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Write by Mabanabook

SON PARDON : page 16


 

YEDMILA 


Sophie : (toute contente)  je suis si heureuse que tu lui es dit oui


Moi : (fixant ma bague et souriant) moi-même je n’en reviens pas 


Sandra : félicitations encore (venant voir ma bague) 


Lydia : je trouve que c’est trop rapide mais bon tu as déjà décidé apparemment (haussant les épaules)


Moi : oui, j’ai décidé (convaincue) 


Sophie : nous avons donc un mariage à célébrer (applaudissant) 


 Sandra : (fixant toujours la bague) dis-moi ce sont de vrais diamants ? 


Moi : oui, c’est cela 


Sophie : (riant) tu t’attendais à de la fantaisie ? On parle de Marc Tiacoh là 


Moi : (regardant vers la porte) Angie ça va ? 


Elle : oui, oui. Je dois vous parler les filles (s’asseyant avec un air un peu froid) 


Nous : oui


Elle : désolé de vous le dire, mais j’arrête tout. 


Sandra : tout quoi ? (voulant comprendre) 


Elle : la vie que l’on mène 


Lydia : la totale, tu te marie aussi ?  (Ahurie) 


Elle : non, je le fera un jour bien sûr. Mais pas maintenant, je veux ranger ma vie et la confier à Dieu je ne peux donc continuer à la mener comme je le faisais avant. (Sérieuse) 


Sandra : (éclatant de rire) Angie, la femme en Christ. Tu es sérieuse là ? Tout laisser comme ca 


Elle : oui, je le suit. Je veux changer 


Sophie : Angie c’est du à quoi ça ? 


Elle : je peux dire que Dieu m’a touché (sereinement) 


Lydia : amen, mais pousse  (la poussant) afin qu’il ne me touche pas aussi 


Sandra : (riant) je te jure, Lydia 


Elle : (reprenant plus sereinement) c’est vrai les filles. La repentance est mieux pour tout être humain. Je prie afin que vous connaissiez cela. 


Moi : et ta carrière ? (la questionnant) 


Elle : j’y mettrai un terme, Dieu a besoin de moi. Yedmila je suis désolé de t’avoir fait perde du temps avec tes conseils (avec un air plus que sérieux) 


Moi : ne t’en fais pas Angie, si c’est vraiment ce que tu veux (lui faisant une accolade) je te souhaite du bonheur 


Sophie : moi aussi ma star (venant nous rejoindre) 


Lydia : pareil pour moi (venant aussi) 


Sandra : que du bonheur Angie (s’ajoutant également) 


Elle : merci beaucoup les filles, alors on reste amis ? 


Lydia : oui sauf que l’on ne fréquentera plus les même endroits (souriant)  


Sophie : mais on reste amis, ça tu peux en être rassuré 


Sandra : bien sûr que oui, tu prieras afin que Dieu ouvre de meilleures portes pour nous dans notre monde.  (La taquinant) 


Lydia : bien sûr que oui dans notre monde pas chez lui inh (souriant) 


Elle : (au bord des larmes) merci les filles 


Moi : (la prenant dans mes bras) ne pleure pas je resterai toujours disponible pour toi. Mais tu viendras à mon mariage non ? (inquiète) 


Elle : bien sûr que oui (souriant) 


Nous : YOUPIIIII


MARC


Papa : fiston tu es sur de toi ?  (Me demandant encore) 


Moi : oui papa, je l’aime (serein)


Maman : (énervée) tu aimes une prostituée ? Tu es sur que tu n’es pas envoutée ? 


Mira : (parlant avec un air effronté)  demande lui bien maman, cette pétasse que tout babi a déjà vu et sauter là, c’est ça que tu aimes, puff, BÊTISE OUI


Moi : (haussant le ton) Mira maitrise ton langage quand tu parles de ma future femme je ne fais que te le répéter. 


Maman : tu fais bien de dire future femme car elle ne le saura pas  (levant également le ton) 


Papa : (levant le ton) ça suffit, laissez-le donc. C’est sa vie et personne ne viendra décider à sa place. Si j’avais écouté les gens je ne t’aurais jamais épousé (parlant à maman) et toi, pense à faire autre chose de ta vie au lieu de toujours vouloir trouver la femme idéale pour tes frères, tu m’entends ? (me parlant) Marc si tu veux l’épouser tu as ma bénédiction. 


Moi : (souriant) merci papa


Papa : je t’en prie. Mais il faut que l’on parte voir sa famille pour le mariage coutumier. 


Moi : au fait papa, elle dit ne pas avoir de très bon rapports avec sa famille. Donc elle préfère que l’on lui verse la dot, ou que l’on ne fasse pas de mariage coutumier même.  


Maman : (craint presque) elle veut mettre la malédiction sur nous,  (tapant sa poitrine) sur notre famille.  (Faisant défilé son doigt sur chacun d’entre nous) Une fille qui prend sa propre dot, si ce n’est pas de la sorcellerie, c’est vu ou ça ? 


Mira : elle veut fuir avec maman, (mettant son regard sur la télé) Yasmina était mieux, je crois


Maman : (reprenant aussitôt)  Yasmina est mieux. Ecoute mon garçon tu peux toujours de ressaisir ohh


Papa : (criant)  CA SUFFIT VOUS DEUX.  (Me fixant) Fiston essaie de lui expliquer que c’est important pour nous cette étape, alors si elle veut on peut le faire en silence, mais il faut que l’on rencontre ces parents, on doit demander sa main quand même.


Maman : là je te l’accorde, on le fait dans le silence absolu c’est mieux pour notre famille (jetant son regard ailleurs) 


Moi : merci papa, je te ferai le retour alors (rassurer) 


Mira : ne comptez pas sur moi pour cela (se levant et quittant le salon) 


Moi : Mira ? Mira ? 


Papa : laisse là ça va lui passer (me calmant) 


Maman : (se levant) hum, je ne pense pas 


Papa : laisse les, va retrouver ta femme et explique lui, ensuite on pourra parler des autres choses (me faisant une tape sur l’épaule) 


Moi : (lui faisant une accolade) merci beaucoup papa


Papa : rentre bien, salut ta femme 


****


Moi : mon amour ? 


Yedmi : hey chérie tu es là ? 


Moi : (l’embrassant) oui tu m’as manqué 


Elle : (me jetant sur le canapé et s’asseyant sur moi) laisse-moi vérifier cela 


Moi : sans soucis mais ma belle, on doit parler du mariage coutumier (raclant ma gorge) 


Elle : (me fixant)  je te l’ai déjà dit, ma mère est morte, c’est elle qui devait normalement recevoir cela. Mais vous pouvez me la donnez  pour que je fasse un truc en son honneur et on oublie tout. Ou alors  on ne fait rien. (Haussant les épaules) c’est vous qui voyez. 


Moi : (la renversant sur le canapé voyant sa mine boudeuse) ne te fâche pas mais pour nous c’est très sérieux. Alors je t’en prie (collant mes deux mains)  montre nous au moins un de tes parents paternels


Elle : (se levant) mais pourquoi ? C’est mon mariage et je ne veux pas.


Moi : (la rattrapant) chéri je t’en prie, comprends-moi, on peut le faire en silence sans bruit, mais on doit le faire (soulevant sa robe, cherchant son point faible) 


Elle : (mettant sa main sur son entrejambe) non on parle là 


Moi : (enlevant sa main) s’il te plait 


Elle : non, je n’ai pas  besoin de mariage coutumier. (Sentant mes lèvres contre les siennes) hummmm, arrête, Tiacohh, hummmmmmm


Moi : (entre ces jambes) je t’en prie, fais le pour moi 


Elle : humm, hummmmmmm, (gémissant) juste le Côcôcô alors, juste ça. 


Moi : (la prenant) merci chérie, (gémissant) hummmmm


*****


 Moi : mais ou vas-tu ?  (La voyant s’habiller) 


Elle : je sors voir mes affaires  (fermant son jeans) 


Moi : ok je t’accompagne  (me levant) 


Elle : non, voici l’adresse de mon père (me donnant une feuille) 


Moi : merci beaucoup ma belle 


Elle : (regard très dur) Tiacoh, plus jamais, je dis bien plus jamais tu ne m’obligeras à faire ou dire ce que je ne veux pas. Je déteste ca


Moi : désolé chérie, ne m’en veux pas (air suppliant) 


Elle : ne le reproduit plus  donc chéri  (ton bizarre), ne m’attends pas diner je passerai chez Sophie 


Moi : ok j’embrasse Kylian, je t’aime et sois prudente 


Elle : toi pareillement (sortant) 


Vu le bruit de la porte je suis sure qu’elle est fâchée mais on doit le faire je suis obligé d’aller contre sa volonté cette fois, après le mariage on fera ce que l’on veut. Je le promets.


YEDMILA 


**QUELQUES SEMAINES PLUS TARD***


Moi : (au téléphone) Quoi ? Comment ça ? Il a refusé de vous recevoir, ou ce sont les présents qu’il a refusé ? Ok je te rappelle


Non mon mais pourquoi il a refusé ? Il veut encore me mettre la honte ou quoi ?  Pourquoi avoir refusé les présents qu’ils lui ont apportés ? Je leur ai dit à  ces gens, rien de coutumier mais forcement ils veulent faire quelque chose de coutumier. 


Je conduis rapidement et arrive devant la maison de mon géniteur. 


Moi : (entrant) toi ici ? (surprise) 


Elle : ah salut Yedmila (me souriant avec une bible en main) 


Moi : c’est donc mon géniteur qui t’a convaincu de donner ta vie à Dieu Angie ? (la regardant dépassé par sa tenue assez longue et sa présence chez mon géniteur) 


Elle : (avec une bible en main) oui, l’esprit sain est passée par lui, Dieu merci je t’ai accompagné ce jour-là le voir. 


Moi : hum, l’esprit  saint passe aussi par lui ? 


Elle : Dieu change les hommes crois-moi  (avec conviction) 


Moi : ou est-il ??


Elle : dans sa chambre, je vais l’appeler pour toi 


Moi : (la dépassant) pas la peine j’y vais 


****


Lui : (me souriant) ah tu es là ? 


Moi : (ignorant sa salutation) tu as quel problème ? 


Lui : je vais bien et toi ma fille (gardant toujours son même sourire) 


Moi : oh donc c’est pour ca 


Lui : pour cela quoi ? 


Moi : parce que tu penses que je suis ta fille et que tu as tous les droits sur moi que tu refuses les présents que ma belle-famille t’apporte ? (sereine) 


Lui : ah tu parles de ça, non je n’ai rien contre eux. Tu ne m’avais même pas dit que tu te marias, je ne sais même pas si tu acceptes leur proposition


Moi : je n’avais pas besoin de te le dire. Et oui j’accepte  (parlant rapidement) 


Lui : mais le jeune homme m’a confié que vous n’êtes ensemble sue depuis 6mois, c’est trop tôt Yedmi. Ce n’est pas bon pour un mariage (parlant avec une voix de père protecteur ou soucieux) 


Moi : (rire ironique) parce tu sais ce qui est bon toi, pour un mariage ? Écoutes tu vas accepter les colis et on n’en parle plus (voulant me débarrasser au plus vite de lui) 


Lui : Yedmila, je ne sens pas ce mariage.  (Sérieux) C’est trop tôt en plus il est célèbre comme toi, ce n’est pas bon. 


Moi : tu te prends pour qui dis-moi ? On ne décide pas pour moi je décide pour moi-même (le fixant) 


Lui : (sérieux) je veux que tu sois avec quelqu’un qui te fera changer et qui t’aidera à être, (souriant) à être  une autre personne, à faire la paix avec le seigneur 


Moi : (commençant à m’énerver)  tu m’énerves avec tes bêtises. Tu veux que je change comme Angie ? Jamais, (faisant non avec mon doigt)  cette vie de religion la n’est pas pour moi. Ta vie n’est pas pour moi,  (le pointant du doigt) tu penses que tu es mieux juste parce que tu as une meilleure vie que la mienne, ou juste parce que ton avocat ta loger dans un semblant de villa et tu vie mieux qu’à Gobelet ? Non, le meurtre de maman et Loïc pu sur toi. (Regard dur) 


Lui : (baissant la tête) Yedmila, je me suis excuser pour cela. Et lorsque tu venais me voir ça allait tu ne parlais plus de cela, pourquoi en reparler maintenant ? (petite voix) 


Moi : (m’énervant)  parce que je faisais semblant et que ton idiot d’avocat m’a fait signer un contrat ou en échange d’une faveur qu’il me faisait je devais venir faire semblant de venir m’enquérir de tes nouvelles chaque dimanche. (Le pointant du doigt) attends tu as cru que quoi ? Que je m’y plaisais ? Je perdais mon temps,  sache-le. Tu m’ennuyais mais j’étais obliger. Alors arrête-moi ces bêtises que tu dis. (Ton dur) jamais je ne ferai ami-ami avec toi, ce serait salir leur mémoires. 


Lui : Yedmila, pourquoi me parle tu ainsi ? (air choqué) 


Moi : pourquoi as-tu refusé les présents ? (le fixant) 


Lui : (parlant un peu fort)  Yedmila il est d’une famille riche et si tu te marie avec lui et que tu as des soucis personnes ne pourra t’aider. Ils sont puissants les Tiacoh, je n’ai pas envie qu’un jour tu souffres seule sans l’aide de personne pour t’aider. 


Moi : parce que maintenant tu te soucie de moi ? (rire ironique) 


Lui : depuis toujours Yedmi 


Moi : (le coupant énervée)  je t’en prie ou étais tu quand j’en avais besoin ? Dans mon enfance par exemple ? Entrain de faire l’amour avec une de tes nombreuses conquêtes ? 


Lui : (tenant à me faire changer d’avis apparemment) écoutes Yedmila si tu te maries avec lui tu ne pourras plus faire toutes tes réalisations tu seras une femme au foyer, pourtant je sais que déteste cela. (me regardant) 


Moi : (sourire nerveux) moi une femme au foyer ? Ne t’en fais pas pour mes réalisations je le ferai tant que  toi (le pointant) tu vis. 


Lui : pardon ? (ne comprenant pas) 


Moi : (me rapprochant de lui avec vitesse)  tu es la seule personne qui me donne envie de faire plus, pour te prouver que malgré tout ce que tu as fait je tiens et je suis mieux que toi. (Avec dureté et fermeté) Je te hais et te déteste tellement que le simple fait de savoir que tu respires me donne envie de plus réaliser afin que  (le touchant avec mon doigt) tu soufres de me voir réussir malgré toute la peine que tu m’as faite. Alors ne t’en fais pas car ma source d’inspiration est là (avec audace) 


Lui : Yedmila (ces yeux rougirent et il attrapa sa poitrine) 


Moi : (le stoppant) non, me parler et voir souvent les dimanches sont des honneurs et des privilèges que tu n’auras plus si tu refuses les présents de ma belle-famille. (Avec audace et lui bloquant même la route pour qu’il passe, car apparemment il voulait le faire) 


Lui : mais Yedmila (choquée par mes paroles apparemment) 


Moi : (criant) tu ne comprends ce sont des honneurs et privilèges que tu n’auras plus. (Autoritaire)  Alors tu décides entre me parler et ne plus me parler.  (Haussant les épaules) Moi je n’en ai rien à foutre. 


Lui : mais……


Moi : (le coupant et le fixant avec une dureté qui n’avait son nom que dans mon regard) tu choisi quoi ?  Me parler ou ne plus me parler ?  (Avec audace) 


Lui : tu peux leur demander de venir la semaine prochaine pour ton côcôcô (toqué) (doucement et baissant les yeux) 


Moi : (souriant) sage décision. Je compte sur toi pour bien les recevoir. A un de ces dimanches donc. 


Lui : ne viens pas si tu n’as pas envie (avec toujours son même air de tristesse) 


Moi : sure ? (le fixant) 


Lui : o---u---i (avec difficulté) 


Moi : parfait alors (sortant)  


Je sortis et vis Angie en train de prier, je la dépassais et sorti de la maison. Une fois dehors je portais mes lunettes de soleil, et monta dans ma voiture pour appeler Tiacoh


Moi : (voix tremblante) chéri c’est bon, vous pouvez venir la semaine prochaine. 


Je m’en fous de ce que vous pensez, il, ne peut pas diriger ma vie comme il l’a fait avec ma mère, ça jamais. Je fais ce que je veux, s’il veut se jouer les bon papas qu’il le fasse avec Angie. Moi je n’en ai pas du tout besoin, j’ai passé l’âge pour cela. 


************


 Moi : alors Steve ça avance les courses ? 


Steve : t’en fais pas tu auras un mariage parfait  (me souriant) 


Moi : et vous les filles ? 


Sophie : c’est bon aussi (me faisant un clin d’œil)  


Sandra : weh, c’est bon 


Lydia : à part qu’Angie n’a pas encore essayé sa robe, moi ça va 


Moi : appelle la voir s’il te plait (demandant à Sophie) 


Je me tournais et parlait avec Steve sur le lieu que je voulais. Steve était très content pour nous et moi heureuse. Marc me rendait bien heureuse, même si depuis l’annonce officielle beaucoup de mes anciens clients ne me parle plus, d’autres même me menacent. Mais  ça ne m’effraie pas, en plus je suis avec Marc Tiacoh, de qui aurais-je peur encore ? 


Sophie : ah Angie tu tombes bien (hurlant presque) 


Moi : (me retournant pour la voir) ah Ang…


Je ne finis pas de parler qu’elle m’administra une de ces gifles. 


Moi : (attrapant ma  joue) mais tu es folle ou quoi ? 


Elle : (craint, toute énervée) TU ES CONTENTE ? PAR TA FAUTE IL A ETE HOSPITALISER HIER. JE SUIS SURE QUE CE DOIT ETRE A CAUSE DE TOUTE LES ATROCITES QUE TU LUI AS DITE ? TU ES MAUVAISE JE TE PROMETS QUE SI MALHEUR LUI ARRIVE JE TE TIENDRAI POUR RESPONSABLE


Sophie : eh mais Angie de quoi tu parles ? (l’attrapant) 


Moi : (criant) NON MAIS TU ES FOLLE OU QUOI ? TU M’ATTAQUE PHYSIQUEMENT POUR QUELLE RAISON ? CA NE VA PAS NON ?  TU VAS LE REGRETTER (voulant lui rendre son coup, je fus stopper par Sandra, avec Sophie au milieu.) 


Elle : tant que j’ai Dieu avec moi rien ne m’atteindra (sereine) 


Steve : mais Angie pourquoi tu fais ça ? (lui parlant) 


Sandra : oui Angie, tu l’attaques pour quoi ? (demandant Sandra) 


Elle : (me parlant avec mépris, je pense, vu son air) quand je pense que tu as été mon model un moment je suis dégoutée, ton propre père regarde comment tu l’as détruit (toute tremblante) 


Moi : je n’ai pas de père rien qu’un géniteur, (levant le ton)  et cela ne te donne pas le droit de venir m’agresser pauvre femme. Pour qui tu te prends ? (énervée et voulant lui rendre son coup) 


Sophie : Angie stop, (me parlant) calme-toi, s’il te plait (essayant de calmer le jeu) 


Moi : (criant) DEGAGE DE MA MAISON ET DEMANDE A TON DIEU ET TON PERE SPIRITUEL DE T’EN OFFRIR UNE, PAUVRE FILLE (la pointant du doigt) 


Sandra : (se moquant) c’est qu’elle n’aura jamais rien 


Elle : (sereine) toutes ces choses ne sont rien comparer au royaume de Dieu. Tout ce qui vit par la chair mourra par la chaire crois-moi mais ce qui vit par Dieu résisteras à tout. Sachez le bien ! 


Lydia : (la poussant) sors d’ici avec ton royaume de Dieu et tes citations idiotes


Sophie : (essayant de calmer le jeu) calmer vous les filles


Sandra : faudrait qu’elle dégage pour cela (la poussant encore) et ne t’approche plus de Yedmi sinon crois-moi tu regretteras ta vie par Dieu. 


Elle : je pars, mais  Yedmila  (me parlant comme à une amie) cherche  à pardonner et avoir son pardon, sinon un jour aussi tu imploreras le pardon comme lui à quelqu’un et cette personne te traiteras mille fois pire que ce tu lui fais. Change vite. (Sereine) 


Moi : (la poussant jusqu’à la faire tomber) DEGAGE DE CHEZ MOI ET JE NE VEUX PLUS TE REVOIR NI CHEZ MOI NI SUR MA ROUTE. SINON TU LE REGRETTERAS (ton sévère et autoritaire) 


Sophie : (m’attrapant) calme toi Yedmi


Sandra : (la mettant dehors) sors d’ici 


Lydia : et cours la prochaine fois que tu me vois (lui criant dessus) 


Steve : je vais te chercher un peu d’eau la boss


Lydia : oui c’est mieux


Sophie : ça va Yedmi ? (essayant de me calmer) 


Moi : (autoritaire) Steve je ne veux plus qu’elle s’approche de ma maison, mon lieu de service et encore moins-moi si j’y suis, ni mes affaires aussi elle a interdiction formelle d’être a mon mariage (me tournant vers tous) je suis sérieuse.  (Me levant toute remontée) 


TU AS AIMER ALORS NE TE GENE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET  BONNE SOIREE BISOUS !!!

Son Pardon