dans sa chambre. Je sais à quel point elles sont proches toutes les deux, j'ai pensé qu'elle avait peut être besoin de compagnie, je la consolais parce-qu'elle était triste. Une chose emmenant une autre nous nous sommes retrouvés en train de... en train de... enfin vous voyez Dit-il n'osant pas finir.


Je baisse la tête et ferme très fort les yeux. Je suis en plein cauchemar. C'est sûr. 


-Pourquoi as-tu pensé qu'elle aurait besoin de ta consolation à toi au point d'entrer dans la chambre de la soeur? Demande la soeur Marguerite. 


Moi aussi j'attends le genre de réponse qu'il va aussi sortir.


-Je fais la cour à Hope depuis quelque temps, il ya quelques jours elle a accepté d'être ma petite amie.


-Quoi? Crie-je de nouveau. Ehh Dieu ma voix va finir dans le bureau ci. 


-Arrêtes de nous grillé les tympans dis l'autre animal avec hargne. J'étais décidé à te défendre mais je vois que ton cas est déjà scellé. En tant que homme de Dieu je sais mieux que quiconque que les situations ne nous définissent pas. Mais toi tu sembles nous prouver le contraire par ton comportement. 


Je le regarde. Il me sourit rapidement pour me narguer. Me faire comprendre qu'il a gagné. Que je ne fais pas le poids contre lui. Il a mis Jocelyn dans sa poche. Dieu sait grâce à quoi. Je regarde une fois de plus Jocelyn et je tombe à genoux ses pieds. Je lève la tête et le regarde les yeux emplis de larmes.


-Je t'en supplie Jocelyn regarde moi. Nous sommes tous les deux orphelins. Nos parents nous ont tous les deux abandonné. Ne me condamne pas à haïr la race humaine je t'en prie. Par pitié dis leur la vérité. Par pitié dis leur la vérité par pitié dis leur la vérité. Je te le demande trois fois. S'il te plaît. Ne me fais pas ça. 


Les soeurs me regardent bizarrement, elles semblent indécises. Vraisemblablement elles ne s'attendaient pas à ce que je me mette à genoux devant lui. Jocelyn quant à lui semble dépassé. 


-Je suis désolé oses-t-il dire


Et il semble même mal à l'aise. Je crois voir une once de culpabilité dans son regard cependant cela ne dure qu'une fraction de seconde. 


-Je suis désolé Dit-il se reprenant rapidement. On avait décidé de saboter le diacre mais j'ai fini par réaliser que la réalité nous rattrapera un jour.  Lève toi Hope et assumons nos actes. C'est le moins que nous devions faire. 


Il a parlé avec une telle distance que j'ai compris à l'instant qu'il ne dira pas la vérité. J'ai été stupide. J'ai pensé haïr le diacre à cause de son acte abominable. Je me rend compte que c'est rien à côté de tout le dégoût que m'inspire en ce moment Jocelyn. Je me lève et m'éloigne de lui très vite le ventre noué. Le dégoût n'arrête pas de monter. Je vais vomir. A peine je l'ai pensé que du fond de ma gorge sort un liquide visqueux et lourd. Je n'ai rien mangé pourtant. Mon corps rejete physiquement les inepties qui se sont dit dans ce bureau et malheureusement ça ne s'arrête pas. L'une des soeurs veut se rapprocher de moi et me toucher, malgré moi mon corps la rejete elle aussi. Elle sursaute mais Je ne veux pas qu'elle me touche. Je ne comprends pas. Je tremble. Je sais bien ce que j'ai subi et qu'ils mentent mais je trouve ma réaction disproportionné. Je ne suis pas la première fille à être violer, ont-elles toutes des réactions aussi vives après cette injustice? Je n'ai pas le temps d'aller plus en avant dans mes réactions que la soeur Marguerite prend la parole. 


-C'était la première fois que ça arrivait Jocelyn? Demande-t-elle en me regardant de manière étrange pendant que l'autre soeur sort pour demander de quoi nettoyer.


- Quoi? Répondit-il perdu


-Ne m'énerve pas Jocelyn. Vous avez fait quoi hier?


-Euhhh oui. C'était la première fois. 


-Tu es sûr que tu ne me mens pas?


Je sais où elle veut en venir. J'ai regardé assez de film et de séries pour savoir que lorsqu'une femme vomi pour un rien elle est enceinte. Je pourrais l'être d'ailleurs puisque le bon monsieur ne s'est pas protéger. Mais c'est beaucoup trop tôt pour le savoir. Il m'a violée hier. Je n'ai pas vomi parce-que je suis enceinte. J'ai vomi parcequ'ils me degoutent  tous. Y compris ces soeurs. Elles m'ont vu grandir et m'ont élevé plus que Ma'a Antho. Si j'étais ce genre de personne elles devraient normalement le savoir. Je suis en quelque sorte leur enfant. Qui condamne son enfant sans bénéfice du doute? Est-ce parce-que la famille de ce diacre est riche? Qu'il fait trop de don et de cadeaux à l'orphelinat qu'elles choisissent de ne pas me croire? Je suis si plongée dans mes pensées que je n'entend ni ne vois plus vraiment ce qui se passe autour de moi. On a nettoyer mon vomi, ils parlent entre eux cherchant à décider Dieu sait quoi. Je garde un calme olympien. Tout envie de me battre s'est envolé. 


-Hope Crie la soeur Marguerite me faisant émerger. Je la regarde sans lui répondre. Depuis que je t'appelle là? Tu vomi on dirait que tu es enceinte. Tu n'as pas eue de rapport avec quelqu'un d'autre que Jocelyn? 


Voilà! Maintenant je suis une pute. OK. 


-Répond moi quand je te parle. 


Elle est seule.


-OK. Ne dis rien. Saches juste qu'avec ce comportement tu ne pourras pas rester ici. Tu vient d'avoir le bac de toute façon. On verra avec le curé ce qu'on peut te remettre comme somme pour que tu te débrouille. Ou alors vu ton état si tu dois intégrer une association. Quoi qu'il en soit rester ici demeure toutefois impossible. Tu sais dans quel esprit on vous éduque ici, tu es devenue un mauvais exemple. On ne peut pas prendre le risque que les autres filles te copient. Je suis désolée ma chère enfant. Tu quittes l'orphelinat. Conclut-elle.


          •••Quelque part en France •••


Mes deux pieds sont  chaussés de magnifiques escarpins, il les tiens  bien en l'air et me lèche avec soin. Sa langue est dans le moindre recoins de mon sexe, mes jambes écartés au maximum. Il me lape comme du lait. Le bout de sa langue passe et repasse dans les bons coins ce qui me fait couiner comme une assoiffée. Mama le gars ci connais son affaire. Il enfonce son index en moi faisant les aller et retour alternant avec sa langue. J'assaye de toutes mes forces de tourner les reins pour accompagner ses mouvements lascifs en moi et accélérer la jouissance mais il prend soin de me torturer alors je me laisse aller à tout ressentir. Le goût que sa langue me donne n'a pas de nom. Je suis vraiment tomber sur le jack pot ce soir. Il n'est pas ce qu'on appelle à proprement parler un beau mec. Mais il est grand de taille. Costaud. Un gangster.  Sa posture lorsque je l'ai réperé en boîte tout à l'heure m'a directement dit qu'il était plein aux as. Je ne me suis pas trompé. Il suffit juste de voir la chambre dans laquelle nous sommes. Ça pue l'argent de partout. En plus le mec est un Dieu au lit. A peine nous sommes entrés dans la chambre qu'il me donnait déjà des fessés, ma robe ultra courte se raccourcissant au fur et à mesure. Il préparait déjà clairement son entrée dans mes fesses. J'avais hâte. Je me frottais contre son pantalon à travers lequel j'ai ressenti sa bite longue et bien dure. Pour ça non plus je ne m'étais pas trompé. À peine nous avons été nu que j'ai compris que à l'instant où il entrera dans moi ma jouissance serait immédiate. Mes yeux tombent sur le colosse type qui lui sert de garde du corps. Il nous regarde faire les choses impures le visage impassible. Mais Sébastien m'a rassuré. Il n'y a que lui qui  va me piner. L'autre a son rôle à jouer mais je ne devait pas avoir peur de sa présence. Au contraire. Ou ça signifiait quoi oh? Je sais? Je me concentre de nouveau sur les bonnes choses que Sébastien me fait. A présent il me tire vers le bord du lit en me regardant de manière sexy. Ach!! J'ecarte encore plus les jambes prête pour les cognements mais je me sens soulever en l'air et hoquête de surprise. En effet, le colosse vient de me soulever du lit, ses mains au niveau de la partie inférieure de mes genoux et présente mes fesses, jambes écartelées à son patron. Celui ci sourit, commence à me pénétré il gifle ma fesse. Mince, je veux m'indigner, mais le fait d'être porter et offerte ainsi plus le claquement sur ma fesse et la penetration sont trop de sentiments contraires et mélanger qui rendent l'acte trop bon à l'instant. Je soupire d'extase et laisse ce magnifique sexe prendre tout ce qu'il veut de moi. Waouhhhh. C'est tellement bon. Il presse mon sein, pendant son autre colosse fait bien les aller et retour avec mon bassin en direction de son sexe comme pour une balançoire. Je suis tout à fait passive. Je sens seulement. C'est trop bon. Je jouis jusqu'à fatiguée. En couinant et criant. A un moment donné le colosse me jette sur le lit et je tombe sur le ventre. Sébastien me pénètre de nouveau et me pilonne encore proprement jusqu'à jouir lui même et moi de nouveau. Il faut que je rentre. 


Aymar va me tuer.





Ps: je vous remercie tous de l'intérêt porté à mes écrits. Je suis tombé malade sans crier gare et en ce moment même je suis en convalescence. Une fois cette période passer je vous promets que vous aurez des suites quotidiennement. 


#Serena.

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