MON PLUS BEAU CADEAU DE SAINT VALENTIN!
Write by Mabanabook
HISTOIRE D’UNE VIE L’AMOUR SELON MABANA : MON PLUS BEAU CADEAU DE SAINT VALENTIN
(Désolé mais -18ans là passez inh lol, chro veut s’essayer à presque tous genres d’écritures donc les pudiques ne m’en voulez pas tout comme moi je ne vous en veux pas)
C’était un matin, dans une période d’harmattan. Tout le monde devait se rendre au travail normalement de mauvaise humeur vu comment les lundis matins, les gens ont du mal avec la reprise, mais non presque tout le monde souriait et les rues étaient bondées de commerçants qui vous efforçaient à prendre ne serait-ce qu’une fleur pour la garder sur vous, histoire d’être dans la danse. Normal aujourd’hui est le 14 février, cela symbolise la fête de l’amour. Donc c’était comme un jour férié mais ouvrable.
Sneige Gnangne ne le voyais pas de cet œil, la raison, elle n’avait jamais de chance pendant ces fêtes c’était du genre restée seule ou avais sa meilleure amie Carole qui souvent aussi restait seule à ce genre de fêtes. Pas qu’elle n’appréciât pas ces fêtes, au contraire elle les adorait et achetait toujours un présent inoubliable pour celui qu’elle aimait, mais celui-ci trouvait toujours quelque chose pour la zaper, alors elle restait seule devant sa télé ou son portable en regardant le statut de ces connaissances qui avait assez de chance à cette fête et non elle.
Elle arriva au bureau vraiment pressée et snoba son assistante qui l’informait qu’elle avait reçu un bouquet de fleurs. Elle était déjà en retard pour sa réunion et en tant que responsable de la cellule projets ce n’était pas bon du tout.
La réunion pris fin vers les 14h et l’administration pouvait partir plus vite selon le DG, elle alla donc manger et essayait de parler à son amie Carole pour voir le programme du soir, lol les gens les prendrait surement pour des lesbiennes si elles vont dans un restau en se tenant la main.
Elle : carole, ça va ? Ma Valentine, alors dis-moi ce soir je t’emmène ou ?
C : coucou Sneige, désole mais mon mec vient de me surprendre en me disant que ma surprise était une nuit avec lui dans un bel hôtel à Assinie. Désolé ou si tu veux on te prend une chambre de plus et tu viens
Elle : non t’en fais pas, j’ai moi-même assez de travail, mais vas-y et profite bien
Puis elle replongea dans son assiette de frites au poulet et enviât un peu Carole, comme elle aussi avait envie de vivre ce genre de relation si spéciale ou tout respirait l’amour. Elle finit son plat et alla se remettre au travail, presque toute l’administration était vide. Ce n’est que son assistante qui vient la déconcentrer.
Elle : madame, j’aimerais si possible vous demander la permission de rentrée un peu plus tôt aujourd’hui
Sneige : c’est pour la St Valentin
Elle : oui désolé madame, je ne devrais pas mais mon mari est marin et il rentre ce soir pour retourner je ne sais quand donc je voulais aller lui faire un bon plat et m’apprêter pour le recevoir
Sneige : tu as de la chance allez vas y
Elle : merci madame et pour le bouquet de fleurs j’enverrai un pot demain. Il y’en a plus
Sneige : Bouquet ?
Elle : oui ce bouquet de fleurs là est arrivé ce matin pour vous
Sneige : ok merci
Puis elle partit. Sneige regarda vraiment le bouquet en se demandant qui ça pouvait être. Peut-être Carole pour se racheter, elle se leva et prit les fleurs, elles sentaient vraiment bon et puis elle prit la carte et l’ouvrit.
« 5ans que la femme qui me lit actuellement me repousse jusqu’à m’effacer même de sa mémoire. Aujourd’hui je suis revenue ici pour un séminaire et je serais à Azalaï Hotel, alors si tu veux bien me revoir après 3ans de perte de vue, voici mon contact. Appelle-moi si tu veux passer pour que je t’attende. J’oubliais Joyeuse St Valentin. » Signé Lucas Doua.
Elle relut le message près de dix fois et ferma son ordinateur puis partit chez elle, elle prit un bon avec de bonne senteurs qui laissaient un agréable parfum sur la peau, mit une des lingeries ultra sexy qu’elle avait payé mais n’avait jamais eu l’occasion de porter puis mis une belle robe noire près du corps et son parfum, la petite robe noir. Elle se mira une dernière fois et elle se dit intérieurement « j’ai aussi droit à une St Valentin, cette année »
Elle sortit, laissa son véhicule et emprunta un taxi direction Azalaï Hotel, vu le regard appréciateur que lui lançait le taximan et la phrase « il a de la chance cet heureux élu » qu’il lui lança à sa descente elle ne put qu’être confiante. Arrivée à la réception avec assez de stratégies et de manière elle réussi à avoir accès au numéro de porte de chambre de Lucas, elle prit à la réception du chocolat ferrero rochet et une bouteille de Baileys, il aimait bien lui offrir ce chocolat là et boire du Baileys comme elle.
Devant la porte, elle respira un grand coup et frappa, il ouvrit surpris elle le relooka tout comme lui le faisait et elle ne put que sourire. Luc n’avait pas changé toujours son corps musclé, son beau teint de métis et ce sourire contagieux qu’il aimait lui faire. Elle dit alors pour briser le silence « j’ai vu cette bouteille et ce chocolat et j’ai pensé à le partager avec un bon ami qui est de retour ici »
Il la tira et la fit rentré dans cette magique suite puis lui souffla à l’oreille « tu n’en as pas marre de me friendzoné ? Merci d’être venue tu es si magnifique »
Elle sourit et ne sut pourquoi ? Pour le compliment ou la friendzone. Il ouvrit la bouteille et lui servit un verre de baileys remplit de glaçon il en fit de même pour lui. Ils se regardaient sans parler, par où commencer ? 5ans qu’il lui faisait la cour et 3ans qu’il était allé taffer en France, elle ne voulait être avec lui car elle vivait un truc assez spéciale et compliquée. Mais aujourd’hui il est là devant elle toujours canon et disponible et elle se demande ce qui se passera.
Lui : on peut savoir ce à quoi tu penses ? (venant vers elle)
Elle : humm tellement de choses, mais ce soir je ne veux qu’une chose profiter de cette soirée avec toi
Lui : tu es venue avec cette bouteille d’alcool et cette boite de chocolat. Je croyais que tu aurais voulu que l’on parle ou que tu voudrais m’expliquer pourquoi depuis tout ce temps on ne s’est pas lancés ?
Elle : parler ? Nous ne faisons que cela pourtant nos bouches peuvent faire autre chose que parler !
Il la soulevait donc et la posait délicatement sur le lit en lui reniflant le cou et tout le reste puis lui disant « que veux-tu que l’on fasse d’autre Sneige » elle se jeta sur lui et l’embrassa et dit « ça par exemple »
Il l’embrassa donc aussi tout en se débarrassant délicatement de sa belle robe noire qui avait une fermeture éclair devant, elle le regarda pensant que d’un trait il allait réussir à enlever sa robe en faisant descendre cette fermeture éclair rapidement mais non, il la fit descendre lentement très lentement en l’embrassant sur chaque partie de son corps cachée par cette fermeture éclair. Ensuite il souriait à la vue de son ensemble si sexy, elle souriait juste. Il vient donc vers elle et le lécha le bout de son sein encore enfermé par ce tissu si fin, elle sentait malgré cette barrière le bout de sa langue sur son sein gauche qui commençait à fermement se durcir.
Il le constatait et de sa main il caressait son sein droit en y faisant sortir le bout de son sein qu’il empoignait en tirant de façon délicate le bout, le désir montait vraiment, elle se sentait chaude et ne désirait qu’une chose lui appartenir cette nuit. Il fit enfin sortir le sein droit et il y mit sa langue chaude il l’embrassait tel une pomme que l’on croquait avec amour, délice et délicatesse. Il faisait tournoyer ces tétons à tour de rôle dans sa bouche, elle gémissait. Il laissa une main sur son sein et descendit plus bas avec sa langue en la léchant de sa poitrine jusqu’à son entrejambe, il sourit lorsque malgré le dessous qu’elle portait elle était déjà humide, il décala donc le dessous sur le côté et il mit son nez dans son sexe en aspirant toute l’odeur qu’il jugeait d’agréable. Il toucha donc son sexe avec son index et souriait, puis il se leva.
Apres sous le regard interrogateur de Sneige mais qui ne disait rien d’autres. Il prit un glaçon le mit dans sa bouche et alla vers son entrejambe, respirant encore le parfum que celui-ci dégageait et souriait. Il commençait à la lécher très lentement avec cette glace qu’il avait dans la bouche elle ne put que gémir en serrant fortement sa main qui avait repris du travail sur son sein. Il continua à la lécher avec cette glace en écartant encore plus ces lèvres et essayant d’y faire entrer sa langue si glacé et humide. Elle ne respirait plus normalement en se demandant si c’était vraiment le Lucas qu’elle avait tant négligé et friendzoné qui lui procurait tout ce bien avec juste sa langue. Il allait plus vite car avec son autre main il enfonça un doigt d’abord qui la fit crier et ensuite deux puis trois. Cette nuit les voisins pourront se plaindre et ils auront raison car oui elle hurlait de plaisir, il continua à la lécher à s’amuser avec le bout de son sein qui ne faisait que durcir et son autre main s’appliquait vraiment en bas.
Il se leva en enlevant son short pour laisser place à un vrai sexe mâle qui à sa vue ne donne que des idées cochonnes, elle aurait bien voulu lui faire plaisir mais il la retourna et s’enfonça en elle doucement. A chaque fois qu’elle le sentait se loger en elle gémissait de plus belle et lui aussi d’ailleurs en disant « que tu as adorable ici » il parlait bien sûr de son sexe et elle en était ravi. Il commença donc à lui donner des coups de reins des plus lents au plus rapide. Elle voulut mourir de plaisir dans sa main. Cette nuit était vraiment une St Valentin pas comme les autres.
Ensuite il la retourana la mettant en levrette et lui demandant en écartant bien grand ces pieds et lui envoyait de tels coups qu’elle hurlait presque en marquant ces marques sur son dos car elle le griffait même. Jamais elle ne s’était sentie aussi bien sous des coups de reins aussi forts. Il quitta en elle et revient cette fois ci en se couchant sur le lit, respirant encore son sexe, posant sa tête dessus jouant avec et léchant là en mettant tout le petit capuchon rouge dans sa bouche tel une tétine qu’on donna à un enfant.
Elle : Lucas je t’en prie (gémissant)
Il continua
Elle : Lu…L…U ….LUCAS (hurlant de désir)
Il continua même en tétant plus fort et disant « si tu m’avais prévenu pour cette soirée j’aurais décoré cet endroit pour le rendre plus amoureux. Mais bon tu le rends déjà » puis il continua plus fort sans stopper.
C’en était trop, le plaisir était trop à supporter pour elle, vous savez ce moment où tu veux juste, pleurer, crier, hurler et gémir et bien toutes ces sensations étaient présentes en elle.
Elle : (le suppliant) Lucas…..
Ce plaisir-là était plus fort qu’elle.
Il se leva et alla l’embrasser puis il tétait son sein déjà assez tendu. Il était couché sur elle avec une main sur son sein gauche, sa bouche sur celui du droit et sa main qui faisait un travail assez remarquable en bas que pouvait-elle dire de plus à part entre deux gémissent « Lucas » et en lui serrant la main « tu me fais du bien » elle ne pouvait que gémir, respirer plus fort, tirer les draps du lit et fermer ces beau yeux. La sentant presqu’arrivée il lui dit sur ton assez sensuel et dur.
Lui : (toujours dans sa même position) je t’interdis de venir nous le ferons ensemble
Elle : je ne sais pas si je pourrais me contrôler (parlant à peine)
Lui : tu le peux, alors fais le (souriant)
Il continua donc de la torturer et elle tenait du mieux qu’elle pouvait. Puis il se remit en elle, et cette fois-ci il y alla extrêmement fort et rapidement. Elle était comme sur une autre planète tellement les coups de Lucas l’emmenaient loin de la terre. Elle respirait plus vite et lui aussi. Puis il se rapprocha t’elle et lui dis « vas-y maintenant, viens. Je suis prêt » et ensemble ils se laissaient se vider en se fixant.
Il : (la regardant) j’aimerais te faire jouir ainsi tout le temps, vu comment tu es plus belle et magnifique quand tu jouis.
Elle sourit juste et il lui apporta le paquet de chocolat en lui disant « on déguste ensemble ? », elle sourit juste et dit « oui ». Elle mangea avec lui en regardant Lucas sous un autre jour.
Le matin, elle prit son téléphone et il était déjà 6h30. Elle qui se réveillait tous les 5h du matin, elle a vraiment dormie aujourd’hui. Elle se leva en marchant sur la pointe des pieds s’habilla et embrassa Lucas sur le front. Elle voulut rester et parler avec lui mais vu comment elle l’avait fait tourner c’était surement sa revanche qu’il venait de prendre en la faisant hurler et défaire tous les draps du lit hier, elle préférait partir pour ne pas qu’il la fruste en se levant et lui disant « tu es encore là ? ».
Si elle n’avait pas joué les connes et n’avait pas pensé aux autres elle et lui aurait formé un beau couple et aurait fait pleins de choses comme la scène d’hier sans forcément attendre la St valentin, mais hélas elle a perdu sa chance. Il l’a trop attendue, il doit avoir sa petite famille aujourd’hui ou sa petite chérie qui l’attend et qui l’appellera sûrement ce matin pour savoir pourquoi il était injoignable hier. Et lui en vrai gentleman la rassurera en disant qu’il était fatiguée par le vol et n’était avec personne, car oui à bien y penser elle représentait surement personne pour lui. Rien que cette pensée avait réussie à lui faire couler une larme. Pourquoi ? Elle ne sait pas. Cet homme a toujours été gentil, attentionné et bien avec elle mais ne le calculait pas. Il ne la laissait indifférente mais elle pensait trop donc ne l’aimait pas car quand on aime on ne pense pas. Cependant après la nuit d’hier la voilà à pleurer en pensant à la chance que sa copine avait de dormir et se réveiller chaque matin avec lui. Les gens avaient raison lorsqu’ils disaient que le sexe est comme l’argent il ne fait pas le bonheur d’un couple mais y participe vraiment. Car oui elle croit ressentir bien plus que de l’attirance pour cet homme, après cette nuit torride d’hier, mais elle doit partir.
Elle prit donc son sac et ces chaussures et ouvrit la porte doucement mais avec une boule au ventre. Puis une main la saisit par la taille en parlant dans son oreille
Lui : même après cette nuit Sneige, tu veux encore me fuir et me friendzoné ensuite. Ma patience a des limites
Elle : (soulagée qu’il l’ai retenue mais ne sachant quoi faire) euh Lucas, je ne voulais te réveiller en plus tu sais hier on n’a pas vraiment parler on a vécu la St Valentin et c’est tout
Lui : (voix si sensuelle) j’ai trop attendu, trop patienter et souffert pour que tu viennes toi-même vers moi et que je te laisse partir, non Sneige
Il l’attira à la chambre et la vit asseoir sur ces pieds
Elle : mais je dois travailler aujourd’hui
Lui : appelle et invente un truc je n’irai pas aussi au séminaire d’aujourd’hui, je t’ai toi et ça me suffit.
Elle : oh Lucas (émue)
Il posa sa main sur sa bouche, elle ferma les yeux, il l’embrassa
Lui : je ne peux te laisser partir ainsi, je t’ai attendu trop longtemps malgré tout ce qui se passe dans ta vie actuellement on sera ensemble Sneige
Elle : (souriant) il n’y a rien dans ma vie actuellement et toi ?
Lui : (souriant avec un air rassuré) on va prendre une douche et manger et ensuite tu me diras tout ce que tu veux savoir sur moi et aussi comment tu désires que cette relation se passes. Tout se fera selon toi. Et enfin j’irai chercher un cadeau de St Valentin à t’offrir, ne t’en fais pas pour moi car tu es déjà là et c’est le meilleur présent.
Elle : tu es mon plus beau cadeau de St Valentin (souriant et l’embrassant)
PURE IMAGINATION ENCORE UNE FOIS !