>> NADIA << Acte 4

Write by chrochro241

*** NADIA ***

D’après la chronique « C’EST NOËL ! », déjà parue. 

ACTE 4 

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>> NADIA <<

 

J’ai préparé toutes sortes de boisson fraiche pour servir l’apéro avec une petite table roulante. Je quitte la cuisine pour venir au réfectoire, en poussant la porte avec la petite table à roulettes.


Je rentre dans le réfectoire sous les cris de joie, les applaudissements et quelques sifflets. Putain ! Ils arrivent à me faire rougir avec leurs regards braqués sur moi. J’aurais pu mettre la table à roulette dans un coin puis filer à la cuisine pour disparaitre les laisser et laisser ces messieurs se servir tout seul, mais je trouve plus sympa de les servir moi-même. Après tout je suis payé pour les servir personnellement.


Je commence à leur servir boire. Il y a un peu de tout, du jus à la bière. Chacun ne manque pas de me dire un p’tit mot.


- Salut toi ! Moi c’est Alain.

- Moi, c’est Nadia !

- Ravi de te connaitre.
- Idem !

 

Je dis « idem » en lui faisant un sourire que je force pour la circonstance.

 

- Je voudrais bien être une bouteille de pastis, moi ! Juste pour être entre tes mains.

- Han ! m’exclamais-je surprise par cet allusion.

 

Le mec rit tout comme certains homme qu’ils l’ont entendu parler comme ça. je dis et continue mon service.


- Dis-moi Nadia, ton vêtement…

- Ma robe ?

- Oui !

- …

- Tu n’aurais pas la version courte ?

- Comment ?

- Plus courte se serait une ceinture !

- …

- Non ! Je rigole ! Hahaha !

- …

 

Je rougis de honte ! Le mec rit, avec une mine amusé ! Ça me m’amuse pas et ne me plait pas du tout sa blague sur ma robe. Je continue ma tournée pour servir à boire.

 

- Nadia…

- Oui !
- Fait un coup avec nous, Nadia.

- Heuuu ! Je ne comprends pas !

- Je parle de boire un verre avec nous !

- Ah pourquoi pas ! On verra après ! Je finis d’abord de vous servir.


Plus ces hommes me parlent plus ou moins bien, avec des blagues salaces, des allusions au sexe, plus je rougis plus par excitation que par honte. Je souris pour la circonstance pourtant je suis profondément troublée par leur attitude. Je suis également émoustillée par leur regard constamment posé sur moi qui semble me toucher comme une caresse.

 

Je termine de servir l’apéro se passe sans aucun incident.

 

Peu après, je vais en cuisine où on me fait signe de commencer à servir le repas. Je fais de nombreux va et vient entre le réfectoire et la cuisine. J'amène petit à petit les plats de nourriture. En revenant dans la cuisine pour prendre un plateau de nourriture sur une table, l’un des deux cuisiniers vient déposer un plateau de nourriture prêt à emporter. Il e profiter pour m’aborde au passage.

 

- Euh… Nadia… je peux te poser une question ?

- Oui !

- Excuse-moi mais… Tu sais que tu as une démarche bandante ?

- …

- Plutôt un déhanché subtil, tu devrais dire en restant poli ! Lance le cuisinier devant son fourreau.

- Heu…

 

Je me rends compte que depuis mon arrivée ici je ne laisse personne indifférent. Cela me trouble beaucoup et je rougis timidement. Voyant mon trouble le cuisiner s’excuse pour rattraper le coup.

 

- Pardon je ne voulais pas…

- Non, ça va ! J’ai l’habitude de ce genre d’allusion. Dis-je en le coupant.

- Ah je vois ! Donc tu sais que tu mets le feu aux hommes.
- Lol ! Ah bon ?

- Oui ! Je peux te l’assurer !

- Si tu le dis !

- Tu as belle démarche ! On dirait un mannequin !

- Merci ! Je me fais souvent siffler en marchant.
- Ah ! Et ça te plait?
- Pas du tout !

- Laisse-la travailler ! Et active-toi ! Lance l’autre cuisinier.

 

A vrai dire ça me plait ! J'aime exciter les hommes, c’est un peu mon délire de gonzesse ! Ça me fait me sentir femme et c’est énormément important pour mon moral. Actuellement je ne suis pas dans ce délire. Si jamais je le fais c’est purement involontaire.

 

Je prends le plat que je suis venu chercher et repart dans le réfectoire. En partant je jette un coup derrière moi et voit le cuisinier qui me regarde. Il reluque mon derrière qui bouge au fil de mes pas. Je souris, gênée mais un peu enchantée.

 

Chaque fois que je retourne à la cuisine, je pars en tortillant mon derrière moulé par la robe près du corps. Et en revenant je lui fais la même chose en marchant avec un sourire de circonstance. Je ne fais pas exprès de tortiller mon bodje (cul), c’est juste le fait de marcher avec mes chaussures à talons qui me fait faire cette démarche chaloupée.

Dans la salle à manger, presque tous les hommes m’abordent pour me dire un truc juste pour me parler. La gêne que j’avais au départ a déjà disparu, laissant place à l’enthousiasme et un sentiment d’aise.


Pendant le repas, je fais plusieurs va et vient entre la cuisine et la salle à manger. J’apporte du vin blanc et rouge que je sers à quelques personnes qui en veulent boire en mangeant. Je dépose quelques bouteilles de mousseux sur les tables et je leur laisse le soin de les ouvrir puis se servir.

 

Je m’active tellement que je ne vois pas le temps passé. Presque qu’une heure passe. Je vois que la plupart avaient fini de manger, je me dis qu’il est temps que j’aille chercher les buches de crème glacées pour servir le dessert. Mais avant, je décide de faire un tour rapide au vestiaire du personnel du réfectoire où j’ai l’accès au besoin.

 

Je m’enferme à la toilette pour pouvoir me changer sans crainte pour ma nudité. J’enlève mon blouson et ma robe, je me retrouve toute nue avec mes taons aux pieds. J’enfile le costume de mère noël que j’ai emmené dans mon sac fourretout. Je compte servir le désert dans vêtue ainsi pour la forme, ensuite j’irais me changer et j’appellerais Jeremy pour lui dire que j’ai fini.


Le costume de mère noël est un petit haut rouge à capuche, et à manches longues avec de la fourrure blanche aux peigniers. Ce haut est si petit qui laisse mon ventre nu et ventre bien dégagé. Il y a aussi une jupe rouge longue, avec une ceinture noire, et de la fourrure blanche bas sur l’ourlet.

 

Normalement jupe du costume se porte sous la taille pour laisser le ventre dehors. Mais enfilant la jupe, je remonte sa ceinture jusque sous mes seins pour couvrir mon ventre au lieu de le laisser dehors. Je n’ai envie de montrer mon ventre nu à la vue de tous.  Une fois la jupe bien mise et ajustée au-dessus de la ma taille, la jupe m’arrive en bas à mi-hauteur des cuisses, assez haut pour dévoiler une bonne partie de mes jambes.

 

Je me sens nue sous la jupe vu que je n’ai pas de string depuis mon arrivée. Mais bon je ne crains pas un coup de vent qui soulèverait ma jupe au passage pour dévoiler mes fesses et mon sexe nus. Pour finir, je place mes cheveux mi long sur une épaule et mets sur ma tête la capuche du costume rouge vif avant de sortir du vestiaire pour la cuisine.

 

Les deux cuisiniers me regardent avec stupeur. Visiblement ils ne s’attendaient à me voir déguiser en mère noël.

- C’est juste pour servir les buches de noël ! dis-je vite en souriant.

 

Ils hochent la tête doucement et reprennent leur activité en me jetant des coups d’oeil. Je sors des buche de crème du frigo et les chargent sur a table à roulette avec une pile d’assiette plastique jetable sur lesquelles je vais servir une part de buche.


Mon entrée dans le réfectoire en poussant la table à roulante clou le bec deux trois secondes des hommes attablés qui me regardent. Je lis la surprise, l’étonnement et l’émerveillement sur les visages. Ils ne s’attendaient surement pas à voir une mère noël débarqué pour leur servir. Vu qu’on m’a payé cher pour la prestation de serveuse, je veux bien jouer à la mère noël pour l’occasion.


Je tique un peu en sentant que personne emballé par mon entrée. Je me sens idiote tout d’un coup.

 

- Euh… C’est un costume de mère noël ! dis-je à tous les hommes.

- Tu es ravissante ! Lance un homme en me souriant.

- Merci ! En tout cas, le costume c’est juste le temps de vous servir la buche de noël comme dessert.

 

Et soudain, c’est le délire total… Applaudissements très fort, sifflets bruyants, cris de joie. Je suis rassurée en voyant qu’ils ont bien pris ma dernière phrase. Je souris et pousse un soupir de soulagement avant de m’avancer vers la table la plus proche pour commencer à servir des parts de buche de noël.


Soudain, l’homme que je sers en premier me lance :
-  Merci mère noël !

- Je t’en prie !

- Je veux un bisou ! dit-il en me tendant sa joue.

- Euh… Ce n’est une obligation ! dis-je poliment.

- S’il vous plait ! Un bisou ! Un bisou ! Un bisou !

- …


Je souris sans répondre. Bien sur les autres, reprennent tous en chœur « Un bisou ! ». Cette réaction des hommes me fait rougir. Le bruit de table qu’ils font en cognant avec les mains, m’intimide fortement.


-  Ok ! C’est bon ! J’accepte ! dis-je, en levant les mains.

 

Je me penche et fait le bisou demandé. Le gars est tout content et entame sa part de buche.

 

- C’est bon, la buche ? lui demandai-je !

- Délicieux ! dit-il avec la cuillère dans la bouche.

 

Je souris et passe au suivant qui demande lui aussi un bisou après être servi. Je lui fais son bisou et passe au suivant qui exige aussi le même traitement de faveur. Je rougis et refuse poliment. Le gars fait une moue boudeuse qui me fait sourire, la mine amusé. En fait sa moue m’amuse car il ressemble du coup à un gamin dont on vient de refuser une faveur. Finalement je lui fais un bisou sur la joue et continue mon chemin.

 

Je sers le suivant qui me demande lui aussi un bisou.

 

- Pas de bisou ! Désolé !

 

Et un puis deux puis quatre mecs se mettent à taper la main sur la table en disant en chœur « le bisou ! ». Je veux décliner mais devant l’insistance de tous, je rougis et souris en levant les yeux vers le plafond avant de me pencher pour faire le bisou.

 

- Merci, mère noël ! dit le gars qui vient d’avoir son bisou.

 

Je souris simplement. Je sens mes joues gonflées.

 

- Tu me feras aussi un bisou à ton passage, j’espère. Lance un gars.

- Moi aussi oh ! dit vite un autre mec plus loin.

- Hum …

- Mère noël, un bisou à chacun ! S’il te plait ! lance un mec.

- C’est arrivé là-bas ? dis-je, surprise par cet engouement.

 

Je reste muette et regarde les autres gars en balayant la salle du regard. Tous semblent attendre que je réponde positivement. Je vois que je n’ai pas le choix.

 

- Bon, puisque vous y tenez c’est d’accord ! dis-je, résignée.

-  Wééééééééé ! cri un gars tout joyeux.

-  Ouaiiiiiiiiis ! Super ! lance un autre gars content.


Ils sont chaud bouillant mais surtout un peu fou, je trouve. Et dès le premier que je sers et fait un bisou, je sens que c’est le début d’un long tour de table. Je prends mal en patience et poursuis mon service. De toutes les façons c’est la dernière chose que je leur sers, après je suis libre.


Alors que je me penche pour déposer un bisou au suivant que je  viens de servir, le prochain pose sa main sur le bas de mon dos et la descends sur mes fesses. Je sursaute en sentant la main me peloter les fesses. Je me redresse et retire sa main d’un geste vif en le toisant.


-  Cochon ! Qu’est-ce que tu fais ?  
-  Ben ! Je te touche !   
-  Tu pourrais demander quand même, si c’est possible de me toucher !  
-  Des fois, vaut mieux toucher sans demander.

-  Avec moi il faut demander ! Tu verras bien si je veux ou pas !

-  Ok ! Je peux toucher tes fesses, mère noel ? 

-  Non, vilain cochon ! 

 

Tout le monde rigole, le malotru aussi.

 

- Pourquoi ? Lol 

- Tu as déjà touché, impoli va !  

 

Tout le monde rigole. Le malotru aussi ! J’en profite pour lui donner sa part de buche. Puis je le dépasse poursuivre. Je reçois soudainement une tape aux fesses. Je sursaute et me retourne. Je  constate que c’est ce cochon de toute à l’heure. Je fusille du regard avec l’envie de le gifler.

 

-  Oups ! Pardon, mère noël ! Ma main a glissée ! dit-il pour sa défense.

 

Sa main a glissée ? Non mais il se fout de qui ? Son excuse bidon fait rire quelques gars. Je le dévisage et me tourne pour avancer la table roulante.

 

- Mère noël, je te demande un truc ?

- Hum… demande ! 

- Je peux voir tes lolos ?  

-  Oh, carrément ! m’exclamai-je, surprise.


Tout le monde rigole. Rouge de honte je ne dis rien. Je préfère ne pas répondre à cette demande. Je continue simplement ma distribution d’une part de buche de noël suivi d’un bisou

 

A la fin de mon tour de table pour servir la buche, je sers en dernier un jeune homme métisse, plutôt mignon, avec le crane rasé. Je ne l’avais pas remarqué parmi tous hommes en combinaison comme lui. Il me propose de m’installer à côté de lui au bout de table pour manger de la buche de noël et boire un peu. Je n’ai d’autre choix que d’accepter vu qu’il me la gentiment proposer.

 

Je prends place à ses côtés en ignorent les regards des autres sur nous. On discute un peu, je lui pose des questions sur lui, j’apprends qu’il est ingénieur fraichement sorti de l’école. Il me dit qu’après son BAC il fait 2 ans d’études à Pointe-Noire au Congo pour avoir sa licence avant de continuer à Douala au Cameroun pendant 3 ans pour la maitrise. Il ajoute que c’est TOTAL Gabon qui a payé ses études et financé sa prise charge. C’est logiquement qu’il se retrouve à travailler sur ce site.

 

Je l’écoute attentivement et avec admiration. Il a bel l’avenir devant lui. Je lui demande s’il a une copine. Il répond « non » ! Ça m’étonne beaucoup qu’il n’en a pas car un beau gosse comme lui a forcément une copine ou une petite qu’il saute et envoie l’air.

 

- Pourquoi tu n’as pas de copine ?

- Je ne suis pas pressé d’être en couple !

- Ah je vois ! Tu attends !

- Oui exactement !

- C’est bien !

 

Il me demande si j’ai un mec, je lui réponds « oui » sans détour. Il ne dit plus rien et moi non plus.

On reste silencieux et je le trouve assez calme. Pendant que je suis à côté en train de manger la part de buche que je me suis servie, j’entends un peu la musique qui sort de l’un des deux petits écouteurs de qu’il ne porte pas à l’oreille. Je lui demande quelle musique il écoute.


- Musique douce !
- Cool ! Je peux écouter avec toi ?

 

Il me tend l’écouteur libre. Je hoche la tête en écoutant le slow antillais passe en fond sonore. Je bouge les hanches pour danser sur place. Le métisse me regarde

 

- Tu sais danser ?

- Yup (oui) ! dis-je !

- Hummmm ! fit il en me regardant d’un œil en levant un sourcil.

 

Me regardant d’un œil, il le fait avec une mine douteuse comme s’il ne croyait pas. Je ris un peu devant son air sceptique.


- Lol ! Tu ne me crois pas hein ?

- Oui un peu !

- J’ai la faculté de danser un peu tout et n’importe quoi, sans trop de problème.

- Même le zouk ?

- Yes ! dis-je !

- …

 

Il ne me dit plus rien et on reste là à écouter sa musique douce. Me voyant danser sur place,  il sourit et se lève.

 

- Dansons sur un slow, veux tu !

- Sérieux ? ds-je !

- Oui !

- hum !

- Alors ?

- Je ne peux pas, désolé !

- Quoi tu as honte ?

- Lol ! Non même pas !

- Alors pourquoi tu ne peux pas ?

- Je ne veux pas me donner en spectacle ici.

- C’est juste une danse, pas un spectacle.

- …

- Accorde-moi une danse ! Juste une ! Je veux voir si tu sais danser. Dit-il en me tendant la main.

- …


Le métisse reste debout en me tendant sa main. Les autres regardent vers nous pendant qu’il reste quelques debout. Je ne fais rien, attendant qu’il se décourage et laisse tomber. Mais il reste immobile pour attendre que je fasse un geste.

 

Je me pince les lèvres et regarde sa main qu’il me tend. Je pose ma main dessus sans grande conviction en levant de ma place. Il m’entraine un peu loin à l’écart. Il met à son oreille un écouteur de son kit main et me met l’autre écouteur que j’avais à l’oreille. J’entends la musique à mon douce à mon oreille.

 

- On va danser en écoutant la musique là ! dit-il en me regardant dans les yeux.

 

J’hoche simplement la tête pour donner mon accord. Il se place face à moi et me prend une dans la sienne. Je me retrouve le buste collé un peu contre lui contre le sien lorsqu’il me prend par la taille d’une main virile qu’il a posé dans mon dos pour appuyer dessus afin de me forcer à me serrer contre lui.

 

Je suis un peu tendue d’être serré contre lui. J’ai le réflexe de mon cambrer pour reculer mon bassin afin d’éviter tout contact avec le sien. Je sens mes seins effleurer sa poitrine ! Ce qui me gêne beaucoup est sa main posée sur le bas de mon dos. Je peux sentir ses doigts sur la courbe naissante de mes fesses nues sous la jupe légère de mon costume de noël. Le pire est que je suis nue malgré moi sous la jupe. Je crains qu’il ne s’en rende compte et sache que je n’ai pas de culotte depuis mon entrée.

 

On commence à bouger lentement nos corps pour danser. Je suis raide alors que je me trémousse doucement.


- Pas mal pour une débutante en danse !

- Lol ! Pas mal pour un amateur de zouk !

- Merci ! Déhanche toi un peu plus.

- Facile à dire qu’à faire ! 

- Pourquoi ?

- Tu me serres un peu trop !

- Normal ! La posture de danse l’oblige !

- C’est ça petit malin !

- Krkrkrkr (rires) ! Tu veux bien me montrer ton déhanché !

- Ok ! Mais il ne fait pas un malaise hein !

- Lol !

- Je te préviens seulement !

- Ok ! N’hésite pas aussi à faire rouler ton p’tit bodje.

- Lol !  

 

Je souris en l’entendant me dire que j’ai un p’tit bodje. Quelle ironie ! J’ai un bodje plus que petit.

 

- Vas-y ! dit-il !

 

Il dit cette dernière phrase en tapant un peu ses doigts sur le bas de mon dos sur la courbe naissante de mes fesses. Cela me fait frémir de peur. Un frisson me parcourt l’échine en une fraction de seconde. J’ai automatique serré les fesses. Je me pince les lèvres en baissant les yeux. Je me mords la lèvre inférieure en priant pour que cette danse se passe bien sans incident, surtout qu’il ne descend pas sa main plus bas pour découvrir, si ce n’est pas déjà le cas, que je suis sans culotte et donc à poil sous la jupe… !

 

A SUIVRE !

>>> NADIA <<<