Mon mari

Write by SerenaBlake

Cahpitre 1

J'étais couché sur le ventre, sur le canapé dans ma chambre, vêtu d'une mini nuisette à thon légèrement rose et qui m'arrivait juste en dessous des fesses. 


Je le sentis plus que ne l'entendit quand il fut près de moi. Mon mari me regarde dormir. Je ne suis pas sûr le lit parce-que une énième fois il m'a trompé. Et je n'arrive toujours pas à le quitter. Non pas a cause des enfants vu qu'on en a pas. Je l'ai dans la peau et il le sait. J'arrive pas à lui résister. Je sais ce qu'il veut, debout là placer devant moi. 


Il veut me baiser. 


Et moi idiote comme je suis, je me laisserai faire comme d'habitude. Rien que d'y penser, je sens des picotements dans mon  entre jambe. Je remue un peu mon corps ce traître, pour faire passer le désir mais rien à faire il est toujours présent pourtant mon mari ne m'a toujours pas touché. 


Avec mes yeux toujours fermer, je le sens se rapprocher de moi. Il pose sa main sur ma fesse et la pétrit, je voudrais lui crier de me lâcher parce-que je sais qu'il était  dehors avec une autre mais je n'y arrive pas. Sa main sur mon corps me fait tellement de bien. Il soulève ma petite robe jusqu'au niveau des reins et allume la lampe de chevet. Mes fesses sont totalement offerts à sa vue, de ses deux mains il empoigne chacune d'entre elles, les écarte et les soulèves. Je suis totalement exposée. Pas une mouche ne passe. Un souffle se rapproche petit à petit de mon corps, il veut me goûter comme il le dit si souvent. Je ne sens que sa langue sur la raie de mes fesses jusqu'à mon entrée intime. Je sursaute tellement c'est exquis. J'agrippe le canapé de mes deux mains en ouvrant grand la bouche histoire de savourer la caresse. Il fait passer sa langue plusieurs fois avant de me pénétré avec, j'arrive plus à me contrôler et je gemis de bonheur. Me maintenant fermement toujours par les fesses il continue de me torturer en douceur.


 Il me lâche à un moment et j'entends le froissement d'un habit, je devine qu'il a libérer son sexe et j'attends impatiemment  qu'il me l'enfonce, je le sens qui prends place au dessus de moi, ses genoux de part et d'autre de mon corps. Il empoigne de nouveau chacune de mes fesses comme tout à l'heure, j'attends qu'il me pénètre mais rien ne se passe, lasse d'attendre je soulève un peu mon popotin vers lui pour qu'il comprenne que je le veux en moi, mais rien. Quelques secondes plutard je sens son gland qui se frotte contre mes chairs.


Je tremble. Je mouille terriblement. 


La bontà de ça n'a pas de nom. Je gemis des oh oui ohh c'est bon. L'instant d'après il s'arrête. Le gland toujours là entre mes fesses. A un endroit précis ou c'est trop bon. Je remue doucement, c'est encore trop bon. Mais lui ne fait plus de mouvement. J'ai l'impression qu'il observe juste nos deux sexes collés comme cela. N'en pouvant plus je remue encore plus les fesses. Les gland monte et descend le long de mes chairs sans jamais me pénétré. Il y veille. Bizarrement c'est bon. C'est tellement bon que mes gémissement deviennent comme des plaintes. Je comprends qu'il veut que je jouisse comme ça. Il reprend la direction des opérations en m'imposant le rythme à suivre. Tout doucement. Il fait monter et descendre sa bite sur mon sexe avec une douceur et une lenteur délicieusement bonne. La jouissance qui m'emporte est terrifiante. Je crie. Seigneur, le gars ci n'est même pas entrer et je jouis comme ça ? ??


- Je ne t'ai même pas pénétré dit-il avec un sourire satisfait. Et tu planes déjà.  Tu sais qu'il n'y a que moi qui puisse te faire sentir ça.


Je ne réponds pas. Il a raison. 


-Si tu veux que je te baise bien rejoins moi sur notre lit.


Ah, donc c'est son plan. Il rêve 


Il se lève et se dirige vers le lit et alors je lui réponds en me redressant.


-Jamais. Tu n'es qu'un connard.


-Que tu adore avoir en toi.


-J'ai pris mon pied alors que tu ne l'étais pas. Pour t'avoir déjà eue laisse moi te dire que ceci était meilleur et de loin fais-je en le provoquant délibérément. 

  

Je m'assois et le regarde les yeux pleins de haine. Il revient vers moi l'air déterminer. Je prends peur et m'adosse sur le sofa en position de recul. Il ne m'a jamais frappé mais sait-on jamais. Aymar mon mari n'aime pas quand je remet en cause le talent de son bazooka.

 

Il s'agenouille devant moi. Nos bassins sont à la même hauteur. Il soulève mon pied droit, le plit et le pose à nouveau sur le bord du canapé. Mon sexe est de nouveau offert. Je veux rabaisser mon pied mais il le maintient fermement. Sortant un mouchoir de je ne sais où il entreprend de me nettoyer. Je suis sèche plus aucune trace de cyprine. 


Il me regarde narquoisement, me tire aux abords du sofa et prend sa bite qu'il met à l'entrée de mon auréole. Il entre doucement mais sûrement. Étant sèche j'ai un peu mal. Arrivé à la garde, il s'immobilise et me pince les téton qu'il a pris soin de libérer. Il pince pèse soupese. Seigneur. Qu'est-ce que le gars ci me fait comme ça?J'envoie la tête en arrière. Il s'incline et m'embrasse profondément le cou.


Ouhloulou, ça m'a tué. Je mouille littéralement et abondamment. Il maintient ma cuisse droite et commence à bouger tout en me pinçant le téton et m'embrassant le cou. Je crois mourrir de plaisir. Il bouge de plus en plus vite, je cri oh mama je cris. Il continue et on atteind le nirvana ensemble. Je tremble comme une feuille dans ses bras,  et il me tiens jusqu'à ce que je me calme, en continuant ses vas et vient. Puis il il se lève. 


- Il n'y a que moi qui puisse te faire juter comme  ça. Je te donne donne ça et bien. C'est pour cela que tu ne me quitte pas. 


Essoufflé je ne lui réponds pas. Mais il doit avoir raison. Sinon pourquoi je resterai avec un homme qui va voir ailleurs sans même se cacher?

Vous avez certainement remarquer qu'on ne s'est pas embrasser. Je lui refuse mes baisers depuis que je sais qu'il va dehors. Pour moi c'est trop intime. C'est un geste d'amour. Et je sais qu'il ne m'aime plus. 


Donc nous deux c'est juste... juste la baise.

A suivre.


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Plaisirs Villes.