Page 14

Write by Mabanabook

SON PARDON : page 14


PLUSIEURS SEMAINES PLUS TARD


YEDMILA 


Angie : (entrant) Yedmi tu fais une sale tête qu’est-ce qu’il y’a ? 


Moi : rien, c’est juste que je n’aie pas envie d’aller à un endroit et je suis obligé d’y aller. 


Angie : Yedmi, c’est à ton diner avec ton père qui te tracasse ainsi ? (me regardant)


Moi : (me levant) mon géniteur je t’ai dit, (soufflant)


Angie : oui, autant pour moi. 


Moi : (passant la main dans mes cheveux) je n’ai pas très envie d’y aller, qu’est ce qui m’a pris d’accepter d’aller le voir chaque 1 dimanche dans le mois.  Lorsque je suis loin de lui, je crois que ça me fait du bien. J’y vais à contre cœur, on parle et il veut que lui pardonne, mais au fond de moi je ne pense pas y arriver un jour. 


Angie : Yedmi, je sais que c’est dur, selon ce que tu m’as expliqué. Mais écoute va le voir c’est juste un dimanche dans le mois. Si Sophie était là, elle t’aurait dit la même chose. Tu as déjà commencé alors continue s’il te plait. 


Moi : je sais, pufff ok. De toutes les manières c’est jute 2 longues heures que je vais devoir passer avec lui. 


Angie : je peux t’accompagner si tu veux 


Moi : je veux bien mais je n’ai pas envie que tu t’infliges cela pour moi. (Lui souriant) 


Angie : ça ne me dérange pas. Dis-moi Tiacoh dit qu’il t’appelle sans suite


Moi : (allant m’apprêter) laisse Tiacoh, il dit vouloir quelque chose de sérieux, lol, sérieux avec moi ? 


Angie : mais Yedmi il y’a vraiment longtemps que tu n’as pas couché avec un homme pour quelque chose, tu ne fais plus cela, car tu as déjà tout et Tiacoh t’aime il fait d’énormes efforts. Accorde lui une chance voir, tu es déjà au sommet et comme Sophie aime le dire, tu deviendras une femme respectée ensuite. Essaye donc.  Et en plus il dit se foutre de ton passé, il te veut toi pour le présent et le futur (essayant de me convaincre) 


Moi : hum allons chez mon géniteur c’est mieux  (ne voulant pas y penser) 


Angie : allez promets-moi d’y penser. Je suis sure que ça ira entre vous, il m’a l’air plutôt bien et en plus c’est un bon partit. (Souriant) 


Moi : (faux sourire) ok


*******


Je suis venue dans le bureau que j’ai fait à la résidence pour prendre des documents importants. J’entends mon téléphone sonné. 


Moi : (décrochant) bonsoir Fabrice ça va ? 


Lui : Yedmi, tu as reçu le chèque ? (enthousiasme) 


Moi : oui merci 


Lui : tu me manques ? 


Moi : c’est pour cela que tu m’as envoyé un chèque ?  (Indifférente) 


Lui : j’ai envie de te voir, tu le sais bien. S’il te plait, viens me voir, même si c’est juste 2minutes de ton temps, juste te voir m’aiderait à mieux me sentir.


Moi : Fabrice, je ne veux pas te voir encore moins coucher avec toi. Si je  le veux je te dirai pour le moment oublie moi  (soufflant) 


Lui : c’est impossible de t’oublier,  dis-moi tu me zappe  à cause de ce joueur ? (changeant de ton) 


Moi : tu t’informes sur moi ? 


Lui : je suis les infos, comme tous.


Moi : les potins, les infos peoples? (le questionnant) 


Lui : (énervé) je veux savoir 


 

Moi : (autoritaire) ressaisis-toi on ne me crie pas dessus, d’accord. 


Lui : désolé


Moi : et Fabrice sache que les hommes que je fréquente, ce ne sont pas tes affaires. Donc ne parle plus jamais de ca (levant le ton) 


Lui : désolé chérie  (voix suppliante) 


Moi : (énervée) désolé pour toi-même,  envoie quelqu’un prendre ton chèque et ne m’appelle plus. (J’ai raccroché) 


Et puis quoi encore ? Il essaye de me joindre mais ça sonnera sans suite. Pour qui se prend-t-il ? Ça raconte partout que je sors avec Tiacoh, pourtant ça fait longtemps que je ne l’ai pas encore vu. Je voyage beaucoup, alors moi et lui on ne se voit pas comme cela. La vérité même est que je l’évite au maximum ? Pourquoi ? à cause de ces paroles, vouloir faire du sérieux avec moi, non mai il se prend pour qui ? Le cul du pape ? 


Moi : (regardant vers la porte) qui est-ce encore ? 


Lui : (entrant tout souriant) Yedmila tu es la ? 


Moi : (surprise) Tiacoh ? Mais que fais-tu ici ? 


Lui : (riant) j’habite dans cet immeuble 


Me rappelant de ma bêtise


Moi : oh oui, je m’en souviens 


Lui : tellement tu m’évite, tu oublies même que je suis ton locataire. (Venant vers moi) 


Moi : je ne te fuis pas, je t’évite juste de la peine  (l’évitant) 


Lui : quelle peine ? Je t’aime et te veux près de moi, mais toi tu m’évite comme la peste et tu me parle de peine. Non la peine c’est lorsque par tous les moyens tu me rejettes. 


Moi : (m’asseyant) écoute Tiacoh, ce que tu dis et pense être possible avec moi ne se réalisera jamais. Je ne suis pas faite pour cette vie. Je suis faite pour rester Yedmila, la femme imposante, impolie pour certains, arrogante, audacieuse pour d’autres. Mais pour moi je reste une femme de pouvoir. (Sérieuse) 


Lui : (se rapprochant) et qui te dis que tu ne peux pas rester cette femme de pouvoir avec moi ? 


Moi : (voulant m’éloigner de lui) j’ai du travail désolé 


Lui : (m’attrapant par le bras) tu as peur ? 


Moi : peur de quoi ? (enlevant mon bras de sa main) 


Lui : de m’aimer ? Regarde comme tu m’évite, tu veux me fuir mais tu ne peux pas. 


Moi : tu rêves ou quoi, je te l’ai dit je n’ai peur de personne. Encore moins de toi 


Lui : alors essayons quelque chose de sérieux (sérein) 


Moi : non, n’y pense pas, tu devrais même me remercier car je te rends service 


Lui : service ? Yedmila tu parle de quel service ? (fronçant les sourcils) 


Moi : oui je t’évite de souffrir 


Lui : pour toi je veux bien prendre ce risque et me passer de ton aide ou de ton service. 


Moi : (m’asseyant) j’ai du travail. 


Lui : (s’asseyant) et moi j’ai tout mon temps


Moi : que veux-tu ? (commençant à perdre patience)  


Lui : pour la vie et  pour toujours je te veux toi. Mais pour cette nuit je veux diner avec  toi, j’ai préparé et je t’invite. (Serein) 


Moi : (rire ironique) moi ? Non mais tu n’es pas bien là  (lui faisant signe avec mes mains). Moi allé manger chez toi ? Non oublie cela ca vaudrait mieux pour toi 


Lui : alors j’ai tout mon temps, je vais rester et ensuite te suivre à la maison (sur de lui) 


Moi : ok


Voyant qu’au bout de 30 minutes il ne peut bougeait pas et restait là à me fixer. Je rangeais mes affaires et lui dit :


Moi : on peut y aller, j’espère au moins que tu as du Baileys chez toi ? 


Apres tout ce n’est qu’un diner, je pourrai facilement le zapper ensuite.


Lui : (souriant et prenant de force mon sac) bien sur 


On monta et il servit la table, on mangea dans une bonne ambiance vu qu’il n’arrêtait pas de me taquiner. On regarda un peu la télé, et il me força même à danser parfois avec lui. Je ne m’imposais pas trop comme à mon habitude avec les hommes, avec lui je ne comprenais vraiment pas certaines choses, c’est un peu comme-ci, je le savais interdit mais il m’attira quand même.  Peut-être que c’est parce que j’ai trop bu que je pense cela. 


Moi : (regardant par la vitre)  oups, il pleut grave dehors, je vais devoir partir 


Lui : non, pas du tout. Je serai con de laisser une femme partir sous cette pluie. 


Moi : j’ai une voiture je te signale (lui rappelant)


Lui : même si tu avais un jet, tu resteras ici  (sérieux dans ces dires) 


Moi : mais il est plus de 23h tu veux que je dorme ici ou quoi ? (le fixant) 


Lui : c’est possible  (me tirant jusqu’à la chambre) le lit est bien fait et tout est propre pour sa majesté. 


Moi : (le fixant) tu veux coucher avec moi c’est ça ? 


Lui : non, si je voulais. Il y’a longtemps que j’aurais commencé à être plus romantique avec toi 


Moi : (riant) c’est cela ouais, 


Lui : j’adore te voir rire (me regardant intensément) 


Moi : (fuyant son regard) humhum


Lui : oui, n’arrête pas s’il te plait. Yedmi, je veux du sérieux avec toi. Je te le promets. Et tu peux toujours tester voir, cette nuit je ne te toucherai pas, à part bien sur si tu le veux. 


Moi : (m’asseyant sur le lit) on va voir ça 


Je ne compris pas moi-même ma décision, mais je restais quand même avec lui, qui l’aurait cru, moi qui même pendants mes voyages avec mes clients refusaient de partager le même lit qu’eux.  J’acceptais sans le lui dire ouvertement, ni même savoir si oui ou non, nous allions partager la même chambre. 


 

Lui : (venant s’asseoir près de moi) allez je vais te lire une histoire pour faciliter ton sommeil 


Moi : (Ne le comprenant pas) une histoire ? 


Lui : oui, oui la belle et la bête (prenant le livre qui était dans un placard de la chambre, il me confia à cet instant qu’il aimait bien lire, et que ce livre il a été obligé de l’avoir lorsqu’il a perdu un pari avec sa sœur, mais il a été captivé par l’histoire et est allé jusqu’à aller regarder le film.)


Moi : (riant) j’imagine déjà que c’est moi la bête 


Lui : non, moi je suis la bête que tu refuses de voir et toi la belle que je donnerai tout pour avoir, allez je commence ma lecture. Ne fonds pas en entendant ma voix, j’ai toujours été parfais en littérature et cela depuis petit. (Me souriant) 


Moi : d’accord 


Sa belle voix eut effet sur moi et je commençais à dormir. Le seul souvenir que j’ai eu c’est le son de sa voix après m’avoir fait une bise sur mon front. ‘’Dors bien ma belle Yedmila, je t’aime’’.


Le matin, je me suis réveiller en voyant près de moi une serviette une brosse à dents et un dentifrice. Avec un petit mot : ‘’ sois sans crainte je viens à peine de les acheter personne ne les a utilisé. Je suis en bas. Doux réveil mon beau soleil.’’ Je partis donc faire ma toilette et après je sortis de la chambre. 


Moi : (le cherchant) Tiacoh, (en voyant d’autres personne) ohh 


Lui : (venant vers moi) ah la belle, tu es déjà réveiller ? (me faisant une bise) bien dodo j’espère ? (se rappelant des autres, en voyant mon regard) désolé je te présente ma charmante mère et ma petite sœur adoré ainsi que mon frère protecteur Louis. Ils sont  venus me faire une visite surprise. (À eux) je vous présente la belle Yedmila. 


Son frère : (me souriant) enchantée la belle. 


Moi : (souriant) merci (aux autres) bonjour


Sa mère : (me regardant de haut en bas) Bonjour demoiselle (du bout de ces lèvres) 


Sa petite sœur : (se levant et m’ignorant) mieux je ne vois rien, donc je ne parle pas 


Lui : (haussant le ton) MIRA, (me regardant) désole ma belle 


Moi : t’en fais pas j’ai l’habitude. Ok je vous laisse en famille, à plus. 


Lui : non reste manger je t’en prie. 


Moi : (sortant) merci, je mange rarement les matins. 


Lui : attends donc que je te dépose (partant prendre ces clés) 


Moi : non ma voiture est garé juste dehors je te rappelle. Et si il y’a un souci mon chauffeur viendra me chercher alors ne t’inquiète pas. (Sortant sans le laisser parler encore) 


Je sortis et roula chez moi. C’est mieux que je reste chez moi apparemment. 


1 semaine plus tard. 


Moi : (ouvrant la porte de ma maison) Toi ? (faiblement) 


Lui : (souriant) oui moi, mais tu as une mauvaise tête, qu’as-tu ? (air inquiet) 


Moi : (faiblement) rien mais toi que fais-tu ici ? 


Lui : tu es mal, allez laisse-moi passer (voulant forcement entrer chez moi) 


Moi : Tiacoh que veux-tu ? (faiblement mais j’avais envie de crier) 


Lui : Yedmi juste te voir et te parler. Tu ne réponds plus à mes appels depuis la dernière fois. Je m’inquiétais. Alors je suis venue je m’attendais à tomber sur le vigile ou ton chauffeur mais je tombe direct sur toi. Rassure moi que tu n’es pas seule ici, dans cet état ?


Moi : mon chauffeur est permissionnaire et quant au vigile  je l’ai envoyé me prendre des calmants. Ma femme de ménage est allée faire le marché (faiblement) 


Lui : (inquiet) je ne savais que tu étais souffrante. Pourquoi ne m’as-tu rien dit depuis ? 


Moi : (ne comprenant rien) je devrais ? 


Lui : laisse-moi rentrer je vais m’occuper de toi 


Moi : pourquoi ? 


Lui : Yedmi tu es souffrante alors laisse-moi entrer, je resterais avec toi et veillerai à ce que tu te reposes. Si tu refuses, j’indiquerais sur facebook que je suis chez toi. Et tu connais la suite. 


Bien que je déteste qu’un homme qui me veuille entre chez moi, je préférais le laisser plutôt que tous ces bloggeurs se mettent à faire des posts sur lui et moi, actuellement je n’en ai pas besoin. Je me suis chopée une de ces migraines, et je sais que c’est le manque de repos qui en est l’une de ces causes. Mais comment dormir avec tous ces magasins, boite de nuits, salon de thé que je gère. 


Stevi est là mais je le fais aussi car je déteste rester à la  maison, ne rien faire. On peut tout dire de moi comme je le répète toujours, mais me traiter de paresseuse, ce serait juste de la mauvaise foi. Car je ne le suis pas et déteste moi-même la paresse. 


Moi : (me mettant sur un côté) vas-y. et pas la peine de me prendre comme un bébé. C’est juste le manque de sommeil. 


Lui : ok et j’imagine aussi que tu ne t’alimente pas toujours régulièrement ? (me regardant, je baissai juste les yeux, actuellement je me trouvais pas trop bien pour répliquer) tu vas rattraper cela


Il me força à dormir, après m’avoir forcé à boire une tisane, (beurkkkk) et à mon réveil il était là servir la table pendant qu’Hélène servait les plats. Je pouvais  comprendre que tout mon personnel était surpris de le voir, car aucun homme ne rentre  jamais chez moi. On mangea, ou du moins il me força à manger,  mais je ne pus lui faire plaisir, ça ne passait pas du tout. Puis on regarda la télé. Je commençais à bailler. 


Moi : (baillant) Tiacoh tu devrais rentrer, j’ai sommeil


Lui : non, non je suis là. Je partirais après. 


Moi : tu sais que c’est impossible nous deux, alors pourquoi fais-tu tout ceci ? ne pense pas que je te serais redevable après. 


Lui : parce que je t’aime et j’aime le faire. 


Moi : hum ok 


Lui : yedmi pourquoi refuse tu que l’on soit ensemble ? (air sérieux) 


Moi : je ne sais pas vivre ce genre de relation que tu veux, en plus j’adore mon indépendance, je ne me vois pas comme une femme soumise. 


Lui : laisse-moi-t’apprendre à m’aimer, pour ton indépendance, ne crains rien. Tu resteras indépendante. (air sérieux) 


Moi : puff, en plus ta famille semble me haïr, donc tu vois oublie cela c’est mieux. 


Lui : c’est moi qui décide et je leur ai bien fait comprendre que c’est toi que je veux, alors ils s’y feront, juste ton Ok et  c’est bon. 


Moi : humm tu as mal fait, Tiacoh tu ne me connais même pas bien. Tu ne connais pas ma vie. Tu es sur de vouloir sortir avec une fille que tous traiterons de prostituer ou te géreuse de bizi. D’autres même se vanteront de m’avoir sauté et souvent ce sera des mensonges.  Mais ils le feront juste pour te déstabiliser, moi je vais avec ça ne me dis rien, mais toi tu ne le supporteras même pas, alors c’est mieux pour toi et ton cœur que tout cela s’oublie. (Sereinement) 


Lui : je peux le faire pour toi. Si tu fais des efforts, j’en ferais aussi et je te promets que tu vas apprécier. Je peux t’aider à changer Yedmila, je m’en fous de ce que tu étais avant moi, dis juste oui et tu verras.  (Mettant sa main sur la mienne) et sache le, il en faut assez pour me déstabiliser, je te ferai confiance et je t’aiderai à ce que tu en fasses de même avec moi et ensemble on fera toujours tout pour la mériter cette confiance que chacun placera en l’autre. 


Moi : (dépassée par son récit) de toutes les manières il y’a longtemps que je ne couche plus pour de l’argent. Il y’a bien longtemps. J’ai déjà presque tout, alors je me sers juste des hommes pour avoir ce que je veux.  Mais ça ne veut pas dire


Lui : je peux t’offrir ce que tu veux. (Serein) 


Moi : comme ? (le questionnant) 


Lui : dis juste un exemple. (Sérieux) 


Moi : une fondation ? (disant quelque chose) 


Lui : oui, je le peux,  mes parents sont déjà dans ce genre de choses donc ça sera pas du tout dur pour moi, tu l’auras t’inquiète. (Me faisant un sourire) 


Moi : pourquoi feras tu tout ceci ? Ce n’est même pas sûr que je partage les mêmes sentiments que toi. Je t’ai dit ce genre de choses je ne connais pas. (Le regardant) 


Lui : je te montrerai et ça viendra. Et je fais tout ceci car je t’aime, n’aie pas une autre idée (touchant ma tête.) 


Moi : (me sentant mal) désolé


Je courus vomir ce que j’avais mangé.  C’est normal le docteur m’avait dit de bien manger car le médicament était fort. 


Lui : (derrière moi) ça va ?

 

Sérieusement il m’a suivi jusque dans les latrines. Il abuse là. Me regarder vomir, c’est dégoutant cela.


Moi : (tirant la chasse) oui, ça va. 


Il m’aida à aller dans la chambre pour me coucher. 


Lui : avec ça tu voulais que je rentre ?  (Me regardant) 


Moi : ça passera, c’est juste parce que je n’ai pas bien mangé et que le médoc est fort.  


Lui : oui mais je resterai ma belle  et ce soir sache le de gré ou de force tu mangeras bien avant de prendre les médicaments ma belle. 


Moi : belle avec du vomi ? (voulant changer de sujet) 


Lui : oui toujours belle. C’est ta salle de bains là, je vais te faire couler un bon bain (me questionnant) 


Moi : je suis trop faible, après 


Lui : non maintenant. Tu feras tu pourras mieux dodo après ça. Alors fraise, vanille ou amande pour le bain ?  (Me faisant un clin d’œil) 


Il le fit et je m’endormis un peu. A mon réveil il était au salon à regarder la télé. Je partis le retrouver on parla un peu, et on mangea. Il veilla à ce que je finisse mon plat, sur le regard féli citateur d’Hélène.  Il mettait même la nourriture dans ma bouche, m’essuyais la bouche, me donnais à boire et ensuite les médicaments. 


  Il m’a dit qu’il était allé prendre quelques affaires chez lui pendant que je dormais. Je ne bronchai même pas car je sais déjà qu’il a pris sa décision. Lorsque j’eus sommeil, il m’accompagna donc en chambre et il regarda continua à suivre son match sur  la télé de ma chambre. 


Moi : (souriant) désolé je n’ai pas de livre ici 


Lui : pas grave on peut regarder la télé ensemble 


Moi : ok mais  je ne comprends rien au match 


Lui : (souriant) oui je vois, attends-je change  de chaine. 


Moi : non, non explique moi. Je vais essayer de comprendre. 


Lui : ok viens assieds-toi entre mes jambes. 


Moi : O-K, drôle de façon d’expliquer M. le pro du foot. 


Lui : (riant) non, c’est juste pour que tu sois plus à l’aise. 


Je m’assis donc entre ces jambes et il commença à m’expliquer le football. Il me montra ces positions stratégiques lorsqu’il jouait. Il m’expliqua tellement de trucs que je commençais à avoir sommeil. (Riant) je sais je suis mauvaise, le gars est dans tout son sérieux pour m’expliquer le foot et moi je somnole,  mais comme le disait ma mère le sommeil n’est pas l’ami de quelqu’un. Désolé Tiacoh (sourire) 


Moi : (baillant)  le sommeil commence à venir, je crois. 


Lui : (souriant) c’est bien. 


Moi : je vais me coucher, c’est mieux, faudrait pas que je dorme sur toi avec tout ce poids-là. (Souriant) 


Lui : Yedmi ? (sérieux) 


Moi : oui 


Lui : tu peux mettre ta tête sur ma poitrine tu sais ? 


Moi : ah bon ? (surprise) 


Lui : oui, laisse-moi t’aider. (M’aidant à placer ma tête sur sa poitrine de sorte à ce que je sois bien couchée, ça fait un drôle d’effet ce geste-là) Voilà c’est ca 


Moi : mais et toi comment dormiras tu ? (le questionnant) 


Lui : (souriant) t’en fais pas l’essentiel est que tu te sentes bien ? (souriant) tu es bien couchée ? 


Moi : (le regardant) oui merci. 


Il commença à me caresser la tète, les cheveux, les bras et le visage. Il promit que ça m’aiderait à dormir plus vite. Effectivement je dormis sans m’en rendre compte. 


Le matin, il entra avec un plateau sur lequel était posé mon plat. Et un mot « Rétabli toi vite la belle ». Il m’aida à manger et je pris mes médocs on passa une belle journée ensemble. 


******


 Moi : (venant au salon) comment tu me trouves ? 


Lui : (me regardant de haut en bas avec un beau sourire) belle comme toujours 


Moi : merci, je vais au défilé de  Sandra ma copine mannequin


Lui : (se levant) ok je te dépose


Moi : (souriant) d’accord

Je lui indiquais donc là où on devait se rendre. 


Lui : (conduisant) je rêve ou l’on se rend chez moi là. 


Moi : bien sûr que oui, il faut que mon cavalier soi  bien habiller pour me suivre 


Lui : c’est comme cela que tu m’invite ma belle ?


Moi : oui, oui (Souriant) 


Lui : j’accepte à une condition ? 


Moi : dis voir 


Lui : qu’à partir de maintenant tu me préviennes si tu vas mal


Moi : si tu t’occuperas toujours aussi bien de moi, ça peut se faire 


Lui : ne t’inquiète pas (mettant la main sur la mienne) 


Oui je ne sais plus trop ce qui se passe, je ne sais pas si je le laisserai entrer dans ma vie ou si je l’oublierai après. Je ne contrôle plus mes paroles et je le laisse trop rentrer dans ma vie, je sais que vous-même ça vous surprenne que j’ai pu le laisser dormir dans ma chambre et rester chez moi pendant deux jours, je ne peux l’expliquer. Mais en tout cas je me sens bien avec lui, non ça ne veut pas dire que je l’aime mais….bof je n’en sais rien. Vous n’avez jamais senti ce genre de sensations ? 


*******


On retourne à la maison. Le défilé était top. Sandra était parfaite. J’étais assisse avec Tiacoh et les autres filles, même si Lydia boudait un peu, les autres elles étaient contentes. C’est seulement Angie qui était absente, ces temps-ci c’est un peu comme cela avec elle. Elle se fait rare, j’espère qu’elle n’a pas encore un chagrin.  Tiacoh c’est comporter en vrai gentleman et a même  ignorer tous ceux qui parlait de moi en mal, juste derrière notre siège. C’était carrément de la provocation, mais bon moi c’était juste mon dos qui les voyais, en plus c’était des connaissances de Yasmina donc rien de surprenant. Il me disait à l’oreille ‘’ne les écoute pas. Moi je suis là’’.  Je lui répondais avec un large sourire en disant ‘’je suis habituée, c’est juste mon dos qui les voit.’’ Il me rendit mon sourire et on se fixa intensément, au grand bonheur de Sophie qui sympathisait bien avec lui. 


J’imagine déjà les photos qui  seront  sur le net. Ils m’ont pris pleins de photos ainsi qu’assez de moi et Tiacoh. Ils ne se gênaient pas pour tirer nos moindre faits et gestes. (Rires) ils ne cesseront jamais de me surprendre, j’imagine déjà que vu que certains ont pris les même photos ils travailleront sur leurs ‘’Une’’ pour les journalistes et leurs ‘’ post’’ pour les bloggeurs, afin que ce soit : accrocheur, plus vus, apprécier, aimer, commenter et aussi bandant et vendant.  Yasmina était là et nous regardait très mal. Bof, j’ai bien envie d’aller revoir sa tête sur le net mais j’ai plus urgent à faire ici. Et oui pour ce soir contrairement aux journalistes moi j’ai plus plaisant à faire. (Sourire) 


Moi : Tiacoh ? 


Lui : oui dis moi 


Moi : tu peux faire quelque chose pour moi ? 


Lui : tout ce que tu veux 


Moi : (audacieuse)  déshabille-toi 


Lui : pardon ? (ahuri) 


Moi : oui, tu as bien compris,  retire tout tes vêtements  (avec autorité et séduction) 


Lui : (le faisant) puis-je savoir le pourquoi ? 


Moi : (me rapprochant) on va faire l’amour, tu as fait deux nuits ici et moi une chez toi et tu ne m’as pas touché. Il faut que je vérifie si tout va bien en bas, vu que tu parles de sérieux entre nous sans cesse, on ne sait jamais. (Audacieuse) alors on va coucher ensemble cette nuit.  


Lui : (riant) ok mais je te rassure que tout est bien en bas 


Moi : (le touchant) je vérifie alors. 


 Je commençais à l’embrasser et le caresser de partout. Je voulais coucher avec lui et voir si je ressentais quelque chose.  C’est bizarre, oui je le sais mais je dois être situé. 


Lui : (m’arrêtant) qu’est-ce que l’on fait ? 


Moi : l’amour, pourquoi ? 


Lui : non, ce n’est pas comme cela que je le ferai avec toi. (Attrapant ma main  qui le caressait) 


Moi : c’est moi qui donne les ordres ne l’oublie pas (ne comprenant pas son geste) 


Lui : (me soulevant) je sais, mais ce n’est pas un ordre jute une supplication. (Me souriant) 


Il me fit coucher sur le lit et m’embrassa tendrement. Je n’aimais pas que l’on m’embrasse ainsi mais lui je le laissais faire. Il enleva tout doucement mon haut avec sa bouche et ces mains et me caressa tellement que je voulu fondre.  Il lécha chaque bout de mes seins tellement fort et tendrement que je ne put que gémir. Il me lécha du haut et lorsqu’il arriva vers mon entrejambe, il se leva  et me dit à l’oreille, ‘’ne bouge pas’’. 


Il revient deux minutes plus tard je crois avec de la glace et du yaourt, il versa le yaourt sur mon corps et le lécha,  je pleurais presque de désir, mais qu’est ce qui m’arrivait ? Enfin il se décida à me faire hurler lorsqu’il écarta mes jambes pour y introduire sa langue, il mit même de la glace. Il me lécha copieusement, tirait et tortillait mes lèvres qui ne résistait pas vraiment à sa langue, mon corps même n’y résistait pas. Il  me fit perdre la tête, je l’appelais, le suppliai de me prendre, mais il était préoccuper par mon entrejambe que par mes supplications, il continuait et cette fois plus fort avec ces  doigts. Oh punaise,  qu’est-ce qu’il veut me faire ? je mouille grave là. Je ne me maitrisais plus, même le drap du lit sentais que quelque chose se passait tellement je le tirais. 


Moi : (gémissant) humm Tia….TIACOH, je vais …je t’en prie…prends moi… … AHHHHH, HUMMMM  


BOUM, j’explosai de plaisir. Et il continua même quand même à lécher. Selon lui il me nettoyait. Tu es obligé de le faire avec la langue ? Hum, il veut me tuer c’est sure. 


Putain que m’avait-il fait tout alors ? C’est moi qui est hurlée de désir comme cela, tout à l’heure ? Habituellement c’est le contraire, c’est moi qui domine les hommes, les fait hurler jusqu’à la folie. Mais là c’était le contraire, moi qui voulait faire un contrôle, je dois dire que je me sens plus contrôlée là.  Je me retournais pour le fixer, lorsqu’il eut fini de me nettoyer. 


Lui : (souriant) tu as aimé ? 


Moi : (l’embrassant) un second tour ? 


Lui : (souriant) sur ma belle ? 


Je l’embrassai et lécha aussi son corps, je commençais aussi à faire des petits bisous à son sexe. Il commençait à respirer un peu plus fort. Moi je continuais et ensuite je marquais une pose :


Lui : (me regardant tendrement) tu veux me le faire avec du lait aussi ? (voyant que je fixai le lait et les glaçons) 


Moi : (souriant) t’en fais pas c’est juste que j’aurais besoin de lait, glace, nutella et du miel, peut-être même des cristaux de menthe. 


Lui : (ahuri) Yedmila, tu veux me faire pleurer ici ou quoi ? 


Moi : (souriant) détends toi ça ne fait pas de mal, c’est juste pour ton bien. (Mettant ma main sur son sexe et lui parlant avec un peu d’autorité) c’est moi qui devait contrôler et non le contraire, alors habituellement sans contrôle je fais crier les hommes, donc apprêtes toi car toi en plus du contrôle, tu auras une punition (sourire malicieux et embrassant son oreille) pour m’avoir fait  hurler ainsi. 


Il faut que je prenne ma revanche, donc comprenez-moi, je ne vous chasse pas mais à plus tard mes amis, je dois vraiment me concentrer là. En passant que me conseiller vous une petite tenue coquine avec un ruban et des menottes pour prendre ma revanche ou je commence comme cela. (Souriant) ok compris, merci. 


TU AS AIMER ALORS NE TE GENE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET  BONNE SOIREE BISOUS !!!

L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

Son Pardon