Chapitre37: Mr and Mrs GOGAN

[Vendredi]

***Daphnée***

Moi : Est-ce que je suis obligée de mettre du mascara ?

Maquilleuse : Oui madame laissé moi faire, vous serez satisfaite

Cindy : tais toi et laisses la faire son travail

Moi : d'accord maman ooh

La cérémonie est prévue pour seize heure, je n’ai pas vu mon chéri depuis hier, j’étais occupée avec les préparatifs. Je ne sais pas comment les choses se passe chez nous en même temps je n’ai jamais assisté à un mariage coutumier dans ma famille, c’est papa et maman qui s’y présentent et nous les enfants nous sommes à la maison. C’est tante Varenne la grande sœur de papa qui me guidera, c’est elle l’ainée.

Maman (entrant) : Ça y est ça veut commencer. 

Moi : oufff

Maman : toi tu restes là, on viendra te chercher au moment opportun

Tata Varenne : qui sont celles qui veulent te représenter au passage ?

Moi : Soraya et Chancelle

Tata Varenne (les regardant) : Vous savez ce que vous avez à faire ?

Elles : oui

Tata Varenne (s’en allant) : Suivez-moi alors

Les filles l’ont suivit en me laissant seule avec la maquilleuse. Même Cindy est partie. Ce sont mes cousines, Soraya c’est la fille de tata Varenne et Chancelle c’est la fille de mon oncle Bernard, Celui qui vient après tante Varenne. Mon grand père paternelle à huit enfants dont quatre filles, quatre garçons. Papa est le cinquième enfant et le dernier garçon, certains cousins sont au village et d’autres jouent aux citadins dans la ville, on se croise on se salut, on prend des nouvelles, quand il y a des réunions on se présente. La famille de papa nous adore mais juste que chacun est dans son coin et ne s’attarde pas sur les autres mais quand il y quelques choses, tu auras du soutient derrière toi. Comme aujourd’hui, toute la famille est présente disons tout le village parce qu’ils sont tellement nombreux. Heureusement que papa a été clair, personne ne passera la nuit dans sa maison. Ma famille maternelle est aussi présente. 

***Oncle Oscar***

Nous avons mit en tête Arielle et ses cousines c’est un rang que nous avons formé devant le portail, les femmes gardaient les présents sur la tête. Des nattes on été disposées au sol, et une jeune femme, ayant noué le pagne à la taille nous a accueillis en aspergeant de l’eau sur les nattes et c’est sur cela qu’on à marché jusqu’au milieu où nos femmes on disposés les présents. Chant, cris de joie et danse étaient au rendez vous. Très bel accueil.

Cette fois ci c’est toute la délégation Gogan qui était assis dans la cour de monsieur Darius. Les Alambi en face, mon Dieu qu’ils sont nombreux. La cérémonie n’a pas tardé à commencé.

Les ainées étaient assis  au milieu en face des présents ils étaient au nombre de quatre. C’est le grand oncle qui s’est levé pour diriger la cérémonie. Il a d’abord salué l’assemblée et nous a souhaité chaleureusement la bienvenue. Moi pensant que les choses allaient vite se faire mais non, il est rentré dans un long discours en nous parlant de leur fille.

Ils nous on retardé de plus d’une heure avant de rentrer dans le vif du sujet. 

Oncle : Parce que vous pensez que notre fille est tombé du ciel et comme ça vous l’avez gardez pendant plus de trois ans et ce n’est que maintenant que vous vous présentez, ce n’est pas ça ? 

Moi : non ce n’est pas ce que vous pensez

Oncle : ah tient donc

Je me suis senti tellement petit devant lui. 

Chuchotement dans la foule

Moi : Nous vous présentons nos excuses et pour ça nous déposons ceci (remettant l’enveloppe)

Aldrich avait  prévu tout ça, en plus des 1million demandez par la famille pour la dot. 

Oncle : juste une petite enveloppe ?

Moi : une enveloppe qui est petit mais pèse dans le fond

Oncle :Je reviens

Ils se sont retirés avant de revenir avec un air qui n’en dit pas son nom.

Oncle : Désolé nous ne pouvons accepter ceci (gardant l’enveloppe dans sa main) Parce que outre cela, votre fils a prit notre fille sous son toit avant de la jeter vulgairement (secouant la tête)  et maintenant vous revenez nous dire que vous voulez de cette même fille dans votre famille.

Un oncle : Jamais

Là il parle de ce problème qui s’est passé récemment entre mon neveux et leur fille. Clémentine m'a fait un résumé de l'histoire et j’étais loin d’imaginer qu’il allait s’en servir. Décidément cette famille

Moi : Nous en sommes conscients et je peux vous assurez que c’était un malentendu.

La foule de leur côté : hounnn

Un autre oncle : malentendu ?? 

Moi : tout à fait, notre fils a été victime d’un malentendu dont il ignorait lui-même. 

Oncle : parce qu’il ignorait qu’il a jeté notre fille ? 

Moi : il ne l’a jamais jeté, elle est partie d’elle-même, suite au problème mais cela s’est arrangé et c’est parce qu’il aime éperdument votre fille que nous sommes ici. Il s’est racheté

Oncle (secouant la tête) : Il s’est racheté en faisant quoi ? En lui offrant un véhicule ? Parce que vous pensez que nous n’avons pas les moyens d’offrir un véhicule à notre enfant ? (regardant les siens) parce qu’on n’a pas les moyens ? vous nous prenez pour qui ? Notre fille a étudié et elle travail, ce n’est pas l’argent de véhicule qui lui manque n’est ce pas ? 

La foule : nonnnnnnnnnn

Un autre oncle : jamais, on peut tous se payer des véhicules, ne venez pas vous payer notre tête 

La foule : jamaisssss

Moi : nous nous excusons si dans le comportement de notre fils, il vous a offensé. Et ce n’est pas pour se racheter qu’il la fait mais pour l’amour qu’il porte à votre fille.

J’ai encore déposé une enveloppe et ils se sont retirés encore une fois.  Ils sont revenus avec une autre excuse disant qu’Aldrich a un fils, qu’ils pensent qu’il n’est pas honnête envers leur fille et que c’était la mère de son fils qui avait tous créé avec une histoire de fétiche. Là c’est gâté. 

Clémentine (se levant) : Mes ainés, encore une fois je vous salue, Au nom de mon fils, au nom de ma famille,  au nom de mon défunt mari et en mon nom, je vous présente nos excuses les plus sincères.Je ne trouve pas raison à mon fils, loin de là, s’il a agit c’est peut être par amour, mais jamais en trois ans il n’a été vulgaire envers votre fille, il l’a toujours dévoué respect et fidélité 

Oncle (dur)  : vous étiez là ? 

Clémentine : Non je n’étais pas là mais votre fille peut témoigner. Pour ce qui est du malentendu, je peux dire que nous avons été témoin et mon fils dans son état normal n’oserait jamais faire une telle chose, Dieu nous en est témoin, et grâce à ce même Dieu, il a été délivré. Je vous demande humblement d’oublie cet incident et de penser à votre fille. Ce que Dieu a unis l'Homme ne peut séparé. Et c’est toujours Dieu voulant que nous sommes ici aujourd’hui.

Oncle : … oui ? 

Clémentine : Et moi vivante, une mouche ne s’approchera de votre fille dans ma famille, Laissez nous en prendre soin comme si elle était dans vos mains. Pour cela je dépose ceci (enveloppe).

Applaudissement de la foule

Oncle : Bien excusez nous

Ils se sont retirés et cette fois ci ils sont revenus trente minutes après. 

Oncle : Ce que femme veut, Dieu veut dit-on. Alors qu’on vous amène votre femme

Ils sont revenus avec une femme qui se cachait derrière un voile qui n’était pas du tout transparent. Elle devrait passer devant la foule sans enlever le voile, c’était à nous de deviner si c’est notre femme ou pas. C’est là que j’ai su que ce n’était pas qu'un simple jeu parce que si je faisais un mauvais choix, on allait simplement repartir sans la femme et c’est Aldrich qui va en mourir. (rire). Non nos poches allaient simplement en souffrir.

Elle est venue s’agenouiller devant moi

Clémentine et Arielle : Ce n’est pas elle

Oncle : vous voulez votre femme, la voilà, enlevez lui le voile et elle sera à vous

Clémentine : Ce n’est pas elle tonton

Moi : heureusement, je ne peux retirer le voile parce que ce n’est pas notre femme. 

La foule : Houuuuuuuu

Elle est repartie et la jeune femme qui nous avait accueilli au portail en aspergent de l’eau au sol est revenue avec un bol. En dansant devant nous. 

Oncle : Donc comme vous savez qui est votre femme et il y a une multitude de jeune femme dans notre famille, vous savez ce qui vous reste à faire.

Bien évidement on a mit la main dans la poche tout le monde à cotisé et une fois satisfaite, elle s’en est allée avec son bol rempli de pièces et de billets de banque.

Chant + Ovation

Une autre femme est revenue accompagné de chant avec toujours un voile cachant son visage, elle était un peu plus élancé que la précédente. Même scénario, Il a fallut peu j’allais enlevé son voile

Arielle : Tonton ce n’est pas elle

Moi : Non nous n’allons pas enlever le voile Ce n’est pas notre femme.

Oncle : Vous êtes sûr ? Et si je vous dis que c’est elle

Moi : Moi absolument certain que ce n’est pas elle.

Oncle : Vous risquez de perdre

Moi : On assume

Applaudissement de la foule

L’autre femme est revenu, encore pour collecter les sous disant qu’il faille faire une recherche approfondie là, j’étais énervé c’est de l’arnaque ce n’est pas possible. J’ai du me contenir pour ne pas gaffer. Pfff Nous avons encore cotisée et elle est repartie.

***Daphnée***

Ana : Merde Daph ça chauffe là-bas Hummm

Moi (Stressée) : Raconte

Ana : Heyy c’est la première fois que je participe à un mariage coutumier c’est doux deh

Cindy (arrivant) : Ta belle famille est entrain de voir le feu.

Ana : J’espère qu’ils ont les reins solides parce que à cette allure ils risquent de ne plus avoir un centime dans la poche

Moi : et papa dit quoi ?

Cindy : que voulais tu qu’il dise, il n’a même pas la parole

Moi : et qui dirige ?

Cindy : Humm ton Oncle

Moi : Oncle Bernard ? 

Soraya : oui

Tata Varenne (entrant) : Les filles changez vous rapidement. Daph c’est le moment.

Soraya et Chancelle : Nous nous sommes changés déjà

Moi : Je suis prête depuis

Tata Varenne : Porte le voile et mets toi ici….

***Oncle Oscar***

Trois femmes sont apparus les unes derrières les autres en dansant jusqu’au milieu de la foule, elles se sont agenouillées devant nous. Je devrais choisir cette fois ci la vrai Daphnée mais comment la reconnaitre ? Je ne faisais que  penser à Aldrich

Moi (m’adressant à Clémentine) : Tu la reconnais ?

Clémentine : Oui c’est …

Arielle : Celle qui est au bout de l’autre côté

Clémentine : Ce n’est pas elle au milieu ?

Arielle : Non maman c’est elle là-bas

Moi : Je fais comment ? 

Clémentine : Vas-y Oscar

Moi (la regardant) : Je te fais confiance Arielle

Arielle : Oui tonton fais moi confiance

Je me suis levé en allant vers la personne indiquée par Arielle en voulant retirer le voile, j’ai été interrompu par l’oncle Bernard

Oncle : Etes vous sûr de votre choix ?

Moi : oui nous sommes très convaincu 

Oncle : Je parie que c’est celle du milieu

Moi : Je peux vous promettre que c’est celle-ci. Celle que nous recherchons vaut plus que l’or, elle est une pierre précieuse et voyez vous, les bonnes choses se ressentent de loin. Nous l'avons ressentir de loin et elle nous a attiré. Comme je le disais, c’est une pierre précieuse et elle ne peut se fondre dans la masse, elle ne passe pas inaperçu donc je retire ce voile (retirant le voile).

La foule : Ouuuuuuuuuuu 

Tam-tam

J’avoue que j’avais peur je me disais et si Arielle s’était trompée et si, et si, et si... Mais c’est elle, c’est Daphnée qui était sous le voile, belle et ravissante il n’y a que mon neveu qui puisse mieux apprécier sa femme.

Elle s’est levée en faisant face à la famille. Les deux autres femmes sont reparties en nous laissant.

Oncle (souriant) : Bravo je suis à même de vous ovationner

Moi : Merci

Oncle : Mais

Je savais qu’il avait quelque chose derrière la tête

Oncle (s’approchant) : mais

Moi : hummm

Oncle (tendant la main à sa fille) : Notre fille ne pourra pas vous suivre comme ça

Foule : houuuuuu

Oncle : vous la voulez, mettez le prix

Ça je l’avais prévu. Comme si tout ce qu’on a déposé dans les enveloppes était du sable.  J’ai déposé une enveloppe, je crois qu’il y avait 50 mil dans celle ci.

Toutes les enveloppes que nous avons remit n’ont pas été ouverte, ni les valises ni les sacs, rien tout était fermé et couvert d’un pagne c’est ce que sa mère à décidé. On ne sait pas qui est qui dans la foule.

N’est ce pas qu’elle est chère aux yeux de ses parents ?  Et qui dit chère dit chère et vente aux enchères selon l’oncle Bernard donc tous le monde a déposé l’argent au front de la jeune femme. 

Décidément cette famille c’est pour nous arnaquer. Je pensais que ce serait aussi facile comme au cours des premières présentations.  Mais non je me suis trompé. Il a remit la main de sa fille a ses deux parents c’était à eux de nous remettre leur filles.

Darius : Daphnée mon bébé ; ma fille, ta mère est mon soleil, ton frère ma lune et toi mon étoile. Tu as toujours su nous apporté la lumière et le sourire. Grande mais toujours petite pour moi, tu as toujours fais ma fierté. Tu as toujours su te servi des valeurs que ta mère et moi t’avions inculqué. Voilà venu le moment ou tu dois t’en allé, pas t’en allé totalement mais que tu t’en vas te construire, construire ta propre famille. Sois heureuse chérie et que Dieu t’accompagne et guide tes pas. 

Daph (les yeux baignés) : Merci papa

Ingrid (larmes aux yeux) : tu n’es pas que l’étoile de ton père, tu es notre étoile à nous trois y compris ton frère, quand je t’ai tenu pour la première fois dans mes bras à l’hôpital, j’ai été comblée, tu es apparu avec toute la lumière, tu as ce dont de nous éclairés. Puisse tu apportes cette même lumière dans ton foyer, au sein de ta belle famille. Tel un sel tu donneras le gout qu’il faut à ton homme, tel un sel ton manque se fera ressentir où tu mettras les pieds, tel un sel tu ne manqueras jamais d’admiration. Et tel un miel ton gout ne changera jamais

Daph : Amen maman 

Darius et Ingrid : Prenez soin de notre fille

Daph (larmes aux yeux) : merci maman, merci papa

Clémentine : Je vous en fais la promesse

Applaudissement + bruit de tam-tam

Ils se sont fait l’accolade et moi-même j’en étais ému. J’ai pensé à moi, je n’ai que des garçons donc vous comprenez. Ils nous on donné la main de leur fille sous des applaudissements, des chansons, au bruit de tam-tam. Ensuite la fête a commencé, à cet instant je ne craignais plus rien. Les nourritures et les boissons sont sortis de nul par. Ça ne vient pas de nous mais d’eux.  

J’ai pu pousser un ouuff de soulagement. Si Aldrich était présent, je ne pense pas qu’il pourrait se contenir avec ce qui vient de se passer ici aujourd’hui. J’avoue que j’ai eu chaud personnellement. 

Bernard s'est rapproché de moi faire la causette, il félicite notre courage. Rire ce type. Je l'ai aussi remercié. 

***Daphnée*** 

J’ai été émue par le discours de papa et maman ; j’ai fondu en larmes, j’avais des frissons dans tout le corps. Je suis tellement fière de mes parents. Pour la petite devinette j'ai juste filé la réponse à Arielle. Je lui ai montrer ma tenue et le voile que je voulais porter. Lol qui est bête. 

Ils m’ont forcé à dansé avec l’oncle Oscar ensuite avec papa et l’oncle Bernard. Les filles on ramassé les présents et tout a été déposé dans la chambre de maman. C’est quand même mal que le marié ne soit pas présent au cours de la remise de dot j’aurais tellement aimer qu’il soit là et que ça soit à lui même en personne qu’on donne ma main vraiment la tradition. Maman dit qu’on n’épouse pas l’homme mais plutôt sa famille c’est pour ça que cela se présente ainsi. Okay

Cindy (apparaissant) : tu rêves où quoi ? Ton mari n’arrête pas d’appeler inh, il faut lui répondre

Je suis allée m’enfermer dans ma chambre loin du bruit pour discuter avec lui. 

Moi : Mon amour 

Aldr : tu fais quoi ? 

Moi : humm toi tu fais quoi ? 

Aldr : couché dans la chambre à humé l'odeur de ta robe de nuit, tu me manques bébé

Moi : j’aurai tellement aimé te voir ce soir

Aldr : C’est mon oncle qui vient de m’appeler pour m’informer que j’ai la femme. 

Moi : lol

Aldr : tu veux que je passe ? 

Moi : non Aldrich

Aldr : Daph

Moi : oui bébé, patiente encore quelques heures

Aldr : Bon raconte moi comment les choses se sont passés

Moi : Ahh  bien, bien 

Aldr : Hummm

Moi : je préfère te laisser juger par toi-même après. Ton caméraman n’a rien loupé t’inquiète

Aldr (baillant) : okay bb bon je te laisse j’ai sommeil et vas vite te coucher s’il te plait 

Moi : oui chéri 

Aldr : On se voit demain à la mairie

Moi : ouais Bisous

Aldr : Bisous

Demain je serai une femme mariée légalement, je n’arrive pas à y croire Demain le grand jour. Je ne su à quelle moment le sommeil m’emporta là sur le lit. Je me suis réveillée au beau milieu de la nuit pour enlever les vêtements que j’avais sur le corps et me recoucher comme ça. 

J-J

Avant d’aller à la mairie maman m’a prise dans sa chambre pour me parler. 

Maman : Chérie, je suis tellement fière de toi. 

Moi : Merci maman

Maman : Je vais te dire exactement ce que m'a dit ta grande mère le jour où je me suis mariée.

Moi (dressant les oreilles) : ... Maman : Tu te rends chez ton mari, je veux que tu saches que toutes les fois où j’ai crié sur toi, toutes les fois où j’ai grondé sur toi, je ne voulais que ton bonheur. Aujourd'hui je te vois heureuse et je suis comblée.Sois pour ton mari un pilier pour sa maison, sois pour ton mari un guide, une amie, une sœur, une confidente, une conseillère. Sois son épaule quand il en aura besoin.Quand tu as des problèmes dans ton couple, règle les dans ton couple, entre ton mari et toi, ce qui se passe c’est entre vous deux là bas ne concerne personne d'autre et quand ça te dépasse, tu peux te rapprocher de moi ou de papa pour prendre conseil. Tu dois respect, fidélité et obéissance à ton mari. Que Dieu te comble et te guide. 

Moi : Merci maman

Maman : Mets toujours Dieu au centre de ton foyer

Moi : oui

Maman : pourquoi tu pleures, tu vas faire couler ton maquillage 

Moi (snif) : Je suis heureuse

Daryl (entrant) : Vous êtes prête ? 

Nous (nous levant) : oui

Daryl (me regardant) : Tu es ravissante

Moi (je l’ai prit dans mes bras) : Merci chéri

Maman : papa nous attend

La cérémonie n’as pas été longue, juste des papiers à remplir. En suite on s’est dirigé à l’église c’est au bras de papa que je fis mon entré. 

***Aldrich***

Elle est splendide c’est la seule que je voyais, je la regarde s’avancer tout doucement au bras de son père. 

Son père (me regardant droit dans les yeux) : prends soin d’elle.

J’ai juste hoché la tête

L’homélie à été longue je voulais que le prête prononce vite la phrase, cette phrase la que nous connaissons tous. 

Le prêtre : Daphnée Doris Alambi voulez vous prendre comme époux Aldrich Gogan ici présent, le chérir, l’aimé pour le reste de votre vie ?

Daph (les yeux brillant): oui je le veux 

Le prêtre : Aldrich Gogan voulez vous prendre comme épouse Daphnée Doris Alambi ici présente, la chéri et l’aimer pour le reste de votre vie ?

Moi (avec fierté) : Oui je le veux

Prêtre : les alliances

Mélanie et Annabelle on fait passer la corde nuptiale autour de nous. Le prêtre après bénédiction des alliances nous les a remit.

Daph : (me passant la bague en me regardant droit dans les yeux) : moi Daphnée Doris, je te promets fidélité et respect, t’aimer et te soutenir dans les bons comme mauvais moment de ta vie jusqu’à ce que le mort nous sépare.

Moi (faisant pareil) : Daphnée, je promets devant Dieu et devant les hommes ici présent respect et fidélité,  je promets te chérir, t’aimé et te soutenir dans les pires comme les bons moments de ta vie jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Le prête : Par le pouvoir qui m’a été conféré et par les liens sacré du mariage je vous déclare mari et femme.

La foule : le baisé le baise le baisé. 

Vive les mariés

[…]

Nous avons fait un tour dans la ville ma femme et moi en laissant le temps aux invités d'aller s'installer.C’est dans mon hôtel qu'aura lieu la réception j’avais prévu tout au moins 200 invités des deux côtés mais apparemment il y en avait plus et de la même manière nous avons reçu beaucoup de cadeau. Avant la coupure du gâteau nous avons tenu souffler quelques mots. 

Daph : Quand je t’ai rencontré, je ne savais pas que je finirai un jour par me marier à toi. Peu à peu j’ai appris à t’aimé et j’en suis digue de toi. 

Rire dans la foule

Daph : Oui, Et merci pour ce bonheur que tu me procure, merci pour cet amour inconditionnel. Un grand merci également à vous tous, pour votre présence, votre attachement et votre amour. Plus qu’un amie, elle est une sœur, je voudrais aussi lui dire un merci du fond du cœur. Ma Cindy tu es unique.

Cindy : Merci ma belle

Moi : Chérie, je voudrais te dire ceci, (sortant mon bout de papier) la lecture peut être longue tout comme elle peut être courte mais sache que ces mots écrit sur ce papier son uniques, sincères et valent beaucoup à mes yeux je l’ai écrit du fond de cœur. (Lisant) simplement je t’aime chérie

La foule : waooooh c’est beau, bravo 

Nous sommes passés à la coupure du gâteau 

Avec ma femme, je me suis rapproché de nos invités pour saluer et remercier, ensuite sur la piste de danse Jusqu’à ce que tout le monde ne prenne congé. Nous sommes montés dans notre suite pour une nuit inoubliable, la plus belle d’entre toutes les nuits, une nuit unique différente de toutes ces années. Ce soir, je suis un homme marié, marié à la femme de ma vie, mon oxygène, mon amour, mon rayon de soleil, celle qui illumine et illuminera ma vie. Celle que j'ai appris à connaître en trois ans,  celle dont je suis fou. 

***Daphnée***

J’ai rangé tout les cadeaux que nous avons reçu dans la deuxième chambre au retour je vais voir comment gérer. Pour ce qui est des présents de la dote aussi, je verrai tous ça après. Là maintenant je n’ai pas le temps, nous sommes rentrés faire nos valises puisse qu'on part en lune de miel ça c'est encore l'idée d'Aldrich er nous rendre ensuite chez les parents pour un repas. Ça fait plaisir de voir l’entente qu’il y a entre mes parents et mon mari. Surtout avec maman,  il est resté à discuter pendant un bon bout de temps. Ils se disent quoi même (sourire) 

Papa et Daryl nous ont déposés à l’aéroport à 18h

Papa (me prenant dans ses bras): bon voyage chérie 

Moi : merci mon papa d’amour

Daryl : amusé vous bien 

Moi : merci Chéri

Nous : merci à vous

Moi : bye bye et bisou 

Nous rentrés dans l’enceinte. On a remplit les formalités avant d'aller s'asseoir et d'attendre l'appel. 

Ping sms

Cindy : Bon voyage mr et mrs Gogan

Moi : merci maman chérie 

Cindy : de rien secoue le bien 

Moi  : lol 

Cindy : profite de chaque instant 

Moi  : promis. Bon je dois y aller Bisous

J'ai éteint le portable parce que c'était l'heure.Nous nous sommes installés dans l'avion et on s’envola pour les Etats-Unis.

Moi (tête contre son épaule ) : bon voyage mr Gogan

Aldr (bisous sur le front) : Bon voyage mrs Gogan

A suivre….