Mesures Préventives !

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VENGEANCE VS AMOUR : Page 34


*Mesures Préventives ! 


NESLIE


Je rentrais chez moi toute remontée, Maxime est vraiment un homme fou et bête. Une histoire sérieuse comme celle-ci fait surface et doit c’est juste comment baiser cette pute milliardaire qui t’intéresse. Et si ce n’était que pour la baise je n’aurais même pas eu mal, mais ça l’air d’être plus sérieux que cela.


J’essayais d’appeler cette Julie mais ça sonne occupé. Je lui envoie donc  un sms 


Moi : (sms) je ne peux rien faire pour t’aider contre cette femme. Gardes des preuves pour toi et surveille mieux ton homme, juste un petit conseil. 


Je ne reçus pas d’accusée de réception, je relançais son numéro et je me rappelai que son nom a été cité en matinée. J’appelais automatiquement le procureur.


« Moi : vous l’avez déjà enlevé ? 


Lui : oui Mme 


Moi : elle est où ? 


Lui : je ne pourrais vous le dire, c’est confidentiel 


Moi : je dois la voir 


Lui : c’est impossible 


Moi : et pourquoi ? 


Lui : ordre du président !


Moi : écoutez-moi bien je ne crois pas que le président nous interdisent à nous ces amis de la voir, donc trouvez comment mais demain je veux la voir 


Lui : le président m’a dit qu’aucun membre de son cercle d’amis ne doit avoir accès à elle, désolé madame 


Moi : vous le regretterez ! »

 

Je raccrochai toute énervée et appela le président, ça ne sonnait même pas que ça se coupa, il m’a mis sur liste noire ? Ok, j’appelais donc Magloire (un ami de notre bande).


« Lui : (décrochant) oui le génie ? 


Moi : écoute, on doit se voir 


Lui : et on doit se faire petit actuellement, le président nous surveille 


Moi : et depuis quand on le craint ? 


Lui : depuis que toute cette affaire est publique et en plus avec ça déclaration d’aujourd’hui ça n’arrange rien 


Moi : il faut que l’on parle de cette fille 


Lui : ils l’ont déjà pris ? 


Moi : oui et ils la cachent mais je dois la voir 


Lui : elle balancera Bely, si c’est son ex elle doit être frustrée


Moi : c’est moi qui lui est remis les cafés, c’est moi elle le sait. 


Lui : oh non 


Moi : oh si, en plus j’ai assassiné son assistante personnelle, elle sait que c’est moi. Je dois la voir et la menacer. Je n’ai pas envie que maintenant ou tous les yeux sont sur nous elle donne mon nom


Lui : ok je ferai tout pour nous arranger cela. 


Moi : fais vite Magloire, car pour les cafés c’est d’un commun accord que nous avons voté et si jamais un  nom est révéler un autre problème, s’en suivra et ils commenceront à fouiner de partout. Tu connais bien les enquêteurs et les journalistes, ils découvriront tout. 


Lui : je m’active, t’en fais pas 

 

Moi : j’attends 


Je raccrochais en partant boire de l’eau. Vraiment dans ce pays quand tu n’es personne tu n’es rien. Déjà Julie est loin et pourtant Maxime se la coule douce avec sa pétasse riche. 


Lui : (derrière moi)  tu as tué Ehouo et l’assistante de l’autre ? 


Je laissais tomber mon verre 


Moi : chéri (prenant peur) 


Lui : (frappant sur la table)  réponds-moi 


Moi : (petite voix) c’est d’un commun accord 


Il me lorgna et monta 


Moi : (derrière moi)  chéri je t’en prie crois-moi 


Lui : (se retournant avec force)  c’est ce que tu fais à ces réunions ? Tu tues les gens ? (criant)  Combien ? 


Moi : écoute moi chéri, (attrapant sa main)  je ne décide pas seule 


Lui : (enlevant sa main) vraiment ? (toujours la même mine)  que t’a fait cette assistante ? 


Moi : (cherchant mes mots)  au fait…


Lui : réponds ! (hurlant) 


Moi : (baissant la tête)  sa patronne me narguait moi et Maxime 


Lui : (avançant vers moi)  il faut toujours que ce soit en rapport avec lui 


Moi : (voulant toucher son visage)  chéri je suis désolé


Lui : (attrapant sa main)  tu as tué des gens innocents et tu vis tranquillement et comme si de rien n’était (me fixant) 


Moi : (sans m’en rendre compte)  ils devaient mourir 


Lui : (ahurit) pourquoi ? (s’asseyant sur le bord su lit avec sa tête en main) Qu’as fait Ehouo ? 


Moi : il parlait trop, il menaçait de tout dire 


Lui : (me fixant)  dire quoi ? 


Moi : (automatiquement)  c’est facile pour toi, vous donner des ordres et on fait mais savez-vous comment on s’y prend ? (me justifiant) C’est de cette manière 


Lui : (se levant)  jamais ! Je ne demanderais cela, j’ai tout fait pour te tenir hors de cette vie, mais ton entêtement. (Passant sa main sur son visage) Qui a voulu placer le président actuel ? N’est-ce pas toi ? (me questionnant)  avec  des nouvelles machines à voter que tu as envoyé en complicité avec ton  amant ? (s’avançant)  nous avons volez sa présidence mais tu as voulu le tuer quand même pourquoi ? (craint) 


Moi : il allait nous balancer, (reculant vu la mine qu’il abordait), il savait pour la présidence voler, car deux journalistes lui avaient dit et voulaient lui montrer la preuve 


Lui : et ou sont-ils ? 


Moi : qui ? 


Lui : les journalistes 


Moi : je ne sais….


Lui : (me coupant) ne me dis pas que tu ne sais pas car s’ils vivaient, ils auraient parlé de la mort d’Ehouo, qui les a tués ? (attrapant ma main) 


Moi : (soufflant) …..


Lui : (me laissant et allant ranger ces affaires) ok


Moi : (le regardant dépassée) que fais-tu ? 


Lui : (ne me regardant pas)  je m’installe dans l’autre chambre, je ne vais pas continuer à dormir avec quelqu’un comme toi, c’est à cause de ma fille que je ne quitte pas cette maison je ne veux la brusquer. Mais sache que tu t’en sortiras sans mon aide de cette histoire, alors si tu veux-tu reprends les réunions et autres mais ne compte pas sur moi (comme une menace) 


Moi : (m’approchant de lui)  non reste avec moi je t’en prie 


Lui : (me poussant)  non tu es une tueuse et menteuse (mine découragée) 


Moi : (criant ne supportant plus ce regard de désespoir qu’il affichait en me regardant)  c’est Maxime qui les a tués, ils les faisaient suivre et les a tués 


Lui : (me fixant pendant plusieurs minutes, puis prenant sa valise et me dépassant)  vous êtes vraiment fait l’un pour l’autre 


Moi : non, écoute ne pars pas (pleurant) 


Lui : ne réveille pas ma fille avec tes fausses pleurs, bonne nuit (sortant) 


Puis il partit, je pleurais. Je ne voulais pas qu’il me voit ainsi et qu’il me regarde de cette façon, j’ai fait tout ça pour nous, mais lui  ne me comprends pas. Ou alors la jalousie l’aveugle. Je suis perdue. 


ANDY


J’étais dépassé par tout ceci, j’étais au cinquième poste de police avec les parents de Julie qui avait aussi suivi les informations et toujours pas de nouvelles de Julie. Un vigile du quartier, m’a assuré que c’est la police qui est venue la prendre, mais on ne sait où ils l’ont conduit. Je suis vraiment énervé. 


Lui : (me calmant)  mon fils ils ne nous diront rien, c’est un ordre du président donc ils la cachent jusqu’à ce qu’elle parle 


Moi : (énervée)  ou la martyrise jusqu’à ce qu’elle avoue ce qu’elle n’a pas fait


Lui : (me regardant avec un regard de désespoir ou d’espoir) humm, tu crois vraiment qu’elle est innocente ? Elle travaillait là-bas


Moi : (avec confiance) oui, mais elle ne tue pas, elle a trop peur pour cela 


Lui : je prie pour que ce soit vrai 


Puis je reçus un message. 


« J’espère que tu vas bien. On doit se voir »


Je souris et répondit


« Moi : ça va un peu, je suis au commissariat, à la recherche de Julie avec ces parents 


Elle : elle a fui ?


Mo : non, la police l’a pris. Mais on ignore où ils sont avec elle présentement. 


Elle : comment c’est possible ? 


Moi : c’est ce que j’essaye de comprendre 


Elle : je suis désolée 


Moi : t’en fais pas, nous la retrouverons  et toi ça va ? 


Elle : comme si, comme ça. Je dois te voir.  


Moi : tu me manques aussi chéri, je ferai tout pour que l’on se voit soit demain ou après-demain. Promis. 


Elle ; ok prends ton temps surtout et du courage. 


Moi : merci je t’aime. »


J’étais certes énervé mais la conversation avec Jaja m’a tout simplement refait vivre. Je suis vraiment comblé lorsqu’elle est là et moi aussi elle me manque atrocement actuellement. Mais  je dois retrouver Julie, et être présents avec ces parents. 


On finit par rentré vers minuit car personne n’était décider à nous dire ou elle était. Personne ne voulait nous aider. Je déposais les parents de Julie et je partis chez moi à penser à tout ceci. Julie accusé de meurtre ? Julie copine de Bely ? Non mais c’est quoi tout ça ? Pourquoi le président raconterait-il tout ceci ?


Ca fait plus de 5 jours que moi et Franck cherchons tous les moyens pour retrouver Julie mais c’est impossible, personne ne mous aide je suis vraiment énervé. Je rentre chez moi en appelant son père pour le rassurer du mieux que je peux et m’apprête à sortir j’ai vraiment besoin de souffler. 


J’envoyais un message à Jamila


« Moi : (sms) maison de la plage tout à l’heure ? 


Elle : ok »


Je me douchais m’habillais et partit rapidement la rejoindre. 


******


Elle : (me regardant avec un verre à la main)  bonne arrivée 


Je partis l’embrasser avec fougue, tant ces lèvres m’avaient manqués et tant mon corps était attirer à elle tel un aimant. 


Elle : (essayant de se dégager)  il faut qu’on parle Andy 


Je la soulevais pour la mettre sur la table de la cuisine en faisant remonter sa robe. 


Moi : (continuant mon geste) on parlera après 


J’écartais ces pieds et enfonçai mes doigts en elle, bien elle est déjà toute mouillée. 


Elle : (fermant les yeux)  humm, écoute c’est important 


Je continuais jusqu’à enlever mon pantalon pour la prendre 


Moi : (rentrant) c’est plus urgent que cela ?  


Elle : humm (fermant les yeux et me tenant fort) 


Moi : tu m’as manquée (l’embrassant dans son cou) 


Elle : (gémissant) toi aussi 


Moi : atrocement 


Elle : (me serrant)  plus fort


Moi : plus fort ? 


Elle : vas-y, (me regardant)  plus fort 


Moi : (souriant)  ha d’accord 


Je la regardai ajuster sa robe et alla derrière elle 


Moi : (lui caressant le bras)  ou alors tu peux juste te déshabiller, on ne sait jamais 


Elle : non ca va pour ce soir (petit sourire)  


Moi : satisfaite ou remboursée ? 


Elle : (se parfumant) toujours satisfaite 


Moi : (sourire en coin)  moi de même 


Elle : et pour Julie ? 


Moi : elle est toujours introuvable 


Elle : (mine dégoutée)  pourtant Maxime lui est libre, il s’est présenté et à plaider non coupable en plus il n’était pas sur les lieux le jour du meurtre donc peut-être qu’ils attendent qu’elle parle pour l’arrêter 


Moi : (soufflant)  la loi du plus fort. 


Elle : oh il est loin d’être le plus fort actuellement 


Moi : tant mieux tu pourras vite finir cette vengeance 


Elle : justement parlant de cela 


Moi : oui je peux t’aider ? 


Elle : oui 


Moi : d’accord 


Elle : (fermant les yeux)  je veux que toi et moi on cesse un  peu de nous voir, le temps que je finisse 


Moi : (reculant)  pardon ? 


Elle : (me regardant)  que l’on arrête de se voir 


Moi : (la fixant) on ne se voit pas, on se cache pour se voir je te rappelle. Je ne peux m’afficher avec toi librement comme lui le fait


Elle : (arrêtant de me regarder)  mais on se voit et c’est risqué. Ca menace mon plan 


Moi : (m’emportant)  donc je m’efface et te le laisse ? 


Elle : (haussant un peu le ton)  pourquoi est tu si borné des fois ? 


Moi : (criant)  borner ? Tu me parles de m’effacer, je ne me fais pas déjà assez petit là 


Elle : levant sa main en vue de me dire d’arrêter de crier)  écoute-moi ta copine à raconter à Neslie que l’on s’en voyait en l’air et cette femme va fouiner (me fixant avec une mauvaise mine) 


Moi : (ahurit)  Julie ? 


Elle : (me lorgnant)  tu as une autre copine ? 


Moi : (allant vers elle pour la calmée) et même si Julie a d’autres soucis actuellement 


Elle : (se dégageant) mais Neslie fouinera ! 


Moi : (énervé)  dis plutôt que toi-même tu veux que je m’efface 


Elle : (me fixant)  et pourquoi ? 


Moi : (criant)  pour plus te montrer à ce M. Bely et voir que tu arrives à lui faire de l’effet pourtant avant c’était impossible 


Elle : (avançant avec une mauvaise mine) tu crois que j’ai le temps pour ces bêtises, (autoritaire)  je dois accomplir ce pour quoi je suis venu et c’est différents de ces parties de jambes en l’air que l’on fait (craint) 


Moi : (vexer)  c’est comme cela que tu vois notre relation comme de simples parties de jambes en l’air ? 


Elle : (soufflant un grand coup)  écoutes moi Andy on doit arrêter, je ne dois prendre aucun risque 


Moi : (la fixant)  la vengeance avant l’amour


Elle : (me suppliant)  je t’en prie 


Moi : (prenant ma veste) ok bonne chance 


JULIE 


Je suis ici depuis près d’une semaine dans cet endroit isolé et bizarre, c’est comme un bunker mais où l’on vient et on te demande de dire ce qu’ils veulent et si tu refuses hop on te prive de nourriture et t’enferme, j’ai faim et quand j’entends certains cris provenant d’autres pièces j’ai peur de ce qu’ils pourront me faire. Hier ils m’ont battus et ils m’ont dit que ma manière douce était finie, je veux les dénoncer surtout cette Neslie car c’est elle la responsable mais j’ai peur d’eux pour ma famille et Andy. 


La porte s’ouvrit et le même costaux me regarda puis me dit : « vous avez de la visite » 


Je respirais mieux, je croyais qu’il venait encore me battre. Mais qui viendrait me voir, je suis dans le sous-sol de la plus grande unité de police. Qui peut s’imaginer qu’il y’a un sous-sol ici et même que quelqu’un y est enfermé. 


Je vis un homme rentré et me fixer un moment 


Lui : (me fixant avec sa manette)  Madame Julie, je suis M. Adou Francis votre avocat 


Moi : (ahurie)  un avocat ? 


Lui : (continuant) oui et je vais vous demandez de ne rien dire et ne mentionner le nom de personnes. Si on vous interroge vous leur dirai que vous ne parlerez qu’en ma présence, ils m’ont vu donc comprendrons 


Moi : et s’il me batte ? 


Lui : (confiant)  il ne vous toucherons plus et ils vous nourrirons même 


Moi : qui vous a envoyé ? 


Lui : (ajustant sa cravate)  des gens assez puissants avec à la tête une dame qui me charge de vous dire qu’elle ne peut rien faire pour vous contre la ghanéenne. (Souriant)  J’ignore ce que ça veut dire mais vous le savez surement. 


Moi : (changeant ma mine)  Neslie Valls ! 


Lui : (regard dur) j’ai dit aucun nom ne doit sortir de votre bouche 


Moi : ils peuvent m’emmener dans un endroit plus décent s’il vous plait ? Je suis apeurée ici avec tous ces cris 


Lui : donc remerciez moi d’être là, sinon bientôt ces vous-même vos cris que vous alliez entendre et aussi pour pourvoir me permettre même de venir ici, vous n’avez même pas idée de tout ce que l’on a fait. Donc plus de coups et vous ne mangerez pas à votre faim mais c’est quand même bon. Mais gardez bien votre belle bouche fermée sinon, je n’ose imaginer…. (Froissant sa mine) 


Moi : (acquiesçant) d’accord 


Lui : je prends congés (se retournant) 


Moi : on se reverra quand ? 


Lui : je reviendrai le jour où l’on se reverra (sortant) 


Puis il partit, sans aucun autre mot pour moi. 


JAMILA 


J’écoutais Maxime me dire comment il avait défendu le fait qu’il ne pouvait pas être l’assassin car il n’était sur les lieux encore une fois et je m’ennuyais. Je me forçai de sourire afin qu’il ne sache pas que je m’ennuie. Je suis là mais mon esprit est sur Andy


Il continua 


Lui : (continuant avec une mine souriante) et donc ils m’ont dit que malgré que je ne sois  pas là, il m’appellerait si la pétasse de Julie qui était bien gardé au chaud dans les sous-sols de leur unité parlait ou me citait.


Moi : (le regardant) quelle unité ? 


Lui : la plus grande unité de police ma chérie


Il continua encore à parler lorsque je lui dis que je voulais me rafraichir. Enfin ces temps-ci c’était cela, je devais venir passer du temps avec lui, soit il maudissait tous car il n’avait plus de pouvoir ou de prestige ou alors me racontez comment malgré cela il avait réussi à ne pas être arrêter. 


Pourtant moi j’avais une mission et je devais retrouver cette carte, donc j’allais dans son bureau et fouillait pour voir si je retrouverai cette clé quelque part, je fouillais tous les tiroirs mais rien. 


Lui : Jockey ? 


Je sortis rapidement et partit dans la cuisine en revenant avec de l’eau. 


Moi : oui (revenant avec un verre d’eau) 


Lui : tu ne devineras jamais ? (souriant) 


Moi : oui dis-moi ? 


Lui : un homme d’affaires américain vient de m‘appeler 


Moi : ah bon ? 


Lui : oui il me propose une offre et il veut que l’on parle demain


Moi : (faisant mine d’être heureuse)  c’est chouette cela 


Lui : (m’enlaçant)  tu m’apportes que du bonheur ma belle 


Moi : (jouant le jeu) je t’en prie, mais je dois rentrer 


Lui : (souriant)  quand me fera tu l’honneur de dormir ici ? 


Moi : (ahurie mais faisant tout pour paraitre zen)  je ne peux coucher avec toi actuellement c’est un peu trop tôt pour moi, à part mon mari je n’ai point connu d’autres hommes (mentant) 


Lui : (me caressant la joue avec ses mains d’assassin que je détestais)  non je ne te forcerai jamais, on le fera au bon moment. Mais tu peux dormir ici, je ne ferai rien, mais je veux que tu le fasses car c’est aussi ta maison (me souriant) 


Moi : (acquiesçant) d’accord, (souriant)  j’y réfléchirai 


Lui : (me faisant une bise)  rentre bien je t’aime et embrasse Ethan 


Moi : (sortant)  je ne manquerai pas 


Je montais dans mon véhicule et envoyait un message à Didi 


« Moi : Julie est dans les sous-sols de la plus grande unité de police »

 

Des minutes plus tard.


Lui : merci, bonne soirée ! »

 

C’était clair, il ne voulait plus me parler. C’était vraiment la pause.  Ou la fin ?


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